Mnêmosunê
Les petits riens forgent de belles existences…
Menu
Skip to content
  • À propos
  • Accueil
  • Contact

Tag Archives: papier

Craft day #14 : la production de septembre

30 septembre 201629 septembre 2016

Depuis que je suis au chômage, j’essaie de m’astreindre à faire plus de choses d’un point de vue créatif.

Certaines expérimentations aboutissent, d’autres non, certains essais donnent des résultats inattendus avec lesquels il faut composer, comme cet essai avec des encres qui ont traversé plusieurs pages de papier.

Au début j’étais un peu contrariée, et finalement je me suis dit que ce serait intéressant de voir ce que je pouvais composer avec cela.

Ce mois-ci, il y a eu beaucoup de tests avec l’acrylique et le couteau, des gribouillages en tout genre, du géométrique et des fleurs. Sans doute qu’il y a moins de choses que le mois dernier, parce qu’entre temps je me suis offert une petite escapade pendant laquelle je n’ai rien produit.

Carnet à croquis, format A5

mnemosune-craft-day-14-1

mnemosune-craft-day-14-2

Ci-dessus, le fond a été fait avec des encres Colorex et a migré sur plusieurs feuilles de papier… Ci-dessous une des manières dont j’ai composé avec cet aléa !

mnemosune-craft-day-14-3

mnemosune-craft-day-14-4

mnemosune-craft-day-14-5

mnemosune-craft-day-14-6

mnemosune-craft-day-14-7

mnemosune-craft-day-14-8

mnemosune-craft-day-14-9

Saccage ce carnet !

mnemosune-craft-day-14-10

mnemosune-craft-day-14-11

mnemosune-craft-day-14-12

mnemosune-craft-day-14-13

Comme pour le mois dernier, il y a des choses qui en sont à peine au commencement, mais j’aime bien les documenter pour voir comment elles évoluent au fil du temps…

Et vous, qu’en est-il de votre côté d’un point de vue créatif / artistique ?

Bonne journée !

Leave a comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Craft day #13 : Peintures et Saccage ce carnet !

31 août 201631 août 2016

J’ai intitulé l’article Craft day pour la forme, en fait c’est plus une rétrospective de tout ce que j’ai pu faire artistiquement parlant pendant le mois d’août.

Tout n’est pas finalisé, il y a des choses qui sont sorties complètement différentes de ce que j’imaginais, j’ai beaucoup peint avec mes doigts. A vrai dire, je suis assez contente de ce que j’ai expérimenté ce mois-ci d’un point de vue créatif.
Voilà ce que cela donne…

Carnet à croquis, format A5

Mnemosune art aout 2016 1

Mnemosune Art aout 2016 2

Mnemosune Art aout 2016 3

Mnemosune Art aout 2016 4

Mnemosune Art aout 2016 5

Mnemosune Art aout 2016 6

Mnemosune Art aout 2016 7

Mnemosune Art aout 2016 8

Mnemosune Art aout 2016 9

Plus grand format

(plus grand qu’un A4 mais plus petit qu’un A3) :

Mnemosune Art aout 2016 10

C’est mon préféré de tous, je ne sais pas trop pourquoi.

Saccage ce carnet !

Mnemosune Art aout 2016 11

Mnemosune Art aout 2016 12

Mnemosune Art aout 2016 13

Mnemosune Art aout 2016 14

Mnemosune Art aout 2016 15

Je ne montre pas tout parce qu’il y a des choses qui ne sont vraiment pas abouties encore, mais globalement, voilà à quoi a ressemblé ce mois d’août d’un point de vue de la création : beaucoup de peintures et un peu de saccage ce carnet.

Et vous qu’en est-il de votre côté ?

Bonne journée !

4 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Don’t worry, be happy

3 novembre 2015

Dans mon métier, parfois, on est appelé à faire des interventions tard, parfois en soirée, parfois de nuit.

Cela ne m’arrive pas souvent, parce que je ne suis pas un personnel technique, mais quand cela concerne mon périmètre, je m’arrange pour être connectée avec les équipes, pour les accompagner et faire un rapport de ce qu’il s’est passé pendant l’intervention.

Hier soir, avec mon équipe, nous avons été d’intervention en soirée. J’ai donc passé 3 heures à être connectée à une audio pour savoir ce qu’il se passait et, le cas échéant, être disponible pour coordonner les activités en cas de problème.

Nous n’avons pas rencontré de problème, ce qui est appréciable, et j’ai ainsi pu avancer dans mon travail. Lorsque j’ai eu fini mes tâches, il a bien fallu que je trouve un moyen de m’occuper pour ne pas sombrer dans le sommeil, alors pendant les intervalles où je n’avais rien à noter dans mon rapport, ni le chef de mon chef qui me posait des questions sur l’opération, j’ai pris mon carnet de croquis et un crayon, et j’ai gribouillé ce qui me passait par la tête.

Don’t worry be happy (et la musique qui va avec, juste pour le plaisir).

sketchbook-151102

J’ai beaucoup suivi les articles de Makewells sur le blog d’Alisa Burke, et je suis partie de cette idée de « calligraphie » (en anglais ils disent « hand lettering », mais je ne suis pas trop sure de la bonne traduction… Ecriture stylisée ?), avec quelque chose autour.

Je n’ai jusque alors pas pris le temps de me pencher sur cette technique, et même si j’ai fait un petit peu de calligraphie japonaise, les deux pratiques sont complètement différentes, alors je n’étais pas trop affirmée dans ce que je voulais faire.

Finalement, je suis assez contente de comment ce modeste croquis un soir d’intervention a évolué. Je voulais le mettre en couleur ce matin (puisque je ne travaille pas pour avoir mon quota d’heures réglementaires de repos), mais je me suis rendue compte que je n’avais pas à disposition de pinceau assez fin pour colorer les lettres.

Alors à la place je me suis dit que j’allais en parler sur mon blog et prendre le temps de glaner des conseils.

Je vais donc aller me chercher, un de ces jours, un petit pinceau, et je pense que je vais faire le tout en gouache, avec un peu d’aquarelle et peut être du crayon de couleur.

Enfin je ne sais pas encore trop, j’avoue. Je me demande même si je ne vais pas le scanner plutôt pour pouvoir essayer plein de choses et ne pas « perdre » mon travail.

Reste juste à savoir si en expérimentant (et en « ratant ») on « perd » le fruit de sa pratique. Sinon, ça me donnera une bonne raison de recommencer, c’est assez rigolo comme pratique.

Avez-vous déjà essayé ? Avez-vous des conseils pour colorer le tout ?

Bonne journée !

4 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Revue du web #26

7 septembre 2014

Pour cette revue du web, je vous propose une sélection colorée, avec de la cuisine, du DIY, des jolies images et des idées…

Mnemosune-Revue-Web-26
Source des sélections d’images : Decor8, Still, La pincée de Cél, Make my lemonade
  1. Je n’étais pas forcément attirée de prime abord par le matériau mis en valeur (panneau alvéolé) dans cette sélection d’idées chez Holly mais, comme je rêve encore et toujours d’une pièce dédiée où je pourrais créer, certaines idées ne me laissent pas indifférente.
  2. Cette photo de Mary Jo me plait beaucoup : le minimalisme, les jolis cailloux colorés, c’est joli je trouve, ça m’apaise, peut être que vous aussi ?
  3. Alors que je patiente tranquillement pour faire ses petits ronds aux prunes (en fait j’ai juste oublié que j’avais préparé mon œuf de lin, c’est tout), je suis en extase devant les Figolus de Cél. Et dire que je ne goûte plus ces derniers temps !
  4. Les tapis ce n’est pas mon truc, mais celui ci est tellement joli et customisable à l’envi que peut être, finalement, je vais me fabriquer un tapis, comme Lisa.

Les autres articles qui ont attiré mon attention cette semaine :

  • Trois petits déjeuners chez Lisa (encore elle)
  • L’amour au subjonctif chez Caro
  • Nos besoins illusoires chez Célie
  • Une visite d’une ferme de production de fleurs (et là des dahlias, tellement beaux !) chez Leslie
  • Des jolies boites en papier chez Jen

Et vous, quelles sont vos découvertes de la semaine ?

Bonne journée !

2 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Faire des coloriages

22 janvier 201420 janvier 2014

La semaine dernière, un de mes collègues m’a parlé de son papa très malade, avec beaucoup de pudeur, beaucoup de craintes, du « toi tu sais de quoi je parle, ce que je ressens » dans les yeux.
Il avait beaucoup de questions, pas des questions insidieuses, non, des questions avec de la crainte, avec du « comment on vit pendant / après ça ? » en pointillés (très gros les pointillés parfois), des barrières qu’on remonte à la va-vite alors qu’elles se cassent la gueule à la vitesse de l’éclair, mais d’un côté toi tu sais ce que c’est de vivre ça, tu ne juges pas, tu as de l’empathie, parce qu’il n’y a qu’avec de l’Amour qu’on apaise les maux de l’âme, les questions du cœur.

Alors, même si les précieuses minutes de ta pause déjeuner défilent, tu écoutes, tu réponds, tu encourages, toujours avec le cœur, toujours avec de la pudeur, parce que lui, en face, ne peut pas absorber tout ce que tu pourrais lui dire. Il a sa souffrance à gérer. Dans ses yeux, tu vois la crainte, la terreur, cette peur qui t’enjoins à encore plus de douceur dans le propos, à lui dire qu’il n’y a pas de recette, que celle qui lui conviendra, qui leur conviendra, il la trouvera au fond de lui, il la bâtira avec des tâtonnements, avec le temps. C’est personnel c’est choses là.

Mais on n’oublie pas. Jamais.
On apprend tous à composer avec la mort d’un proche, y compris pour les plus proches. Mais toi qui sais ce que ça fait, même si ta situation n’était pas la sienne, tu tiens à être là. Tu flinguerais ta pause déjeuner que tu t’en foutrais royalement, parce que l’empathie ça fait partie de tes valeurs, que tu crois à l’entraide, que tu crois que si tu n’arrives ne serait-ce qu’à lui apporter 3 secondes de réconfort ça vaudrait toutes les pauses déjeuner d’une vie.

Parce que toi, tu aurais voulu que quelqu’un soit là, que quelqu’un soit empathique, que quelqu’un t’écoute en parler pendant des heures, que quelqu’un te prenne dans ses bras, que quelqu’un te dise que certes tu vas en chier mais que ça va aller, tu apprendras à vivre avec, que quelqu’un comprenne cette douleur qui fusille les intestins, qui t’arrache les côtes petit à petit, qui t’étouffe, qui fait que tes jambes se dérobent, qui font de toi un automate dévasté…

coloriage-1Quand tu sens que là, ça devient trop pour lui, tu déposes ta main sur son épaule, silencieusement et avec un petit sourire, et tu t’éclipses chercher de quoi manger. Bien sûr, ce n’est pas parce que tu as faim que tes entrailles râlent, que tes jambes tremblent, que ton estomac se fait la malle, que ta gorge a soudainement hérité d’un parpaing.

Bien sûr.

Alors tu continues à vire normalement, parce que c’est ça qu’on te demande de faire. Être un pilier, c’est prendre la souffrance, cacher le trouble pour donner la main à ceux qui souffrent, pour qu’ils voient qu’envers et contre tout, même si on se connaît pas plus que ça alors que ça fait presque 5 ans qu’on bosse ensemble, on peut compter sur toi.

Ta réputation de warrior, de survivor, tu ne l’as pas volée. Même ta psy elle te le dit que tu as du courage, que tu es forte, que tu es quelqu’un de bien sur qui on peut compter. Ce sont toutes ces épreuves, toutes ces souffrances, tout ce chemin parfois difficilement parcouru qui ont fait de toi ce pilier que les autres cherchent. Toi, tu sais.

Et puis, une mini-pause déjeuner et quelques petites heures plus tard, un coup de fil, il fallait qu’il parte, un petit regard en coin vers toi, les yeux brillants. Encore quelques heures plus tard, un coup de fil au boulot, il ne sera pas là avant quelques temps.
Ce papa qui souffrait tant de sa maladie s’en était allé.

coloriage-2Boum. Flashback et ascenseur émotionnel.

Toi tu sais.
Toi ça fait presque 14 ans que tu vis avec ça.
14 ans que pas un jour ne se passe sans que tu penses à Elle, celle que tout un chacun croit immortelle au fond de son cœur, au fond de son cœur d’enfant, celle que tu as perdu trop tôt, mais de toute façon c’est toujours trop tôt, à cause d’un putain de crabe et d’une saloperie de bouteille que tu hais, celle pour qui tu as oscillé entre doute, douleur, rébellion, résignation, empathie, fusion pour prendre son mal (ce qui n’a servi à rien, mais tu te disais que sur un malentendu ça pourrait marcher ?), j’en passe et des meilleures.

En entendant le téléphone sonner, tu savais ce qui se disait.
Ça te rappelle les pleurs de 2h du matin qui t’avaient réveillée ce jour là. L’incompréhension, le « c’est pas possible », l’incrédulité, la bombe nucléaire à l’intérieur de toi que tu cacheras dans un bunker que tu monteras à la va-vite qui te rendra proche de l’automate, le silence autour comme si elle n’avait jamais existé alors que toi tu veux juste qu’on t’en parle encore et encore, le désespoir quand 4 ans plus tard le bunker n’a plus joué son rôle et que tu as compris un matin qu’elle ne reviendrait jamais et que jusqu’à la fin de tes jours tu haïras chaque personne saoule que tu croiseras parce que ça te rappellera comme un coup de poignard dans le ventre celle qu’on t’a enlevée, les années de psychothérapie pour ôter cette culpabilité de ne pas avoir pu la sauver, de ne pas avoir pu apaiser sa souffrance, le désarroi de devoir apprendre à vivre avec ça, les questions pour lesquelles tu n’auras jamais de réponse, les moments que tu ne partageras jamais avec elle et cette terreur d’oublier.
D’oublier son visage, sa voix, les petits instants de vie qui te sont plus chers que la prunelle de tes yeux.

Toute ébranlée que tu seras, tu partiras tôt parce que c’est ce jour là que le plombier doit passer, tu feras semblant que tout va bien jusqu’à la voiture où le mascara commencera à peindre tes joues et salir tes verres de lunettes.
Tu rentreras chez toi, à la fois complètement vide et tellement émotionnée que tu ne sauras même plus quoi faire. Tu prendras 20 minutes à envoyer un SMS de condoléances parce que tu n’oses pas appeler, mais aussi parce que tu y tiens, tu aurais vendu ta chair pour avoir des marques de soutien, des marques que les gens pensent à toi et à ta douleur. Envoyer tes sincères condoléances ce n’est pas rien, c’est mille fois plus que ça, c’est le respect, c’est l’empathie, c’est l’entraide, c’est tout ce en quoi tu crois mais que tu ne vois que trop rarement autour de toi.

coloriage-3Et puis en attendant le plombier, tu te rappelleras le cahier de coloriages que tu as eu à Noël par une amie. Tu iras chercher tes feutres, tes pastels et tes vieux crayons pourris, tu allumeras une bougie dans le photophore à étoiles, tu ouvriras le cahier, et puis tu commenceras à remplir les petites feuilles, les petites branches et les petites fleurs.
Tu te rappelleras que petite tu faisais des coloriages avec Elle, ta Maman, qu’elle te disait avec douceur et en souriant de faire attention et de ne pas appuyer trop fort sur le feutre, le crayon ou le pastel, que c’était plus joli comme ça. Au fur et à mesure des petites feuilles, des petites branches, des petites fleurs, les larmes s’arrêteront de couler et un sourire nostalgique s’installera sur tes lèvres.

Dans ta tête, tu reverras son visage, son sourire, tu entendras sa voix si douce, tu te rappelleras comment elle t’aidait à remplir une forme compliquée pour toi, les félicitations qu’elle te donnait peut importe le résultat.
Jusqu’à ce que le plombier téléphone, tu redeviendras la petite fille, tu seras avec ta maman, et comme toute maman qui se respecte, elle sèchera tes larmes, elle apaisera ton chagrin, elle t’enveloppera de la douceur maternelle qui t’a tellement manqué ces dernières années.

En refermant le cahier, tu relèveras la tête, sans ce chagrin qui t’oppressait il y a quelques minutes encore, toute contente de tes jolies petites feuilles.
Tu reprendras ton chemin là où tu l’avais laissé mais avec le sourire et le cœur plus léger, certaine d’avoir fait de ton mieux.

La vie continue. Et toi tu as appris à vivre avec ça.

Merci copine Betty pour ce chouette cadeau.

Bonne journée.

PS : Avant que tout le monde ne s’affole, je vais bien, ne vous inquiétez pas, je me suis remise de mes émotions comme en témoigne la fin de l’article.

12 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

L’agenda 2014

30 octobre 201329 octobre 2013

Encore la même rengaine : je cherche mon futur agenda. J’ai beau travailler dans un milieu geek, avoir un iPhone, tout ça, moi j’aime l’agenda papier. Mais alors, vraiment.

frankie-2014-1J’aime pouvoir y noter mes rendez-vous professionnels et personnels bien sûr, mais aussi mes vacances et tous ces petits rendez-vous que je prends avec moi même, comme une séance de cinéma qui pourrait m’intéresser ou encore la date limite de participation des jeux d’écritures.

Il s’y cache aussi une collection impressionnante de post-its en tout genre, pour centraliser les adresses de professionnels et les bonnes adresses pour un peu de shopping ou une pause gourmande.

frankie-2014-2Dans mon agenda, je note aussi les articles que j’écris pour le blog. Cela me permet de voir les périodes où je suis régulière, les thématiques que j’aborde le plus souvent. Dans la même lignée, j’y note quelques idées pour les futurs articles ou encore des choses à tester dont je pourrais parler.

Parfois aussi, je note les titres des articles de blog qui m’ont touchée, avec le nom du blog correspondant. Il y a tellement de choses inspirantes et bien écrites sur la toile, c’est important pour moi d’en garder une trace.

frankie-2014-3Et puis il y a tous ces rendez-vous incontournables, les anniversaires, les fêtes, les jours fériés que je reporte tous les ans, méticuleusement.

Alors oui, bien sûr, mon agenda papier n’a pas de fonction « rappel ». Bien sûr, il n’a pas d’écran tactile, ni de couleurs changeantes, quand bien même il est coloré et l’usage des doigts est nécessaire pour en tourner les doigts. Bien sûr, il fait sans doute un peu doublon avec l’iPhone, les calendriers du boulot, les 3 milliards de carnets que je peux avoir dans l’appartement et que je transporte parfois, quand le cœur m’en dit.

frankie-2014-4Mais mon agenda papier, je l’aime bien. C’est une partie de moi, une partie de mes souvenirs. J’aime me replonger dans ses pages , me rappeler des journées. J’aime chercher le post-it qui semble s’être invariablement fait la malle, mais en fait non, il est juste sur l’autre page à post-it. J’aime regarder le calendrier à anniversaires et voir toutes les bonnes choses à venir. J’aime regarder le calendrier mensuel et voir tous ces articles de blogs publiés, en redécouvrir certains que j’avais oublié.

Pour tout cela, je me suis racheté un agenda papier pour l’année prochaine. Des agendas papier, j’en ai essayé plein, en me demandant si j’allais finir par trouver quelque chose qui me plairait. Quelque chose qui soit à la fois pratique et joli, et qui réponde à tous mes usages. Cette année, j’ai trimballé partout l’agenda du Frankie Magazine. Et il m’a plu. Beaucoup. Je n’ai rien à y redire, tout ce dont j’ai besoin y est et il est beau en plus.

Alors en 2014, l’agenda du Frankie magazine sera avec moi. Je l’ai reçu il y a peu et j’ai déjà hâte de l’utiliser. En attendant, j’en contemple les pages que je compare avec l’actuel… Un joli écrin à remplir de chouettes souvenirs…

Bonne journée !

PS : Et tant que j’y étais, je me suis offert aussi du masking tape trop joli (et vous allez vite comprendre que je n’en manque pas…) et le gift paper book. Avec ça, je suis parée pour occuper mes 10 doigts !

1 Comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Poisson bavard [DIY]

20 octobre 201320 octobre 2013

Faisons une petite pause dans les récits de vacances pour occuper un petit peu nos 10 doigts.

L’autre jour, Madame Patate a publié un article sur les grenouilles en origami. De là s’en est suivi une discussion dans les commentaires où j’ai mentionné le fameux poisson bavard et où elle m’a demandé comment on pouvait faire cet origami. Alors sous vos yeux ébahis, voici le pas à pas pour réaliser un poisson bavard !

poisson-bavard1Pour réaliser un poisson bavard, il faut tout d’abord une feuille de papier rectangulaire (avec une carrée cela marche moins bien) que l’on prend dans le sens paysage (c’est à dire, le plus long côté face à soi).

poisson-bavard2On plie la feuille en deux.

poisson-bavard3On marque bien le pli (= on passe l’ongle sur le pli pour qu’il soit bien apparent).

poisson-bavard4On ré-ouvre la feuille.

poisson-bavard5On replie les coins de la feuille sur la pliure du milieu.

poisson-bavard6Voici ce que l’on obtient après pliure des coins.

poisson-bavard7On retourne la feuille (= les coins pliés sur la table).

poisson-bavard8On replie les coins sur le pli du milieu.

poisson-bavard9Voici ce que l’on obtient (le truc bleu en bas c’est mon jean, j’ai fait le poisson bavard par terre) (les tables c’est surfait je trouve).

poisson-bavard10On retourne la feuille et maintenant c’est la partie un peu « compliquée »: on replie la droite et la gauche de la feuille et on s’arrange pour que les deux côtés se chevauchent.

poisson-bavard11Voici ce que l’on obtient.

poisson-bavard12Ensuite on appuie sur la pliure centrale et on marque bien les plis.

poisson-bavard13Ensuite on prend un feutre et on fait des yeux à notre poisson (les miens n’ont jamais les yeux parfaitement symétriques mais ça leur donne un charme je trouve 🙂 ).

poisson-bavard14On plie les branchies qui nous serviront à faire parler le poisson.

Et voilà !

poisson-bavardQuand on tire les branchies (doucement hein), le poisson parle.

Amusez-vous bien, bonne journée !

4 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Les croquis de la semaine #10

25 août 2013

Ce ne sont toujours pas des croquis et les photos ne sont pas forcément très nettes (surtout la première, pardon…), mais voici la production de la semaine…

larmes-de-sang
Larmes de sang – Acrylique sur papier

Les deux ont été faits à l’acrylique sur papier. Sur celle du dessus  j’ai voulu essayer quelque chose d’un peu différent. Les splashs de couleur c’est assez rigolo à faire même si ça tache un peu (j’en avais même dans les cheveux !). Et puis j’aime bien le côté aléatoire de la chose. Il y a beaucoup de sensibilité dans cette peinture, de la douleur aussi. Du moins c’est ce que je vois, ce que j’ai voulu retranscrire.

renoncule-noire
Renoncule noire – Acrylique sur papier

Celui-ci est un peu plus standard, mais pas plus réfléchi que l’autre. J’aime bien juste laisser ma main et le pinceau faire leur vie, « patouiller » et donner naissance à quelque chose d’imprédictible au départ !

Peut être que je lâche peu à peu prise sur ce que je fais. Comme je le disais la dernière fois, je ne me mets plus la pression pour faire quelque chose de joli à tout prix. Je veux juste que mes émotions ressortent et m’amuser.

Et petit à petit, je prends de plus en plus de plaisir, je suis plus indulgente avec mon travail, j’apprends à l’aimer comme il est, avec ses imperfections, ses approximations. Mon ami Marco m’a dit une fois que c’est pour son ensemble qu’on aime quelqu’un, que la beauté se nourrit d’imperfections et que c’est là que ce niche le charme.

Je ne l’ai pas encore bien assimilé pour moi-même, mais pour ma peinture c’est en cours.

Bonne journée !

PS : Certains m’avaient demandé un swatch pour le favorite lipstick #1, il est là !

 

 

4 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

The lovely dozen – Paquet #5

6 mars 2013

Ce soir, j’ai reçu le cinquième paquet de la lovely dozen (qui a juste mis 2 mois pour arriver presque). Eh bien je vous le dis, du courrier comme celui là (et les précédents !) je veux bien en recevoir tous les jours !

lovelydozen5-1Déjà, quelque chose que j’adore c’est toutes les petites marques, ces petites attentions qui parsèment le paquet. C’est vrai que cela n’a l’air de rien, mais en fait ce « have a beautiful day » ben il m’a donné le sourire tout simplement !

lovelydozen5-2Tous les mois, il y a un petit mot dans une enveloppe. Et c’est ainsi que je me suis rappelée que c’était l’avant dernier paquet ! On passe au contenu maintenant ?

lovelydozen5-3Alors, ce mois-ci, voici ce qu’il y avait dans le paquet (de haut en bas et de gauche à droite):

  • un rouleau de fabric tape beige fleuri (trop mais alors trop joli, j’adore)
  • 20 enveloppes par avion (un brin old school, je ne savais même pas que cela existait encore)
  • un petit carnet que je pense être un carnet à do-to list (je vous ai photographié l’intérieur)
  • un crayon (qui malheureusement s’est cassé pendant le voyage) avec écrit dessus « go on an adventure »
  • 6 planches de stickers
  • une paire de petits ciseaux super mignons (que  je vais réserver à la broderie)

lovelydozen5-4Ici c’était pour vous montrer les planches de stickers. On ne voit pas très bien sur la photo, mais les planches vont par deux : celles du haut sont recouvertes d’une pellicule brillante, celles du bas d’une pellicule matte. Les couleurs et motifs me plaisent beaucoup, je me demande où elles ont été achetées, c’est vraiment très beau.

lovelydozen5-5Là c’est le petit carnet à to-do list, pour vous montrer qu’il y a différentes couleurs de papier (beige, rose et bleu-vert) et motifs (les pages de couleur sont unies, mais il y a une section beige avec des lignes et l’autre section beige est quadrillée).

Ce mois-ci encore je suis donc très très contente de ce que j’ai reçu. Je suis très étonnée (mais ravie !) de voir que sans me connaître Danni tombe systématiquement juste.

Vivement le prochain colis !

Bonne journée !

Leave a comment
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Vers l’infini et au delà !#2

23 octobre 201221 octobre 2012

Comme vous le savez, j’ai en ma possession tout ce qu’il faut pour réaliser un ciel étoilé d’après la méthode expliquée par Miss Holly. Depuis, j’ai appris à tendre une toile, j’ai recommencé à tâter du pinceau un peu.

Samedi soir, j’avais envie de peindre (à 23h, normal). Alors j’ai tendu une feuille humide. Au départ, je voulais qu’elle sèche et puis finalement je me suis dit que j’allais essayer sur feuille mouillée (certes, un peu poussée par le chéri de Loonie).

J’ai attrapé les encres noire, bleu et rose et j’ai laissé tombé des gouttes au hasard, j’ai « réparti » avec un pinceau. Je trouvais que c’était trop clair, je me suis dit que j’allais rajouter de l’encre. La feuille était quand même bien humide. Rajouter de l’encre aurait été stupide, alors j’ai laissé sécher à plat.

Le matin, en regardant la feuille, j’ai trouvé que c’était un peu clair pour ciel étoilé. J’ai lancé une machine, j’ai fait mon repassage. Je n’avais pas envie de rajouter du noir, ou du bleu, ou du rose, ou une autre couleur. Je voulais juste mettre les étoiles.

J’ai donc pris de la peinture acrylique blanche, mis un peu d’eau pour que la peinture soit un peu plus fluide et je suis allée chercher la brosse à dents. Pas la neuve hein, mais la vielle que j’ai trempé dans la peinture. J’ai regardé la feuille et les alentours, je me suis dit que ce serait mieux de protéger. J’ai mis une bande de kraft pour faire écran et j’ai essayé de faire des gouttes à peu près potables en passant mon doigt dans les poils. Deux fois.

Alors bien entendu il y a eu un gros « blob » tout moche (cf. en bas à gauche), c’est pas tout à fait ce que je voulais, mais finalement, c’est pas si mal.

Ah, et si je ne sais pas quoi faire, je peux aussi apprendre à découper droit (et acheter un cutter plutôt que de découper avec le couteau de cuisine).

Des conseils pour réaliser un ciel étoilé ?

Bonne journée !

4 Comments
Share
  • Pin it
  • Share
  • Tweet
  • Email

Posts navigation

1 2 3 Next Page

Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

Réseaux sociaux

  • Instagram
  • Pinterest
  • Ravelry
  • Twitter

Catégories

Articles récents

  • Séjourner au Château de l’Epinay : mon avis
  • J’ai fabriqué une pochette en cuir bicolore
  • Les débuts du juge Ti – Robert Van Gulik
  • Petits contes de printemps – Natsume Sôseki
  • Propos sur la racine des légumes – Hong Zicheng

Recherche

Archives

Site made with ♥ by Angie Makes
Angie Makes Feminine WordPress Themes