Décembre est un peu la continuité de Novembre pour la production artistique : un peu de tout, pas forcément de fil directeur, et une luminosité atroce pour prendre les photos.
Du coup j’ai un peu moins de choses à vous montrer, mais je vous assure que décembre a été un mois plutôt intéressant en termes de pratique !
Dernier vernis coloré du coffret Classic & Chic d’O.P.I, aujourd’hui nous parlons de Lincoln Park After Dark.
Quand j’ai acheté le coffret, peut être que l’éclairage de Monoprix m’a induite en erreur, je pensais que c’était un rouge noir très foncé, un peu comme le #18 de Chanel mais plus sombre.
En fait il n’en est rien, Lincoln Park After Dark est un violet très profond, presque noir.
Autant je trouve le rouge noir assez classique, autant je trouve le violet un peu plus risqué, plus difficile à porter au quotidien. Pour la peine j’ai gardé mes ongles courts, histoire de m’habituer à la couleur et à l’effet.
La couleur ne pardonne rien, tous les petites aspérités de l’ongle seront magnifiées par son côté très brillant, mais elle est très jolie et finalement plus passe partout que je croyais dans la mesure où elle flirte tellement avec le noir qu’elle s’harmonise bien avec la grande majorité de mes tenues.
Par contre, la texture est atroce.
Vraiment.
Elle s’étale mal, flirte entre le trop épais et trop fin, sèche assez inégalement, ce qui est assez peu pratique pour une couleur qui demande une application précise.
C’est peut être du au fait que le coffret se compose de minis flacons, je ne saurais vous dire. En tout cas armez-vous de patience pour le poser, vous en aurez besoin (surtout que le pinceau n’est ni accommodant, ni pratique).
Côté tenue, difficile d’avoir quelque chose de concluant avec une texture aussi capricieuse : j’ai à peine réussi à le maintenir présentable 2 jours, et c’était limite.
Du coup je pense le réserver pour les pieds. C’est dommage parce que la couleur est intéressante et le fini très brillant, mais la texture du produit me rebute trop.
Et vous, des déconvenues avec vos vernis ?
Bonne journée !
Retrouvez mes revues des deux autres vernis colorés de ce coffret : Passion (le rose pâle) et Big Apple Red (le rouge vif)
Celui-ci, c’est encore un livre qui s’est retrouvé dans ma liste à lire je ne sais trop comment. Je pensais que c’était Cél, encore, mais en faisant des recherches sur son blog je n’ai rien trouvé…
Décidément, il serait de bon ton que je me note qui m’inspire à lire les livres que je mets dans cette liste !
Donc, comme pour la dernière fois, si la personne qui m’a donné envie de lire ce livre passe par ici, merci !
– – – – –
Coquelicot c’est un recueil de mots auxquels se mêlent les souvenirs d’enfance, parfois des réflexions d’orthographe, parfois aussi des souvenirs un peu plus récents.
Coquelicot c’est l’ensemble de ces mots qui évoquent des sons, d’autres qui font revenir à la mémoire des odeurs, certains encore qui parlent de conversations.
Coquelicot c’est un recueil de mots aimés, certains chéris, d’autres beaucoup moins, mais tous avec leur particularité aux yeux et à la mémoire d’Anne Sylvestre.
Pour tout vous dire, je n’avais aucune idée de qui était Anne Sylvestre avant de me pencher sur cet article : j’avais noté le livre, je devais avoir une bonne raison, c’était amplement suffisant.
C’est en parcourant la fiche Babelio sur le livre puis la page wikipedia de l’auteur que j’en ai appris un peu plus sur cette dame, qui chante (chantait ?) pour les enfants et les plus grands de jolis textes qui parlent de la vie, en simplicité mais avec beaucoup de charme.
Alors forcément, cela permet de mieux comprendre la tendresse et la beauté de ces petits textes, chacun évoquant un mot aimé, un mot avec lequel elle joue.
C’est un ouvrage résolument à part, qui parle de souvenirs courts, sans trop les romancer mais avec une poésie et un amusement palpables.
J’ai beaucoup aimé le lire, et on se prend souvent au jeu de se demander ce que nous évoque tel ou tel mot, et, si on devait à notre tour écrire sur nos mots préférés, quels seraient ceux qui composeraient notre ouvrage.
Peut être avez vous envie d’un peu de douceur, d’un livre qui fait voyager dans les souvenirs, qui change un peu de ce qu’on a l’habitude de lire ? Ne cherchez plus, Coquelicot est pour vous !
A vous qui passez ici, je vous souhaite un joyeux Noël ! J’espère que vous l’aurez passé au chaud, avec des bonnes petites choses à manger, et plein d’amour, de joie et de bonheur.
Je continue sur ma lancée de la découverte des couleurs et vernis du coffret O.P.I Classic & Chic que je me suis offert juste avant de reprendre pour le travail : après Passion, un joli rose pâle transparent, voici Big Apple Red !
C’est un joli rouge vif, assez classique, qui me fait penser aussi aux vernis rouges des femmes fatales. J’ai notamment en tête Monica Bellucci, mais je crois qu’on a tous et toutes une représentation de la femme fatale avec un vernis rouge sur des ongles courts (non ?).
Je crois aussi que c’est une couleur qui est bien appropriée pour les fêtes (ou pour la Saint Valentin !), c’est un rouge assez profond, comme celui des décorations de Noël ou les pommes d’amour.
Bref, une couleur assez intemporelle (la photo de mes mains est la plus fidèle en termes de représentation de la couleur du vernis), qui se marie d’ailleurs très bien avec un de mes rouges à lèvres, le rouge Dior Baume #758 Lys rouge.
La texture est bien couvrante, on obtient une belle couleur avec une couche. Personnellement, j’en ai mis deux, ce qui donne un rouge très opaque et bien vibrant, ce qui permet de ne pas voir le bord libre de l’ongle en transparence.
Petite déception côté tenue par contre (mais peut être n’ai-je plus l’habitude de poser du vernis et que je m’y suis mal prise ?), au bout de 2-3 jours le vernis a commencé à avoir des accrocs, malgré la base. Je n’ai pas mis de top coat, peut être aurais-je du.
Toujours est-il qu’au bout d’une semaine, ce n’est pas très joli à voir, c’est un peu dommage parce que je n’ai pas envie de refaire ma manucure tous les trois jours.
Malgré tout j’aime beaucoup la couleur, que j’ai beaucoup de plaisir à porter. Je pense donc y revenir assez souvent.
Et vous, quelle couleur pare vos ongles en ce moment ?
En fait, j’ai beau aimer les bougies parfumées, je ne sais pas vraiment où en acheter qui soient à la fois de qualité et à un prix raisonnable. Alors pour l’instant, je me fournis à Habitat.
En début d’année j’avais essayé Vent et Embruns, puis vers le milieu d’année j’ai poursuivi avec celle qui s’appelle Argile (dont je n’ai pas parlé ici, mais qui sent bon le propre et le frais).
C’est ainsi que j’ai vidé mes stocks de bougies parfumées : il me reste bien encore quelques petites bougies de type chauffe-plat de Ikéa, mais comme elles sentent les fruits exotiques et que je ne trouve pas que ce soit très approprié pour la saison, je suis allée voir ce que je pouvais trouver.
Je suis donc allée à Habitat, j’ai regardé les rayons (hésitant 425 fois pour savoir si oui ou non j’achetais ces jolies bouboules de Noël alors que je n’ai pas de sapin…), et puis je suis tombée sur une collection que je ne connaissais pas (mais qui peut être existe depuis des années), avec tout un tas de senteurs.
J’ai acheté trois bougies : figue & noix, coton & néroli, et Nectar de miel et thé qui est la première à avoir été allumée.
En vrai, je n’ai pas encore allumé les autres, tellement j’aime celle-ci (alors que c’était celle qui me tentait le moins des trois) (oui je fais partie de ceux qui gardent le meilleur pour la fin).
C’est un parfum plutôt sucré, le miel est très présent, et pourtant je ne le trouve pas écœurant. Ce qui est un peu étonnant à vrai dire, c’est que l’odeur est à la fois sucrée et fraîche (je suppose que c’est le thé qui apporte cela), alors je me retrouve à la laisser allumée longtemps, je trouve qu’elle va bien à tout moment de la journée.
Je dirais que c’est toutefois un parfum plutôt relaxant, plutôt rond et doux. C’est une jolie association que j’aime beaucoup, et l’odeur se diffuse très bien, ce qui renforce le plaisir.
Petit bémol, mais c’est peut être juste moi qui m’y prends mal, je n’arrive pas à la faire fondre uniformément (ce qui était déjà le cas avec les autres bougies Habitat que j’ai eu).
Enfin si vous connaissez un amateur ou une amatrice de bougies et d’odeurs fraîches et sucrées, cela fera un bon petit cadeau (de Noël ou autre !). Et si vous vous reconnaissez dans ce profil, n’hésitez pas à voir si elle vous correspondrait : pour ma part c’est une jolie découverte.
A noter, la bougie existe en plusieurs formats, je crois que j’ai pris celui du milieu, et il me semble que je l’ai payée 16€.
Et vous, quelles sont vos bougies parfumées favorites du moment ?
Pour changer un peu, je voulais vous parler d’un produit que j’ai découvert il y a quelques temps à la biocoop et que je ne cesse de racheter : le tartare d’algues.
Non pas que ce soit un produit franchement nouveau (cela fait des mois voire même des années qu’il est disponible), juste que je ne m’étais pas encore décidée à franchir le pas et à goûter.
Parce que bon les algues, j’ai beau savoir que c’est bon pour la santé, ce n’est quand même pas un de mes aliments de prédilection (et je ne vous raconte même pas ce que ça donne quand j’en rencontre en milieu aquatique).
Il en existe plusieurs variétés, j’en ai goûté deux : le classique, qui est mon préféré avec son côté iodé et le piquant des cornichons, et le provençal, qui fleure bon le midi (et qui irait très très bien avec une salade caprese, qu’on se le dise). Je crois qu’il existe aussi une version au citron (citron confit peut être ? mais je n’en suis pas sure).
Au début je ne savais pas trop quoi en faire, alors j’ai tout simplement goûté à la petite cuillère, et depuis j’en rachète régulièrement : le tartare fait des merveilles sur les tartines d’avocat, le poisson (grillé, pané ou fumé), ou tout simplement tartiné sur une belle tranche de pain au levain.
Je confesse continuer à le manger, aussi, à la petite cuillère, juste pour le plaisir.
Et avec les fêtes qui approchent à grand pas, cela peut être, je crois, un petit quelque chose qui viendra dynamiser et apporter de la profondeur à un plateau de fruits de mer ou à des tranches de saumon fumé.
Je ne sais pas si c’est à rapprocher avec le fait d’avoir un nouveau travail, mais certaines choses ont changé : j’ai fait un gros tri dans ma garde robe et mes chaussures, j’ai recommencé à me maquiller plus régulièrement, je fais du yoga pratiquement tous les jours, je marche beaucoup plus…
Et j’ai eu envie de me vernir les ongles, ce qui ne m’était pas arrivé depuis très longtemps, à savoir août 2015 si j’en crois les archives du blog.
Autant vous dire que je n’avais plus rien qui puisse ressembler de près ou de loin à un vernis.
J’avais laissé l’idée en tâche de fond dans un coin de ma tête, et puis il y a quelques jours, alors que j’étais en ville, je suis allée à Monoprix, et j’ai vu des petits coffrets avec 4 vernis de la marque O.P.I. J’ai choisi de m’offrir celui qui s’appelle « Classic & Chic » parce qu’il comportait le genre de couleurs que j’avais envie de porter et qui me semblaient assez facile à assortir (et plutôt indémodables, il faut bien l’avouer).
A noter, le vernis transparent tout à droite fait à la fois base et top coat, ce qui est bien pratique.
Le premier que j’ai essayé est donc Passion, un vernis rose pâle, un peu dans le même style que ceux qu’on utilise pour faire des french manicure.
J’avais beaucoup entendu parler de la pigmentation des vernis O.P.I, j’ai donc été un peu déçue de voir que malgré deux couches, le bord libre de mes ongles était encore visible : je m’attendais à quelque chose de plus opaque.
Ce qui ne veut pas dire que la couleur ne soit pas réussie : c’est un rose pâle transparent, discret, qui ira globalement avec tout.
Côté tenue, la couleur a tenu une semaine sans que je ne mette du top coat par-dessus. Après j’ai eu quelques petits accrocs, et c’est vraiment au bout d’une semaine et demie que c’est devenu critique.
Depuis je l’ai enlevé, j’ai posé Big Apple Red… Mais c’est un autre article à venir.
5 mois que j’ai reçu cet appel téléphonique : au bout du fil, quelqu’un qui ne contactait à la base pour quelque chose qui ne m’intéressait pas, et qui m’a finalement parlé, sans s’en douter, du poste dont je rêvais.
En 5 mois, je suis passée par toutes les émotions possibles et imaginables je crois, depuis la joie jusqu’à la déception, en passant par l’angoisse et la gratitude.
Il y a eu autant de rebondissements dans ce processus que dans ma tête et mon cœur.
– – – – –
Certains m’ont fait comprendre que c’était louche que ce soit si long, si compliqué, que finalement c’était peut être pas une bonne chose pour moi et qu’il vaudrait mieux que je cherche ailleurs.
D’autres m’ont dit de persévérer, que si c’était ça que je voulais, il fallait que j’aille au bout pour ne pas avoir de regrets.
Pendant un temps j’ai effectivement envisagé de chercher ailleurs, mais je n’en avais pas envie : je n’ai postulé à aucune offre, rien ne m’intéressait.
C’est peut être prétentieux ou capricieux, c’est aussi définitivement un luxe que je me suis accordé, mais je voulais ça.
Je ne voulais pas mieux payé, je ne voulais pas une plus grande ou plus petite entreprise, je ne voulais pas plus ou moins varié, je ne voulais pas trouver à tout prix, je ne voulais pas accepter quelque chose pour accepter quelque chose.
Je voulais ce poste-là.
Je voulais écouter cette petite voix qui m’avait dit que c’était pour moi lors de cet appel il y a presque 5 mois. Je voulais écouter cette intuition que j’ai trop souvent mise de côté.
– – – – –
Vous savez, c’est un peu grisant d’écouter sa petite voix, parce qu’elle a quand même des idées un peu folles, qu’on ne croirait pas réalisables.
Et puis parfois, ses idées sont tellement déconcertantes qu’on n’est pas bien sur(e) qu’elle nous veuille du bien.
Alors que j’écris ces mots et que je prends le temps de réfléchir sur ce long processus, je vois plein de leçons disséminées çà et là, plein de jolies choses sur ce chemin : des amitiés qui ont grandi, l’opportunité d’avoir pu travailler sur des projets qui me tenaient à cœur, un cadeau encore plus beau que ce qui était prévu au départ…
Je ressens beaucoup de gratitude pour tout cela.
– – – – –
Je vous avais dit que je vous tiendrai au courant.
La semaine dernière, j’ai reçu un courrier. J’ai posé des questions, vécu un tourbillon émotionnel en six heures.
24 heures après je l’avais signé, et renvoyé les papiers qu’on me demandait.
Je tremble autant d’excitation que de peur.
Une nouvelle expérience qui commence. Une nouvelle étape dans la croissance personnelle.
Il y a quelques temps, je ne sais plus trop comment, je suis tombée sur la chaîne YouTube de Kalyn Nicholson, j’ai regardé quelques unes de ses vidéos et quelque chose a attiré mon attention.
Cette jeune femme a des routines personnelles (du matin, du soir et du week-end) et une décoration d’appartement en fonction de la saison !
Alors je ne sais pas, peut être que c’est quelque chose que les gens font d’habitude, mais personnellement depuis que je suis dans mon appartement (7 ans 1/2), je n’ai pas changé la disposition des meubles, les rideaux (déjà qu’il m’a fallu des années pour les suspendre !) ou encore l’ensemble des tableaux qu’il y a chez moi.
Je me suis donc interrogée sur ce qui changeait ici selon la saison.
Et au delà de ce que je mange (puisqu’à la biocoop il n’y a pas de produits qui ne sont pas de saison sauf à prendre de la conserve ou peut être du surgelé) (je ne sais pas, je n’ai pas de congélateur), il n’y a guère que les thés qui varient.
Cette année j’ai choisi deux thés pour m’accompagner pendant le temps des fêtes.
Le premier, c’est le thé blanc Avec les Anges des Jardins de Gaïa. Je vous en ai déjà parlé, c’est un thé plutôt fleuri, très doux. Je l’apprécie particulièrement pour commencer la journée, après avoir fait mon yoga et pris mon petit déjeuner.
Le second, c’est un rooibos, un thé rouge donc, aromatisé à l’orange et aux épices, qui est excellent. J’hésite souvent à prendre des thés aux agrumes, parce que parfois le rendu n’est pas très heureux dans le sens où je trouve que cela a un goût chimique, mais là je trouve que c’est très réussi.
C’est un thé qui me rappelle les oranges piquées de clous de girofle qui trônent fièrement à côté des bâtons de cannelle pendant la période des fêtes.
Il porte le joli nom de Lumière d’étoiles, il est fait par Les Jardins de Gaïa aussi parce que j’aime bien ce qu’ils font, et il se marie très bien avec des petits sablés au citron ou des cookies aux pépites de chocolat.
Et vous, quels sont vos thés de prédilection à cette saison ? Est-ce que vous changez de routines et de décoration en fonction de la période de l’année ?