Le dilemme

L’autre jour avec l’ami Marco on a discuté (ça c’est de l’entrée en matière, hein ?). On a souvent de grosses discussions avec Marco, déjà petita parce que c’est l’ami que j’ai depuis le plus longtemps, et en plus petibé parce que c’est quelqu’un qui, comme moi, préfère les conversations qui ont vraiment du sens par rapport aux futilités qu’on peut échanger avec n’importe qui (on y reviendra).

Je ne dis pas que tout ce que je raconte est intelligent, méga profond et qu’à chaque parole je joue ma vie (il n’y a qu’à voir ce blog), ça m’arrive aussi de parler de choses légères, genre chiffons et beauté du surfeur du coin. Mais je trouve quand même aujourd’hui qu’on s’engage moins dans l’amitié ou dans quelque relation que ce soit (l’amour, ou encore pire les relations familiales qui peuvent être un désert encore moins accueillant que la Death Valley), qu’on prend moins de risques : on se dévoile moins, on argumente moins, bref, on reste en surface, c’est plus facile, la météo et savoir comment ça se passe au boulot en étant convaincu qu’on n’ira pas creuser c’est reposant comme sujet de conversation.

Bref (c’est qu’on s’éloigne du sujet mine de rien là).

14122012-001Ceci étant dit (un jour je ferai des introductions moins longues, mais pas aujourd’hui), avec l’ami Marco nous avons abordé, plus ou moins directement, le thème de la qualité des articles de ce modeste blog, et pourquoi diantre, les commentaires se faisaient pas nombreux, voire inexistants.
(Et là, normalement, tu sens, comme moi, que cet article va être très long.) (Et avec beaucoup trop de parenthèses) (Tant pis, j’aime bien les articles longs et les parenthèses.)

Alors les commentaires… Bien entendu que la qualité d’un blog ne se limite pas au nombre de commentaires, on est tous d’accord là-dessus, notamment parce qu’il y a des personnes qui visitent, lisent ton article et soit ne trouvent rien de pertinent à dire (enfin je veux dire quelque chose de mieux que « Han trop bien ton article ! ») (de toute façon, pardon, mais un commentaire comme ça n’a pas vraiment d’autre intérêt que de flatter un ego) et se taisent (ça m’arrive aussi). Parfois aussi il y en a qui sont juste terriblement timides et qui n’osent pas commenter. Parfois il y en a qui ont juste trouvé ton article naze et qui ont la décence de ne pas te pourrir pour rien et de simplement passer leur chemin (et ceux là, je les remercie de leur tact).

Néanmoins, quand tu accumules les articles sans rien, sans commentaire, sans débat, où ton seul score se limite à 0, alors que tu vois bien sur ton Google Analytics que tu as des visites, c’est qu’il y a un problème. Et donc, on a parlé de ça avec Marco, parce que je ne comprenais pas pourquoi mon précédent blog qui pourtant avait moins de visites, avait beaucoup plus d’articles commentés et de commentaires.

Et donc Marco m’a répondu ça (je cite) :

Ce n’est pas que les articles soient chiants, c’est que tu parles moins de toi. Pour le coup, quand on regarde les intitulés d’articles et les photos, ça donne davantage l’impression d’être sur un blog de recommandations.
Avant, il t’arrivait certes de parler de produits de beauté, de nourriture, de vêtement, mais ça collait au bien-être, se sentir bien et beau dans notre corps. C’était cohérent avec les articles plus intimes où tu te dévoilais, où tu montrais des angoisses, tu faisais le parallèle avec les objets de ta vie.
Les derniers articles traitent davantage des produits consommés et moins de toi.

Tu remarqueras que ce qui est bien avec Marco, c’est qu’il dit les choses franchement et qu’il ne mâche pas ses mots (et pourtant, il a toujours cet espèce de lyrisme dans le phrasé qui m’émeut) (bref) (on ne va pas s’en sortir de cet article).

bokeh gouacheEt de là le dilemme. Je t’explique.

Dans les gens qui lisent ce blog, il y a ceux que je ne connais pas (mais tu peux te présenter en commentaires, ça me fera plaisir) et ceux que je connais. Dans ceux que je connais, il y a : les gens que j’ai connus grâce au blog (Gazelle, June, Betty, Loonie…), des amis (Marco, par exemple), des collègues ou anciens collègues (bon là je cite personne) et puis il y a ma famille (mon papa, ma belle-mère, mon parrain et ma marraine, peut être mon frère aussi, j’en sais rien).
L’adresse de mon modeste espace sur la toile si tu veux, c’est pas vraiment quelque chose que je cache (sauf à mes petits copains, parce que j’ai déjà eu affaire à un barje qui m’espionnait et j’ai pas trop envie de retomber là dedans tu vois).

Et les gens qui me connaissent IRL (quant bien même ils semblent régulièrement découvrir des choses sur moi en passant par la Lorraine par ici), j’ai l’impression que pour eux, le blog est un peu un baromètre de mon humeur. Alors je ne dis pas que ça ne m’arrive pas d’avoir des gros coups de mou, d’en parler ici et que sur le coup, ça soit un peu inquiétant pour eux (parce qu’il y a une vie en dehors de ce blog et que les expériences de tout un chacun + leur sensibilité peut les amener à interpréter des mots différemment de la manière dont moi je les interprète). Mais je pense aussi que mon côté théâtral et super-sensible leur joue des tours, mais ça ils ne peuvent pas le savoir avant de m’avoir appelée (et avant d’avoir eu peur pour moi).

Du coup, après un épisode un peu fâcheux qui a conduit plusieurs personnes à s’inquiéter suite à un de mes articles (ce début de phrase ne veut rien dire mais j’ai pas mieux en stock), j’avais, de mon côté et unilatéralement, mis en place des mesures pour limiter l’impact de mes mots sur mon entourage (mon Dieu j’ai l’impression de parler comme au boulot), même si j’ai clamé haut et fort (et pas avec un tact extrême, avouons-le) que mon blog j’y mettais ce que je voulais (ou un truc du genre).

Bon j’ai tellement bien limité l’impact que j’en suis arrivée à quelque chose d’un brin extrême, c’est-à-dire une écriture plus ou moins aseptisée. Je m’en suis moi-même rendue compte en relisant certains articles suite à la discussion avec Marco : ces posts, c’est moi sans le sentiment et l’engagement qui va avec, c’est un peu coquille vide quoi.

Bizarrement, je crois que c’est suite à ces articles que j’ai eu des propositions de partenariats, ce qui n’a sans doute pas arrangé la donne. Ce n’est pas le sujet ici, mais je crois que la récente évolution des blogs n’a pas aidé à être plus « vrai » auprès de nos lecteurs (on en reparlera si ça vous intéresse, vu que j’ai commencé à bloguer en 2006, j’ai un peu vu tout ça – et je m’y suis laissée prendre aussi).

Tout ça pour dire que je suis (un peu) face à un dilemme : écrire des articles avec du vrai moi dedans parce que c’est plus intéressant pour moi (bé oui, c’est un peu égoïste ce que je dis mais avant tout je blogue pour moi) et pour vous, le tout, sans que cela inquiète mes proches.
Et vu mon caractère et les poussées de désespoir dont je suis capable, c’est un peu compliqué.

Je ne sais pas trop comment je vais faire, je crois que ça va être par tâtonnements, peut être en alternant les sujets de fond avec des choses plus légères…

A suivre.

Bonne journée !

PS : Les photos n’ont rien à voir avec le sujet, je le sais bien, c’est juste que j’avais envie de mettre un peu de peinture et d’images (j’aime pas trop les articles longs sans images), alors je suis allée chercher dans mes archives, j’ai trouvé ces deux là, c’était joli, et voilà.

11 thoughts on “Le dilemme

  1. Si je peux me permettre ma ptite dame, ton ancien blog avait plus de commentaires parce que la plateforme y était pour beaucoup. Je veux dire, 3 des filles qui tu as rencontrées grâce aux blogs sont des filles qui ont eu une bien belle jolie bulle. Franchement, je crois qu’on avait tous créé un tel noyau que, nos articles, c’est un peu comme si on s’écrivait des mails entre nous tous. Les gens d’ailleurs ? Pfiou, on s’en fichait un peu je crois. On se livrait presque autant dans les articles qu’on écrivait que dans ceux qu’on commentait. Puis, on a tous tourné une page. On a tous pris du recul. On a tous vieilli. Les blogs ont évolué aussi comme tu le dis. Qui ne serait pas attiré par un partenariat franchement ? Tu reçois des produits juste en contrepartie d’un article : cool quoi !

    Moi, je suis d’avis de te modérer un peu mais pas trop. Si tu sens que tu as besoin d’écrire sur tes émotions, sur ta vie privée, fais le ! Mais essaie de garder un petit jardin secret, rien qu’à toi. Moi, quand j’écrivais en Mode Blog Intime, des fois, j’avais l’impression que je me DEVAIS de vous raconter ceci ou cela. Mais pourquoi au final ? Je ne devais rien à personne.

    Bref.

    Moi j’aime bien les blogs qui regroupent un peu des deux : quand tu parles de recettes, de produits etc, j’en prends note quand ça peut m’intéresser. Quand tu parles de toi, j’aime bien aussi parce que même si on se considère comme des amies (enfin, c’est le cas pour moi), on n’a que trop peu l’occasion de se voir et quand on s’appelle, ça dure toujours deux heures (au bas mot ^^). On n’a pas toujours deux heures devant nous de par nos vies privées et professionnelles.
    Finalement, heureusement que les lettres sont là 🙂

    Voilà.
    Ton article est long, certes mais mon commentaire aussi 😀

    1. Oui, c’est vrai que la plateforme et la communauté qui allait avec y était pour beaucoup : c’était un petit cocon où on se racontait plus ou moins nos vies, je suis d’accord avec ça.
      Après, c’est vrai aussi qu’on a tous grandi et que l’on aborde pas les mêmes choses maintenant qu’à l’époque : à l’époque on était plus ou moins tous étudiants, et du coup on racontait cette période de ma vie. Aujourd’hui, je ne me vois pas parler de ce qui se passe au boulot : non seulement je n’en ai pas le droit, mais en plus ça n’aurait aucun intérêt (parce que pour moi le blog c’est un peu la cour de récré tu vois).
      Et oui, la blogosphère a changé. C’est sans doute lié aussi au changement de plateforme (= sauter dans l’inconnu, ne plus avoir cette petite bulle), mais la compétition est bien là, plus ou moins insidieuse. Je ne prendrais que l’exemple d’Hellocoton : qui n’a pas envie de faire la une ou au moins de la sélection ? Sauf qu’après tu te figes sur les chiffres, tu focalises sur les sujets qui rameutent et finalement tu en viens à ne plus faire ce que tu aimes (à savoir bloguer sur les choses qui t’intéressent vraiment). Et je ne parle même pas des comparaisons que l’on en vient à faire avec les blogs « influents ».
      En plus, je suis d’accord avec toi, parfois on se force à parler de trucs parce qu’on se dit qu’on doit en parler, alors qu’en fait on ne doit rien à personne (sauf si tu as un partenariat avec une marque qui te rémunère pour ton billet, mais ça c’est un autre sujet).
      Enfin le résultat du truc, c’est qu’on perd en spontanéité avec toutes ces bêtises.

      De toute façon, je crois que parler que de choses intimes, ça reviendrait à tourner en rond. Par contre, je ne veux parler que des choses qui m’intéressent, que ce soit une écharpe en tricot, une recette de paella ou le petit truc perso pour lequel j’ai besoin d’aide. Et le faire avec ma sensibilité, mon lyrisme s’il en est, mon côté théâtral parce que c’est comme ça que j’extériorise mes angoisses, parce que c’est ce que je suis. Quant au jardin intime, c’est une question qui ne se pose pas pour moi : il est dans mes carnets ! Il y a plein de choses dont je ne parle pas ici (et dont je ne parlerai pas) parce que je n’ai pas envie d’en parler, je n’ai pas envie que les gens sachent, tout simplement.

      Et bien sûr que pour des copines comme nous, ce blog a une raison d’être : il permet d’échanger en dehors des canaux « normaux » de communication, d’entretenir un lien. A la base, mon premier blog je l’avais d’ailleurs créé pour ça : pour garder du lien. Pour que mes proches (famille + amis) puissent voir mon chez moi, ce qui me fait vibrer, que je sois à 10 bornes ou 15 000.
      Au final, c’est peut être ça qui me chagrine le plus : c’est que mes proches viennent, lisent, mais commentent moins… Parce que du coup, le lien, il se délie, petit à petit…

      (On n’avait pas parlé de longues discussions hier ?) (La lettre est partie au courrier au fait)

  2. Je me pose souvent la question des commentaires. On a l’impression que s’il n’y a pas de commentaire, c’est qu’il n’y a pas de lecteurs. Or c’est souvent faux puisqu’on voit bien les visites se faire dans Analytics, et que les partages sociaux montrent bien que ça intéresse un peu…
    Mais pourquoi ne réagissent-ils pas, ces gens qui semblent être intéressés ?
    Marco a raison au sens où on commente lorsqu’on a quelque chose à répondre. Et c’est souvent lié à la part de soi qu’on met dans un billet. Le lecteur s’identifie un peu, ou pas du tout, et il réagit en fonction. Alors qu’un billet « aseptisé » comme tu le dis, peut susciter moins de réaction car il n’a pas l’air d’en demander.
    J’ai eu des problèmes aussi avec les contenus de mon blog, que quelques personnes de mon entourage jugeaient trop personnel et même dangereux. Comme si ce que je pouvais dire sur moi était aussi dangereux pour eux. D’autres n’arrivent pas à prendre la distance entre ce que j’écris, mes pensées, et ce que je fais réellement dans la vie.
    Il est difficile de trouver un juste milieu, mais tu te poses les bonnes questions pour y arriver.

    1. Merci Uty pour ton commentaire, je me sens moins seule à me poser ces questions là ! 🙂
      Oui, voilà, on commente quand on s’identifie à ce que l’article évoque, si ça résonne en nous. Un billet aseptisé, c’est beaucoup moins sujet à discussion effectivement dans la mesure où on expose un fait, sans le sentiment qui va avec.
      Finalement, oui, trouver un juste milieu n’est pas facile : parce que d’un côté il ne s’agit pas de faire du mal aux proches ou de leur causer du tort, mais de l’autre c’est aussi de se faire du bien à nous, et sans doute d’extérioriser des parties de nous qu’on a peu l’occasion de « sortir ».
      Par exemple, j’ai un côté très mélancolique, un peu noir. Ca ne veut pas dire que quand il ressort dans certains articles je vais me faire du mal ou que je suis en danger, ça peut juste vouloir dire que c’est cet aspect de moi que j’avais envie de montrer. Et pourtant, oui, ce côté là, je suis consciente qu’il peut être inquiétant.

      Et donc le juste milieu va sans doute être fait de tâtonnements, d’essais plus ou moins fructueux et de questions. Mais c’est un beau challenge je trouve… 🙂

  3. Ceci dit, mon blog est perso, avec des vrais morceaux de Patate dedans, et il n’a pas spécialement des masses de commentaires.
    Beaucoup moins en tout cas, que lorsque je bloguais sur ma vie de couple… A croire que les élucubrations d’une fille seule, ça intéresse moins.

    La seule façon de bloguer en paix, c’est de bloguer caché. Je censurerais la moitié de ce que je raconte si ma famille avait l’adresse de mon blog, c’est clair.

    Une fois que tu ne l’es plus, anonyme.. Bah je ne vois pas trop comment tu peux partager le fin fond de ton désespoir sans inquiéter tes proches.

    1. Ah mais de toute façon, si ça allait vraiment mais alors vraiment mal, tu peux être sûre que je n’en parlerais pas ici ! Pour la bonne et simple raison que quand ça va pas je me ferme comme une huître et j’arrête de parler, d’écrire, tout ça.
      Il me semble d’ailleurs que tu fonctionnes un peu pareil : quand ça va vraiment pas, tu dis rien et puis quand le gros de l’orage est passé, à la rigueur et si tu le souhaites, tu en parles.
      En fait ce qui me gène, c’est justement que les gens s’inquiètent pour rien. En 5 ans de psychothérapie je n’ai plus de pulsions suicidaires ou auto-destructrices, par contre, comme tout le monde, ben des fois ça va pas, je suis triste, des choses m’énervent, etc.
      Tout simplement.
      Sans parler du fait que parfois on parle de trucs en décalé dans le temps…
      Enfin de mon côté, le manque d’anonymat ne me dérange pas plus que ça, puisque comme je le disais, à la base, ce blog c’est pour garder du lien.

    1. Le Marco en question est plutôt pas mal, oui 🙂
      Et pour Patates, tout dépend de ce que tu veux dire par là ! Je ne connais pas vraiment ses goûts en termes de légumes (oups) par contre il aime les femmes à formes, oui, c’est son truc 🙂
      (Mais je crains que nous n’arrivions trop tard dans la bataille ma chère…)

  4. De mon côté je comprends bien ta réticence à trop te livrer. Par l’expérience un peu malheureuse que j’ai eu des blogs, la période où j’adorais écrire était celle où j’écrivais le plus de choses personnelles, mais se livrer sur ces choses-là fait que beaucoup de gens s’intéressent à toi. En bien, ou en mal. On est plus vulnérables aux attaques des gens mal intentionnés, et sans même parler de mauvaises intentions, il est très difficile d’être lu par des personnes de « la vraie vie » car un récit sera toujours subjectif, et la part de subjectivité, qu’elle soit tournée à l’exagération, à la comédie ou au drame, peut pour certaines personnes n’être pas comprise. En gros, il y a ceux qui comprennent le second degré, et les autres. Ecrire sur des gens qui vont se reconnaître, si l’on s’implique dans l’écriture, c’est ouvrir la porte à vexer (ou à faire rire, mais à vexer, ou à inquiéter).
    Voilà mon avis désabusé sur la question.
    C’est pour ça que je n’arrive pas à m’y remettre, je crois…
    Donc je comprends bien ce que tu dis.

    Bisous !

    1. C’est vrai ce que tu dis. Le problème c’est qu’on place un certain sens dans les mots ou dans une tournure de phrase qui n’est pas forcément celle que l’autre va comprendre.
      Après, il y a toujours la « solution » d’être anonyme, mais elle ne me convient pas.
      Du coup je pense que je vais alterner entre des articles de fond, qui ont de la valeur pour moi (celui qui va paraître mercredi par exemple, qui va être un exercice bien casse-gueule, enfin, à voir) et puis ceux un peu plus légers, qui parlent des choses qui me plaisent ou que j’ai faites.
      Pendant un temps, je me rappelle que certains de mes proches, en lisant le blog, m’ont dit qu’ils ne me voyaient pas « comme ça ». Alors finalement, je crois que c’est toujours une perception de l’autre qui est pas facile : parce qu’on (s’)enferme toujours dans des cases, alors que les gens, les situations et leurs perceptions sont multiples. Et que si on prenait ça en compte (moi la première hein), ce serait plus facile de comprendre. Et puis quand on comprend pas, demander gentiment, sans arrière pensée.
      Du coup, tant pis, je prends le risque. On verra bien.
      Je me reconnais plus dans ce blogging « de fond » que dans la recherche effrénée de lecteurs, de partenariats ou quoi.
      Bisous copine 🙂

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