Mnêmosunê
Les petits riens forgent de belles existences…
Menu
Skip to content
  • À propos
  • Accueil
  • Contact

Month: août 2020

J’ai testé le challenge « Get Fit » de Chloe Ting

24 août 202023 août 2020

A vrai dire, ce n’est même pas le premier challenge de Chloe Ting que j’essaye.

J’avais commencé le « 4 weeks summer shred challenge » et documenté jour par jour les séances sur Twitter, et puis j’ai dû arrêter à cause de l’angine que j’ai eu (celle qui m’a valu de faire le test PCR COVID-19).

J’ai entendu parler de Chloe Ting par « hasard » (peut-on encore parler de « hasard » quand il s’agit des algorithmes de YouTube ?) parce que YouTube me recommandait cette vidéo de Beatrice Caruso.

J’ai regardé la vidéo, je me suis dit que si Bea pouvait le faire moi aussi, j’ai commencé le challenge que j’ai du stopper 2 semaines plus tard car malade donc.

Et une fois guérie, plutôt que de reprendre le challenge sur 4 semaines, comme Chloe venait de publier un nouveau challenge, le Get Fit challenge, je me suis dit que j’allais faire celui là et aussi que j’allais le commencer le 1er jour du mois, parce que mon cerveau aime bien.

Get Fit Challenge Chloe Ting
crédit image : Chloe Ting

Les statistiques de départ

Alors oui, j’ai pris des photos aussi pour avoir la possibilité de faire un « avant/après », comme le font les blogueurs et youtubeurs, mais il faut croire que je n’étais pas prête puisque les miennes sont floues.

Alors à la place, ce sera chiffres. Je ferais mieux la prochaine fois (enfin, j’essaierai, je ne vais rien promettre).

Donc, au commencement du challenge Get Fit de Chloe Ting, c’est à dire au 01/08/2020 pour moi…

  • ma taille : 1,69 m
  • mon poids : 81,8 kgs
  • tour de poitrine : 105 cm
  • tour de taille : 92 cm
  • tour de hanches : 108 cm

Voilà pour les mensurations de départ. A noter, qu’elles m’ont surprises, surtout pour le tour de hanches, puisque je me vois avec les hanches plus étroites que les épaules…

Mais le ruban à mesurer ne ment pas, n’est-ce pas ?

Le challenge Get Fit de Chloe Ting

Mes objectifs vis-à-vis de ce challenge

Mes objectifs en commençant ce challenge étaient assez « simples » :

  • tonifier ma sangle abdominale ;
  • renforcer ma musculature ;
  • prendre du temps pour prendre soin de mon corps régulièrement.

Je n’avais pas pour objectif de perdre du poids et je ne m’attendais pas non plus à voir une différence significative sur mon corps pour deux raisons.

La première c’est que je ne comptais pas associer le challenge avec une modification de mes habitudes alimentaires : je suis actuellement en train d’essayer de petit à petit normaliser mes prises alimentaires ayant un passif de troubles de l’alimentation. La perte de poids étant fortement liée à l’alimentation (même si l’exercice physique à son rôle), je ne voulais pas avoir d’attentes de ce côté là.

La seconde, c’est que la prise de masse musculaire et ses effets sur le poids requièrent bien entendu plus que 3 semaines.

Challenge Get fit Chloe Ting dumbells haltères

L’utilisation des poids

Le Get Fit challenge est un challenge principalement construit pour gagner de la force et du muscle, et pas pour la perte de poids.

Il dure 3 semaines, et les séances peuvent se réaliser avec ou sans poids ou élastique de fitness.

Pour ma part, j’ai procédé de la façon suivante :

  • pour la première semaine, j’ai fait les séances sans aucun autre poids que celui de mon corps ;
  • pour la deuxième semaine, j’ai fait les séances avec une paire d’haltères de 1kg ;
  • et pour la troisième semaine, j’ai fait les séances avec une paire d’haltères de 2kgs.

Je n’ai pas utilisé d’élastique de fitness parce que celui que j’ai ne convient pas pour les exercices.

La question des séances « optionnelles »

Mis à part les échauffements que j’ai fait chaque jour (sauf pour les « active rest days »), j’ai fait très peu des séances optionnelles : quelques séances d’étirements et quelques séances de fitness par-ci, par-là mais rien de très régulier.

A noter, j’ai peu fait les séances d’étirements que propose Chloe Ting dans son programme parce que je trouve que les étirements ne sont pas tenus assez longtemps, donc soit je faisais une séance de stretching, soit une séance de yoga with Adriene.

Soit rien parce que des fois l’appel de la douche était le plus fort.

Les résultats

Mon avis sur le challenge

Peut être est-ce lié au fait que j’avais déjà expérimenté un des challenges de Chloe Ting, toujours est-il que je ne l’ai pas trouvé aussi difficile que ce à quoi je m’attendais.

Il y a des séances particulièrement difficiles (le challenge de la planche par exemple, qui est sans aucun doute possible la pire séance, je n’ai pas pu la faire une seule fois en entier sans prendre d’autres pauses que celle que Chloe propose…) mais globalement les séances sont réalisables.

J’ai beaucoup, beaucoup transpiré (la serviette à côté est un must-have des séances d’entrainement, ex aequo avec la bouteille d’eau) mais je ne me suis pas sentie nulle ou désemparée par une séance.

Je pense aussi que le fait d’avoir introduit petit à petit les poids a aidé.

Et rassurez-vous si vous avez des difficultés avec certains exercices, ma bête noire ce sont les pompes, d’ailleurs je n’arrive pas encore à en faire « normalement ».

Autorisez-vous à modifier des exercices, l’objectif initial c’est de bouger pas de se frustrer !

Challenge Get Fit Chloe Ting training shoes

Les statistiques de fin

Parce que oui, je me doute bien que cela vous intéresse aussi !

Donc, à la fin du challenge Get Fit de Chloe Ting, c’est à dire au 22/08/2020 pour moi…

  • ma taille : 1,69 m (heureusement qu’elle n’a pas bougé !)
  • mon poids : 81,4 kgs, soit une perte de 0,4 kgs par rapport au départ
  • tour de poitrine : 105 cm
  • tour de taille : 91 cm, soit 1 cm de moins qu’au début du challenge
  • tour de hanches : 107 cm, soit 1 cm de moins qu’au début du challenge

Côté silhouette, j’ai l’impression que mon ventre s’est tonifié et que mes fessiers se sont galbés, ce qui me fait très plaisir !

Globalement une très bonne expérience pour moi, je referai un des challenges de Chloe Ting avec grand plaisir : j’aime beaucoup sa personnalité et les encouragements qu’elle dispense tout au long des séances, et le format me convient.

Et vous, vous avez essayé (ou voulez essayer !) les challenges fitness de Chloe Ting ?

Bonne journée !

Leave a comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Pourquoi je n’utilise plus le rhassoul pour mes cheveux ?

17 août 202030 septembre 2020

Le rhassoul pour les cheveux, j’en ai pas mal parlé sur ce blog, depuis les premiers essais jusqu’aux astuces pour bien réussir son lavage.

Je l’ai utilisé pendant de nombreuses années, parfois tout seul, parfois en alternance avec des shampoings doux, sans silicones, sans sulfates et sans autres ingrédients qui ne me disaient rien (comme le Propolia par exemple).

Le rituel était un petit peu fastidieux pour moi parce que le lavage au rhassoul sans bain d’huile préalable était une bonne recette pour une catastrophe capillaire (c’est-à-dire que ma tignasse était indémêlable !), pourtant ce mode de lavage avait l’avantage de me donner les cheveux doux comme jamais.

Et puis, avouons-le, même si c’était un peu long comme processus pour simplement avoir les cheveux propres, c’était super économique puisque le sachet de poudre me durait des mois vu que je ne me lavais les cheveux qu’une fois par semaine (le dimanche, car bain d’huile la veille et pendant la nuit indispensable).

Et pourtant, il y a quelques années de cela, j’ai arrêté de l’utiliser, un peu à contre cœur je dois dire…

La dermite séborrhéique

A ce moment là, je suis allée (enfin, j’ai envie de dire) chez un dermatologue parce que je n’en pouvais plus des sensations de brûlure que j’avais au niveau du crâne.

Ce jour là, le diagnostic auquel je m’attendais est tombé : « c’est une dermite séborrhéique, ça ne se guérit pas, oui c’est douloureux mais ça ne se guérit pas, je vais vous prescrire un shampoing, mais vous savez il ne va pas faire de miracles parce que cela ne se guérit pas, bon courage, au revoir ».

Source : Unsplash

Entre « bon courage » et « au revoir » elle m’a demandé de payer, j’ai réussi à demander si je pouvais continuer à utiliser le rhassoul, de temps en temps, la dermatologue ne savait absolument pas de quoi je lui parlais (elle pensait que c’était une marque de shampoing), alors je lui ai expliqué ce que c’était, mais selon elle la dermite était assez sévère dans mon cas donc il valait mieux que j’utilise d’abord le shampoing qu’elle me prescrivait.

Note : pour information, la dermite séborrhéique est une inflammation du cuir chevelu qui forme des plaques rouges avec des pellicules plus ou moins jaunâtres et grasses. Certaines personnes atteintes ont des démangeaisons ou des sensations de brûlure et d’autres n’en ont pas. Quand je parle de mon cas, je dis que c’est comme si on mélangeait de l’eczéma et de l’acné (parce qu’en plus j’ai la chance d’avoir des boutons sur le cuir chevelu), ce qui est faux médicalement parlant, mais a minima mes interlocuteurs comprennent à quel point c’est pénible.

Le traitement

Au final donc, la dermatologue m’a prescrit un shampoing traitant qui a tout plein d’ingrédients qui ne me disent rien qui vaille, mais entre quelques ingrédients qui ne me plaisaient pas (mais avec l’espoir de calmer mes symptômes) et les brûlures au niveau du cuir chevelu à longueur de journée, j’ai mis (temporairement) mes principes de côté et j’ai pris le traitement.

Source : Unsplash

Le traitement est très long. Au début on utilise le shampoing traitant et rien d’autre (pour pouvoir assainir le cuir chevelu et mater la levure qui nous fait des misères) et au fur et à mesure on peut alterner avec un shampoing doux.

On réduit peu à peu l’utilisation du shampoing traitant jusqu’à n’utiliser que le shampoing doux. A noter, plusieurs cycles de traitement (avec donc des phases tout shampoing traitant) sont nécessaires pour avoir une amélioration des symptômes.

En pratique…

Le traitement tel qu’on me la présenté n’est pas bien compliqué, il ne m’a donc pas été difficile de le suivre à la lettre. J’avais de grosses attentes concernant ce traitement, j’espérais vraiment une réduction significative de mes symptômes (à cette époque là, j’avais des sensations de brûlure pratiquement à longueur de journée et mon cuir chevelu desquamait tellement qu’il saignait un petit peu à certains endroits !).

Sauf que comme me l’avait dit la dermatologue, la dermite séborrhéique ne se guérit pas, et donc même après plusieurs cycles de traitement, j’avais des rechutes.

Source : Unsplash

Je ne peux pas dire que le traitement ne fonctionne pas, puisqu’il m’a un peu soulagée pendant un peu plus de deux ans je pense. Mais plus j’utilisais le traitement et moins il était efficace : à la fin le shampoing traitant ne me permettait même plus ne serait-ce qu’un amoindrissement de mes sensations de brûlures !

Et maintenant ?

J’ai arrêté d’utiliser le rhassoul pour me laver les cheveux en 2016 je pense et j’ai suivi le traitement de la dermatologue à partir de ce moment là jusque mi-2018 environ.

Depuis j’utilise principalement des shampoings doux, majoritairement avec des produits d’origine végétale. Je suis revenue aux produits sans silicone, sans sulfate et sans autres ingrédients qui ne me disent rien.

Est-ce que j’ai pensé à réutiliser le rhassoul ? Oui, de nombreuses fois. Surtout depuis que j’ai vu cet article sur la dermite séborrhéique (merci Pinterest de m’avoir proposé ce contenu !) : la routine proposée me semble accessible, et à vrai dire je n’ai pas grand chose à perdre, peut être un peu plus de confort à trouver.

J’avoue aussi que le masque au miel et à l’aloe vera me tente beaucoup ! Donc je pense que je vais finir mes shampoings actuels et ensuite je vais tester cette routine pour voir ce qu’elle donne pour moi. Ce sera donc le retour du rhassoul dans ma salle de bains !

Et vous, vous en êtes où avec vos cheveux ? Rhassoul ou pas rhassoul ?

Bonne journée !

2 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

3 livres sur la créativité que je recommande

10 août 20209 août 2020

C’est assez rigolo, parce qu’on me demande de temps en temps quels sont les livres que je recommande pour faire un cadeau à quelqu’un de créatif…

Et à chaque fois mes réponses étonnent les gens.

Peut être parce que, du fait que je pratique la peinture, le dessin, le crochet et le tricot, les gens s’attendent à ce que je leur conseille des livres qui abordent ces techniques.

Et pourtant ce n’est pas le genre de livre que j’ai tendance à conseiller.

Parce que, honnêtement, nous avons aujourd’hui accès à tellement de ressources pour nous permettre d’apprendre une technique particulière qu’il me semble que l’achat d’un livre vient potentiellement plus tard, pour approfondir une question particulière.

En revanche, la « vraie » difficulté je trouve en tant que personne créative, c’est justement tout le processus de création et les peurs qui nous retiennent de nous lancer ou de poursuivre notre oeuvre, notre cheminement, etc.

Alors si vous cherchez une idée de livre à offrir en cadeau pour une personne créative (qui peut être vous même !) (surtout si c’est vous même j’ai envie de dire !), continuez à lire !

Making art a practice – Cat Bennett

Le tout premier livre de pratique artistique que j’ai acheté, et que j’ai lu, relu, et lu encore et encore sans me lasser, Making art a practice de Cat Bennett (que j’ai acheté à San Francisco).

C’est un livre que j’apprécie particulièrement parce qu’il focalise sur la pratique artistique et le développement de son style personnel.

Il se compose de deux parties pour ainsi dire : la première comporte 11 réflexions à propos de la pratique artistique et la seconde propose 30 exercices-réflexions permettant de sortir de sa zone de confort en termes de pratique artistique.

making art a practice cat bennett

Les deux parties se complètent vraiment bien, la première étant plus axée sur l’aspect cognitif de la pratique artistique, alors que la seconde s’oriente plus du côté de l’expérimentation.

Il y a des annexes qui sont aussi intéressantes avec par exemple une liste de pratiques à réaliser dans son carnet de croquis, etc.

Bref, il est petit, les œuvres qui y sont présentées sont éclectiques et invitent à la réflexion, et les conseils et les pratiques sont pertinentes.

Seul point faible, il n’existe pas de traduction en français à ma connaissance.

Pour de plus amples informations, vous pouvez lire la revue de Making art a practice de Cat Bennet.

Big Magic – Elizabeth Gilbert

Deuxième livre sur la créativité que j’ai acheté, après avoir lu je ne sais combien de revues plus que positives à son sujet, Big Magic d’Elizabeth Gilbert (Comme par magie en VF).

Autant, Making art a practice de Cat Bennett focalise sur la pratique, autant Big Magic focalise sur le processus créatif, depuis la genèse du projet jusqu’à son accomplissement, tout en abordant les différentes peurs que l’on rencontre tout au long du cheminement de création.

Big Magic est fortement ancré dans l’expérience d’Elizabeth Gilbert, ce que je trouve particulièrement intéressant parce que cela permet d’avoir la perspective d’un auteur, et ce, depuis le début de son cheminement créatif.

Big Magic Elizabeth Gilbert

C’est un livre assez conséquent, plus orienté sur la réflexion que sur la pratique à proprement parler, en tout cas j’aime le dynamise, l’énergie qui se dégagent des mots d’Elizabeth Gilbert.

Un potentiel point négatif, l’ambiance très « American Dream » en fond, qui ne plaira pas forcément à tout le monde, mais que personnellement je trouve assez réconfortante en un sens.

Pour de plus amples informations, vous pouvez lire la revue de Big Magic d’Elizabeth Gilbert.

Libérez votre créativité – Julia Cameron

Dernier livre que je recommande, qui est aussi le dernier que j’ai acheté, Libérez votre créativité de Julia Cameron (The Artist’s Way en VO).

Je pense que ce livre est vraiment celui qui fait le pont entre Making art a practice de Cat Bennett et Big Magic d’Elizabeth Gilbert parce qu’il aborde la créativité et le sens du jeu, tout en permettant de mettre en place des rituels créatifs et de dépasser ses peurs par l’action.

C’est un programme en 12 semaines (j’ai mis bien plus longtemps que 12 semaines pour faire tous les exercices, mais peu importe à vrai dire), et chaque semaine comporte quelques pages de lectures, de réflexions à propos d’un thème et aussi des exercices en accord avec le sujet de la semaine.

Libérez votre créativité Julia Cameron couverture

Je ne vous dirais pas que c’est un programme de 12 semaines facile, je ne vous dirais pas non plus que c’est un livre qu’on fait qu’une fois et qu’on oublie dans un coin, parce que je pense qu’y revenir de temps en temps est bénéfique.

En tout cas c’est un livre qui permet d’identifier et de travailler petit à petit sur ses blocages, et aussi de mettre en place une sorte de « routine » créative, qui a pour but de se reconnecter avec soi.

Pas le livre le plus « joli » du lot, mais tout aussi efficace !

Pour de plus amples informations, vous pouvez lire l’article Libérez votre créativité : 3 éléments qui ont changé ma pratique artistique.

Voici donc les 3 livres que je recommande sur la créativité, que vous soyez un artiste professionnel ou débutant, et aussi quelque soit votre art de prédilection (même si le premier est plus orienté vers les arts manuels je trouve) : ils se complètent parfaitement bien, chacun offrant des conseils sur une facette du processus créatif.

Si vous avez d’autres livres sur la créativité à conseiller, n’hésitez pas à laisser vos suggestions en commentaire !

Bonne journée !

Leave a comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Le PCR COVID-19 : mon expérience

3 août 20202 août 2020

Cela fait plusieurs fois que je fais certains tests ou examens médicaux et que je me dis que ce serait bien que j’écrive là dessus : pas pour parler médical, parce que je ne suis pas du tout compétente là-dessus, mais plutôt pour partager mon expérience.

Parce que si vous êtes comme moi, avant un examen que vous n’avez jamais fait, vous faites le truc qu’il ne faut pas faire, à savoir demander à votre moteur de recherche favori des informations sur le déroulé du dit examen.

Et bien sûr on trouve le déroulé théorique (en plus de 125 articles et posts de forum qui vous expliquent que vous avez sans doute une maladie très grave qui vont vous angoisser un peu, juste pour la forme), mais finalement on a très peu de retours d’expérience.

Alors aujourd’hui, contrairement à ce que j’avais prévu (je pensais poster ma revue du Magicien d’Oz…), je vais vous parler de mon expérience du test PCR de dépistage de la COVID-19.

Je précise que je vis en France, ce qui permettra aux francophones qui passent par ici de faire la part des choses pour les liens et références légales !

United Nations COVID-19 stay at home
source : United Nations via Unsplash

Le contexte

C’est un contexte plutôt simple : j’avais une angine (non, je ne sais pas comment diable j’ai réussi la triste prouesse d’avoir une angine malgré le port du masque et le lavage régulier de mes mains), angine qui ne passait pas, je suis donc allée voir mon médecin.

Médecin qui m’a prescrit un dépistage PCR de la COVID-19, dans la mesure où via l’angine j’avais des symptômes du virus, et de rester chez moi jusqu’à ce que j’ai les résultats négatifs (en espérant qu’ils le soient !).

A noter, il n’est plus nécessaire d’avoir une ordonnance de son médecin pour faire le dépistage PCR et être remboursé (voir l’article sur service public).

Mon expérience

Où faire le dépistage COVID-19 ?

Pour savoir où faire le dépistage PCR COVID-19, je me suis appuyée sur la page DepistageCovid du Ministère des Solidarités et de la Santé.

J’ai passé quelques appels pour déterminer le laboratoire auquel j’allais aller : certains étaient complètement débordés et je n’ai pas pu les avoir au téléphone, d’autres fermaient et donc ne faisaient plus le test.

J’ai finalement fait mon dépistage dans un laboratoire qui avait une plage horaire d’une heure l’après midi permettant aux personnes de faire leur dépistage sans rendez-vous.

Attention toutefois, certains centres de dépistage n’acceptent que les personnes qui sont dans un véhicule et qui se font tester dans leur véhicule, renseignez-vous bien avant de vous y rendre !

United Nations COVID-19 test PCR
source : United Nations via Unsplash

Comment ça s’est passé ?

Après avoir effectué les formalités habituelles à l’accueil du laboratoire, j’ai fait la queue pour faire le dépistage.

Quand ça a été mon tour, la personne a vérifié mon identité, m’a expliqué le test et m’a demandé de m’asseoir.

Une fois assise, j’ai penché la tête en arrière et la personne qui réalise le test a inséré l’écouvillon dans la narine droite jusqu’à atteindre le nasopharynx, l’a ressorti, et la même procédure a eu lieu avec l’autre narine.

Est-ce que c’est long ?

Non, le prélèvement en lui-même est vraiment court, je ne suis même pas sûre qu’on atteigne une minute de procédure. C’est vraiment rapide.

Est-ce que c’est douloureux ?

Non. Ce n’est pas agréable, mais ça ne fait pas mal. L’écouvillon est long, mais il est tout petit en diamètre !

D’un point de vue de la sensation, je dirais que ça se rapproche de quand on « avale » un peu d’eau par le nez : ça gratouille au fond du nez, mais la gêne dure 10 secondes donc rien de bien méchant.

L’odeur de l’écouvillon est forcément chimique / pharmaceutique, mais elle ne persiste pas.

Et à noter, si votre nez est un peu bouché, le test va le décongestionner !

United Nations COVID-19 stay at home
source : United Nations via Unsplash

Et après ?

Après, je suis rentrée chez moi et j’attends mes résultats.

Tout simplement.

A noter, la durée d’attente des résultats varie selon les sites qui pratiquent les dépistages.

Celui où j’ai fait le mien demande 4 jours ouvrés avant d’avoir les résultats, certains peuvent fournir les résultats en quelques heures. Là encore, renseignez-vous pour voir ce qui convient le mieux à votre besoin.

Voilà ce que je peux vous dire de mon expérience du test PCR COVID-19 : c’est rapide et pas douloureux, le plus « pénible » étant peut être de trouver l’endroit où se faire dépister et d’attendre les résultats.

J’espère que cet article sera utile aux personnes qui s’interrogent sur ce test PCR COVID-19. Si vous voulez faire part de votre expérience, n’hésitez pas à le faire en commentaires !

Bonne journée (et prenez bien soin de vous) !

1 Comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

Réseaux sociaux

  • Bluesky
  • Pinterest
  • Ravelry

Catégories

Articles récents

  • Séjourner au Château de l’Epinay : mon avis
  • J’ai fabriqué une pochette en cuir bicolore
  • Les débuts du juge Ti – Robert Van Gulik
  • Petits contes de printemps – Natsume Sôseki
  • Propos sur la racine des légumes – Hong Zicheng

Recherche

Archives

Site made with ♥ by Angie Makes
Angie Makes Feminine WordPress Themes