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Tag Archives: jeu vidéo

Découvrir Stardew Valley et aimer

13 avril 201612 avril 2016

Vous avez du remarquer qu’il y a eu comme une faille temporelle sur le blog : je pensais avoir écrit il y a peu et je me rends compte que mon dernier article date de plusieurs semaines !

Je ne vais pas blâmer mes vacances puisque j’avais pris la décision de ne pas publier pendant cette période.

A la base je voulais prendre du temps loin de l’ordinateur, ce qui ne s’est pas vraiment réalisé puisque je me suis laissée  tenter par un petit tour à Stardew Valley, et que, 50h plus tard, passées pendant mes vacances et même depuis la reprise du travail, j’aime toujours autant errer dans Pelican Town et ses alentours.

Mais peut être que je vous parle en charabia depuis quelques lignes, alors je vais reprendre depuis le début.

Stardew Valley, c’est le nom du jeu créé par Concerned Ape : grand fan d’Harvest Moon, il cherchait un jeu actuel qui puisse répondre à ses attentes. Comme ce jeu n’existait pas, il l’a créé lui-même. Au bout de 4 ans de labeur (qui n’est pas fini, puisqu’il continue de mettre à jour le jeu !),  le jeu est sorti (vous pouvez le retrouver sur Steam et Gog) fin février de cette année.

Je vais être honnête, je ne me tiens pas du tout au courant des sorties de jeu vidéo, je marche plutôt au bouche à oreille. Alors quand j’ai vu ce jeu chez Day[9],puis chez Gamerzakh (les deux youtubers jeu vidéo que je suis en gros), je me suis dit que je m’achèterai le jeu dès que je serais en vacances.

Ce que j’ai fait donc, et depuis je n’ai pas arrêté de jouer. Actuellement, je suis au tout début de l’automne de l’année 2 (et donc plus de 50h de jeu passées).

Source : GOG.com
Source : GOG.com

L’histoire de ce jeu (car il y en a une), c’est que votre grand père mourrant vous confie une lettre scellée. Il vous dit de l’ouvrir que quand le tumulte de la vie contemporaine vous laissera sur le carreau, complètement désemparé.

Des années plus tard, vous travaillez pour Joja Corp, un travail sans grand intérêt semble-t-il, où vous êtes fliqués et parqués devant votre écran.

Un jour, le fameux sentiment de s’être perdu en route dans ce tumulte vous étreint et vous ouvrez la lettre.

Sur cette missive, votre grand père vous explique que lui aussi il était passé par là, et qu’à l’époque, il avait choisi de prendre toutes ses économies pour aller s’installer à la campagne, dans Stardew Valley, et d’y avoir une petite ferme. Il voulait renouer avec la nature et avec les gens, objectif atteint pour lui.

C’est de cette ferme dont vous héritez, et vous voilà donc parti(e) découvrir votre nouvelle vie à la campagne.

Et c’est là, que vous commencez, en tant que joueur, à (re)donner vie à cette parcelle de terrain.

Pour la suite de l’histoire, je vous laisse la découvrir et la créer…

Source : GOG.com
Source : GOG.com

Certains me diront que c’est encore un énième jeu de simulation de vie et de gestion d’une ferme.

Eh bien, de mon point de vue, c’est faux.

Car certes il y a beaucoup de choses à faire à la ferme, mais il y a aussi beaucoup de choses à faire en dehors : il y a des quêtes qui arrivent régulièrement dans votre boite mail ou sur le tableau d’affichage de l’épicerie, vous pouvez aller pêcher, explorer les mines, parcourir les alentours pour trouver de la nourriture, devenir ami et plus si affinités avec certaines personnes du village, rechercher des gemmes et autres artefacts pour le musée, bref, développer vos compétences.

C’est finalement un jeu très complet, où on est très bien guidé pour toutes les activités et où il y a énormément de choses à faire, tellement que s’en est presque frustrant parfois de ne pas pouvoir tout faire dans la journée, ce qui amène à jouer un jour, puis deux et sans s’en rendre compte 10 jours-jeu se sont passés, juste parce qu’on voulait faire tel truc et qu’entre temps il y a eu la quête pour machin, l’envie de construire une étable, etc.

Vous vous surprendrez à trouver que la pluie est une bénédiction, à adorer les coquillages sur la plage, à vous attendrir sur les marques d’amour de vos animaux, à avoir envie de pêcher à 6h du mat et d’aller au bar du coin papoter avec tout le monde, à attendre fébrilement les fêtes du village qui rythment les saisons…

Source : GOG.com
Source : GOG.com

Il va sans dire que je suis ultra fan du graphisme 2D old school, la musique est très chouette, et franchement, pour un jeu qui a été fait par une seule personne, je lui trouve tout le charisme d’un jeu de grosse firme.

Le jeu n’est aujourd’hui qu’en anglais (mais il ne me semble pas qu’il soit indispensable de tout comprendre ?!), il se joue soit en combinaison clavier-souris, soit avec une manette (Xbox 360 ou Xbox one) (personnellement je joue avec une manette, clavier-souris sur un laptop je trouve que ce n’est pas pratique) et, pour une fois pour un jeu récent, il n’y a pas besoin d’avoir un avion de chasse pour qu’il tourne allègrement sur votre machine.

Sur Gog.com le jeu coûte 13,99€ (sans DRM, c’est pour ça que je l’ai acheté là) ce que je trouve que c’est un rapport qualité prix très correct, d’autant plus qu’il s’agit de soutenir un développeur indépendant.

Et s’il reste quelques réticences de votre côté, je vous invite à regarder le trailer du jeu, qui finira peut être de vous convaincre.

Vous connaissiez ? L’avez-vous testé ?

Bonne journée !

PS : les illustrations de ce post ne sont pas représentatives de ma ferme, qui est malgré tout relativement artisanale (mais je l’aime très fort quand même).

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Aujourd’hui des papiers

8 août 20158 août 2015

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La musique, les graphismes, l’histoire, tout ceci m’emporte.

M’emmène ailleurs et ici, dans la vie d’un autre et dans la mienne.

Au fil des tableaux, l’immersion est plus profonde, la résonance plus forte.

Où est-ce que je me positionne dans cette fiction ? Quels choix aurais-je fait, comment aurais-je vécu cela ?

Et aujourd’hui, qu’en est-il ? Quelles situations à trancher, quelles décisions prises ou à prendre, quels impacts, positifs ou négatifs, à tenter d’anticiper ?

Quatre heures, chamboulement interne, émotions fortes, interrogations intimes.

Un simple jeu vidéo.

Beaucoup de mouchoirs en papier.

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Le jour où j’ai réussi le niveau 1000 à Candy Crush Saga

6 juillet 201528 juin 2015

Candy Crush Saga, c’est un peu bizarre l’histoire qui est la nôtre.

Au début, il y avait la joie de retrouver un jeu pas prise de tête de type casse-brique, qui titillait ma fibre nostalgique en me rappelant les heures passées en école de commerce à jouer à zuma, pour voir qui de mon groupe de copines allait finir le jeu en premier.

Nostalgie d’autant plus forte que j’avais pris le « concours » en route et que pourtant, je l’avais fini avant les autres (et de loin).

Et ce petit jeu de bonbons venait remplir ce « vide » là.

Pourtant depuis quelques temps, la lassitude : les niveaux se ressemblent, je n’ai pas le sentiment de gagner seulement parce que je joue bien, mais plutôt parce que, dès que le tableau apparaît, il est favorable.

C’est assez déconcertant de jouer en sachant que l’on n’est pas vraiment maître de ce qui se passe, que le succès est plus qu’influencé par les conditions de départ.

Alors je m’étais fixée un objectif : aller jusqu’au niveau 1000 et après j’arrêtais.

Candy-crush-1000

(Il n’y avait pas assez de place pour mettre le pseudo en entier…)

Et ce niveau 1000 (très sympa d’ailleurs), je l’ai fini. Avec 3 étoiles, un score de 4 millions et des brouettes, dans le bus, alors que je rentrais du travail après une grosse journée. Une victoire sans éclat presque, banale, comme les autres victoires à ce jeu.

D’un côté la satisfaction (« Voilà une bonne chose de faite ! »), de l’autre un petit vide (« Et qu’est-ce que je fais maintenant ? »), une petite page, presque trop discrète, qui se tourne.

Je ne sais pas si je vais reprendre un autre jeu de ce type, peut être parce que depuis j’ai pris conscience que toutes ces petites parties accumulées représentaient beaucoup de temps au final et que cette richesse-là, je veux l’utiliser pour des choses plus importantes.

En tout cas, je suis bien contente d’avoir atteint mon objectif. Et je ne regrette rien, toutes ces sessions de jeu étaient pour la plupart de sympathiques petits moments régressifs à souhait.

Bonne journée !

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Revue du web #45

5 avril 2015

Aujourd’hui, pour la première fois de l’année j’ai pu mettre mon linge à sécher dehors : non pas qu’il fasse une chaleur caniculaire (12°C…), mais il fait beau, il n’y a pas de nuages et avec le vent mes draps ont pu sécher tranquillement.

Depuis hier je profite des périodes clémentes pour aller me promener et faire le plein de vitamine D, en écoutant un podcast : je marche ainsi une bonne heure tranquillement, le sourire aux lèvres.

En ce moment j’écoute « Les nouveaux chemins de la connaissance », c’est un podcast de France Culture, hier j’ai écouté celui sur Marc Aurèle, aujourd’hui j’hésite entre celui qui parle des Mémoires d’Hadrien ou bien celui sur l’Enéide de Virgile…
En tout cas, ça va tourner autour de la Rome antique !

Et pour cette revue du web, les amateurs des articles cours vont être comblés, cette semaine je n’ai pas beaucoup de liens à vous proposer, mais dans le lot des vraies pépites à mon goût…

Sources : 100% végétal, Béné no Fukuoka, Goop et Day9TV
Sources : 100% végétal, Béné no Fukuoka, Goop et Day9TV
  1. C’est la saison des asperges ! Je vous ai déjà dit à quel point j’aime les asperges ? Je mange facilement une botte à moi toute seule, par pure gourmandise, et je suis toujours enthousiasmée d’en trouver chez mon primeur. Mes préférées sont les vertes, que je mange bien souvent juste cuites, avec un peu d’huile d’olive et de sel. Mon amour de l’asperge n’a eu de cesse de se rappeler à moi depuis que j’ai vu cette recette de houmous d’asperges. Quant à faire rôtir des asperges au four, c’est une idée brillante !
  2. Quand je suis allée au jardin japonais de Toulouse, j’avoue, je cherchais aussi à admirer les cerisiers en fleurs, espoir un brin déçu puisqu’il n’y en a qu’un dans le parc. Alors pour la rêverie et les jolies couleurs, même si la saison a été courte cette année apparemment, je vous propose d’aller faire un tour à Fukuoka et admirer les sakuras avec Bénédicte, ses photos sont splendides !
  3. Qui dit soleil dit pique-niques alors je poursuis ma quête des petits plats consistants, bons, et équilibrés à emporter. Ces recettes à base de nouilles (est-ce qu’il n’y a que moi qui trouve que la sonorité de « nouille » est vraiment moche contrairement au « noodle » anglo-saxon ?) me semblent être une bonne idée à garder dans un coin de la tête, et surtout une bonne option pour m’éviter la cantine ou les salades industrielles au moment du déjeuner en semaine…
  4. Il faut que je le dise, j’adore regarder les gens jouer aux jeux vidéos. Voilà. Avant je regardais mon frère, mon père ou mon mec jouer pendant des heures, et je trouvais ça fascinant. Vous vous en doutez, je vais donc vous parler de jeux vidéos. J’ai découvert les vidéos « mostly walking » (grâce à GamerZakh) et je suis très fan. Ce sont 3 hommes qui jouent à des jeux de type « point & click », des jeux d’aventure, sauf qu’ils se concertent pour savoir quoi faire, ils commentent, etc. Si vous ne comprenez pas l’anglais, les vidéos n’ont aucun intérêt pour vous, mais personnellement j’ai commencé à regarder celles sur King’s quest 6 et j’adore, ils sont tellement drôles ! (Et rien à voir mais Sean Plott me fait beaucoup penser à mon ancien chef).

Les autres articles ayant retenu mon attention cette semaine :

  • Spring your salad, chez Pincée de Cél (remaniée avec ce qu’il y avait dans les placards, testée et approuvée hier, je l’ai refaite ce midi !)
  • Un simple gâteau au chocolat, chez Carnets Parisiens
  • Zebra cake, chez Beau à la louche
  • 10 bonnes choses qu’apportent un blog et Mes livres (de blog, mode et beauté)#1, chez Natacha Birds
  • Encyclopedia of Squats, chez Lifting revolution
  • 30 ways to improve your day, chez floating on thin air
  • Yoga book recommendations, chez Svadhyaya (et après ça on me dit que mon pseudo est compliqué…)
  • The Rock Lip Sync Shake It Off, sur I had the time of my life fighting dragons with you (j’ai du regarder la vidéo au moins 20 fois, ça me fait rire, ne me demandez pas pourquoi) (et puis j’aime bien la chanson)

Voilà pour ma sélection de la semaine, beaucoup de « doudou » et de choses jolies et/ou rigolotes parce que j’en ai besoin en ce moment. Et vous, quelles sont vos découvertes de la semaine ? Des articles à me conseiller ?

Bonne journée !

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Pourquoi je ne joue plus ?

3 février 2015

Il y a quelques temps, avec Marco, on a profité de nos temps libres respectifs pour faire ce que l’on sait faire de mieux : discuter.

On a parlé de ses réponses à mes questions du Liebster award, et notamment une sur le jeu vidéo. On en est venus à évoquer certains de nos jeux favoris (Impérialisme pour lui, Caesar 3 pour moi), de combien de temps on y a passé, de pourquoi on les aimait bien, le nombre de fois où on les a finis, comment on les a connus, etc.

Et puis cette question : pourquoi on ne joue plus maintenant ?

Ni lui, ni moi n’avons été, je crois, ce qu’on appelle des « hard core gamers » : on aimait certains jeux, on jouait et puis voilà. On a participé et/ou organisé des LAN, mais pour autant c’était très bon enfant, plutôt simple, l’idée de se retrouver entre amis et de jouer. Partager un bon moment, comme certains regardent un film ensemble, nous ils nous est arrivé de jouer (et j’ai un souvenir précis d’une mini-LAN Age of Empires, notamment, un très bon moment entre amis).

Secret of Evermore, un de mes jeux favoris sur SNES. Peut être LE favori d'ailleurs...
Secret of Evermore, un de mes jeux favoris sur SNES. Peut être LE favori d’ailleurs…

Aujourd’hui, je ne joue plus trop ou alors très peu (pour moi, Candy Crush, ce n’est pas jouer par exemple), et pourtant ce n’est pas l’envie qui manque, en témoigne la série de vidéos de GamerZakh sur Caesar 3 que j’ai regardé depuis la dite discussion.

Alors oui, sans doute que quand on travaille, qu’on a quelqu’un, qu’on prend soin de sa vie sociale, tout ça ou juste quelques uns de ces items, cela n’aide pas à se libérer du temps pour jouer.
Pourtant, je connais des gens qui jouent toujours (X. si tu passes par là, c’est à toi, entre autres, que je pense), et qui ont une vie de famille, une vie sociale, des activités et un boulot prenant.

Du coup, je me dis que ce n’est pas vraiment une raison de temps, parce que c’est comme beaucoup de choses, si j’en trouve pour les blogs, regarder des vidéos YouTube, etc. c’est que je dois bien pouvoir m’en dégager pour jouer.

Mais il y a quelque chose dont je me rappelle de l’époque, c’est qu’on était un petit groupe à jouer, qu’on en parlait parfois.

Maintenant, autour de moi, je connais moins de gens qui jouent ou qui ont joué (ce qui est assez étonnant d’ailleurs, vu l’univers de geeks dans lequel j’évolue…). Et du coup, avec qui pourrais-je bien parler de mes déboires à dézinguer Raiden sur Mortal Kombat, mes triplés dans les Sims qui me font rire et qui épuisent les parents, les barbares qui n’ont de cesse d’attaquer ma ville romaine que je tente de bâtir dans Caesar 3 ?

Autre favori de l'époque SNES, Secret of Mana, que j'ai fini avec mon frère il y a quelques années...
Autre favori de l’époque SNES, Secret of Mana, que j’ai fini avec mon frère il y a quelques années…

C’est peut être cela qui me manque le plus, d’en parler, parce que c’est aussi bon que de jouer presque. Cette forme de partage, c’est un peu de qui rajoute du plaisir au jeu, le rend plus vivant, plus participatif : tous ceux qui ont déjà joué et parlé d’un jeu avec un ami qui joue connaissent cette sensation de chercher des solutions ensemble, de trouver une nouvelle stratégie, d’attendre impatiemment de pouvoir l’essayer et donner son feedback sur le sujet.

Mais peut être qu’à 30 ans, il y a une partie de nous qui se dit qu’on est un peu vieux pour cela, que c’est pas très sérieux, qu’on pourrait passer notre temps autrement.

Finalement je n’ai pas de réponse à cette question. Je ne sais pas bien pourquoi je ne joue plus. Je sais juste que c’est un peu dommage quand j’y pense, parce que vu mes capacités à ressasser plein de problématiques, jouer me permettrait sans doute de relaxer et de passer un bon moment, de m’évader, comme peuvent le faire un bon film, quelques heures de peinture ou un cours de yoga.

Alors peut être que je vais m’y remettre, qui sait…

Et vous, est-ce que vous jouez / avez-joué ? Si vous avez arrêté, pourquoi est-ce que vous ne jouez plus ?

Bonne journée !

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Juste pour voir si les feutres fonctionnent encore…

19 septembre 201218 septembre 2012

Si vous n’avez pas jeté un œil à la vidéo dont je parlais dans cet article, vous n’allez peut être pas tout comprendre…

Pour une fois, j’avais envie de dessiner. Je sais bien que je suis bien loin d’être une virtuose du crayon dans la mesure où cela fait plus de 10 ans que je n’ai pas dessiné et que même à l’époque où je prenais des cours, je ne crois pas avoir été spécialement douée. C’est juste que cela m’amuse.

Alors bon, histoire de me détendre, j’ai attrapé un bloc de papier, un crayon graphite, une gomme, une règle et quelques feutres… Et je me suis dit que pour une fois, les petites voix qui n’ont de cesse de me répéter que je ne sais pas dessiner et que c’est moche pouvaient bien aller faire un tour !

Bub pixel
Alors lui, c’est Bub.

Certes, ce ne sont que quelques carrés coloriés, mais ça m’a occupée quelques instants. Une fois numérisé, je me rends compte qu’il y a des imperfections, que j’ai oublié quelques petites zones… Tant pis, je l’aime bien mon Bub (et puis je ferai mieux la prochaine fois !)…

Bob freestyle
Et lui, c’est son fidèle acolyte, Bob.

Et vu que j’y étais, je me suis dit que je pouvais bien faire son compagnon Bob. Mais je n’avais plus trop envie de faire des carrés. Sauf que les personnages en question, je ne les connais qu’en version pixelisée (il date de 1986 le jeu quand même). Je suis donc partie de la version pixelisée, j’ai arrondi les angles, rajouté quelques détails (les griffes, la couleur aux joues…), mais j’ai gardé les yeux qui louchent et le côté mignon.

Je pourrais presque faire les méchants maintenant (et je chercherai leurs noms aussi, parce que « la poubelle », « le fantôme blanc », « le fantôme violet » ou « le ressort » ne doivent pas faire partie de la nomenclature officielle) (je sais pas, j’ai un doute)…

A suivre donc…

Bonne journée et bon dessin (ou coloriage, ça marche aussi) !

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Petit bonheur du matin #5

16 septembre 201210 novembre 2012

Aujourd’hui, il n’y en a pas un, mais bien plusieurs de petits bonheurs du matin…

Le premier, c’est d’avoir patiemment attendu pour déballer les deux numéros de Spoonful qui me manquaient et les regarder, les yeux pétillants, en sirotant un bon thé vert..

Spoonful, issues 5 and 6Je les savoure, je n’ai pas encore tout lu, mais ils ont l’air aussi chouettes que les autres. Petit bonus, un petit mot super gentil de la jeune femme qui a monté ce projet. Elle m’a même envoyé un mail pour me remercier. J’aime bien les gens qui n’ont pas peur de dire merci et dont la sincérité transparait dans quelques mots griffonnés sur une carte ou tapés sur un clavier.

Ensuite, j’aime voir que le projet en crochet avance doucettement…

écharpe en crochet

L’écharpe (oui, c’est une écharpe, j’avais juste oublié de le mentionner) avance tranquillement, au gré de ma motivation et de l’absence de films intéressants à la télévision, ce qui me permet de me caler sur France 5 ou Arte et de regarder les reportages en crochetant.
Je suis bien contente de m’en sortir au crochet, j’avoue que c’est une petite fierté pour moi. Ce sont maintenant de plus grands horizons de création qui s’offrent à moi, et je pense qu’il y a de quoi avoir le sourire.

Et puis, moins illustré, mais tout aussi importants:

  • L’odeur du basilic dans mon petit appartement, acheté ce matin avec quelques tomates et des haricots verts, ce qui promet de chouettes soirées « tomates-mozzarella » et pourquoi pas un bon pesto maison (si je pense à aller chercher du parmesan…). C’est décidé, l’année prochaine, je fais pousser des herbes aromatiques sur le balcon (enfin, j’essaierai du moins…).
  • Quinze minutes au téléphone avec des personnes très chères à mon cœur, le plaisir de se donner des nouvelles et d’entendre le sourire des uns et des autres à l’autre bout du fil.
  • Une petite séquence « souvenirs » avec mon jeu vidéo préféré quand j’étais petite : Bubble Bobble. Notez bien la superbe musique qui va avec, tout à fait le genre qu’on garde dans la tête toute la journée. Et le pire c’est que j’adore cette musique !

Voilà pour les petits bonheurs du matin, en ce dimanche ensoleillé…

Et vous, votre petit bonheur du matin ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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