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Mousse nettoyante visage Nuage Céleste – Cattier

7 décembre 20164 décembre 2016

Je sais, je sais.

La dernière fois que je vous ai parlé d’un nettoyant visage, c’était le Bouquet floral de Melvita, et je vous avais dit que je ne jurais que par lui depuis des années.

Et c’est vrai.

Sauf que la dernière fois que j’ai voulu en racheter, impossible d’en trouver.

J’ai bien essayé de revenir au savon d’Alep le temps que j’en retrouve, mais non, c’était trop pour ma peau.

mousse-cattier-1

Alors j’ai acheté la mousse nettoyante visage Nuage Céleste de Cattier.

Et vous savez quoi ?

C’est une excellente alternative à la mousse nettoyante de Melvita !

La formule est douce, elle comprend des eaux florales et des protéines de blé. La mousse est onctueuse, et il n’y a pas besoin de beaucoup de produit, une pompe permet de se nettoyer le visage et le cou.

Dans la mesure où c’est un produit très doux il ne sera pas suffisant pour vous démaquiller, en revanche il est très bien pour le matin, il laisse la peau souple et propre.

mousse-cattier-2

Les différences avec la mousse Melvita (autres que la formule, bien entendu !):

  • Le prix : la mousse Cattier coûte environ 8€ pour 150ml contre 10-12€ pour 155ml pour la Melvita.
  • Le parfum : la mousse Cattier sent discrètement le bleuet, là où la Melvita sent plutôt l’eau de rose et de fleur d’oranger il me semble.
  • Le contenant : celui de Cattier est opaque alors que celui de Melvita est transparent, ce qui est plus pratique pour évaluer quand on doit en racheter.

Donc si vous cherchez un nettoyant doux, qui peut convenir à toutes les peaux, cette mousse nettoyante est très bien !

Et vous, avec quoi vous nettoyez-vous le visage le matin ?

Bonne journée !

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Big Magic – Elizabeth Gilbert

5 décembre 20164 décembre 2016

Voilà une éternité que j’ai Big Magic (Comme par magie en VF) dans ma liste de livres à lire : il m’a été plusieurs fois conseillé par des proches et des moins proches, et puis, ce n’est pas nouveau, les thèmes de créativité, création, inspiration me tiennent à cœur.

J’ai pendant longtemps tourné autour du pot, que ce soit pour l’acheter ou même le lire.

Et si je dois être vraiment honnête, je l’ai commencé un jour où j’avais envie de lire mais que rien ne me tentait, alors j’ai tiré au sort dans la liste des livres non lus de mon kindle.

Ça vous donne une idée de la situation de départ.

En fait, j’avais peur qu’il ne me plaise pas.

Parce que des livres sur la pratique artistique, j’en ai plein, et il n’y en a qu’un que je relis frénétiquement (Making art a practice de Cat Bennett, que j’ai relu au moins 3 fois cette année) (rien que ça). Alors la barre était haute.

Parce qu’on me l’a beaucoup conseillé et que si les gens me le conseillent c’est qu’ils pensent vraiment que ça va me plaire, alors c’est toujours un peu délicat de dire qu’on n’a pas aimé si cela arrive.

Parce que j’aime bien le style d’Elizabeth Gilbert pour de la fiction, pour Mange, Prie, Aime ou pour Committed. Mais pour un livre de ce type, je ne savais pas trop si j’allais aimer.

Et donc j’ai repoussé la lecture de ce livre.

big-magic

Par contre, une fois commencé, il a tenu 72 heures. Et j’ai pris des notes.

Donc j’ai aimé. Beaucoup même. Sauf la conclusion qui, à mes yeux, est complètement bâclée.

Big Magic, je crois qu’il vient compléter Making art a practice : si l’ouvrage de Cat Bennett focalise sur l’aspect pratique, la création en tant qu’exercice et renouvellement quotidien, Big Magic c’est le vécu intérieur du processus créatif et de ce qui va avec, depuis l’idée qui forme la genèse du projet, jusqu’à l’affrontement de notre peur, en passant par les questionnements quant à la reconnaissance, la gloire, la fortune, etc.

J’ai aimé les tranches de vie et les leçons d’Elizabeth Gilbert quant au processus de création, d’en apprendre un peu plus sur sa vision à elle de l’acte créatif, tout en bénéficiant de ses conseils.

Alors bien sûr, c’est un livre imprégné de la mentalité américaine en mode « tout est possible » et « ce n’est pas grave si vous vous plantez » : en soi, je suis assez d’accord avec l’idée, par contre certains trouveront peut être que le livre prône trop cette représentation de la vie très « American Dream ».

Pourtant je crois qu’il y en a un peu pour tout le monde dans ce livre, déjà parce qu’il s’adresse aussi bien à ceux qui pratiquent qu’à ceux qui ne se croient pas créatifs, ensuite parce qu’il y a des leçons de vie qui dépassent la simple sphère de la créativité.

C’est donc un livre que je relirai avec plaisir : il n’a pas été aussi déclencheur de changement qu’a pu l’être celui de Cat Bennett, pourtant je crois que les conseils distillés méritent qu’on leur accorde de l’attention.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Mes favoris du mois de Novembre 2016

2 décembre 20165 décembre 2016

Novembre avait bien commencé, et je dois avouer que c’est un bon mois ici, malgré quelques mauvaises nouvelles : je crois avoir pris le temps de me focaliser sur ce qui va bien, de chercher à améliorer ce qui était moins bon, et cela s’en ressent quant à la manière dont j’ai vécu ce mois !

Quelques nouveautés, un peu de renouveau, voici mes favoris pour le mois de Novembre qui vient de s’écouler.

La lecture

20-ans-apres

J’ai seulement lu deux livres ce mois-ci, mais les deux étaient excellents !

Le premier, c’est bien entendu Vingt ans après d’Alexandre Dumas. J’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver les mousquetaires, les intrigues et le ton de Dumas. C’est un gros coup de cœur pour moi, je vous le conseille chaudement si vous aimez les romans de cape et d’épée.

L’autre livre que j’ai lu est d’un style complètement différent, puisqu’il s’agit de Big Magic d’Elizabeth Gilbert. J’ai mis longtemps à me décider à l’acheter et à le lire, je craignais un peu de ce que j’allais y trouver. En fait j’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai lu en quelques jours, je vous prépare une revue pour bientôt à ce sujet !

Les carnets

moleskine-batman

Je vous ai montré dans un de mes articles une partie de ma collection de carnets, ceux que j’utilise pour y consigner mes réflexions sur ce que je vis, je que j’expérimente. Dernièrement en allant à la Fnac je suis tombée sur des Moleskine à l’effigie de certains super-héros, et j’ai pris celui à l’effigie de Batman.

Je ne vais pas vous mentir, je trouve ces carnets plutôt chers pour la qualité du papier (j’ai assez régulièrement des inconvénients quant à sa finesse en y écrivant exclusivement au stylo plume Parker que j’avais acheté à Montréal) (= parfois ça transperce et pour un carnet à 22€ et des brouettes ça m’ennuie) mais j’aime voir Batman (peut être ai-je été influencée par le slogan d’Anna Akana) (« Stay Awesome Gotham ») qui veille sur ma table de nuit. Comme quoi, même à 32 ans un peu de super-héros dans sa vie ne fait pas de mal.

J’ai aussi acheté un nouveau Leuchtturm 1917 puisque j’ai terminé le doré que j’utilisais pour mon bullet journal. J’ai eu un peu du mal à en trouver (pour les toulousains de l’assistance, il y en a chez Trait), je l’ai pris en noir et la version du papier est la « dotted » (= seuls les coins des carreaux sont signifiés par des points) et je trouve que c’est mille fois plus pratique que la version lignée. Bref, je l’aime beaucoup, je suis très contente de mon achat !

Les jolies choses de l’internet

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Source : Solange te parle

Côté francophone, j’ai découvert, mille ans après tout le monde, la chaîne Solange te parle. J’aime beaucoup son phrasé très lyrique et accentué (un peu comme Fabrice Luchini si vous voyez ce que je veux dire ?), et la douceur qui ressort de ses vidéos. J’en ai regardé je pense une petite dizaine, j’aime bien ses vidéos sur la culture, mais je crois que tout est bien. Et son chien s’appelle Truite, ce que je trouve extrêmement mignon.

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Source : Gamerzakh

Côté anglophone, je me suis souvent laissée prendre dans la série de vidéos (d’ailleurs il y en a une en « bruit de fond » au moment où j’écris cet article) Let’s Play de GamerZakh sur Civilization VI. Je n’ai pas un PC suffisamment puissant pour y jouer, d’ailleurs je n’ai jamais joué à un Civilization de ma vie (j’étais plus Age of Empires, les jeux par tour n’étaient pas mon fort) (sauf Fallout 1 et 2, mais on s’égare là), mais j’aime écouter Zakh et essayer de comprendre ses choix stratégiques (et sa voix est ultra reposante, je vous assure, c’est un plaisir de l’écouter).

L’inavouable (ou presque)

En fait, je ne sais pas trop bien comment amener ça, alors je vais le faire simplement : j’ai recommencé à faire des mots fléchés.

Et j’aime beaucoup ça.

Je pense que cet attrait me vient de mes parents, qui en faisaient pas mal (surtout l’été, sur la plage, en séchant entre deux bains de mer), et j’avais récemment renoué via un de mes collègues de travail qui faisait ceux des journaux gratuits entre midi et deux. D’ailleurs on avait mis en place une sorte de système par tour où chacun devait trouver un mot par tour de table c’était assez rigolo.

Maintenant je fais mes grilles le matin et/ou le soir, et je suis contente d’avoir renoué avec ça, c’est un passe-temps plutôt reposant.

Voilà pour mes favoris du mois, qui peut être vous inspireront ou vous feront découvrir quelques petites choses.

Et vous, quels sont vos favoris de Novembre ?

Bonne journée !

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Ruby Red Slippers Bubble Bar – Lush

30 novembre 201626 novembre 2016

Ruby Red Slippers est le dernier produit pour le bain que j’ai de chez Lush.

Et à vrai dire, je suis assez contente de ça, j’ai envie de tester d’autres choses, d’autres types de produits, de changer un peu d’horizon (et si vous avez des produits pour agrémenter le bain à suggérer, je suis toute ouïe !). Je dois avoir envie de changement en ce moment, j’en sais rien.

Ce que dit l'étiquette : "D'un coup de talon serti de rubis, saupoudrez votre bain de la magie pétillante du pays d'Oz."
Ce que dit l’étiquette : « D’un coup de talon serti de rubis, saupoudrez votre bain de la magie pétillante du pays d’Oz. »

C’est donc un pain moussant, en forme d’escarpin rouge, avec quelques paillettes. Avec, vous pouvez agrémenter généreusement trois bains de mousse.

Je n’ai pas grand chose à dire sur l’utilisation, c’est un produit facile à émietter et qui se dissout bien dans l’eau du bain, il y a beaucoup de mousse, c’est bien (enfin, j’aime bien).

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L’eau devient rouge pâle, je ne sais pas trop à quoi cela me fait penser en termes de couleur, peut être à une décoction d’hibiscus safranée ? J’ai trouvé aussi qu’il n’y avait pas tant de paillettes que ce que je craignais, ce qui est plutôt bien : pas de paillettes qui s’accroche à la peau et qu’on retrouve un peu partout.

Côté odeur, préparez vos narines, ça sent la fleur, l’œillet précisément, et ça sent fort, c’est une odeur plutôt capiteuse, une odeur de dame j’ai envie de dire.

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Et bizarrement, après avoir frôlé (j’exagère, mais vous voyez l’idée) le mal de tête dans votre bain, sur la peau il ne reste rien, pas un soupçon de fragrance, ce qui, pour ma part, m’a déconcertée et, aussi, je dois l’avouer, soulagée, les odeurs capiteuses n’étant pas ma tasse de thé.

En résumé, je ne suis pas convaincue : les bulles sont bien, la couleur change de ce qu’on peut avoir d’habitude, mais l’odeur est beaucoup trop forte pour moi.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Vingt ans après – Alexandre Dumas

28 novembre 201626 novembre 2016

Je vais vous faire une confidence. Après avoir lu les deux premiers livres de la saga La passe miroir (Les Fiancés de l’Hiver et Les Disparus du Clairdelune), les autres lectures m’ont parues fades.

Elles n’étaient pas mauvaises, loin de là.

Mais il manquait quelque chose.

J’avais envie de ce suspense, de cette aventure, de cet inconnu à la fin de chaque chapitre qui nous pousse à en lire encore un autre, juste pour savoir ce qu’il va bien se passer.
J’avais envie d’aventure, j’avais envie de curiosité, j’avais envie d’excitation.

Et s’il y en avait un peu, parfois beaucoup, ce n’était pas encore cela que je voulais.

J’avais cru vouloir quelque chose de différent pour me changer un peu les idées, pour faire faire une gymnastique différente à mon cerveau.

Ce n’est pas grave de se tromper. Et puis l’avantage avec les livres, c’est qu’on peut les relire plus tard, ils ne nous en veulent pas de les laisser patienter, que ce soit dans une bibliothèque ou une liseuse.

Alors j’ai regardé la liste de livres notée dans mon Bullet Journal, ces romans ou autres que je voulais lire. Je les ai soigneusement sélectionnés pour ce qu’ils paraissaient pouvoir éveiller en moi, il devait sans doute y avoir quelque chose qui corresponde à mes envies, non ?

J’ai regardé ce que j’avais dans mon Kindle et il y a eu cette évidence.

Alexandre Dumas.

Mais c’est bien sûr ! Quoi de mieux pour de l’aventure que la suite des Trois Mousquetaires ?

– – – – –

Vingt ans après, c’est un contexte politique différent du premier opus : nous voilà plongés dans la Fronde, la France est écartelée entre le soutien au cardinal Mazarin, et celui aux princes.

La guerre civile est plus ou moins tapie, elle menace, et les quatre amis que nous avions laissés ne sont pas épargnés. A vrai dire, le groupe est quelque peu coupé en deux : d’Artagnan et Porthos pour Mazarin, Aramis et Athos pour les princes.

Vingt ans après, ce sont aussi des héros qui ont vieilli, pas forcément en bien, pas forcément en mal non plus : ils ont changé. Pour les Mousquetaires, l’insouciance et la fougue de la jeunesse ont laissé place à d’autres sentiments, d’autres préoccupations, celles de la maturité : un fils, un titre, des amours ou la reconnaissance qui était due et qui n’est pas encore arrivée.

Il faudra bien que l’Angleterre et le fils de Milady s’en mêlent pour que ces quatre-là se retrouvent et voyagent côte à côte…

20-ans-apres

Vous savez, ce roman, c’est un peu comme quand on retrouve quelqu’un qu’on n’a pas vu depuis longtemps : cette personne a changé, vous aussi, vous avez maintenant des divergences qui n’existaient pas avant et pourtant, là, il y a toujours cette amour indicible pour cette personne, cette fraternité peut être un peu utopique.

J’ai beaucoup aimé ce roman, qui a, je trouve, encore plus d’intrigue, de rebondissements que le précédent. D’Artagnan, Athos ( :love: ), Porthos et Aramis sont drôles, ils sont tristes, ils sont loyaux, ils ont encore cette ruse et cette malice qui n’appartient qu’à ce groupe.

Le contexte et les scènes sont toujours délicieusement décrits (la critique/analyse politique !), s’en est tellement bon qu’il y a une teinte extraordinaire : je ne veux pas spoiler, mais il y a quelqu’un qui perd la tête, et vraiment, vraiment, je crois que je n’aurais jamais pu m’attendre à cela.

J’ai adoré ce roman délicieusement aventurier, étonnamment fraternel. Je vous le conseille chaleureusement, il gagne à être plus connu (*).

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

(*) Petit clin d’œil à mon papa qui s’étonnait que je lui précise au téléphone que je lisais « Vingt ans après, enfin la suite des Trois Mousquetaires« , alors qu’il y a peu je ne savais même pas que ce livre existait (et que j’ose croire ne pas être la seule dans ce cas) …

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Craft day #16 : la production de Novembre

25 novembre 201624 novembre 2016

Certains mois je déborde de créativité, d’idées, et malgré tout le temps dont je dispose et que je dédie à la pratique, j’ai parfois du mal à suivre.

Et puis il y en a d’autres, comme ce mois de Novembre, où je ne sais pas trop bien vers quoi je me dirige, j’essaie plein de choses, il y a parfois de gros ratés, parfois de bonnes surprises, je fais de l’acrylique, de la gouache, de l’aquarelle, du dessin…

Bref, je fais un peu de tout et je pédale un peu dans la choucroute (quelle drôle d’expression quand même quand on y pense…).

Novembre, c’était un peu ça : faire un peu de tout sans trop savoir ce que je fais réellement.

Voilà donc ce qui est ressorti de ces errances créatives.

Je tiens aussi à préciser que déjà, en temps « normal » ce n’est pas forcément évident de prendre en photo une création artistique (c’est un peu comme prendre une photo de son maquillage, tout à l’air plus « fade » et moins « fondu » si vous voyez ce que je veux dire ?), et bon, la luminosité de ces derniers temps ne rend pas les choses faciles.
Toutefois je pense que les photos donnent une représentation assez fidèle de la réalité, donc on va faire comme si tout était bien, d’accord ?

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Et vous, vos productions artistiques ?

Bonne journée !

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Sparkly pumpkin bubble bar – Lush

23 novembre 201619 novembre 2016

Comme je vous le disais la semaine dernière, si pour Father Christmas j’étais en avance, je suis un peu en retard en ce qui concerne l’adéquation entre les produits et la période de l’année pour Sparkly pumpkin puisque qu’il s’agit d’un pain moussant dans l’esprit d’Halloween.

Ce que dit l'étiquette : "Sculptez-vous un bain moussant aux baies de genièvre et au citron vert."
Ce que dit l’étiquette : « Sculptez-vous un bain moussant aux baies de genièvre et au citron vert. »

Sparkly pumpkin est donc, comme son nom l’indique, un bain moussant en forme de citrouille, bien orange et bien pailleté ( :love: ).
Avec, vous avez de quoi mettre plein de bulles dans 4 bains, et vous obtiendrez une mousse bien généreuse.

Côté couleur, l’eau devient légèrement orangée, et vous aurez aussi quelques paillettes (tenaces dans un premier temps, je vous l’annonce tout de suite) en supplément.

A vrai dire, vous commencerez, dès que vous émietterez le produit sous le jet d’eau du robinet, à avoir plein de paillettes sur les mains, mais bizarrement, vous n’en aurez pas (ou très peu) en sortant de l’eau, et la baignoire ne finit pas non plus en mode « boule à facettes ».

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Le côté un peu étonnant de ce pain moussant, c’est plutôt l’odeur : à la fois légèrement épicée, plutôt fraîche bien qu’un petit peu sucrée.

C’est surprenant, et si je retrouve les notes de citron vert, je ne saurais me prononcer sur le reste. Quoi qu’il en soit c’est un parfum plutôt réussi, ni entêtant, ni écœurant, j’aime bien.

Pas de peau sèche en sortant à déplorer en sortant du bain, ni de peau hydratée d’ailleurs. Pain moussant plutôt standard de ce côté là donc.

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En résumé, un produit qui m’a bien plu : j’ai aimé la mousse généreuse et le parfum du pain moussant, je vous le conseille s’il est encore en magasin.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Les souvenirs

21 novembre 201619 novembre 2016

La semaine dernière, à la faveur d’un temps pas forcément propice à la promenade, je me suis enfin attelée à réaliser certains albums photos.

Je dispose de photos qui patientent depuis plusieurs années pour certaines dans des répertoires de mon ordinateur, voire des disques externes que j’utilise pour mes sauvegardes, ce qui veut dire qu’elles attendent leur heure depuis plus de 7 ans…

Et si j’aime la facilité du numérique pour certaines choses, ce n’est pas vraiment le cas pour la photographie.
En fait, je ne regarde que très rarement les photos que j’ai sur l’ordinateur, j’ai bien plus tendance à aller chercher les albums photos papier que j’ai pu faire.

Le papier est mon support de prédilection.

Quand je fais un album photo, je vais, bien entendu, en priorité me tourner vers les photos, qui viennent immortaliser un épisode du voyage, une ambiance, une vue, une situation.
Mais je cherche aussi à me rappeler des anecdotes, des sentiments, des discussions. Pour cela, je me replonge dans mes journaux intimes que je remplis, plus ou moins scrupuleusement, depuis des années.

souvenirs-albums

La semaine dernière, j’ai donc réalisé deux albums. L’un sur une croisière en Méditerranée que j’ai fait en 2010 avec une amie et un autre sur les quelques jours que j’avais passé en 2013 à Arcachon et à Bordeaux.

Pour les deux, je voulais mixer à la fois les photos et les textes afin de véritablement à la fois raconter l’histoire du voyage, son déroulé, mais aussi les petites histoires qui les ponctuent et leur confèrent de la singularité, les anecdotes.

Pour chaque album, j’ai commencé par m’occuper des photos : retoucher les couleurs, la luminosité, les classer par date ou site. C’est une manière pour moi de me remettre dans l’ambiance, de rappeler à ma mémoire les petites bribes sensorielles que j’ai emmagasiné.

Et je dois avouer que c’est étonnant de revivre un voyage par les images, au moment où on les sélectionne : parce qu’il y a des choix à faire pour ne garder que le plus significatif, et pourtant parfois ce n’est pas la meilleure photo qui rend compte de l’anecdote ou du sentiment de ce moment-là.

Il y a aussi le fait de se rendre compte du temps qui passe, de notre évolution depuis que le cliché à été pris : quand j’étais partie en croisière avec mon amie, je faisais encore très régulièrement des crises de panique, j’étais assez mal dans ma peau et c’est quelque chose que je vois dans les photos.
Je n’ai pas honte de cela, c’est une part de mon histoire.

Et puis il y a aussi ces sourires, ces regards doux, des clichés avec une drôle d’histoire.

Comme par exemple cette photo que mon amie avait prise de mes jambes et de mes pieds, à Savone, comme une revanche face à mes protestations parce que je n’aime pas être photographiée : ce cliché n’est pas forcément beau, d’ailleurs il n’a aucun intérêt stylistiquement parlant, mais il a une histoire. J’ai choisi de ne pas le mettre dans l’album final, mais je suis contente de l’avoir retrouvé.

Il y a aussi cette photo en noir et blanc (la dernière dans l’article en lien) sur les quais de Bordeaux, près du miroir d’eau, de ce couple de petits jeunes qui s’embrassent fougueusement, blottis l’un contre l’autre pour se protéger du vent frais peut être, mais aussi, enfin j’aime à le croire, de l’extérieur.

Je ne connais pas ces petits jeunes. Mais je trouvais que c’était une jolie image, une jolie représentation de cette pulsion qui nous pousse vers l’autre, à être vulnérable pour se sentir en sécurité ensemble. Celle-là, pourtant il y a du bruit dessus, je l’ai mise dans l’album. En grand. Parce qu’elle m’émeut. Énormément.

Peut être que le choix d’une photo pour un album c’est bien plus subtil qu’on ne le croit.

souvenirs-carnets

Après les images, je suis allée chercher les histoires, celles que j’ai écrites. Que ce soit un film vu après la dernière photo du jour, une difficulté retranscrite avec la main qui tremblotte encore un peu ou quelques mots d’une discussion.

Je vais d’abord chercher dans mes carnets, et puis, si j’y pense, sur le blog pour les voyages récents. Là je n’y ai pas pensé, alors j’ai juste regardé les carnets.

J’ai trouvé quelques petites choses, pas beaucoup. Pour ces deux voyages je n’avais pas encore pris l’habitude d’écrire ce que je ressentais, ce que j’expérimentais. Ce n’est pas grave.

Poser ses souvenirs c’est aussi accepter leur imperfection.

D’ailleurs, bien plus que les histoires que j’ai trouvées dans les carnets, ce sont les quelques pages parcourues de-ci, de-là, juste pour le plaisir de relire quelques sentiments de ces périodes-là, qui m’ont marquée. J’ai pris conscience de certaines choses que je ne voulais pas voir, je me suis souvenue d’épisodes que je croyais oubliés et qui pourtant ont résonné au creux de moi comme au premier jour.

On m’a plusieurs fois demandé pourquoi je « m’embêtais » à faire des albums photos, à écrire dans un journal, et si je les regardais / relisais.

Et à la lumière de ces quelques jours à travailler sur ces deux albums, sans que cela ne m’ennuie d’aucune façon (j’ai beaucoup souri et ri pendant que je les confectionnais), je peux dire que c’est juste pour me souvenir.

Me souvenir du bon, du mauvais, de l’évolution, de qui je suis, de ce que j’ai expérimenté, de ce que j’ai appris.

Me souvenir de ces instants fugaces quand on les vit et qui pourtant s’impriment quelque part, en nous, pas que sur du papier.

Les petits riens forgent de riches existences… Et de merveilleux souvenirs.

Bonne journée !

PS : En photo, quelques albums déjà réalisés (les deux que j’ai faits devraient arriver cette semaine) et une petite partie de ma collection de carnets personnels, supports aux souvenirs…

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La variante chilienne – Pierre Raufast

18 novembre 201614 novembre 2016

Ce que j’aime avec les blogs, c’est la possibilité d’interagir en commentaires : j’aime ce dialogue qui se noue, cet espace où chacun y va de son expérience, de sa suggestion. Je crois d’ailleurs que c’est le principal intérêt d’un blog, de pouvoir engager une discussion avec la communauté qui se crée au fil des articles.

Dans la section commentaires de l’article sur La fractale des raviolis de Pierre Raufast, Bibliblogueuse avait laissé un petit mot pour suggérer que le deuxième livre de l’auteur, La variante chilienne, était dans la même veine et qu’il me plairait sans doute.

J’aime bien que l’on me suggère des livres. Je crois que quand on conseille un livre, on met déjà en avant un peu de soi, on s’expose un petit peu et on cherche aussi à toucher l’autre, parce que l’on a pris en compte ses goûts avant de proposer un titre.

Merci à toi donc Bibliblogueuse d’avoir suggéré le livre qui est le sujet de l’article !

– – – – –

La variante chilienne, c’est l’histoire de Pascal. Pascal est un professeur de littérature, un peu désabusé : des choses, il en a vu dans sa vie, il s’impressionne peu facilement. Aussi pour ses deux mois de vacances d’été décide-t-il de déconnecter avec le quotidien et de louer un gîte au milieu de nulle part, incognito.

La variante chilienne, c’est aussi l’histoire de Margaux. Margaux, on se sait pas trop bien pourquoi, mais elle est quelque peu paranoïaque. C’est une élève brillante, un peu dans son monde, un peu torturée, un peu dans un monde torturé. Elle est une des élèves de Pascal. Elle fuit sa maison, son père pour s’enfermer dans la vallée de Chantebrie avec son professeur, ses livres, son ordinateur et son petit carnet.

La variante chilienne, c’est encore, peut être surtout, l’histoire de Florin. Florin c’est un drôle de personnage, le seul voisin du gîte. Florin collectionne deux choses, les pipes et les cailloux, chacun bien à sa place dans sa maison.

Ces trois histoires vont se retrouver dans des échanges et une amitié incongrue, sur fond d’histoires.

Mais pourquoi Pascal et Margaux se retrouvent-ils ici ? Pourquoi Florin collectionne-t-il les cailloux ?

la-variante-chilienne

Quand j’ai commencé le livre, je me suis demandé si j’allais me retrouver dans une histoire fortement inspirée de Lolita de Nabokov tout en étant franchement farfelue.

Si j’ai vite compris que le livre n’avait franchement rien à voir avec Lolita, en revanche pour le côté farfelu j’ai été servie : La variante chilienne se place effectivement dans le même style de roman que La fractale des raviolis avec un enchevêtrement d’histoires plus étonnantes les unes que les autres, contenues dans une grande histoire, celle de ces trois personnages qui se découvrent et s’apprivoisent.

Il y a peut être plus de profondeur dans La variante chilienne, parce que certaines histoires ont parfois un fond un peu triste, mais on ne tombe pas dans le pathos, on reste dans quelque chose de léger, de dynamique, dans du partage de tranches de vies singulières.

J’ai bien aimé aussi la thématique du choix comme moteur de la vie qui transparaît plus ou moins ouvertement dans les histoires, et en particulier dans les décisions prises par les protagonistes.

En résumé, j’ai bien aimé ce roman qui change de ce que l’on peut lire d’habitude : c’est rythmé, il y a de la fantaisie et les personnages sont colorés. Si vous aimez le genre, je vous le conseille !

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Father Christmas bath bomb – Lush

16 novembre 201612 novembre 2016

Comme je vous l’ai dit il y a quelques temps, la dernière fois que je suis allée dans une boutique Lush les produits pour Halloween et Noël étaient déjà en rayon.

Alors si je suis un peu en retard pour un des bains moussants que j’ai acheté lors de cette visite (en forme de citrouille…), je suis plutôt en avance pour la Father Christmas bath bomb, qui comme son nom l’indique est une ballistics à l’effigie du Père Noël !

Ce que dit l'étiquette : "Rien de tel qu'un bain en fête grâce à une superbe couleur verte et une délicieuse odeur de barbe à papa."
Ce que dit l’étiquette : « Rien de tel qu’un bain en fête grâce à une superbe couleur verte et une délicieuse odeur de barbe à papa. »

C’est une grosse boule rose pâle et blanche qui ne laisse pas présager de la couleur de l’eau : en effet, le bain devient couleur émeraude une fois la boule dissoute ! Si cela est plutôt surprenant, j’avoue que je trouve la couleur vraiment réussie, le vert est très joli.

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Côté odeur, c’est un parfum de barbe à papa un peu déconcertant, musqué j’ai envie de dire, qui s’en échappe : personnellement je suis plus adepte des senteurs moins sucrées, mais c’est tout à fait approprié pour les fêtes de Noël (même si pour ma part à cette période je suis plus axée sur les épices).

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Un petit désagrément à noter, cette ballistics a tendance à assécher la peau, ce qui est dommage pour un produit d’hiver : la peau est déjà malmenée par le froid, un peu de beurre de cacao aurait été le bienvenu pour l’aider à passer les frimas je trouve.

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Au final, si la ballistics offre un bain d’une jolie couleur, je ne suis pas forcément emballée par l’odeur et le fait que le produit désèche la peau : ce n’est pas une mauvaise expérience, mais je ne le rachèterai pas.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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