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Le matériel que j’utilise pour mon bullet journal

22 août 201622 août 2016

Comme convenu, voici le deuxième volet en ce qui concerne mon bullet journal : aujourd’hui je vais vous parler du matériel que j’utilise au quotidien. Je vais découper l’article en trois sections : le journal, les stylos et les masking tape. Pour chacun, je vous dirais pourquoi j’ai choisi ces outils là et pas d’autres, et je vous proposerai des alternatives.

Je tiens cependant à rappeler que vous n’êtes pas obligés d’acheter ce matériel pour avoir un bullet journal qui vous correspond : si vous avez un stylo et un cahier / journal / carnet, vous êtes prêts à commencer ! Mais comme j’aime fouiner des heures dans les rayons des stylos et des carnets et que j’aime beaucoup la papeterie, j’ai volontairement choisi des outils que j’utilisais (ou pensais utiliser) avec plaisir.

Le journal

Mnemosune bujo 1

Comme je le disais dans le précédent article sur le sujet, j’utilise  comme support un Leuchtturm 1917 en format A5 pour mon bullet journal. Je crois que c’est une édition limitée dorée, que j’ai acheté à la Fnac. Il n’existe qu’en version lignée pour cette couleur.
Il existe plusieurs types de pages pour ces carnets : lignés, quadrillés, à points (« dotted », ce qui veut dire qu’il y a des points aux coins des carrés mais rien d’autre) et il me semble qu’il y a une version avec des pages complètement blanches aussi. Il y a d’autres formats (A4 et A6 pour sûr), mais je trouve le format A5 plus pratique à transporter.
A noter aussi, il existe une version officielle du bullet journal dans la gamme, développée avec le créateur de la méthode, Ryder Caroll.

J’ai choisi ce carnet pour plusieurs raisons :

  1. Les pages sont déjà numérotées, ce qui m’évite à le faire :  j’ai beau être très motivée par le système, je n’ai pas du tout envie de numéroter 250 pages à la main.
  2. Il dispose de 3 pages d’index en début de carnet : pareil que pour le point précédent, ça m’évite de le faire.
  3. Le papier est plutôt de bonne qualité : si on voit par transparence ce qu’il y a écrit de l’autre côté de la page (« ghosting ») (cela ne me dérange pas, après à vous de voir si cela vous gêne), j’ai beau utiliser des stylos qui posent beaucoup d’encre sur le papier, cela ne traverse pas (« bleed through »).

Pour le prochain je pense que je prendrais une version à points, qui sera plus pratique pour tracer les lignes verticales (si cela vous intéresse, ce sont les versions qu’utilisent Kara de Boho Berry et Jessica de Pretty Prints and Paper).

En alternative, tout carnet peut convenir, par contre si vous utilisez des stylos qui posent beaucoup d’encre (feutres, stylos plume…) veillez à la qualité du papier : je sais d’expérience que les Moleskine par exemple laissent traverser l’encre des stylos plume, par contre les May Designs et Foxy Fix sont réputés pour bien tenir la charge en couleur. A vous de voir donc !

Les stylos

J’utilise plusieurs types de stylos pour écrire ou décorer mon bullet journal. Voici mes préférés.

Faber Castell Pitt Artist Pens Black

Mnemosune materiel bujo 1

A la base j’utilisais un Broadpen de la même marque, mais depuis que je suis passée aux Pitt Artist je crois que je ne reviendrais pas en arrière ! J’utilise principalement les tailles M et S au quotidien : M pour les vues journalières et les titres de collections et S pour les notes des collections et quand j’ai besoin d’écrire plus petit (cf. l’échantillon avec mon écriture ci-dessus).

J’ai choisi ces stylos pour les raisons suivantes :

  1. Je souhaitais du noir vraiment noir et qui se voie bien : ces stylos sont à l’encre de chine, le noir est donc très intense.
  2. Je souhaitais un stylo qui ne bave pas : une fois que c’est écrit, vous pouvez surligner, passer du feutre par dessus, cela ne bouge pas.
  3. Enfin je voulais un stylo avec une bonne durée de vie : j’utilise des Faber Castell depuis 6 mois, j’ai eu 2 Broadpens et là je viens de commencer le set de Pitt Artist, ce qui veut dire qu’en utilisation quotidienne, un stylo me dure 2 mois et demi voire 3 mois.

A noter, vous pouvez les acheter en sets ou à l’unité, notamment dans les magasins de loisirs créatifs.

Dans le même genre, les Micron sont plutôt de bonne facture. Vous pouvez aussi opter pour des Staedler Triplus Fineliners (dont je parle juste après) et il y a des équivalents chez Stabilo aussi. Si vous préférez les stylos à encre gel (attention aux bavures…), ceux de Muji sont bien, sinon il existe d’autres marques moins onéreuses dans le commerce (Pilot juice, Pentel Roller gel, etc.).

Staedtler Triplus Fineliners

Mnemosune materiel bujo 2

Pour ceux-ci, je confesse à la fois une frustration d’ancienne élève (je les avais vus pendant mes études, par contre ils sont un peu onéreux et donc je ne voulais pas trop mettre d’argent dans de simples « stylos ») et l’esthétique « bullet journal et studyblr » qui ont frappé. Ce sont les stylos que j’utilise pour mettre un peu de couleur dans les vues journalières, pour remplir le tableau de suivi d’habitudes et la vue mensuelle.
Je gribouille souvent avec.

Pourquoi je les ai choisis :

  • Je trouve la forme triangulaire particulièrement agréable à utiliser.
  • Les couleurs sont très vibrantes, vraiment jolies je trouve.
  • La pointe 0.3 mm permet d’être précis et elle est ni trop souple, ni trop ferme, c’est très agréable d’écrire avec.

En alternative, vous pouvez aller voir du côté des marques que j’ai cité dans le paragraphe précédent. A noter aussi, pour de la couleur, les crayons de couleurs et feutres marchent très bien aussi !

Faber Castell Pitt Artist Pen B (couleur)

Mnemosune materiel bujo 3

A la base j’ai acheté ce set de feutres pour mes loisirs créatifs et non pas pour mon bullet journal et je les adore ! Je les utilise pour remplir l’humeur dans mon suivi d’habitude et quand je veux faire de jolis titres (« brush calligraphy »). C’est une pointe pinceau vraiment agréable à utiliser, les couleurs sont un peu moins vibrantes que les Staedtler, mais c’est un très très beau set de feutres à l’encre de chine.
A noter, je vous conseille fermement de stocker ces feutres à l’horizontale pour qu’ils restent bien beaux (idem pour les autres de la gamme Pitt Artist) : j’ai des Lyra Aquabrush duo que j’ai conservés à la verticale, et cela a altéré les couleurs et les pointes…

En termes d’alternatives, tout set de feutres convient : j’ai notamment un set de feutres Stabilo que j’utilise pour tracer la grille de ma vue mensuelle et ils sont très bien ! A noter, il existe aussi des feutres qui ont à la fois une pointe pinceau et une pointe feutre, ce qui peut être une bonne alternative (voir du coté des Tombow dual brush, Lyra Aquabrush duo, etc.).

Le masking tape

Mnemosune materiel bujo 4

Le masking tape fait partie de ces choses jolies dont je ne savais pas trop quoi faire et qui ont maintenant une utilité dans mon bullet journal (entre autres) : j’ai donc utilisé ceux que j’avais dans mon stock pour catégoriser mes pages (cf. image ci-dessus *).

C’est complètement facultatif et vous pouvez le remplacer par du feutre, des petits coins de couleur, des marque pages (type post-it flags, avery page flags, etc.) selon vos besoins.

Sources de mes masking tape, du haut vers le bas :

  • Lovely dozen #5 (c’est dire si je l’ai depuis longtemps celui-là !). Il y a le même genre sur le site yozocraft.com, c’est du fabric tape (= du tissu collant)
  • Chouette kit # 8
  • Chouette kit (mais je n’arrive pas à me rappeler lequel, peut être le 8 aussi…)
  • Lovely dozen #3
  • Les quatre derniers viennent, je pense, du site maskingtape.fr et faisaient partie d’un set avec un autre rouleau, plus large, de couleur corail.

Voilà pour le matériel que j’utilise au quotidien, ou presque, pour mon bullet journal.

Comme je vous le disais en début d’article, mis à part un carnet et un stylo, vous n’avez besoin de rien d’autre pour faire un bullet journal : il n’est pas nécessaire d’avoir des outils chers pour qu’il soit joli, ni d’avoir une foultitude de stylos pour que le système soit efficace, c’est un choix personnel en fonction de ce que j’aime et de mon budget, libre à vous d’adapter le système à votre personnalité, votre système et vos contraintes !

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à m’en faire part, j’essaierai d’y répondre dans la mesure du possible. Et si vous avez raté la présentation de mon bullet journal, vous pouvez y accéder ici.

Bonne journée !

* Pour ceux qui se posent la question de « Kinésiologie » ce sont les cours que j’ai pris pendant deux ans. Si cela vous intéresse, je peux faire quelques articles là-dessus pour expliquer ce que c’est.

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Mon bullet journal

8 août 201617 août 2016

Aujourd’hui, on va parler d’un de mes sujets favoris, à savoir l’organisation, notamment via le système du bullet journal que j’expérimente depuis février.

J’ai la réputation d’être quelqu’un de super organisé, ce qui n’est, en fait, qu’un moyen pour moi de ne pas me laisser envahir par ma tendance bordélique, les impulsions de créativité qui me submergent sans crier gare, et une certaine tendance à procrastiner qui ne va pas trop bien avec mon perfectionnisme.

En gros, je m’organise pour moins me stresser toute seule et être un petit peu plus sereine.

Pendant longtemps, j’ai utilisé la bonne vieille technique de l’agenda avec les listes sur les feuilles volantes ou autres post-its : cela marchait plutôt bien quand j’étais étudiante (quoique, l’heure de colle que j’ai eu en histoire géo parce que je ne faisais pas mes devoirs va sans doute à l’encontre de ce que je viens de dire…), mais quand j’ai attaqué la vie active, le système a commencé à montrer ses limites : certains jours je gaspillais du papier parce que je n’avais rien de spécial à faire, et d’autres j’entassais les post-its parce que je voulais faire 3 milliards de trucs ce jour-là.

Si le fait d’avoir une liste démentielle de choses que vous voulez faire le week-end vous dit quelque chose, alors vous devez comprendre de quoi je parle.

J’avais donc un agenda et je ne sais combien de journaux et autres blocs qui traînaient un peu partout, que j’oubliais quelque part et donc ce qu’il y avait écrit dessus avec.

Je vous laisse imaginer à quel point cela a pu devenir problématique quand j’ai repris mes études en parallèle du travail, c’était assez… intéressant.

C’est en début d’année que j’ai commencé à m’intéresser au concept de bullet journal : littéralement c’est un journal de liste à puces, mais en fait c’est mille fois plus que cela.

Tout simplement parce que vous pouvez en faire ce que vous voulez.

Alors bien entendu il y a des bases, telles que l’index pour référencer le contenu du journal, la légende qui permet de savoir à quoi correspond une puce, les vues mensuelles / hebdomadaires / quotidiennes, les enregistrements pour plus tard (futur log, que je n’utilise pas) et puis il y a les collections. Ryder Carol, celui qui a posé un nom sur tout ça vous l’expliquera bien mieux que moi, je vous renvoie donc vers son site et la vidéo qui va bien (en anglais, mais les images valent mille mots non ?).

Et donc depuis Février je pratique : mes pages ont beaucoup changé depuis que j’ai commencé, j’essaye régulièrement de nouvelles choses et je regarde ce qui me convient ou pas. L’adaptation c’est un peu la clé de ce système je crois.

Voici donc comment je l’utilise et à quoi il ressemble …

Mnemosune bujo 1

Voici mon bullet journal, qui est un peu abîmé parce que je le traîne partout.
Je reviendrais dans un prochain article parler de ce que j’utilise comme journal et comme fournitures, parce que je voudrais que, quand même, l’article ne soit pas trop long (je sais, c’est très mal parti).

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Le bullet journal s’ouvre sur un index, qui me permet de référencer ce qu’il y a aux différentes pages et de ne pas avoir à chercher pendant des heures.

En vrai je ne référence pas vraiment tout, seulement le principal, après j’ai un code couleur pour me repérer.

Mnemosune bujo 3

Ensuite, tous mes mois commencent par une double page sur mes intentions de Desire Map : je fais la revue du mois précédent sur la page de gauche, et sur la page de droite je détermine mes intentions du mois à venir. Cela me permet d’avoir plus de cohérence dans mes actions.

Mnemosune bujo 4

Après cela, j’ai une page de « souvenirs » (idée que j’ai vu chez Kara de Boho Berry) qui regroupe tout ce qui s’est passé d’intéressant. En mai j’étais à Montréal donc forcément il y a beaucoup de choses qui se rapportent à cela, mais pour les autres mois je garde une trace de certaines sorties avec les copains, si je suis allée au cinéma, si j’ai affronté une de mes peurs, etc. J’essaie globalement de garder cette page résolument positive.

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En face, se trouve la page qui me permet de suivre mes habitudes (idem, idée vue chez Kara). Elles sont découpées en 3 catégories : les habitudes du matin, ce qui me fait du bien et que je peux faire dans la journée, et les habitudes du soir. La dernière ligne est consacrée à mon humeur : j’essaie de voir s’il y a une régularité dans mes fluctuations d’humeur et de voir ce que je peux faire pour les atténuer. Les couleurs utilisées pour signifier que j’ai réalisé une activité sont les mêmes que pour mes vues journalières.

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Depuis juillet j’ai ajouté une vue mensuelle, que je n’utilisais pas avant, parce que je me suis rendue compte qu’en ce qui concerne le blog et le soin que je m’apporte, j’ai plus tendance à être assidue si j’ai une vue mensuelle en face de moi.
J’y mets aussi les événement du mois, tels les anniversaires et les RDV (vous noterez à ce titre, que j’ai même mis des événements pour des jours qui n’existent pas en Août !).
Les post-its c’est pour me donner de la flexibilité concernant le blog : je positionne les articles sur les post its et quand ils sont écrits, je mets au stylo le titre dans la case (et je me débarrasse du papier). C’est plus net que si je mettais des flèches partout ou si j’écrivais au crayon (perfectionnisme, tout ça)…

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Voici à quoi ressemblent mes vues journalières : tous les soirs je prépare une liste pour le lendemain des activités que je voudrais mener. A noter, j’utilise l’ancienne légende du bullet journal où les cases sont des tâches et les points sont des événements : je trouve que c’est plus parlant comme ça, et puis j’aime bien colorier ma petite case.

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Chaque vue journalière présente une base : le temps du jour avec les températures minimales et maximales,  le volume d’eau (chaque petit carré représente 0.25 l, je m’arrange pour boire 2L d’eau par jour), les fleurs de Bach que je prends (en ce moment 2 fois/ jour) et mon humeur (un carré = basse, 2 carrés = moyenne et 3 carrés : bonne) que je reporte dans mon suivi d’habitudes.

Cela a peut être l’air compliqué ou consommateur en temps, mais en fait je dois passer grand maximum 30 minutes par mois pour préparer les vues mensuelles, et par jour peut être 10 minutes ?

Mnemosune bujo 9

Enfin il y a les collections, qui sont des pages où vous pouvez mettre ce que bon vous semble. Ici ce sont mes deux premières collections, une pour les livres que j’ai lu (que je vais revoir sans doute, il y a des choses qui ne me plaisent pas dedans), et une autre pour ceux que je souhaite lire.

Mnemosune bujo 10

Cette collection là est pour me mettre à courir, ce que je n’ai pas fait depuis que je l’ai écrite, mais cela me permet de vous montrer une autre façon de customiser votre bullet journal : en haut de page j’utilise souvent du washi/masking tape et celui-ci me permet de savoir quelle catégorie de collection il s’agit (les loisirs sont en violets à pois blancs, la santé c’est celui-ci à fleurs, les voyages sont en vert fluo, etc.).

Sur le côté de la page, vous verrez qu’il y a une petite ligne colorée : c’est un code couleur qui me permet de savoir de quel type de page il s’agit sans avoir à regarder le masking/washi tape.

Voilà, je crois que j’ai tout dit pour l’instant pour ce qui est de mon système. Si vous avez des questions, n’hésitez pas, je me ferai un plaisir de vous répondre.

Je vous laisse avec quelques inspirations (en anglais) de bullet journal que j’aime bien.

  • Kara : http://www.bohoberry.com/
  • Jessica : https://prettyprintsandpaper.com/
  • Cheyenne : http://studyrose.tumblr.com/tagged/my-bullet-journal
  • CJ : http://successaesthetics.tumblr.com/tagged/my_bullet_journal

Bonne journée !

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Revue du web #29

12 octobre 2014

Ces deux dernières semaines, j’ai limité mes déambulations sur la toile à mes favoris, aux blogs que je lis souvent. Pas de grosse découverte en termes de blog, plutôt des jolies idées à glaner ici et là dans mes visites quotidiennes (ou presque, ça dépend du nombre d’heures que j’ai passé sur l’écran) dans lesquelles j’espère que vous trouverez des choses qui vous inspirent aussi !

Sources : Cléa cuisine, Pandora, A Beautiful Mess et Sincerely, Kinsey.
Sources : Cléa cuisine, Pandora, A Beautiful Mess et Sincerely, Kinsey.
  1. J’aime bien les associations en cuisine qui paraissent improbables. Je ne sais pas trop pourquoi, peut être parce que cela met un peu de fantaisie là où parfois j’en manque. Toujours est-il que les cupcakes chocolat-potimarron de Cléa ne me laissent pas de marbre. Comment résister à l’envie de goûter un glaçage pareil ?
  2. En ce moment je me maquille assez peu et pourtant ce sont les maquillages chargés qui attirent mon attention. Une éternité que je n’ai pas fait un smoky, ni même un petit trait d’eye-liner. Mais le maquillage des yeux de Louise dans cette série de photos me plait beaucoup, vraiment. Et son rouge à lèvres est très joli aussi, je trouve.
  3. Quand je ne sais pas quoi faire de mes longs cheveux, je réalise à chaque fois un espèce d’hybride entre la queue de cheval et le chignon. Non pas que je n’ai pas envie de faire quelque chose de plus élaboré, juste que j’aime les choses rapides. Et ce chignon là, sans le crêpage sur le dessus du crâne (parce que je n’aime pas trop ça), il me dit bien tiens. J’essaierai le week end prochain je pense.
  4. Je suis encore et toujours indécise pour mon gommage visage : j’ai envie de quelque chose de naturel, mais plutôt sucre ou sel ? quel  parfum ? quelle huile végétale ? Alors finalement ce sera peut être le gommage à la vanille de Kinsey que je réaliserai en premier. Allez savoir…

Les autres articles qui ont retenu mon attention ces deux dernières semaines :

  • Conte d’automne et white crumble chez Cél (ne serait-ce que pour l’histoire, tellement jolie !)
  • BAM. Organisation chez Miss Blemish (tout ne me concerne pas, mais c’est plein de bon sens)
  • Larson Family Granola Recipe chez Kelli Murray (EVIDEMMENT que j’allais vous trouver un granola !)

J’espère que mes petites trouvailles trouveront écho chez vous. Si vous avez des choses à me faire découvrir, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire !

Bonne journée !

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Londres : l’organisation

14 juin 201314 juin 2013

Quand je suis partie à Londres c’était la première fois que je partais toute seule en voyage. Et je dois bien avouer que j’appréhendais beaucoup : est-ce que je n’allais pas m’ennuyer (d’où les programmes plutôt chargés), où loger, comment me déplacer ? Je me suis posée beaucoup de questions, même si je savais qu’en partant à Londres je ne prenais pas de risques (ville sûre et je parle plutôt bien anglais).

Alors pour me calmer, je me suis beaucoup préparée. Je me suis dit que je n’étais peut être pas la seule à avoir ces appréhensions et à me poser beaucoup de questions, d’où ce petit article pour vous montrer ma démarche. Je ne prétends pas qu’elle conviendra à tous, mais voilà ce que j’ai fait pour profiter à fond de mon voyage.

Pour préparer mon voyage et les journées, j’ai utilisé plusieurs outils, jugez plutôt !

Londres_orga-1Dans un premier temps, j’ai acheté le guide du Lonely Planet « Londres en quelques jours ». J’aime bien leurs guides, je trouve leur suggestions d’activités plutôt sympas. Les restaurants et les hôtels proposés sont plutôt onéreux par contre. Mais la carte détachable est super pratique ! Il y a une vue de l’ensemble du centre-ville et un zoom sur Kensington. Il y a aussi un plan des lignes de métro, et celui des lignes des lignes de bus majeures. Méfiez-vous cependant, si vous vous éloignez du centre ville, ce que vous chercherez ne sera pas forcément couvert par la carte (par exemple, les Kew gardens ne sont pas visibles).

D’où l’intérêt du deuxième outil : le carnet Londres  (en bas à gauche). Je l’ai découvert chez Sarah qui en est la créatrice. Le guide propose des cartes vides de chaque quartier et de l’espace pour écrire. Je m’en suis beaucoup, beaucoup servie pour préparer le voyage : je furetais sur le web en quête de bonnes adresses et je les recopiais dans les pages du carnet.

mon-carnet-londres-1J’ai essayé de faire les choses assez méthodiquement : je numérotais les attractions et pour ce qui concerne les adresses shopping et resto j’utilisais les lettres de l’alphabet. Ce qui est pratique, c’est que d’un seul coup d’œil on voit tout ce qu’il y a à faire d’intéressant dans le quartier.

mon-carnet-londres-2Alors bien sûr j’ai accumulé beaucoup plus d’adresses que je n’aurais pu en voir en un mois, mais au moins j’avais plusieurs pistes pour agrémenter mes journées.

Par la suite, pour me faciliter la vie et comme j’avais sélectionné beaucoup d’activités payantes et que le transport est cher à Londres, j’ai choisi d’acheter un London Pass et une Travelcard. J’ai acheté les deux sur ce site et je ne sais pas si on peut les acheter ailleurs. Il me semble qu’on peut acheter le London Pass directement à Londres mais je ne suis pas sûre. Pour la Travelcard, je suis convaincue d’avoir eu une bonne idée (à moins que l’Oyster card ne revienne moins cher ?) : Londres est immense ! Parfois quand on regarde le plan on croit ne pas être loin, mais on se retrouve à marcher plus d’un quart d’heure. Alors bien sûr ce n’est pas énorme, mais à force on se retrouve à marcher des heures et à perdre un temps précieux sur le programme qu’on s’est fixé. Le seul point, c’est de savoir de quelles zones on a besoin, ce qui n’est pas forcément facile. Pour vous aider, j’ai majoritairement crapahuté dans les zones 1 à 3, sauf pour rejoindre l’aéroport de London City qui est en zone 4 il me semble.
Pour le London Pass, je suis un peu mitigée. Beaucoup de choses sont gratuites à Londres, il est donc tout à fait possible de visiter sans débourser un centime. Vu comme cela, pourquoi dépenser plus allez-vous me dire ? Déjà, parce qu’il y avait des activités payantes mais gratuites avec le London Pass qui m’intéressaient (Kew Gardens, London Zoo). Ensuite, parce qu’il y a le fameux coupe-file, ce qui est vraiment appréciable. Et enfin, il y a quelques bonus intéressants (les audioguides dans les musées par exemple).

Dans les deux cas, je pense avoir rentabilisé mon investissement, même si je vous avoue que je n’ai pas fait les calculs ! Les deux cartes m’ont apporté du confort et de la tranquillité d’esprit, ce qui est déjà pas mal !

Pour l’organisation des visites quotidiennes, je me suis beaucoup appuyée sur le carnet que m’avait offert Gazelle.

carnet-gazelle-1Alors en fait, dans l’idéal, il faudrait un mix entre le carnet Londres et ce carnet là : l’un est très pratique pour lister toutes les activités possibles, l’autre propose plus d’activités et d’espaces d’organisation pour le quotidien. Ce que j’ai bien aimé, c’est de me faire une petite liste de tout ce que je voulais faire, le quartier, la date, le temps qu’il a fait…

Dès mon arrivée j’ai choisi les quartiers que j’allais faire par jour (les marchés n’étant pas ouverts tous les jours, il faut bien choisir !), et le soir je regardais mes carnets / guides pour faire une première ébauche de ce que j’allais voir. Je reprenais ma liste le matin en prenant mon thé et parfois je l’agrémentais pendant la journée, en fonction de mes envies. Et au fur et à mesure je notais ce qui m’avait plu, ce qui m’avait émue, tout ça.

carnet-gazelle-2Le seul inconvénient de ce carnet, c’est que le format n’est pas très pratique (très long et pas large). C’est dommage, parce que les activités sont bien (mais je n’ai pas eu le temps d’en faire beaucoup). En fait c’est plus un carnet quotidien, un réceptacle / support à souvenirs, alors que le carnet Londres (pour moi) est plus un carnet de préparatifs.

Avec tout ça, j’ai pu me préparer et profiter à mon rythme de Londres sans m’interroger pendant 3 plombes, me perdre ou oublier une étape importante. Et vu l’état d’usure des carnets et de la carte, ça se voit qu’il m’ont beaucoup servi !

J’espère que ce petit article vous aura été utile : si vous avez des questions, n’hésitez pas à me laisser un commentaire !  J’ai encore deux petits articles sur Londres (et après je vous laisse tranquille ! ) : un pour vous montrer la solution d’hébergement que j’ai choisi, et l’autre pour vous montrer ce que j’ai ramené (bien sûr que j’ai fait un peu de shopping !).

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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