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Month: février 2017

1Q84 – Livre 1 – Haruki Murakami

27 février 201726 février 2017

Depuis leur sortie, j’ai eu très envie de lire les trois tomes du roman 1Q84 d’Haruki Murakami : déjà parce que je suis née en 1984 (et j’avoue, quelque peu honteusement, que c’est sans doute la raison principale de mon attrait pour ce roman), ensuite parce que cela me rappelait 1984 de George Orwell (qui m’a beaucoup marquée) et enfin parce que j’aime bien le style et l’univers de Murakami, à la fois réaliste, magique et mélancolique.

Pourtant, je ne sais trop comment l’expliquer d’ailleurs, je ne les avais pas achetés, ils ne faisaient même pas partie de ma liste de livres à lire : ce roman se rappelait régulièrement à moi, sans que je l’achète pour autant.

Je l’ai finalement évoqué comme idée cadeau pour Noël, on me l’a offert (merci !), et maintenant que j’ai (presque) fini ma pile à lire dans le Kindle (il me reste Le Victomte de Bragelonne de Dumas et Le livre de Perle de Timothée de Fombelle) (vous noterez, je l’espère, à quel point je suis raisonnable dans la PAL), j’ai commencé à le lire.

1Q84, c’est l’histoire d’Aomamé. Aomamé est thérapeute et professeur d’arts martiaux. C’est une femme plutôt solitaire, forte de caractère, marquée par une enfance dans la secte des « témoins » . Aomamé a des idées bien tranchées, elle est méthodique : elle n’hésite pas quand elle a pris une décision. Ces traits de caractère lui sont d’ailleurs précieux pour une autre de ses activités : en effet, Aomamé est aussi un tueur à gages, qui élimine les hommes qui violentent et violent les femmes.

1Q84, c’est aussi l’histoire de Tengo. Tengo est un professeur de mathématiques enthousiaste et un grand amateur de livres. A vrai dire, il a écrit plusieurs manuscrits lui-même, mais aucun n’a été publié pour l’instant. Cet homme solitaire, dont l’enfance a été teintée par les dimanches passés avec son père à arpenter les rues de la ville pour collecter la taxe de la NHK, a aujourd’hui, en 1984, une vie bien calibrée. Pourtant, son quotidien va être quelque peu chamboulé lorsqu’il sera mandaté pour réécrire un livre prometteur pour le prix littéraire des jeunes auteurs.

Quels sont les liens qui lient Aomamé et Tengo ?
Qu’est-ce que 1Q84 ?
Et qui sont les mystérieux Little People ?

Je ne sais pas (encore), ce que réserve la suite, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver le style de Murakami, cette ambiance grise, un peu pesante et à faire la connaissance de ces personnages très forts chacun à leur manière, torturés voire poursuivis par leur passé, et aussi un brin enfermés dans un mutisme mystérieux.

L’histoire et l’intrigue se construisent petit à petit, au gré des chapitres alternant entre les événements qui se passent dans la vie d’Aomamé et celle de Tengo. Le plus étonnant, c’est que parfois on ne sais pas trop si les deux personnages en sont au même moment dans l’année, si les événements sont synchronisés dans le temps ou pas, et malgré cette potentielle distorsion, ce premier livre a beaucoup de rythme, une intrigue certaine.

Bref, je suis conquise et j’ai d’ores et déjà attaqué le livre 2 : j’ai hâte de savoir ce qu’il se passe pour ces deux protagonistes !

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Craft day #19 : la production de février 2017

24 février 201719 février 2017

Le principal changement de ce mois-ci tient en quelque chose que vous n’auriez sans doute pas remarqué : mon carnet est plus grand. J’ai longuement hésité, mais je suis passé d’un format A5 à un format A4 pour avoir plus d’espace pour créer, et j’ai aussi pris un papier plus épais parce que je veux aller plus loin dans mes essais avec l’aquarelle.

Dans cet article je ne montre que les petites choses sur lesquelles j’ai avancé dans mon nouveau carnet, mais j’ai aussi avancé dans les activités de « Saccage ce carnet ! ».

Un peu la même base que ce que je fais d’habitude, mais cette fois ci en plus grand format et moins « chargé ». J’aime bien, ça change, je recommencerai je crois.

Un crayonné pour changer un peu, de cette photo de l’instragram de Travis DesLaurier (@travbeachboy) (Ah le Canada et ses merveilles… :love: ), histoire de coupler l’agréable à l’agréable…

Et de pratiquer un peu les crayonnés, les ombres et lumières, le corps humain aussi !

(Oui, j’ai prévu d’en faire d’autres)

Quelques essais à l’aquarelle, des fleurs toujours, quelque chose de plus coloré, peut être plus naïf, qui me fait penser un petit peu à certains imprimés textiles.

C’est librement inspiré de cette vidéo d’Alisa Burke, qui est décidément une source d’idées pour expérimenter encore plus avec la couleur et la peinture.

Voilà pour les quelques petites choses produites ce mois-ci : toujours beaucoup de fleurs, un peu de dessin pour pimenter tout cela… A voir ce que mars me réserve en termes de créativité !

Et vous, où en êtes vous avec votre pratique artistique ?

Bonne journée !

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En deux coups de baguette – Garancia

22 février 201719 février 2017

Depuis le temps que je lis le blog de Madame Patate et qu’elle parle de certains produits Garancia, j’ai eu le temps d’avoir envie d’essayer leurs produits. Il suffisait juste d’attendre d’avoir les fonds nécessaires pour : qu’on se le dise, les produits Garancia ne font pas partie des produits bon marché (ce qui explique peut être le fait qu’on en entend peu parler ?), reste à évaluer si le rapport qualité prix est bon !

Personnellement j’ai fait mon stock à la Parapharmacie Lafayette qui a les prix les plus compétitifs qu’il soit sur ce genre de produits, ce qui m’a permis de m’offrir un large panel de produits de la marque que je teste depuis un mois et demi environ maintenant.

Et pour ouvrir le bal, on commence avec « En deux coups de baguette » qui est une crème démaquillante visage et yeux à la rose (il y en a une autre à l’amande, je ne sais pas s’il y a une différence autre que le parfum), qui annonce un effet anti-tiraillement et anti-âge, et ce, pour tous types de peaux.

C’est une texture assez riche, une bonne crème doudou, avec une chouette odeur de rose : le produit est facile à appliquer et à répartir, il est agréable à utiliser. Au début j’avais un peu tendance à avoir la main lourde et maintenant j’ai pris le pli du dosage. Je pense qu’un tube dure environ deux mois.

Le mode opératoire est un peu différent des démaquillants que j’ai pu utiliser auparavant : il faut prélever du produit, l’appliquer sur peau sèche, bien masser sur les zones à démaquiller. A noter, massez bien (gentiment !) sur les cils, notamment si vous avez un mascara robuste, un léger passage avec des mouvements circulaires ne sera pas suffisant. On ôte la crème avec un tissu mouillé à l’eau tiède/chaude et essoré, et en dessous, la peau est propre, et effectivement ça ne tiraille pas !

Je ne sais pas me prononcer sur l’effet anti-âge, je n’ai pas remarqué quoi que ce soit (enfin si, j’ai une ride d’expression sur mon front qui s’atténue légèrement, mais je ne sais pas dire si cela vient de ce produit ou pas).

Il reste un léger film sur la peau, ce qui me laisse dubitative sur le fait qu’il soit adapté aux peaux grasses, mais c’est rapidement absorbé. Au pire, si vraiment cela vous indispose, cet effet disparaît après l’application d’une lotion.

Une petite remarque sur le mode opératoire du produit : inutile d’essayer de l’appliquer sur peau humide (l’eau semble altérer son effet démaquillant) ou de le rincer (je pense que l’action mécanique du tissu/gant aide au processus de démaquillage), ça ne marche pas !

Et oubliez tout de suite le tissu qui est fourni avec le démaquillant, il est bien trop rêche pour être agréable à utiliser ! Personnellement j’utilise des petites serviettes à main de 40 x 40 cm qui sont parfaites pour cela (un gant de toilette fera l’affaire aussi, c’est juste que je n’en ai pas).

En résumé, j’aime bien ce produit, je trouve le mode opératoire assez sympathique pour les mois d’hiver (ah le tissu chaud sur le visage !) et le massage est très agréable, par contre le flacon n’est pas pratique du tout (et pas hygiénique non plus je trouve) (d’ailleurs à la première utilisation j’ai essayé de le dévisser complètement et je l’ai pratiquement cassé !) et ça m’embête un peu d’utiliser une serviette par jour pour me démaquiller (mais c’est sans doute mieux que tous les cotons qu’on utilise et jette avec d’autres types de formules je suppose…).

Je pense néanmoins garder ce type de formule pour les mois froids, parce que c’est vraiment doudou, et pour les mois plus chauds j’irai vers quelque chose d’un peu plus léger, sans doute que je retournerai au combo huile démaquillante + savon doux… A voir…

Et vous qu’utilisez-vous pour vous démaquiller ? Connaissiez-vous ce produit ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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La lutte contre les microbes

20 février 201719 février 2017

Parce que la sinusite, c’est comme le rhume, c’est pas sexy.

Depuis quelques années (avant c’était les angines), ma faiblesse ce sont les sinusites : dès que je dors mal, que je mange un peu n’importe quoi et/ou que je suis un peu trop stressée (et qu’il y a quelque chose que « je ne sens pas »), ça ne manque pas, la sinusite qui se déclenche.

En ce moment au travail je suis sur un dossier assez délicat (qui, en gros et pour faire simple, pourrait potentiellement complètement dynamiter ma carrière dans la société si je ne suis pas vigilante), et donc ça n’a pas manqué, la sinusite s’est pointée.

Outre tout le travail de prise de conscience de pourquoi la maladie, j’ai mis en place quelques petites choses pour me sentir mieux assez rapidement, ici une très nette amélioration sous 3-4 jours. Peut être que cette expérience personnelle vous sera utile, n’hésitez pas à me faire part de vos conseils sur le sujet !

Le plan d’attaque

Quand je sens que cela commence à partir en vrille autour des sinus, je lance un espèce de plan ORSEC qui combine des traitements par voie orale et des traitements locaux.

  • Sinuflash : c’est la première fois que j’utilisais ce complément alimentaire qui combine des ferments lactiques et des plantes, et vraiment j’en suis contente. Il y a une gélule pour le matin et une pour le soir pendant 5 jours. Personnellement, et sous conseil de la parapharmacienne, j’ai pris 2 gélules matin et soir pendant 2 jours et le dernier jour une gélule matin et une le soir. A noter, c’est un produit qui se conserve au frais.
  • L’extrait de pépins de pamplemousse pour la vitamine C et le coup de boost qui va avec. 3 fois par jour (pour celui que j’ai) quelques gouttes dans un verre d’eau, c’est amer comme les membranes blanches des pamplemousses, mais ça marche. A noter, il ne faut pas l’utiliser en même temps que le sinuflash qui en contient déjà.
  • Les sprays  pour le nez : j’en ai deux, le Humer Nez très bouché, sinusite rhume et le ProPolis des Laboratoires Ladrôme. Le premier est définitivement un produit très musclé, attendez vous à avoir le nez qui coule pendant 2 ou 3 heures !  Je ne l’utilise qu’en cas de fort encombrement, sinon j’utilise l’autre, qui est plus « clean » (mais absolument dégueu, le combo propolis-thym c’est quelque chose dans les narines), plus doux pour les muqueuses et qui nettoie bien.
  • Pour les huiles essentielles, je prends du ravinstara sur un comprimé neutre par voie orale (lutte contre les microbes), de la menthe poivrée en application locale sur les tempes (apaisement des maux de tête) et de l’aromasol en fumigation/inhalation (désencombrement des voies respiratoires). Comme toujours avec les huiles essentielles, suivez les conseils de votre aromathérapeute avant de suivre les miens, c’est plus prudent, et prenez les précautions nécessaires, notamment pour les femmes enceintes et les enfants.

L’alimentation

Je suis fermement convaincue que l’alimentation a une grande part à jouer dans notre rétablissement en cas de maladie. La encore ce sont des petites choses que j’applique et qui marchent pour moi, je vous invite à vous pencher sur le sujet, à expérimenter, voire à consulter un naturopathe pour approfondir. Je vous conseille aussi le site de Mély qui apporte plein d’informations intéressantes et de pistes pour trouver ce qui nous convient.

  • L’eau : c’est la base, boire beaucoup d’eau (mon objectif est d’en boire 2 litres par jour), pour fluidifier les sécrétions, aider le corps à fonctionner et éliminer.
  • Les produits de la ruche sont d’excellents alliés du système immunitaire (pollen frais, gelée royale…) et aident à apaiser les irritations et à cicatriser (miel pour la gorge par exemple). J’ai agrémenté mes thés et infusions de ce miel d’agrumes italien bio, à vous de voir lequel est votre préféré !
  • Les infusions citron + gingembre + thym + miel : c’est un peu ma base en hiver (j’omets parfois le miel) et ça l’est encore plus quand je suis malade. Parfois je remplace le thym par du thé vert pour les antioxydants, mais je me limite à 2 tasses dans la journée (pour éviter la déshydratation qu’il occasionne !).
  • Les épices et autres agréments pour booster le système immunitaire : en ce moment j’aime beaucoup le gingembre, l’ail, le curcuma (les trois frais) (attention aux tâches avec le curcuma !), la cannelle. Chacun a ses propriétés, pour l’instant ce sont les produits qui me conviennent le mieux pour aider mon système à se remettre d’aplomb.
  • Le consommé de poulet : quand je suis malade, je n’ai pas tellement envie de manger, et surtout pas le soir. Alors quand j’ai un peu faim je me prépare souvent un consommé de poulet, que je le prépare moi-même ou que je l’achète tout prêt. Dans ma tête c’est un peu le repas qui va avec une bonne guérison (ne me demandez pas pourquoi, je n’en sais rien, surtout que je n’ai pas souvenir que ma mère ou mes grand-mères m’en préparaient quand j’étais malade ?!) J’ai trouvé celui-ci à la biocoop, et je l’aime bien, il est pratique et bien parfumé. J’y ajoute des légumes frais (champignons, épinards, céleri…), parfois un peu de riz ou de nouilles, des herbes fraîches (persil, coriandre…), de l’huile riche en oméga 3 (chanvre en ce moment), le jus d’un demi-citron, et voilà un bon petit plat réconfortant et plein de bonnes choses pour aider mon petit corps !

En support…

Pour finir, quelques petites choses qui aident à se sentir mieux pendant cette période !

  • Se reposer : quand on lutte contre les microbes et autres virus, il est important d’avoir une bonne hygiène de vie et notamment un bon sommeil. Avant de me coucher je diffuse des huiles essentielles relaxantes (lavande ou néroli), je mets des chaussettes douces et épaisses, je bois une tisane relaxante, je laisse les écrans de côté pour lire un peu, et surtout, dès que je sens la fatigue arriver j’éteins les lumières : tant pis si c’est 21h30, l’important c’est que le corps puisse recharger les batteries et faire son travail !
  • Un peu d’exercice doux : ce n’est pas parce que je suis malade que j’arrête de faire du yoga ou de marcher, simplement je privilégie un rythme plus doux et je suis plus attentive aux signes de fatigue, aux points douloureux. Il m’est important de faire le plein de bon air, et de bouger raisonnablement pour me rétablir.
  • L’hydrothérapie : pour ces périodes où la douceur est de mise, je n’hésite pas à utiliser l’eau comme alliée, que ce soit via des bains (en y ajoutant, ou pas, des sels – Epsom ou mer morte -, des plantes, de l’argile, des huiles essentielles, etc.), des compresses chaudes (sur les sinus, le front…) ou une bouillotte (pour les courbatures et les frissons).
  • Bien se laver les mains : histoire de ne pas récupérer plus de microbes ou en propager d’autres, je suis encore plus vigilante que d’habitude à bien laver mes mains, que ce soit avec du savon ou au gel hydro alcoolique.
  • Chouchouter et réparer la peau irritée : quand on est malade on a tendance à beaucoup se moucher, se laver les mains, etc. ce qui peut entraîner un dessèchement de la peau et accentuer l’inconfort. Pour pallier à cela, je mets le paquet sur les zones les plus touchées : baume à lèvre riche, crème doudou pour les mains, huile de coco voire beurre de karité ou de cacao sur la zone du nez. Et quand ce n’est pas suffisant, j’utilise la crème Cicalfate d’Avène, qui répare et apaise les épidermes agressés comme personne !

Voilà tout ce que j’avais à vous dire sur le sujet. Vous l’aurez compris, je mise sur une stratégie globale pour me rétablir. Et si vraiment je ne guéris pas avec cela, bien entendu, je file chez mon médecin !

Et vous, quelles sont vos astuces pour combattre les maux de l’hiver ?

Bonne journée !

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Coton & Néroli – Habitat

17 février 201712 février 2017

La semaine dernière, j’ai fini la bougie Figue & Noix que j’ai acheté à Habitat il y a quelques temps et, pour tout vous dire, je trouvais cela dommage qu’elle dure aussi peu, je l’aimais bien.

Alors du coup j’ai commencé à faire brûler celle que j’avais réservé car c’était celle qui m’attirait le plus : j’aime beaucoup les senteurs fraîches, l’odeur du propre que je pensais retrouver avec le coton, et le néroli est une odeur assez doudou pour moi, cela me rappelle les crêpes de ma maman, qu’elle parfumait toujours avec de l’eau de fleur d’oranger.

Dire que j’avais de grandes attentes pour cette bougie est un pléonasme.

Et il s’avère que je ne suis pas vraiment convaincue par cette bougie. C’est même celle qui me convainc le moins des trois que j’ai achetées.

Non pas que l’odeur soit désagréable, ça non, c’est plutôt conforme à ce qui est annoncé (même si j’aurais préféré un peu moins de coton et plus de néroli, mais c’est juste pour chipoter).

Plutôt que l’odeur est forte, très forte, trop forte pour moi.

Et cela gâche tout le plaisir de cette bougie.

Pour une senteur aussi doudou, j’aurais voulu une puissance plus mesurée, quelque chose de plus subtil.

J’aurais voulu pouvoir la laisser brûler sur de longues durées et avoir cette ambiance.

A la place, je la fais brûler 15-20 minutes et je l’arrête, sinon le parfum est bien trop fort.

Dommage…

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ? Quelles sont vos bougies favorites du moment ?

Bonne journée !

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Hello Flawless Oxygen Wow – Benefit

15 février 201712 février 2017

(Est-ce qu’il y a une course, chez les fabricants de cosmétiques, pour avoir le nom le plus long possible ?)

Il y a peu, alors que j’entamais un chantier de remplacement / renouvellement de mes produits de maquillage, j’ai acheté du fond de teint.

Moi la fille qui ne comprenait pas l’utilité d’un tel produit, qui pensait qu’un voile de poudre était suffisant pour « faire son teint ».

Moi la fille qui ricanait d’avoir acheté à San Francisco une crème teintée Nars, qu’elle pensait ne pas utiliser plus que cela (et je m’étais royalement trompée sur ce coup-là).

Moi la fille qui avait essayé des fonds de teint auparavant, sans jamais que je ne les utilise plus qu’une dizaine de fois parce que je trouvais que c’était pas naturel, inconfortable, pas la bonne couleur, trop fluide, trop plâtreux, que cela donnait des boutons, j’en passe et des meilleures.

Depuis ce jour où j’ai refait mes stocks, acheté un nouveau mascara et donc sauté le pas en m’achetant du fond de teint…

Je l’utilise pratiquement tous les jours.

Et je dis « pratiquement », parce que le week-end j’ai tendance à ne pas, ou peu, me maquiller (et donc à ne pas en mettre) (CQFD).

Et ce fond de teint c’est donc le Hello Flawless Oxygen Wow de Benefit, que j’ai en teinte « Cheers to me » Champagne, qui est à mi-chemin entre Groenland (light 3) et St Morritz (medium 1) chez Nars (qui est donc ma seule référence en matière de produit teint) : pas trop orange (mais il a un fond jaune quand même, il ne faut pas se mentir), pas rosé non plus, plutôt neutre en fait.

Les doigts tordus et hyperlaxes, le retour !

Je ne saurais trop vous dire ce qu’il a de particulier, parce qu’à vrai dire je n’y connais rien dans ce rayon là du maquillage, par contre ce que j’avais demandé à la vendeuse c’était un produit léger, non comédogène, pas plâtreux, avec un fini naturel surtout pas mat (j’aime poudrer mon teint, ça me détend) (?!) et tant qu’à faire en flacon pompe (conservation du produit et aspect pratique !).

Et vraiment, je crois que le produit correspond à ce que je voulais. Je l’applique au beauty blender (que j’ai acheté en même temps) parce que je trouve qu’au pinceau il ne rend pas aussi bien (ça donne un effet plus « plat » si vous voyez ce que je veux dire ?), une mini-pompe pour tout le visage, emballé c’est pesé.

Fini naturel, il floute légèrement les cicatrices que j’ai sur les joues, mais il ne plâtre pas les imperfections. Je trouve qu’il est indispensable de le poudrer sinon il a tendance à transférer partout et même s’il est annoncé comme « non gras » j’ai tendance à briller avec. Après, comme je le disais plus haut, j’aime bien poudrer mon teint, cela ne me dérange donc pas.

Ah et un truc que j’aime particulièrement c’est le flacon : déjà parce que ça ressemble à un flacon airless et qu’il devrait y avoir moins de pertes qu’avec un tube, et ensuite parce que cela me permet de voir combien il m’en reste (à vue de nez, 6 à 8 mois ?).

En résumé, j’aime bien ce fond de teint. Je ne le conseillerais pas aux peaux grasses, par contre si vous avez une peau normale, que vous recherchez un fond de teint avec une couvrance légère à moyenne, il pourrait vous convenir.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Il y aura des premiers – Jean-François Mézil

13 février 201712 février 2017

Pour une fois, on va parler d’un livre qui ne faisait pas partie de ma liste de livres à lire. A vrai dire, c’est un pur hasard qui a amené Il y aura des premiers de Jean-François Mézil dans mes mains.

J’étais partie faire quelques courses, et je me suis rappelée que je n’avais plus de pages vides dans mon carnet de croquis, aussi suis-je allée à Cultura pour m’en acheter un autre (ainsi que de l’aquarelle parce que mon set arrive à sa fin). Et Jean-François Mézil dédicaçait ses livres, on a papoté un peu, ce monsieur est très sympathique, l’illustration de la couverture est vraiment jolie je trouve, et voilà, un livre de plus.

(Et si vous voulez tout savoir, en fait, le carnet que je cherchais n’y était pas, alors j’en ai pris un autre, et c’était pareil pour l’aquarelle !)

Il y aura des premiers, c’est l’histoire de Kalem.

Kalem a été un migrant ici, il a sué sang et eau pour un travail payé une misère, sans jamais réussir à être intégré à la population locale, malgré le temps qu’il a passé sur ces terres avec ce vent qui rend fou.

Et puis cet événement entre les migrants et la population locale, le glissement et les mutations politiques vers l’abîme du totalitarisme : il fallait montrer l’exemple, afficher des résultats.

Kalem est reparti.

Pourtant, aujourd’hui, vingt ans plus tard, il est de retour.

Il y aura des premiers, c’est une histoire de vengeance, une histoire d’amour, une histoire de dignité, une quête de sens, une quête de réponses. Et puis des rencontres aussi.

Les premières pages de ce roman m’ont un peu déconcertée : il fallait apprivoiser ce nouvel auteur, son style, sa manière d’écrire.

Et ce style, justement, est assez marqué : le rythme est très varié, et le langage mêle allègrement le patois et les jurons avec du vocabulaire et des structures grammaticales plus recherchées. C’est peut être un effet pour représenter le clivage qui existe dans l’histoire entre les migrants et les locaux, mais j’avoue que cela demande un peu d’adaptation, sans toutefois être gênant (on s’y habitue assez vite, c’est même assez stimulant comme écriture à vrai dire).

J’ai aussi été marquée par le narratif au début du roman, qui semble à plusieurs voix : soit le narrateur du livre est schizophrène, soit il y en a plusieurs, mais parfois cela été un peu difficile à suivre. Je tiens quand même à préciser que j’ai ressenti cela pour le premier, voire le deuxième chapitre, mais pas pour la suite.

J’avais quelques appréhensions quant à l’histoire, notamment le côté politique, mais en fait non, l’environnement appuie l’histoire et assoit la quête de Kalem sans en prendre le dessus.

Je suis un peu partagée sur le dénouement, que j’ai trouvé un peu abrupt au départ, c’était presque frustrant, mais finalement je lui trouve du charme, je trouve que cela correspond bien au protagoniste principal, à son histoire.

En résumé, j’ai bien aimé ce roman : c’est dynamique, l’histoire tient bien la route, c’est assez différent de ce que j’ai l’habitude de lire et c’est rafraîchissant. Je vous le conseille !

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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La collection

10 février 20175 février 2017

Il y a 5 ans, j’avais dit qu’on ne m’y reprendrait plus : j’avais acheté une paire personnalisée de Stan Smith qui n’avait pas duré 6 mois, et malgré un arsenal de communications auprès d’Adidas, aucun remboursement, pas un mot, rien.

La déception. Un service client complètement scandaleux on va dire.

Pourtant j’aimais beaucoup, mais alors beaucoup ces chaussures.

Et puis, comme pour le précédent achat, j’ai eu des problèmes à un pied : la première fois entorse et blessure sur le coup de pied, la seconde entorse et orteils fracturés.

Mais ce n’est pas à ce moment là que j’ai racheté une paire de Stan Smith.

En fait, le problème n’a pas été les orteils ou l’entorse. La vraie difficulté, c’étaient les semelles orthopédiques qui ont suivi des mois / années à avoir des entorses mal soignées.

Car je vous assure que les semelles, si cela fait beaucoup de bien aux articulations, pour ce qui est des chaussures c’est une autre histoire. Pour faire simple, 80% de mes chaussures ne pouvaient pas accueillir les semelles…

Alors j’ai acheté une paire de Stan Smith, que je savais plutôt larges, les semelles rentraient dedans, alors j’en ai acheté d’autres, jusqu’à atteindre les 6 paires d’aujourd’hui.

En haut à gauche, c’est la plus ancienne, que j’ai acheté au rayon enfant si je me souviens bien. Elles sont bleu marine avec des fleurs et je les ai tellement portées qu’elles se disloquent littéralement, notamment au niveau du talon et un peu au niveau du bout du pied aussi.

Au milieu à gauche, c’est une paire en nubuck beige, que j’ai achetées pour alterner avec les anciennes. Mes jeans ont déteint dessus, elles sont un peu tachées par la pluie, mais surtout elles se patinent et sont d’un confort à toute épreuve.

En bas à gauche, un modèle bleu marine et bleu, plus récent. C’est le plus raide de tous les modèles, il faut vraiment du temps pour que le revêtement s’assouplisse. J’aime beaucoup leur style et l’effet légèrement craquelé du tissu (qu’on ne voit pas sur la photo).

En bas à droite, un modèle en tissu imprimé noir et blanc, qui a un effet un peu dentelle. C’est le modèle le plus fragile des six que je possède. J’aime bien l’imprimé délicat et la souplesse du tissu, ce sont de vrais chaussons !

Au milieu à droite, un modèle plus classique, en cuir blanc. L’originalité vient de la languette arrière en bouclette bleu marine presque noir et la semelle transparente et non pas blanche. Je ne les ai pas encore portées.

Et enfin en haut à droite, un modèle en cuir noir et cuivre /or rose, vraiment très joli. Comme c’est du cuir elles sont vraiment souples et douces, un vrai régal à porter !

Vous l’aurez compris, j’aime beaucoup ce modèle, que je trouve de surcroît assez facile à associer : il se porte aisément avec un jean, un pantalon (même habillé !), voire une jupe décontractée.

Et vous, quelles sont vos chaussures favorites ?

Bonne journée !

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Better than sex – Too Faced

8 février 20175 février 2017

Sérieusement, les gens de chez Too Faced, si vous passez par là (on peut toujours rêver), il va falloir que vous m’expliquiez comment vous en êtes arrivés à comparer un mascara avec le sexe… Depuis quand le sexe a un effet sur les cils ?!

(Et puis bon « Better than sex »… Vous en êtes surs ?)

Le mascara.

S’il y a bien quelque chose de difficile à trouver c’est le mascara : pas un mascara, son mascara. Celui qui mettra nos yeux en valeur, qui courbera les cils qu’on trouve un peu trop raides, allongera ceux qui voudraient voir la vie en grand…

Pendant longtemps j’ai utilisé le Smoky Lash de Make Up For Ever : j’ai la chance d’avoir des cils longs, plutôt courbés, et mis à part du volume je n’avais pas besoin de grand chose et qu’il faisait très bien le travail.

Et puis bien entendu la formule a changé, peut être la brosse aussi, et le Smoky Lash est devenu pour moi un mascara qui ne m’apportait plus grand chose (voire rien du tout, juste un peu de couleur).

Il était temps d’en changer.

Mon cahier des charges était plutôt simple (croyais-je) : une vraie brosse (je n’aime pas les picots) et beaucoup de volume. Car s’il y a bien quelque chose sur laquelle je ne lésine pas, c’est le mascara (c’est bien simple, il n’y en a jamais trop, voilà.).

Et c’est là que les errances sans fin pour trouver quelque chose commencent.

Je vous passe les détails (c’est que l’intro fait déjà 15 pages, alors bon), j’ai finalement jeté mon dévolu sur Better than sex de Too Faced, que j’ai pris en formule normale (il en existe une waterproof), notamment parce que la dame de Sephora m’a dit « Vous savez, c’est vraiment du lourd comme mascara hein, c’est du volume dramatique » et que je trouvais que « volume dramatique » synthétisait bien ce que je voulais.

Alors je vais commencer par vous montrer un espèce d’avant-après, pour lequel vous me pardonnerez sur le cadrage, parce qu’à l’origine je voulais faire un focus sur l’autre œil, mais que c’est sur le droit que cela rendait le mieux. Et puis je vous ai mis toutes les étapes du maquillage des yeux, parce qu’après tout, pourquoi pas ?

  1. Primer Potion anti aging – Urban Decay (qui ne casse pas trois pattes à un canard par rapport à la formule originale, qu’on se le dise)
  2. Fard Himalia – NARSissist dual intensity eyeshadow palette (champagne chaud légèrement irisé)
  3. Eyeliner LineRefine (Liner Express) – Maybelline
  4. Première couche
  5. Deuxième couche
  6. La même que la précédente, mais avec les yeux baissés.

Je tiens à préciser que sur les photos mes cils n’ont pas été recourbés au préalable, ils sont au naturel. Et non, je ne mets pas de mascara sur les cils du bas.

Je suis assez partagée pour ce mascara.

J’aime beaucoup, mais alors beaucoup la brosse : elle est plutôt imposante, en forme de sablier, mais étonnamment elle est vraiment facile à prendre en main et applique très bien le produit.
Je n’ai pas eu à déplorer de gros paquets informes, ça glisse bien comme il faut, dépose le mascara comme on le souhaite, rien à dire, la matière se travaille très bien.

J’aime aussi beaucoup l’effet volume au début (vous allez comprendre pourquoi je précise cela) de l’utilisation du produit : c’est conforme à ce que disait la dame de Sephora, quelque chose de dramatique, et limite en une couche c’était suffisant.

Par contre, et c’est là que les points faibles arrivent, je ne trouve plus l’effet aussi spectaculaire qu’avant et cela ne fait que 3 semaines que j’ai ce mascara. Je veux bien croire que j’ai la main lourde, mais de là à finir le tube en un mois ?! Ou alors la formule s’est altérée ?!

Deuxième point négatif, il a une forte tendance à faire des chutes en cours de journée : vive l’effet panda à 18 heures ! Je n’ai pas eu ce problème à chaque fois, mais c’est quand même rageant (surtout que je ne sais pas dire pourquoi certains jours il faisait des dépôts et pas d’autres !).

Après, je tiens aussi à préciser que ce n’est pas forcément un mascara bon marché puisqu’il coûte 23€ (soit autant que mon ancien mascara).

En résumé, ce n’est pas encore cela. Je me tâte à essayer la formule waterproof, mais je ne suis pas sure que cela résolve les problèmes de chutes… Sinon il y a le Velvet noir de Marc Jacobs que je pourrais tester…

Avez-vous des mascaras volume à me conseiller ? Connaissiez-vous ce mascara ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Daring Greatly – Brené Brown

6 février 20175 février 2017

Je vous en ai (très) rapidement parlé, en janvier j’ai lu Daring Greatly de Brené Brown (Le pouvoir de la vulnérabilité en français). C’est un livre que j’avais depuis très longtemps dans ma liste de livres à lire, comme à peu près tous les livres de Brené Brown depuis que j’ai vu sa conférence / vidéo TED sur…

La vulnérabilité.

2013 donc, vous remarquerez que j’ai pris mon temps avant de me pencher sur le livre (quand bien même, entre temps, j’ai lu The Gifts of Imperfection d’elle, et que c’est un de mes livres favoris aussi). Ce qui ne m’empêche pas de profondément aimer ce qu’elle fait.

Déjà, un petit peu de contexte, Brené Brown est chercheur, professeur en sciences humaines et sociales à l’université de Houston au Texas et une conférencière renommée. Ses recherches ont pour thèmes la vulnérabilité, la honte, la valeur et le courage.

Daring Greatly est le fruit de ses années de recherches à propos de la vulnérabilité et de la honte. Il s’appuie sur les études qu’elle a menées, la littérature existante qu’elle confronte régulièrement à son expérience personnelle.

Daring Greatly raconte les stratégies (conscientes ou non conscientes) que nous mettons en place pour cacher notre vulnérabilité, pour se protéger de la honte, pour éviter le rejet de l’Autre. L’idée est que nous cherchons à « acquérir » l’amour de l’autre en se montrant le plus parfait possible, et ce, quels que soient nos standards (sociétaux, familiaux, personnels, etc.) qui parfois souvent se contredisent.

En voulant se montrer parfait, on met de côté l’authenticité et c’est là que l’effet boule de neige commence : moins d’authenticité donc plus de mal être, plus de mal être donc plus de vulnérabilité et de honte, moins d’authenticité et plus d’agressivité envers l’autre (que ce soit envers la famille, le partenaire, les collègues, les enfants et via des comportements variés tels que la négation des émotions, le commérage, …), etc.

J’ai pris une énorme claque en lisant ce livre. De grosses prises de conscience, certaines parfois franchement inconfortables, il faut bien l’avouer.

D’ailleurs, n’allez pas croire que Brené Brown a une approche moralisatrice, bien au contraire. C’est un ouvrage profondément bienveillant, dans lequel elle raconte régulièrement des épisodes, qu’il s’agisse de prises de conscience ou de difficultés, qu’elle a vécu. Le livre présente aussi les résultats des recherches de l’auteur sur comment sortir de ce cercle vicieux, des pistes de résilience, ce que font les personnes qui ne sont pas dans ces schémas de honte de soi et de surprotection.

En fait je me suis beaucoup, mais alors beaucoup reconnue dans ces pages, j’ai pris des centaines de notes. J’ai souvent fait des pauses pour réfléchir à ce que je venais de lire, ce que cela m’évoquait, ce que je voulais en faire, les émotions qui étaient tapies et qui surgissaient au fil des mots.

Je trouve que c’est un livre bouleversant. Au sens positif du terme.

Je ne voudrais pas tomber dans le cliché et dire que ce livre a changé ma vie, parce que pour l’instant je ne sais pas dire dans quelle mesure cette lecture impacte mon comportement, mais je pense sincèrement qu’il m’a aidé à ouvrir les yeux sur certains sujets, à repenser mes actes.

J’aime particulièrement que le livre parle à la fois de la vie personnelle, dans la relation aux autres au sens large, mais aussi apporte un éclairage particulier sur le fait d’être en couple, les relations parent-enfant et aussi sur les relations de travail.

Je pourrais écrire pendant des heures sur le fait que ce livre m’a remué, mais cela n’aurait pas vraiment de valeur ajoutée, alors je vais finir par cette phrase : si vous cherchez un livre qui peut vous aider à y voir plus clair pour aller vers des relations plus authentiques, vraies, et aller vers l’acceptation de soi dans son ensemble, foncez.

C’est une vraie jolie perle.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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