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Month: mars 2017

Craft day #20 : la production de mars 2017

31 mars 201726 mars 2017

Une grosse partie de la production de ce mois de mars est de la calligraphie que je réalise dans le carnet que j’utilise pour écrire des petits textes courts.

Pour le reste de l’aquarelle, des fonds, des émotions à évacuer, et puis quelques expérimentations.

Bonne journée !

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Philtre légendaire et centenaire – Garancia

29 mars 201726 mars 2017

La semaine dernière, pour la première fois depuis des mois, peut être même depuis un an, je suis allée au travail sans me maquiller.

C’était un matin un peu embrumé, après une nuit un peu trop courte, et il fallait que je choisisse entre prendre une douche ou mettre du maquillage. Pas le temps de faire les deux.

(Vous remarquerez par contre que l’idée de ne pas prendre de petit déjeuner ou de ne pas faire de yoga ne m’a pas effleurée).

J’ai choisi de me laver, déjà parce que ça m’aide à finir de me réveiller, ensuite parce que mes cheveux en avaient vraiment besoin et enfin parce que je me sens plus à l’aise pour ma journée après avoir pris ma douche.

J’ai fait ma routine de soins habituelle, et je suis partie au travail.

Je ne me rappelle pas trop que quelqu’un m’ait dit quoique ce soit concernant le fait que je n’étais pas maquillée (peut être juste que j’avais l’air fatiguée, mais je n’en avais pas que l’air).

Par contre je me souviens avoir été surprise dans j’ai croisé mon reflet dans le miroir dans la glace au dessus de l’évier. Je ne me suis pas trop reconnue, ce n’était pas vraiment mon « moi » du travail.

Et puis j’ai commencé à voir les cicatrices sur mes joues, les cernes un peu violacées, le teint un peu terne de quelqu’un qui n’a pas assez dormi et j’ai froncé les yeux.

Jusqu’à ce que je me dise que je m’en faisais pour pas grand chose, la terre n’allait pas s’arrêter de tourner (d’ailleurs elle ne l’avait pas fait) parce que je n’avais pas mis 2 belles couches de mascara ou que mon teint n’était pas parfait. Et que finalement l’important, c’était surtout que je me sente bien.

Et je suis passée à autre chose, j’ai repris mes activités et ma journée s’est déroulée comme cela.

Pourtant ce petit événement sans grande importance à changé quelques petites choses : je n’envisage plus vraiment les soins ou le maquillage comme quelque chose pour pallier un manque / un défaut, mais plutôt comme un outil pour supporter / mettre en valeur. Et mine de rien, cette différence d’approche change sensiblement les choses.

Prenez le produit du jour par exemple, le Philtre légendaire et centenaire de Garancia.

Pour être honnête, je l’ai acheté pour l’utiliser comme lotion (ce qu’il, a priori, n’est pas, enfin je suis pas sure) (ça commence bien).

Mais surtout dans l’espoir un peu fou que ce produit, à lui tout seul, allait enfin me débarrasser de 10 ans de cicatrices / de tâches d’hyper pigmentation sur les joues, qu’il allait resserrer mes pores, bref, qu’avec deux applications par jour j’allais enfin avoir le teint de pêche des filles des magazines (que je ne lis plus depuis 10 ans, mais c’est pas grave, c’est un fantasme qui reste dans mon subconscient il faut croire).

Et en partant de ce postulat là, de cette attente, je vous dirais que je suis déçue de ce produit (d’autant plus que quand j’écris cet article j’ai le SPM qui est à son paroxysme, autant vous dire que je suis loin du teint velouté), parce que non, ce produit n’a pas tout résolu.

Mais en fait, ce qu’il n’a pas résolu (et ce qu’il n’est pas capable de résoudre) (heureusement que j’ai recommencé une thérapie il y a quelques mois tiens…), c’est le fait que je me critique sans arrêt, en grande majorité pour des aspects de moi que personne n’a remarqué, parce que ces histoires cosmétiques ne changent pas qui je suis au fond (et que, spoiler, le plus important c’est ça, qui on est au fond, nos valeurs et tutti quanti).

Par contre, j’aime beaucoup son odeur, c’est fleuri à l’ancienne un peu. J’aime bien le fini poudré du produit. Ça me fait sourire d’agiter mon flacon deux fois par jour pour récupérer un petit peu de cette eau lactée (?!) et tapoter mon visage avec (non, j’utilise pas de coton, c’est trop agressif pour mon visage, et avec des mains propres ça marche très bien). J’aime le côté frais sur le visage.

Je suis un peu surprise que le flacon en verre soit toujours intact, mais il faut croire que je prends un meilleur soin de mes produits que ce que je pense.

Pour le reste, contrairement à ce que mentionne le flacon, il n’y a pas de magie dans le produit (enfin, pas plus que les extraits de plantes, ce qui est déjà très bien).

La magie, s’il elle est quelque part, c’est en nous qu’elle se trouve.

Bonne journée !

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Le livre de Perle – Timothée De Fombelle

27 mars 201726 mai 2022

Ce livre-là, je m’en rappelle bien, c’était Cél qui en avait parlé dans un de ses articles. En lisant les quelques mots qu’elle écrivait dessus, je me souviens avoir pensé à ma copine Nanou, qui adore les fées, et avoir senti des petits pétillements à l’intérieur quand les mots aventure et poésie se sont retrouvés côte à côte.

Après quelques mois passés dans la liste de livre à lire, il a finalement rejoint mon kindle…

Le livre

Le livre de Perle, c’est l’histoire du narrateur, blessé par l’amour, qui court à en perdre haleine, qui fuit pour expier sa souffrance, son désespoir.

Le livre de Perle, c’est aussi l’histoire de Joshua Perle, qui commence finalement en 1936 dans une fabrique de guimauves, qui connaîtra la guerre et puis la quête. Il ne vient pas d’ici, ni de cette ville, ni de ce monde en réalité et c’est pour cela qu’il rassemble un trésor.

Le livre de Perle, c’est enfin l’histoire d’Ilian, prince de là-bas, amoureux d’Olia, une fée. La vie leur met des bâtons dans les roues pour qu’ils ne se retrouvent pas ou plus, ce qui est mal appréhender la tenacité de ces deux-là…

Mais finalement, quel est le lien entre ces trois histoires ?

Mon avis

Ces trois histoires qui se répondent et se mêlent sont de jolies histoires, à la fois douces et tranchantes, paisibles et essoufflées, joyeuses et tristes. Il y a ces trois hommes énigmatiques, à la recherche de quelque chose, de leur trésor, d’un apaisement, d’une réponse.

Ce sont des quêtes qui semblent un peu farfelues, peut être à la limite de la folie (ou bien est-ce la passion ?) et pourtant c’est une histoire emplie d’amour et de féerie.

J’aurais aimé un peu plus de détails sur cette féerie, celle de là bas, celle d’ici, celle d’avant et celle d’aujourd’hui, mais peut être que cela aurait alourdi le récit, allez savoir…

En résumé

C’est un roman pour les adolescents mais je crois qu’il pourrait plaire à beaucoup, pourvu que les mots poésie et aventure mis côte à côte vous fassent venir des petites bulles pétillantes d’enthousiasme.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Des hommes sans femmes – Haruki Murakami

24 mars 201726 mai 2022

Murakami, il faut croire que c’est un peu comme le chocolat pour moi : quand j’ai fini un livre, j’ai envie d’en lire un autre de lui.

Après avoir fini le dernier tome d’1Q84, je me suis rappelée que j’avais vu que Haruki Murakami avait publié un nouvel ouvrage, Des hommes sans femmes. J’ai profité d’un rendez-vous en ville pour aller à la Fnac et me le procurer.

Dois-je préciser que je l’avais à peine acheté que j’ai commencé à le lire ?

Le livre

Des hommes sans femmes, c’est un ouvrage différent d’1Q84 dans la mesure où ici on est avec un recueil de nouvelles.

Ces nouvelles racontent des histoires d’hommes, de solitude, d’abandon (ou de menace d’abandon), où la mélancolie et le rêve occupent une grande place.

Mon avis

C’est bien entendu un ouvrage très différent, pourtant j’ai beaucoup aimé ce format : les nouvelles sont dynamiques, cela casse agréablement le rythme de croisière que l’on peut avoir un roman.

L’autre avantage Des hommes sans femmes, c’est que si le thème global est le même pour toutes les nouvelles, les histoires demeurent variées, avec des époques, des lieux et des intrigues différentes.

En résumé

J’ai beaucoup aimé lire ces différentes histoires et ainsi avoir une transition entre deux romans, avec le style de Murakami que j’aime tant en prime.

Et vous, que lisez-vous en ce moment ?

Bonne journée !

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Larmes de fantôme – Garancia

22 mars 201719 mars 2017

Je vais vous faire une confession : les contours des yeux et moi, on n’est pas très copains.

Déjà parce que (pour l’instant ?) je n’ai que des ridules (sans doute de déshydratation d’ailleurs) à cet endroit là et, pour tout vous dire, en fait, je trouve que les rides au coin des yeux c’est joli, ça témoigne de nombreux sourires.

Ensuite, je n’ai pas le réflexe d’utiliser ces produits : avoir un pot différent, à ouvrir et appliquer, c’est trop d’étapes en plus dans ma routine de soin déjà assez fournie. Donc si le produit n’est pas simple d’utilisation, pratique même, c’est à peu près certain que je ne vais pas l’utiliser.

J’ai eu pendant longtemps envie de me laisser tenter par les contours des yeux en format stylo, qui se déposent via une bille, mais à l’époque (peut être est-ce toujours le cas ?) ils avaient assez mauvaise réputation tout en étant relativement chers, ce qui m’avait incitée à passer mon chemin.

Et puis, razzia Garancia aidant, j’ai embarqué leur contour des yeux, Larmes de fantôme (décidément les noms de produits chez Garancia c’est quelque chose !) qui s’annonce anti-cernes, anti-rides, anti-poches et anti-relâchement.

Et bien entendu, c’est le format que je voulais essayer depuis des années, le roll-on. Et je dois bien dire que j’aime beaucoup ce format, à la fois très rapide et facile d’utilisation, et qui de surcroît apporte un effet frais au contour des yeux lors de l’application, ce que je trouve plutôt agréable.

Par ailleurs, c’est un produit qui pénètre plutôt rapidement et qui ne fait pas virer le maquillage, peut être même qu’il aide à le fixer d’ailleurs, ce qui est plutôt appréciable.

D’un point de vue des résultats, je trouve que ce produit est particulièrement efficace pour les contours des yeux fatigués et déshydratés : les yeux sont plus repulpés, moins bouffis, et le contour des yeux me semble plus hydraté.

Par contre pour ce qui est du relâchement ou des rides, je n’en sais trop rien, je ne me sentais pas vraiment concernée au départ, je suppose que cela permet de faire un peu de prévention ?

En résumé, c’est un produit que j’aime bien utiliser et c’est sans aucun doute le contour des yeux que j’ai préféré de tous ceux que j’ai pu tester. Donc certes c’est un budget (30€ les 10ml je crois), mais il me convient et je l’utilise régulièrement, ce qui est le principal.

Et vous, quel est votre contour des yeux du moment ?

Bonne journée !

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Jamais sans mon thé (bien chaud !)

20 mars 201719 mars 2017

Je n’avais pas réellement fait le rapprochement avant de relire quelques articles dans les archives sous le tag « thé », mais il semblerait que le thé du matin, au bureau, soit un événement important pour moi.

C’est un rituel que j’ai bâti petit à petit : je ne bois pas de thé en prenant mon petit déjeuner, c’est quelque chose qui vient plus tard, en général, pour les jours de semaine, au moment où je planifie ma journée au travail.

Le thé me permet de me recentrer, de focaliser sur ce que j’ai à faire, de mettre de l’ordre.

Ainsi je bois aussi un thé au moment d’écrire une lettre à une amie, de peindre ou de rédiger un article : sans cela, c’est comme si mes pensées allaient dans tous les sens, que je n’arrivais pas à m’ancrer.

Ce que la lecture de ces anciens articles m’a montré, c’est aussi que le thé pouvait être une « béquille » : si la période était compliquée au travail (et apparemment il y en a eu beaucoup, et de très compliquées…) (pourquoi me suis-je infligée des choses pareilles…?), LE moment que j’attendais, c’était celui du thé, le calme avant la tempête, la parenthèse où je contrôlais à peu près mon monde et où je me sentais en sécurité.

J’allais dans la cuisine allumer la bouilloire ou à la fontaine à eau chaude pour me préparer un thé, et pendant quelques minutes j’étais bien.

Aujourd’hui, je ne suis plus dans une situation compliquée au travail (mais quelle bonne idée d’être partie !) : j’aime ce que je fais, et s’il y a forcément des jours qui sont un peu plus tendus que d’autres, je n’ai pas besoin d’une béquille.

Par contre, je me prépare encore un thé le matin que je déguste pendant que je planifie ma journée, le rituel perdure.

Quand je suis arrivée dans l’entreprise pour laquelle je travaille maintenant, le seul moyen de me préparer un thé était de me rendre à la cafétéria et d’utiliser le micro-ondes, ce qui ne me plaisait pas trop, déjà parce que le micro-ondes je n’aime pas trop ça, et puis aussi parce que la tasse que je voulais utiliser n’est pas compatible avec ce genre d’appareils.

Alors je me suis mise dans l’idée de m’acheter une bouteille isotherme que je remplirais de thé le matin avant d’aller au travail : ainsi je pourrais en siroter toute la journée et utiliser ma tasse dédiée.

J’ai cherché pendant un moment le produit qui m’irait bien, et j’ai finalement jeté mon dévolu sur le format 1 litre (oui, carrément) de Pure Design et j’en suis très contente : depuis janvier je traîne la bouteille pratiquement tous les jours, je ne fais pas attention à ce qu’elle soit bien à la verticale (je confesse qu’elle se balade dans le coffre de la voiture…) et je n’ai pas eu de problème de thé qui se serait répandu à déplorer.

Le thé reste chaud jusque 16h (je ne sais pas s’il pourrait rester chaud plus longtemps, en général 16h c’est l’heure du dernier thé de la journée) sans que j’ai à m’en préoccuper, et pourtant je le prépare à 7 heures le matin.

Et si depuis on a une bouilloire au travail, je continue d’utiliser la bouteille isotherme que je me suis offerte, je sélectionne le thé qui va m’accompagner la journée avec soin, c’est un peu un rituel avant le rituel…

Bonne journée !

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1Q84 – Livre 3 – Haruki Murakami

17 mars 201712 mars 2017

[Vous avez raté les précédents articles sur 1Q84 ? C’est par ici : Revue du livre 1, Revue du livre 2]

2 heures, c’est le temps que je me suis laissée entre la fin de ma lecture du livre 2 et le début de celle du livre 3.

5 jours, c’est le temps qu’il m’a fallu pour lire les 600 et quelques pages du troisième (et dernier !) livre de 1Q84.

Dois-je réellement préciser que j’étais complètement captivée par l’histoire ?

Dans le livre 3 de 1Q84, le récit prend une troisième voix : il y a bien entendu celle d’Aomamé, celle de Tengo, auxquelles se rajoutent celle d’Ushikawa.

Dans ce livre 3, l’étau se resserre, la traque qui semblait encore lointaine se rapproche dangereusement, menaçant les deux protagonistes principaux.

Comment protéger son intégrité au sein d’1Q84 ? Qui est un allié et, surtout, qui ne l’est pas ?

Aomamé et Tengo prennent chacun des risques, animés par ce qui les unit…

Réussiront-ils à honorer leurs promesses ?

Ce dernier livre, c’est l’apothéose avec un mélange de dynamisme, de lenteur, de tensions, de vérités qui éclatent au grand jour. Il y a autant d’amour étrange que de barbarie inopinée, le tout encore teinté de mystère.

La fin m’a un peu surprise au début, je m’attendais à autre chose, mais en fait, elle est parfaite.

J’ai adoré lire ces trois livres, 1Q84 fait a présent partie de mes favoris. Pour preuve, j’ai tellement aimé renouer avec l’écriture de Murakami que je me suis empressée d’acheter son dernier ouvrage, un recueil de nouvelles cette fois-ci.

Je devrais revenir vous parler sous peu de l’écriture fantastique de l’auteur !

Et vous, avez-vous lu 1Q84 ? Qu’en avez-vous pensé ? Quel est l’ouvrage de Murakami que vous préférez ?

Bonne journée !

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Pshitt Magique – Garancia

15 mars 201712 mars 2017

J’espère que vous n’en avez pas marre de ne voir que des produits Garancia dans la catégorie beauté ces temps-ci, parce qu’il me reste encore quatre produits, sans compter celui du jour, pour lesquels je veux faire des revues.

Ainsi, après un démaquillant, un sérum et un lait pour le corps, aujourd’hui on va parler de l’exfoliant visage de la marque, le fameux Pshitt Magique.

Celui-ci est aussi un favori de Madame Patate, c’est le produit dont j’avais le plus entendu parler et dont j’étais assez curieuse : imaginez-vous, un produit qui « nettoie et transforme la qualité de votre grain de peau », ça ne vous fait pas rêver vous ?

Moi si.

Alors je l’ai acheté, et j’ai fait tout comme il est écrit sur le flacon : tous les matins, religieusement, je me lavais le visage avec, non sans avoir auparavant utilisé le nettoyant Melvita (parce que bon, je l’avais déjà, et je l’aime bien).

Et c’est peut être là qu’il est le problème ?

Les deux premières semaines, pas de soucis, tout se passait bien.

Et en fait, au bout d’un mois voire un mois et demi, j’ai compris que quelque chose ne plaisait pas à ma peau.

C’était un peu comme pour la clarisonic : au début c’était génial, une peau toute douce et lumineuse, et au bout d’un mois, le retour du boomerang à grand renfort de micro kystes et de petites plaques sèches.

La vengeance de la peau sensible agressée on va dire.

Après, je ne veux pas dire que c’est le produit qui est fautif, c’est peut être moi, qui en utilisant deux nettoyants en demande trop à ma peau le matin : peut être que ce produit irait mieux le soir, après le démaquillage avec la crème à la rose.

En tout cas je l’utilise maintenant deux fois par semaine, je verrai bien ce que cela donne. En tout cas la texture mousse est agréable à utiliser, c’est déjà ça !

En résumé, oui la peau est plus douce du fait du gommage chimique, par contre attention à ne pas trop en abuser si vous avez la peau très sensible.

Et vous, quel est votre gommage visage du moment ?

Bonne journée !

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Divide – Ed Sheeran

13 mars 201712 mars 2017

Ce jour là, j’étais arrivée assez tôt au travail, journée chargée, alors j’en partais assez tard.

Suffisamment tard pour me trouver piégée dans les multiples bouchons de la Ville Rose, bouchons d’autant plus multiples qu’aujourd’hui il ne m’est pas possible de prendre une route sans travaux pour me rendre au travail (ou pour en revenir).

Pourtant, je ne m’énervais pas, je profitais de cette période « tranquille » pour réfléchir sur ma journée et me détendre. Après tout, je n’avais pas de rendez-vous ou autre événement de planifié, quelle importance si je mettais deux fois plus de temps pour rentrer ?

Alors j’ai allumé la radio dans mon auto rouge, j’ai essayé d’éviter les publicités, et, ce soir-là, la première chanson que j’ai entendu, c’est « Shape of you », extraite du dernier album d’Ed Sheeran, Divide.

Comme je l’ai déjà dit de multiples fois sur ce blog, j’ai une culture musicale proche du néant, et je suis assez peu l’actualité en termes de musique.
Alors vous vous doutez bien que je connaissais Ed Sheeran de nom, sans vraiment savoir qui il est, ou quel est son style musical.

Pour enfoncer le clou, j’ai une très mauvaise mémoire des artistes et des titres des chansons, je ne sais pas bien pourquoi, cela ne me reste pas (tout comme les réalisateurs de films ou les scénaristes).
En général donc, j’entends une musique qui me plait, je ne me rappelle pas de qui la chante, du titre, et même parfois c’est l’air qui me manque, toutes ces joyeuses informations partent dans les méandres de mes circonvolutions cérébrales sans que j’ai pu explorer une quelconque piste.

Bon, vous vous doutez bien, au vu du titre, que cette fois ci je m’en suis rappelée, en rentrant j’ai écouté l’album complet sur la chaîne YouTube de l’artiste.

J’ai beaucoup aimé.

Alors j’ai décidé d’acheter le CD (ce qui en soit est quelque chose d’extraordinaire).

Et depuis je l’ai écouté un nombre incalculable de fois, je ne m’en lasse pas.

Je suis bien entendu incapable de vous dire ce que c’est comme musique, même si je vous dirais bien que ça sonne comme du pop folk (?), en tout cas l’album est un mélange de rythmes qui donnent envie de bouger et/ou danser (Castle on the hill, Shape of you, Galway Girl…), mais il y a aussi des balades, des chansons plus chargées émotionnellement (How would you feel, Perfect, etc.).

Un joli mélange, que j’aime beaucoup.

Du coup je vais me pencher sur les autres albums qu’il a fait, ce jeune homme.

Et vous, quel est votre dernier coup de cœur musical ?

Bonne journée !

PS : Et dans la série des éléments capitaux pour choisir un CD, je dois avouer que j’aime aussi beaucoup le graphisme et la couleur de la pochette de l’album…

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1Q84 – Livre 2 – Haruki Murakami

10 mars 20175 mars 2017

C’est étonnant : d’habitude, quand un tome d’une série de livres me plait, j’attaque le suivant tout de suite, frénétiquement.

Et là non.

J’ai laissé 48 heures passer avant d’attaquer le livre 2 d’1Q84. Je voulais laisser le monde, l’ambiance du livre 1 s’imprégner en moi, digérer la magie, me laisser le temps de réfléchir à ce que j’envisageais de la suite.

Une fois que tout me semblait clair dans ma tête, j’ai entrepris de lire le livre 2…

Dans le livre 2 d’1Q84, le tonnerre gronde. Aomamé et Tengo savent tous deux ce qu’est 1Q84, en font partie, et quelque chose d’essentiel se trame.

Quelque chose qui va sceller leur destin à tous les deux.

Car maintenant, on connait ce qui les unit, on l’appréhende plus précisément, les contours du lien se font plus tangibles presque.

Il y a une quête de justice, une recherche de l’autre, une interrogation sur le sens qui se fait plus pressante.

Et les Little People n’ont pas tellement l’air de vouloir faciliter les choses…

A chaque fois que je me livre à l’exercice, je trouve qu’il n’est pas facile de parler d’un tome deux, de poser son intrigue sans révéler ce qu’il se passe dans le premier.

Mais je crois pouvoir dire sans hésiter que j’ai adoré le livre 2, peut être encore plus que le livre 1 : la magie se libère, les sentiments aussi, la mélancolie est encore plus présente, et les événements pèsent sur l’histoire, sur les personnages.

On sent qu’il y a un vrai tournant qui se joue ici, que les décisions, les actes, les promesses ont un poids.

L’histoire est intense sans être trop stressante, elle est prenante, stimulante.

Le caractère et les spécificités de chacun des protagonistes se révèlent et se précisent encore, pour mon plus grand plaisir.

J’ai adoré et le livre 3 n’a qu’à bien se préparer : j’ai hâte d’en découdre avec les mystères d’1Q84…

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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