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Category Archives: Cuisine

Soupe butternut, carotte et brocoli

14 décembre 20156 décembre 2015

Avouez que cela manquait un peu de soupe sur le blog ces derniers temps ! Aujourd’hui, je vous propose une soupe très doudou, presque une purée dans mon cas, pour les soirées d’hiver un peu fraîches, où la simplicité d’un bol réconfortant est tout ce dont on a envie.

Mnemosune-soupe-butternut-brocoli-1

Ingrédients (pour 3 gros bols bien remplis) :

  • un oignon émincé
  • un pied de brocoli coupé en dés
  • une carotte coupée en morceaux
  • une courge butternut moyenne, égrainée et coupée en morceaux
  • 200 ml de lait de coco
  • 1/2 cuillère à soupe d’huile de coco
  • épices au goût (le 4 épices fonctionne très bien ici !)

Note : il est inutile de peler la courge si elle est bio et jeune, la peau sera tendre après cuisson !

Mnemosune-soupe-butternut-brocoli-2

Réalisation :

  1. Mettre l’huile de coco dans une casserole ou un faitout, et faire rissoler l’oignon avec les épices quelques minutes en remuant.
  2. Ajouter le brocoli, la carotte, la courge butternut et mettre de l’eau à hauteur. Couvrir, et laisser cuire une petite vingtaine de minutes, jusqu’à ce que les légumes soit tendres.
  3. Mettre les légumes dans un blender, ajouter le lait de coco et un peu d’eau de cuisson. Mixer. Ajouter autant d’eau que nécessaire pour obtenir la consistance qui vous convient.
  4. Verser la soupe dans les bols, assaisonner au goût et déguster !

Voilà une recette de saison, facilement déclinable selon les épices que vous choisirez et délicieusement doudou. A vous de jouer !

Bonne journée !

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Un dîner à Iori

7 août 20155 août 2015

Mardi soir je suis allée avec E. dîner au restaurant Iori.

Ni lui, ni moi ne connaissions l’adresse, mais tous deux souhaitions manger japonais. C’est ainsi qu’après quelques recherches sur internet nous avons convenu de passer notre soirée dans cet établissement entre les Carmes et Esquirol, rue des Paradoux précisément, pour nous raconter ce qui s’était passé pendant cette année sans nous voir.

Iori est un restaurant traditionnel japonais de type izakaya, ce qui se rapproche du bar à tapas espagnol : on choisit sa boisson et les plats qu’on souhaite partager et la soirée peut commencer.

iori-plats

De notre côté, comme nous ne sommes pas vraiment doués avec E. pour trouver des créneaux pour nous voir, nous avons décidé de ne pas faire les choses à moitié et d’essayer plein de mets, de marquer le coup un peu. Côté boissons, il a pris un saké (qui avait un petit goût sucré de poire je trouve, mais lui n’était pas d’accord) moi j’ai choisi une bière au gingembre (parce que le gingembre c’est la vie).

C’est pour les plats que cela s’est un peu gâté et que nous n’avons pas vraiment été raisonnables : E. ayant envie du combo viande + féculents alors que mon choix allait vers la verdure et les produits de la mer, nous avons chacun pris ce qui nous tentait et ensuite nous avons partagé selon nos goûts.

Je ne me rappelle plus dans le détail ce que E. a pris, je sais qu’il y avait du riz frit, des boulettes de poulpe avec de la sauce sucrée et des udon  au porc. De mon côté, tout en finesse aussi, j’ai sélectionné des edamame, de la soupe miso, du poulpe frit et un okonomiyaki stick.

iori-gyozas

En plein milieu de nos tests de dégustation nous avons remarqué qu’il y avait aussi des gyozas au menu et il était hors de question que nous laissions passer cela, alors nous en avons pris deux parts, simplicité oblige.

Et comme décidément nous n’en étions plus à ça près, E. a pris un gâteau de riz gluant en dessert et moi des mochis glacés, un au thé vert et l’autre au goût sakura.

L’ensemble était délicieux, le service est très bien, très agréable et de bon conseil. L’addition a été un peu salée (une quarantaine d’euros par personne), mais c’est un peu le jeu avec ce genre de restaurant où l’on commande au fur et à mesure de nos envies, sans trop savoir où en est le budget.

iori-mochis

De toute façon, je le répète, c’était amplement mérité, tous les plats étaient fabuleux, j’ai d’ailleurs rarement mangé du poulpe aussi bien cuisiné que ce soir-là, la chair tellement fondante avec la panure croustillante… Miam !

Ah et je tiens quand même à ajouter, qu’effectivement il aurait été dommage de passer à côté des gyozas, ils étaient parfaits.

En résumé, une bonne adresse pour ceux qui aiment picorer  des plats variés et pour les occasions spéciales, à mes yeux, mais peut être penserez-vous que le lieu ferait une excellente cantine du midi, qui sait ?

Iori
20 rue des Paradoux, 31000 Toulouse
Téléphone : 05.61.28.02.47
Site web : http://www.iori.fr

Bonne journée !

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Gaïa en fête – Les Jardins de Gaïa

17 février 201516 février 2015

La première fois que j’ai bu du thé, je n’ai pas du tout aimé cela. Je ne me rappelle plus ce que c’était comme thé, en revanche je me souviens que l’amertume m’avait beaucoup dérangée.

Je me suis accrochée parce que le diététicien il me disait que c’était bon pour moi, j’en ai essayé plusieurs. Et finalement je suis tombée en amour pour l’Earl Grey, tellement que j’en buvais pratiquement 1 litre par jour. Je ne suis pas très forte en termes de modération on va dire.

A partir de là, je suis passée aux saveurs plus fuitées et sucrées, toujours en thé noir, le thé aux fruits rouges ayant ma préférence, toujours avec l’Earl Grey.
En prépa, j’agrémentais mes journées de trois boissons : du café, de l’Earl Grey et du thé aux fruits rouges. J’en buvais beaucoup trop je crois, mais c’étaient mes petites douceurs de mes instants studieux, et puis nous avec ma copiaule on était les seules à avoir une cafetière dans l’internat (alors que c’était interdit) et une bouilloire (interdite itou) (on était des rebelles en prépa éco), alors on avait souvent de la visite, c’était bien, on refaisait le monde avec nos tasses énormes. Bon en vrai on parlait surtout de nos cours (et des histoires de cœur de la classe, parce que vous savez, en prépa et en internat, les deux cumulés, ça va vite les bruits de couloir). Mais c’était chouette quand même.

J’ai continué à ce rythme là jusqu’au moment où j’ai fait mes valises pour Montréal il y a 7 ans et là j’ai surtout bu du café. C’est en rentrant en France que je suis revenue au thé, que j’ai goûté au thé vert, qui a depuis ma préférence.

Mnemosune-Gaia-en-fete-1

J’ai des goûts assez précis en termes de thé : j’aime les saveurs discrètes mais racées, j’aime les goûts fruités le matin et au goûter, mais je pourrais siroter du thé au jasmin ou autre thé fleuri toute la journée sans me lasser.

Inutile de vous dire que j’ai une collection de thé assez conséquente. On m’en offre beaucoup aussi (cette année à Noël, j’ai reçu 6 sortes différentes en cadeau, heureusement pas des grands formats, sinon en 2026 j’y étais encore je crois). D’ailleurs chez moi j’ai surtout du thé en vrac, parce que j’ai le temps, et que je peux préparer une théière que je nettoierai tranquillement une fois entièrement bue. Au travail je privilégie les sachets, parce que je trouve que c’est plus pratique.

Et pourtant…

Lors de ma convalescence, mes rares sorties étaient dévouées au remplissage de mon réfrigérateur et des placards de cuisine : quitte à faire l’effort de sortir, autant que ce soit utile. C’est ainsi qu’un jour qu’on m’avait véhiculée à ma biocoop favorite, j’ai acheté ce thé, Gaïa en fête, des Jardins de Gaïa, en plus de mon ravitaillement en bananes, poires, choux et cucurbitacées.

J’avais acheté une boite de thé de l’avent de la même marque pour Rock & Tea pour le swap de Noël, Madame Patate avait vanté les louanges de son breuvage de saison. Moi j’en avais déjà goûté, mais je n’avais pas ma boîte, à moi. Du coup j’ai pris celle-là, parce que la boite était jolie, que j’aimais bien son nom et que j’avais envie de printemps (que des critères indispensables pour choisir un thé donc…).

Mnemosune-Gaia-en-fete-2

Et je l’adore, ce thé Gaïa en fête. C’est bien simple, j’ai déjà consommé pratiquement les 2/3 de la boite, ce qui est très rare pour moi, surtout en si peu de temps. Encore plus rare, j’en ai même ramené au travail pour le faire goûter, et tout le monde l’a trouvé très bon. Maintenant je le garde pour moi, parfois je m’en mets dans des sachets pour pouvoir en boire au bureau, dans mon mug thermos d’amour que j’ai ramené de Montréal.

Alors que vous dire ? C’est une série limitée pour les 20 ans de la marque qui mélange de thé vert et de thé noir. Il y a une majorité de thé vert au jasmin, et ensuite viennent les saveurs de framboise et de coquelicot. C’est très printanier, doux et agréable. Pas du tout amer. Et puis j’aime beaucoup les couleurs des pétales avec les feuilles de thé, c’est tellement joli.

Bref, je ne sais pas le vendre comme il faut, mais c’est une très belle découverte, mon thé chouchou comme je n’en n’avais plus eu depuis longtemps…

Vous connaissez ? Vous aimez ?

Bonne journée !

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Salade italienne

8 août 20147 août 2014

Au quotidien, je vais souvent à la simplicité pour mes repas, réservant les recettes les plus élaborées ou les plus gourmandes en temps pour le week-end, quand je peux me poser tranquillement et m’absorber à ce que je fais. Cette salade italienne, qui n’a d’italienne que le nom puisqu’elle n’est composée que d’un seul ingrédient italien (les pâtes) et que donc j’aurais sans doute mieux fait d’appeler salade du sud (mais moi elle me fait penser à l’Italie, les couleurs peut être ?), est un concentré de textures et de goûts, sans chichis.

salade-italienne

Ingrédients (pour une personne)

  • 1 petite poignée d’épinards frais
  • 1 petite poignée de petits pois frais
  • 3 minis poivrons (un rouge, un orange et un jaune)
  • 1 petit verre (toujours le fameux pot de yaourt) de pâtes
  • 4 petites feuilles de basilic
  • 1/2 bloc de tofu
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • 1 cuillère à café de vinaigre celtique épicé

 

salade-italienne-3

Réalisation

  1. Préparer l’huile d’olive infusée au basilic : dans un petit récipient, mettre l’huile d’olive et les feuilles de basilic grossièrement ciselées et laisser infuser à température ambiante.
  2. Faire cuire les pâtes selon les instructions du paquet pour avoir une cuisson al dente (ici 10 minutes). Une fois cuites, les égoutter et les rafraîchir à l’eau froide.
  3. Pendant que les pâtes cuisent, préparer les légumes : laver les feuilles d’épinards ; écosser les petits pois ; laver, enlever le chapeau et les fibres blanches, épépiner et découper les minis poivrons (j’ai choisi de faire des tranches dans la largeur, ça fait des ronds colorés, c’est joli, mais ça ne change rien au goût).
  4. Découper le tofu en cubes.
  5. Dans un bol (parce que je fais partie de l’équipe « je mange dans des bols » mais ça marche aussi avec une assiette je suppose), disposer (dans l’ordre ou pas) : les feuilles d’épinards, les petits pois, les pâtes, les mini poivrons, le tofu. Assaisonner avec l’huile d’olive infusée au basilic (laisser les feuilles, c’est trop bon) et le vinaigre épicé.
  6. Ajouter les petits plus à votre convenance (graines, fruits séchés… Ici ce sont des graines de courge), assaisonner (ici gomasio) et déguster à l’ombre, en regardant les nuages ou le ciel bleu.

Quelques petites précisions :

  • Sur les photos, c’est du tofu fumé sésame amandes, mais avec tout autre tofu ça marche aussi (mention spéciale au tofu rosso qui est une merveille ici !).
  • Les petits pois sont crus dans cette recette, libre à vous de les cuire quelques minutes si vous ne les aimez pas comme cela (merci Cél pour la découverte, ce petit goût sucré c’est un délice !).

pates-italiennes-bio

  • J’ai trouvé mes petites pâtes rondes dans mon magasin bio, mais toutes les pâtes fonctionnent. Je les ai choisies parce qu’avec leur forme de petites billes, elles me font penser au boulgour et à l’orge perlé (et que c’est joli, voilà) (on devrait toujours mettre du beau dans ses assiettes bols).

vinaigre-celtique

  • Le vinaigre celtique épicé vient de chez Roellinger. Il en faut très peu pour relever un plat, et il fait des merveilles avec les crudités (essayez avec une semoule de chou fleur, quelques graines germées et des tomates cerises, c’est un bonheur !).
  • Il est tout à fait possible de préparer l’huile d’olive infusée au basilic à l’avance, le goût du basilic sera ainsi plus prononcé.

Ce que j’ai aimé dans cette recette, outre toutes ces jolies couleurs, c’est qu’elle est rapide à préparer : en 10 minutes le repas est prêt. Elle a aussi l’avantage de proposer plein de saveurs différentes et de textures, ce qui est agréable en bouche.

Avec en dessert une belle tranche de pain tartinée de purée d’amandes et une compote de pommes épicée, voilà un bon dîner rassasiant et plein de bonnes choses.

Bonne journée !

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Patates douces, lentilles corail et épices

14 juillet 2014

Depuis que j’ai vu cette recette chez Bulle Green, j’ai très envie de voyager avec mes papilles vers l’Inde. Bien entendu, comme à chaque fois que ça me prend de faire une recette, j’ai fait avec ce que j’avais sous la main, à savoir une grosse patate douce, des lentilles corail, un mélange d’épices et quelques autres ajouts qui viennent apporter un peu plus de profondeur au plat.

A vos saris, prêts, partez !

La photo spéciale pour Rock ant tea qui aime bien voir les ingrédients avant la réalisation du plat (mais il n'y a pas tout)
La photo spéciale pour Rock ant tea qui aime bien voir les ingrédients avant la réalisation du plat (mais il n’y a pas tout du coup, customisations de dernière minute obligent !)

Ingrédients (pour 2 gros ou 3 petits bols) :

  • 1 grosse patate douce
  • 3 champignons de paris
  • 2 petites tomates
  • 1 petit verre de lentilles corail (le verre que j’utilise est un ancien pot de yaourt)
  • 2 gousses d’ail
  • 1 cuillère à soupe d’huile de coco
  • 3 cuillères à café de mélange d’épices « Retour des Indes » (*)
  • 3 petits verres d’eau (le même que pour mesurer les lentilles)
  • 1/2 cuillère à soupe de purée d’amandes (facultatif)

(*) Note : le mélange d’épices que j’utilise s’appelle « Retour des Indes » et il est de la marque Roellinger. On me l’a offert et je n’ai aucune idée d’où on peut l’acheter, mais vous pouvez le remplacer par un mélange de curcuma, coriandre, badiane, thym, moutarde et curry, ça devrait le faire.

Dhal-1

Réalisation :

  1. Préparer les légumes : peler la patate douce et la couper en cubes, nettoyer et émincer les champignons, laver et couper les tomates en gros morceaux, peler et émincer les gousses d’ail.
  2. Dans une sauteuse, mettre à chauffer l’huile de coco. Quand elle est chaude, ajouter le mélange d’épices et remuer.
  3. Une fois l’huile bien imprégnée des saveurs des épices, ajouter l’ail, faire rissoler jusqu’à ce qu’il colore.
  4. Ajouter tout le reste (sauf l’eau et la purée d’amandes), bien remuer pour que les épices enrobent bien le tout pendant 2 à 3 minutes.
  5. Ajouter l’eau et la purée d’amandes, laisser cuire 10 à 15 minutes : la patate douce doit être fondante mais pas trop cuite pour bien se tenir.
  6. Servir dans les assiettes ou les bols, agrémenter de graines de courge et de persil frais ciselé (ou ce qu’il vous plaira !) et déguster !

Dhal-2

Voilà un bon plat complet, rapide et facile à préparer, doudou et rassasiant. Si vous le souhaitez, vous pouvez l’accompagner d’omelette et d’une petite salade d’épinards, l’ensemble se marie bien.

J’aime bien le côté sucré de la patate douce, mais vous pouvez très bien la remplacer par des pommes de terre si vous n’êtes pas adeptes du sucré salé (encore que là c’est vraiment très léger). La purée d’amandes vient apporter un peu de crémeux et renforcer le côté doudou du plat mais elle est facultative. Ah et je n’en avais pas ce jour là, mais n’hésitez pas à y rajouter 1/2 oignon émincé à la préparation, que vous pouvez incorporer en même temps que l’ail, c’est à dire à l’étape 3.

Je réalise rarement des recettes du monde mis à part des recettes asiatiques, ce qui est assez étonnant parce que j’aime beaucoup d’autres saveurs, et celles de l’Inde en font partie. Les épices de cette recette me rappellent celles de l’agneau sag que je commandais systématiquement quand j’allais manger au restaurant Indien à côté du travail à Montréal, avec son serveur qui savait exactement ce que j’allais prendre, et qu’il s’en rappelait même si je n’étais pas venue pendant 6 mois voire un an… Un petit voyage dans les bons souvenirs via les épices, c’est un chouette programme non ?

Bonne journée !

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Spaghettis aux asperges sauvages, petits pois et fèves

7 juin 20145 juin 2014

La vie offre parfois de drôles de coïncidences. Il y a quelques temps, je suis tombée sur cette recette de Cléa : je n’ai pas eu l’occasion jusqu’à présent de croiser des asperges sauvages, mais qui sait, si le cas de présente, je saurais avec quoi l’associer.

Quelques jours plus tard, en rentrant du travail, je vais faire quelques courses au primeur pas loin de chez moi, et je croise les fameuses asperges des bois.

Je les ai donc embarquées, j’ai pris aussi des petits pois et des fèves, et en avant, direction la cuisine !

J’ai choisi de les associer avec des spaghettis et une petite sauce citron, miso et huile de chanvre. A vous de voir ce que vous préférez, laissez vous porter par ces délicieux légumes !

spaghettis-asperges-sauvages-&Ingrédients pour 2 personnes :

  • 120 g de spaghettis
  • une botte (c’est comme ça qu’on dit ? un petit bouquet quoi) d’asperges sauvages
  • une grosse poignée de fèves écossées
  • deux grosses poignées de petits pois écossés
  • une cuillère à café bombée de miso
  • le jus d’un demi citron
  • deux cuillères à soupe d’huile de chanvre

Réalisation :

  1. Faire cuire les pâtes conformément aux instructions du paquet pour obtenir une cuisson al dente. Égoutter, réserver au chaud jusqu’au moment de servir.
  2. Pendant ce temps, faire cuire les asperges sauvages (5 minutes au cuit-vapeur), les petits pois (5 à10 minutes dans une casserole d’eau bouillante) et les fèves (3 min à l’eau bouillante). Si nécessaire, enlever la peau dure des fèves (personnellement je trouve qu’elle sont meilleures sans, mais si les fèves sont petites vous pouvez très bien ne pas les cuire et les mettre crues dans le plat, ça sera très bien aussi).
  3. Préparer la sauce : délayer le miso dans le jus de citron et émulsionner avec de l’huile de chanvre.
  4. Monter le plat : placer en premier les pâtes, puis les asperges sauvages, les petits pois et les fèves (quantité en fonction de votre gourmandise !) et arroser de la sauce. Rectifier l’assaisonnement si nécessaire, ajouter des toppings si l’envie y est (suggestion : canneberges séchées + graines de courge) et déguster !

spaghettis-asperges-sauvages-2J’aime beaucoup ce genre de plat frais et printanier, tout en étant nourrissant. Veillez à ne pas trop cuire vos légumes, tout l’attrait du plat est dans la cuisson al dente (qui permet en plus de garder les précieuses vitamines, ça ne gâche rien !).

Pour ma part, j’avais préparé le plat avec 60g de spaghettis, un peu moins de sauce (enfin, moins d’huile de chanvre, du coup c’était très citronné) (mais j’aime bien quand il y a beaucoup de citron) et j’ai mangé le reste en salade, avec une semoule de brocolis cru (merci Cél pour l’idée !) et des tartines de pain agrémentées de tartinade de tofu lacto-fermenté aux algues (je l’achète tout prêt, ce truc est un appel à la gourmandise je trouve) et c’était super bon aussi !

Je ne sais pas si je recroiserai de si tôt des asperges sauvages, mais si vous avez des suggestions de plats, je suis toute ouïe !

Bonne journée !

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Soupe tomate courgette

17 mai 201416 mai 2014

Encore une soupe ?!

Oui. Je trouve qu’il fait un peu frais le soir et la soupe m’apporte un peu de chaleur et de réconfort. Je l’ai préparée hier et je l’ai dégustée tiède, mais comme il m’en reste pour ce soir je vais voir ce qu’elle donne froide… Et je ne doute pas un seul instant que ce sera très bon !

soupe-tomate-courgette-1Ingrédients (pour deux bols) :

  • 2 belles tomates
  • 1 grosse courgette
  • 2 gousses d’ail
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • 3 feuilles de basilic

Réalisation :

  1. Laver et couper la courgette en cubes. Laver et couper en gros morceaux les tomates.
  2. Dans une sauteuse, faire chauffer l’huile d’olive. Quand elle est chaude, ajouter les courgettes et cuire une à deux minutes en remuant avec une cuillère en bois.
  3. Peler et écraser les gousses d’ail, les ajouter à la préparation. Remuer à la cuillère en bois.
  4. Ajouter les tomates et laisser cuire 5 à 10 minutes.
  5. Mettre le contenu de la sauteuse dans un blender, ajouter le basilic, mixer pour obtenir la consistance souhaitée.
  6. Verser dans les bols, agrémenter au goût (ici huile de chanvre et gomasio)
  7. Déguster !

soupe-tomate-courgette-2Voilà une recette rapide et facile pour les beaux jours qui arrivent ! Elle peut aussi faire d’excellentes verrines pour un buffet (ou un apéritif dinatoire). N’hésitez pas à essayer de l’accompagner d’une belle tranche de pain de campagne, de tomates séchées, de feta ou de mozarella… Comme j’ai aussi du thym sur le balcon, je ferai sans doute bientôt une version avec cette herbe là… A voir !

Bonne journée !

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Nouilles et omelette

22 avril 201421 avril 2014

Ça c’est du titre aguicheur non ?

Bon, trêve de plaisanteries, avant de partir en vacances, je profitais de mes week end pour tester des associations et des idées de plats pour les gamelles du bureau. Autant je suis plutôt inspirée pour les repas du soir, autant pour les repas du midi je suis un peu plus embêtée, peut être parce que j’ai besoin de choses plus consistantes qu’une soupe.

Ici j’ai voulu utiliser les nouilles de riz et l’omelette, association que l’on peut retrouver dans la gastronomie asiatique. Et pour pallier au manque de verdure, j’ai utilisé la carmine !

nouilles-omelette-carmine-1Ingrédients (pour un bol) :

  • 80g de nouilles de riz
  • 2 oeufs
  • 1 carmine (c’est une sorte d’endive rouge)
  • Assaisonnement, déco et croquants au choix

Réalisation :

  1. Faire cuire les nouilles d’après les instructions du paquet. Les miennes se cuisent 5 min à l’eau bouillante pour information. Une fois les nouilles cuites, les égoutter et les rafraîchir à l’eau froide.
  2. Préparer une omelette : fouetter deux œufs et les faire cuire dans une poêle chaude avec un peu de matière grasse. Une fois l’omelette cuite à votre goût, la réserver puis la couper en lamelles. J’ai légèrement enroulé la mienne dans la poêle pendant qu’elle cuisait pour qu’elle ne soit pas énorme et ne prenne pas toute la place dans le bol.
  3. Laver la carmine et l’émincer.
  4. Préparer l’assaisonnement dans votre bol : dans mon cas, une cuillère à soupe d’huile de chanvre avec une cuillère à soupe de vinaigre de pomme. J’ai agrémenté de persil (beaucoup), noisettes concassées et quelques canneberges séchées.
  5. Disposer la carmine au fond, puis les nouilles (normalement, si vous les avez bien rafraîchi elles ne doivent pas coller) et l’omelette, ajouter un peu de persil pour la déco et un peu de gomasio pour apporter un peu de sel, et voilà, c’est prêt !

nouilles-omelette-carmine-2En 10 minutes, voilà un plat rapide à préparer et qui nous permet d’avoir de l’énergie pour le reste de la journée. J’ai bien aimé l’association nouille-omelette-carmine : les nouilles apportent un côté rassasiant, l’omelette un aspect doudou et la carmine a un petit côté amer qui vient réveiller tout ça.

Là encore, à vous de choisir ce qui vous convient le mieux, tout en gardant un légume un peu croquant pour la mâche (pois gourmands, chou émincé, etc.) et en variant les épices et herbes selon l’association choisie.  Le plus important, c’est de se régaler !

Bonne journée !

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Velouté carottes et panais

19 avril 201416 avril 2014

Je me doute bien qu’un velouté, ce n’est pas trop le genre de recettes dont vous avez envie en ce moment, du moins si, comme ici à Toulouse, vous avez plus de 20°C au thermomètre.

Mais vu que cette recette est très facile, et qu’en y mettant juste un peu moins de liquide elle forme une belle purée, peut-être aurez-vous envie de la mettre à votre menu de l’été ? Et froide, elle est très bonne aussi : avec des bâtonnets de crudité, en accompagnement d’une belle salade, elle sera parfaite !

La recette est librement adaptée de celle qui se trouve dans le livre Les soupes y’a que ça de vrai que m’a offert copine Rock and Tea. Après tout, les livres sont une base, il ne tient qu’à nous de la faire évoluer…

veloute-carotte-panais-1

Ingrédients (pour deux bols bien remplis) :

  • 3 carottes
  • 1 panais
  • 1 échalote
  • 1 petit oignon
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • décoration et assaisonnement (dans mon cas : levure maltée, persil frais et un beau champignon cru émincé)

Réalisation :

  1. Laver et émincer les carottes et le panais. Peler et émincer l’oignon et l’échalote.
  2. Dans une sauteuse, verser l’huile d’olive. Lorsqu’elle est chaude, y faire revenir l’oignon et l’échalote quelques minutes, en remuant régulièrement.
  3. Au bout de 2 ou 3 minutes, ajouter le panais et les carottes, couvrir d’eau (ou de bouillon, au choix) à hauteur et faire cuire une vingtaine de minutes. Les légumes doivent être cuits, mais pas trop mous.
  4. Verser les légumes et un peu d’eau de cuisson dans le blender, mixer. Ajouter plus ou moins de liquide suivant la consistance souhaitée et mixer en fonction.
  5. Verser le velouté dans les bols, rectifier l’assaisonnement si besoin et décorer de ce qu’il vous plaira (un petit crumble fruit sec/noix, un légume cru, un jus de citron, à vous de voir !)
  6. Déguster !

Comme la plupart des recettes, celle-ci est facilement adaptable à vos envies. N’hésitez pas à y ajouter des épices, de la purée d’oléagineux ou des fruits secs pour en modifier légèrement le goût ! Et si comme moi vous en faites plus histoire d’en avoir pour plusieurs repas, cette technique permet de manger plusieurs fois le même plat sans se lasser !

Bonne journée !

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Salade quinoa, orange et menthe

1 avril 201431 mars 2014

J’aime bien le quinoa. Déjà parce que je trouve que c’est une céréale toute mignonne. Ensuite parce que j’aime bien son côté croquant et son petit goût de noisette.

Le seul truc que je n’aime pas trop avec le quinoa, c’est qu’avec ma passoire qui a (quand même) de gros trous, c’est un peu la galère à préparer. Mais une fois les pièges déjoués, quel bonheur à savourer !

Aujourd’hui je vous propose une salade de quinoa à l’orange, inspirée d’une recette trouvée dans le Bio Book. Cela faisait un petit moment que je ne m’étais pas replongé dedans pour faire une nouvelle recette, et quand j’ai vu celle-ci, je me suis lancée de suite : un peu de fraîcheur, du croquant, de l’acidulé et du sucré : une combinaison gagnante !

salade-quinoa-menthe-1Ingrédients pour deux bols :

  • 175g de quinoa (bien rincé, sinon ça a un goût un peu terreux pas terrible)
  • 1 orange bio (j’insiste sur le bio, puisqu’on utilise les zestes de l’orange !)
  • 5 cl de sirop d’agave (ou autre sucrant liquide au choix)
  • 1/2 botte de menthe (le reste vous pourrez l’utiliser pour agrémenter une salade de fruits, un smoothie ou en faire infuser dans une carafe d’eau avec des rondelles de citron !)
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 1 cuillère à soupe de vinaigre de vin (je n’avais pas de vinaigre de vin, j’ai mis du vinaigre de cidre à l’échalote et c’était très bon !)
  • Assaisonnement (sel, poivre, etc.)

Réalisation :

  1. Après avoir bien rincé le quinoa à l’eau froide, le verser dans une grande casserole et mouiller avec 1,5 fois son volume d’eau (environ 500ml si mes souvenirs sont bons). Porter à ébullition puis baisser le feu, couvrir et laisser cuire une quinzaine de minutes. Le quinoa doit être encore un peu ferme sous la dent tout en étant moelleux, le petit germe doit avoir fait son apparition…
  2. Prélever le zeste de l’orange, le couper en rubans. Le mettre dans une petite casserole avec le sirop d’agave et 5cl d’eau, faire confire à feu doux.
  3. Égoutter le quinoa, le laisser refroidir.
  4. Éplucher l’orange à vif et prélever les quartiers, sans se couper et en récupérant le jus dans le saladier que vous utiliserez. Laver la menthe, l’effeuiller et la ciseler.
  5. Dans un saladier, mélanger l’huile d’olive, le vinaigre et une belle cuillerée à soupe du sirop à l’orange (avec le reste, vous pouvez faire un genre de tiramisu en imbibant les biscuits du sirop !) . Ajouter le quinoa, les quartiers d’orange, les zestes confits et la menthe. Mélanger, goûter, rectifier l’assaisonnement si besoin.
  6. Servir et déguster !

salade-quinoa-menthe-2Cette petite salade est une parenthèse de fraîcheur et de saveurs à la fois délicates et qui nous emmènent ailleurs, là où il fait chaud mais qu’une fraîche brise vient tempérer le tout. Elle est suffisamment consistante pour constituer un bon repas pour le soir (je trouve), mais le midi on peut très bien l’agrémenter de tartines pour caler encore plus. A vous de voir !

Et si l’envie vous prend, essayez de la servir dans de belles tranches de salade : voilà de quoi faire de délicieux wraps végétariens !

Bonne journée !

PS : Rien à voir avec le sujet du jour, mais j’ai lu ces quelques mots chez Garance Doré hier et ça m’a fait un bien fou, alors je vous les mets ici !

Parce que si l’on se laisse pas rêver, c’est là que la vie devient une série de murs, d’impossibles, et de peut-être plus tard dans une autre vie.
Les rêves nous portent au dessus de ces murs. Nous font voir des chemins nouveaux, des choses que peut-être, personne d’autre n’avait jamais imaginées avant.

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Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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