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Il y aura des premiers – Jean-François Mézil

13 février 201712 février 2017

Pour une fois, on va parler d’un livre qui ne faisait pas partie de ma liste de livres à lire. A vrai dire, c’est un pur hasard qui a amené Il y aura des premiers de Jean-François Mézil dans mes mains.

J’étais partie faire quelques courses, et je me suis rappelée que je n’avais plus de pages vides dans mon carnet de croquis, aussi suis-je allée à Cultura pour m’en acheter un autre (ainsi que de l’aquarelle parce que mon set arrive à sa fin). Et Jean-François Mézil dédicaçait ses livres, on a papoté un peu, ce monsieur est très sympathique, l’illustration de la couverture est vraiment jolie je trouve, et voilà, un livre de plus.

(Et si vous voulez tout savoir, en fait, le carnet que je cherchais n’y était pas, alors j’en ai pris un autre, et c’était pareil pour l’aquarelle !)

Il y aura des premiers, c’est l’histoire de Kalem.

Kalem a été un migrant ici, il a sué sang et eau pour un travail payé une misère, sans jamais réussir à être intégré à la population locale, malgré le temps qu’il a passé sur ces terres avec ce vent qui rend fou.

Et puis cet événement entre les migrants et la population locale, le glissement et les mutations politiques vers l’abîme du totalitarisme : il fallait montrer l’exemple, afficher des résultats.

Kalem est reparti.

Pourtant, aujourd’hui, vingt ans plus tard, il est de retour.

Il y aura des premiers, c’est une histoire de vengeance, une histoire d’amour, une histoire de dignité, une quête de sens, une quête de réponses. Et puis des rencontres aussi.

Les premières pages de ce roman m’ont un peu déconcertée : il fallait apprivoiser ce nouvel auteur, son style, sa manière d’écrire.

Et ce style, justement, est assez marqué : le rythme est très varié, et le langage mêle allègrement le patois et les jurons avec du vocabulaire et des structures grammaticales plus recherchées. C’est peut être un effet pour représenter le clivage qui existe dans l’histoire entre les migrants et les locaux, mais j’avoue que cela demande un peu d’adaptation, sans toutefois être gênant (on s’y habitue assez vite, c’est même assez stimulant comme écriture à vrai dire).

J’ai aussi été marquée par le narratif au début du roman, qui semble à plusieurs voix : soit le narrateur du livre est schizophrène, soit il y en a plusieurs, mais parfois cela été un peu difficile à suivre. Je tiens quand même à préciser que j’ai ressenti cela pour le premier, voire le deuxième chapitre, mais pas pour la suite.

J’avais quelques appréhensions quant à l’histoire, notamment le côté politique, mais en fait non, l’environnement appuie l’histoire et assoit la quête de Kalem sans en prendre le dessus.

Je suis un peu partagée sur le dénouement, que j’ai trouvé un peu abrupt au départ, c’était presque frustrant, mais finalement je lui trouve du charme, je trouve que cela correspond bien au protagoniste principal, à son histoire.

En résumé, j’ai bien aimé ce roman : c’est dynamique, l’histoire tient bien la route, c’est assez différent de ce que j’ai l’habitude de lire et c’est rafraîchissant. Je vous le conseille !

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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La collection

10 février 20175 février 2017

Il y a 5 ans, j’avais dit qu’on ne m’y reprendrait plus : j’avais acheté une paire personnalisée de Stan Smith qui n’avait pas duré 6 mois, et malgré un arsenal de communications auprès d’Adidas, aucun remboursement, pas un mot, rien.

La déception. Un service client complètement scandaleux on va dire.

Pourtant j’aimais beaucoup, mais alors beaucoup ces chaussures.

Et puis, comme pour le précédent achat, j’ai eu des problèmes à un pied : la première fois entorse et blessure sur le coup de pied, la seconde entorse et orteils fracturés.

Mais ce n’est pas à ce moment là que j’ai racheté une paire de Stan Smith.

En fait, le problème n’a pas été les orteils ou l’entorse. La vraie difficulté, c’étaient les semelles orthopédiques qui ont suivi des mois / années à avoir des entorses mal soignées.

Car je vous assure que les semelles, si cela fait beaucoup de bien aux articulations, pour ce qui est des chaussures c’est une autre histoire. Pour faire simple, 80% de mes chaussures ne pouvaient pas accueillir les semelles…

Alors j’ai acheté une paire de Stan Smith, que je savais plutôt larges, les semelles rentraient dedans, alors j’en ai acheté d’autres, jusqu’à atteindre les 6 paires d’aujourd’hui.

En haut à gauche, c’est la plus ancienne, que j’ai acheté au rayon enfant si je me souviens bien. Elles sont bleu marine avec des fleurs et je les ai tellement portées qu’elles se disloquent littéralement, notamment au niveau du talon et un peu au niveau du bout du pied aussi.

Au milieu à gauche, c’est une paire en nubuck beige, que j’ai achetées pour alterner avec les anciennes. Mes jeans ont déteint dessus, elles sont un peu tachées par la pluie, mais surtout elles se patinent et sont d’un confort à toute épreuve.

En bas à gauche, un modèle bleu marine et bleu, plus récent. C’est le plus raide de tous les modèles, il faut vraiment du temps pour que le revêtement s’assouplisse. J’aime beaucoup leur style et l’effet légèrement craquelé du tissu (qu’on ne voit pas sur la photo).

En bas à droite, un modèle en tissu imprimé noir et blanc, qui a un effet un peu dentelle. C’est le modèle le plus fragile des six que je possède. J’aime bien l’imprimé délicat et la souplesse du tissu, ce sont de vrais chaussons !

Au milieu à droite, un modèle plus classique, en cuir blanc. L’originalité vient de la languette arrière en bouclette bleu marine presque noir et la semelle transparente et non pas blanche. Je ne les ai pas encore portées.

Et enfin en haut à droite, un modèle en cuir noir et cuivre /or rose, vraiment très joli. Comme c’est du cuir elles sont vraiment souples et douces, un vrai régal à porter !

Vous l’aurez compris, j’aime beaucoup ce modèle, que je trouve de surcroît assez facile à associer : il se porte aisément avec un jean, un pantalon (même habillé !), voire une jupe décontractée.

Et vous, quelles sont vos chaussures favorites ?

Bonne journée !

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Better than sex – Too Faced

8 février 20175 février 2017

Sérieusement, les gens de chez Too Faced, si vous passez par là (on peut toujours rêver), il va falloir que vous m’expliquiez comment vous en êtes arrivés à comparer un mascara avec le sexe… Depuis quand le sexe a un effet sur les cils ?!

(Et puis bon « Better than sex »… Vous en êtes surs ?)

Le mascara.

S’il y a bien quelque chose de difficile à trouver c’est le mascara : pas un mascara, son mascara. Celui qui mettra nos yeux en valeur, qui courbera les cils qu’on trouve un peu trop raides, allongera ceux qui voudraient voir la vie en grand…

Pendant longtemps j’ai utilisé le Smoky Lash de Make Up For Ever : j’ai la chance d’avoir des cils longs, plutôt courbés, et mis à part du volume je n’avais pas besoin de grand chose et qu’il faisait très bien le travail.

Et puis bien entendu la formule a changé, peut être la brosse aussi, et le Smoky Lash est devenu pour moi un mascara qui ne m’apportait plus grand chose (voire rien du tout, juste un peu de couleur).

Il était temps d’en changer.

Mon cahier des charges était plutôt simple (croyais-je) : une vraie brosse (je n’aime pas les picots) et beaucoup de volume. Car s’il y a bien quelque chose sur laquelle je ne lésine pas, c’est le mascara (c’est bien simple, il n’y en a jamais trop, voilà.).

Et c’est là que les errances sans fin pour trouver quelque chose commencent.

Je vous passe les détails (c’est que l’intro fait déjà 15 pages, alors bon), j’ai finalement jeté mon dévolu sur Better than sex de Too Faced, que j’ai pris en formule normale (il en existe une waterproof), notamment parce que la dame de Sephora m’a dit « Vous savez, c’est vraiment du lourd comme mascara hein, c’est du volume dramatique » et que je trouvais que « volume dramatique » synthétisait bien ce que je voulais.

Alors je vais commencer par vous montrer un espèce d’avant-après, pour lequel vous me pardonnerez sur le cadrage, parce qu’à l’origine je voulais faire un focus sur l’autre œil, mais que c’est sur le droit que cela rendait le mieux. Et puis je vous ai mis toutes les étapes du maquillage des yeux, parce qu’après tout, pourquoi pas ?

  1. Primer Potion anti aging – Urban Decay (qui ne casse pas trois pattes à un canard par rapport à la formule originale, qu’on se le dise)
  2. Fard Himalia – NARSissist dual intensity eyeshadow palette (champagne chaud légèrement irisé)
  3. Eyeliner LineRefine (Liner Express) – Maybelline
  4. Première couche
  5. Deuxième couche
  6. La même que la précédente, mais avec les yeux baissés.

Je tiens à préciser que sur les photos mes cils n’ont pas été recourbés au préalable, ils sont au naturel. Et non, je ne mets pas de mascara sur les cils du bas.

Je suis assez partagée pour ce mascara.

J’aime beaucoup, mais alors beaucoup la brosse : elle est plutôt imposante, en forme de sablier, mais étonnamment elle est vraiment facile à prendre en main et applique très bien le produit.
Je n’ai pas eu à déplorer de gros paquets informes, ça glisse bien comme il faut, dépose le mascara comme on le souhaite, rien à dire, la matière se travaille très bien.

J’aime aussi beaucoup l’effet volume au début (vous allez comprendre pourquoi je précise cela) de l’utilisation du produit : c’est conforme à ce que disait la dame de Sephora, quelque chose de dramatique, et limite en une couche c’était suffisant.

Par contre, et c’est là que les points faibles arrivent, je ne trouve plus l’effet aussi spectaculaire qu’avant et cela ne fait que 3 semaines que j’ai ce mascara. Je veux bien croire que j’ai la main lourde, mais de là à finir le tube en un mois ?! Ou alors la formule s’est altérée ?!

Deuxième point négatif, il a une forte tendance à faire des chutes en cours de journée : vive l’effet panda à 18 heures ! Je n’ai pas eu ce problème à chaque fois, mais c’est quand même rageant (surtout que je ne sais pas dire pourquoi certains jours il faisait des dépôts et pas d’autres !).

Après, je tiens aussi à préciser que ce n’est pas forcément un mascara bon marché puisqu’il coûte 23€ (soit autant que mon ancien mascara).

En résumé, ce n’est pas encore cela. Je me tâte à essayer la formule waterproof, mais je ne suis pas sure que cela résolve les problèmes de chutes… Sinon il y a le Velvet noir de Marc Jacobs que je pourrais tester…

Avez-vous des mascaras volume à me conseiller ? Connaissiez-vous ce mascara ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Daring Greatly – Brené Brown

6 février 20175 février 2017

Je vous en ai (très) rapidement parlé, en janvier j’ai lu Daring Greatly de Brené Brown (Le pouvoir de la vulnérabilité en français). C’est un livre que j’avais depuis très longtemps dans ma liste de livres à lire, comme à peu près tous les livres de Brené Brown depuis que j’ai vu sa conférence / vidéo TED sur…

La vulnérabilité.

2013 donc, vous remarquerez que j’ai pris mon temps avant de me pencher sur le livre (quand bien même, entre temps, j’ai lu The Gifts of Imperfection d’elle, et que c’est un de mes livres favoris aussi). Ce qui ne m’empêche pas de profondément aimer ce qu’elle fait.

Déjà, un petit peu de contexte, Brené Brown est chercheur, professeur en sciences humaines et sociales à l’université de Houston au Texas et une conférencière renommée. Ses recherches ont pour thèmes la vulnérabilité, la honte, la valeur et le courage.

Daring Greatly est le fruit de ses années de recherches à propos de la vulnérabilité et de la honte. Il s’appuie sur les études qu’elle a menées, la littérature existante qu’elle confronte régulièrement à son expérience personnelle.

Daring Greatly raconte les stratégies (conscientes ou non conscientes) que nous mettons en place pour cacher notre vulnérabilité, pour se protéger de la honte, pour éviter le rejet de l’Autre. L’idée est que nous cherchons à « acquérir » l’amour de l’autre en se montrant le plus parfait possible, et ce, quels que soient nos standards (sociétaux, familiaux, personnels, etc.) qui parfois souvent se contredisent.

En voulant se montrer parfait, on met de côté l’authenticité et c’est là que l’effet boule de neige commence : moins d’authenticité donc plus de mal être, plus de mal être donc plus de vulnérabilité et de honte, moins d’authenticité et plus d’agressivité envers l’autre (que ce soit envers la famille, le partenaire, les collègues, les enfants et via des comportements variés tels que la négation des émotions, le commérage, …), etc.

J’ai pris une énorme claque en lisant ce livre. De grosses prises de conscience, certaines parfois franchement inconfortables, il faut bien l’avouer.

D’ailleurs, n’allez pas croire que Brené Brown a une approche moralisatrice, bien au contraire. C’est un ouvrage profondément bienveillant, dans lequel elle raconte régulièrement des épisodes, qu’il s’agisse de prises de conscience ou de difficultés, qu’elle a vécu. Le livre présente aussi les résultats des recherches de l’auteur sur comment sortir de ce cercle vicieux, des pistes de résilience, ce que font les personnes qui ne sont pas dans ces schémas de honte de soi et de surprotection.

En fait je me suis beaucoup, mais alors beaucoup reconnue dans ces pages, j’ai pris des centaines de notes. J’ai souvent fait des pauses pour réfléchir à ce que je venais de lire, ce que cela m’évoquait, ce que je voulais en faire, les émotions qui étaient tapies et qui surgissaient au fil des mots.

Je trouve que c’est un livre bouleversant. Au sens positif du terme.

Je ne voudrais pas tomber dans le cliché et dire que ce livre a changé ma vie, parce que pour l’instant je ne sais pas dire dans quelle mesure cette lecture impacte mon comportement, mais je pense sincèrement qu’il m’a aidé à ouvrir les yeux sur certains sujets, à repenser mes actes.

J’aime particulièrement que le livre parle à la fois de la vie personnelle, dans la relation aux autres au sens large, mais aussi apporte un éclairage particulier sur le fait d’être en couple, les relations parent-enfant et aussi sur les relations de travail.

Je pourrais écrire pendant des heures sur le fait que ce livre m’a remué, mais cela n’aurait pas vraiment de valeur ajoutée, alors je vais finir par cette phrase : si vous cherchez un livre qui peut vous aider à y voir plus clair pour aller vers des relations plus authentiques, vraies, et aller vers l’acceptation de soi dans son ensemble, foncez.

C’est une vraie jolie perle.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Mes favoris de janvier 2017

3 février 201729 janvier 2017

Janvier a été, pour moi, dans la continuité de décembre : un mois empli de joies, avec des favoris simples…

La musique

J’ai découvert Julien Doré.
Je sais bien que sa carrière ne date pas d’hier, mais je ne sais pas, je n’arrivais pas à me laisser happer par son univers. Et puis voilà, ces derniers temps j’ai beaucoup écouté « Sublime & Silence » et « Le lac » et j’aime bien.
Une jolie découverte.

La lecture

Je n’ai pas énormément lu le mois dernier, en fait je n’ai lu qu’un livre (je crois ?) Daring Greatly de Brené Brown (Le pouvoir de la vulnérabilité en français).
Et quel livre mes amis, quel livre ! On en reparle bientôt, mais c’est une vraie perle, beaucoup de passages m’ont parlé et m’aident à comprendre à la fois mon comportement et celui des autres, très intéressant !

La beauté

Un petit plaisir simple avec cette crème pour les mains à l’amande de Weleda que j’aime décidément beaucoup, et puis un autre un peu plus conséquent puisque je me suis offert un massage d’une heure et demie le week-end dernier. C’était absolument divin, j’ai hâte de recommencer !

Le film

C’est un favori depuis longtemps, dont je ne me lasse pas. J’ai regardé en fin de mois Mémoires d’une Geisha, et je l’aime toujours autant ce film. A la fois beau et émouvant, une photographie somptueuse et puis une bande-son très réussie.

L’objet

Pour Noël je me suis offert un mug pour le travail. Cela faisait un moment que je lorgnais dessus sur le site de Lollipop Designs et je suis très contente de mon achat. Dessus il y a la constellation de mon signe astrologique (Taureau) : ce n’est pas tellement que je sois attachée à l’astrologie, mais j’aime beaucoup les constellations et les étoiles alors…
Et puis l’alliance du doré et du blanc me plait.

Et vous, quels sont vos favoris du mois de janvier ?

Bonne journée !

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Rosée de douche – Melvita

1 février 201729 janvier 2017

Lors de mon dernier passage à la parapharmacie Lafayette qui, si vous ne connaissez pas, est un temple de perdition pour quiconque s’y attarde trop longtemps (et qui aime les cosmétiques, bien sûr), j’ai acheté un gel douche.

(Boum, ça c’est de l’intro qui envoie du paté !)

Je n’en avais pas besoin, j’ai encore plein de savons à finir, mais justement, le savon, même s’il vient de Lush, je ne trouve pas que cela soit très fun pour se doucher. Alors j’ai dirigé mon regard vers les marques que je considère clean, j’ai vu ce flacon rose avec écrit Melvita dessus, le nom « Rosée de douche » m’inspirait alors je l’ai mis dans le panier.

Et j’ai oublié qu’il était là, jusqu’à ce que je finisse Maypole, que j’hésite entre les deux autres savons dont je dispose pour le remplacer et donc que je me rappelle que j’avais acheté un gel douche.

Rosée de douche c’est donc un gel douche (sans blague ?), avec une texture un peu liquide (attention à ne pas en utiliser trop !), transparent.

Il mousse juste ce qu’il faut et la formule est vraiment douce : pas de tiraillements, pas de picotements, c’est validé par ma peau sensible et réactive.

L’odeur de rose est extrêmement bien réussie, florale comme il faut, ni capiteuse, ni sucrée, ni trop herbeuse. A vrai dire, ça sent la vraie rose, celle qu’on renifle quand on en voit une jolie, que ce soit dans un bouquet ou dans son jardin.

En fait je crois que c’est le parfum le plus réussi d’un gel douche que j’ai pu sentir. Je suis réellement emballée par l’odeur de ce truc !

En résumé, j’aime beaucoup ce produit…

Tellement que je pense que c’est LE gel douche, celui qui est bien en tout temps (même s’il fait partie d’une gamme « Les paniers de saison ») (je n’ai aucune idée de la saison qu’il représente d’ailleurs ?!).

Je vais donc le racheter, bien entendu.

Vous connaissiez ?  Qu’en pensez-vous ? Quel est votre gel douche préféré ?

Bonne journée !

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Bougie Figue & Noix – Habitat

30 janvier 201722 janvier 2017

J’ai eu beau tout faire pour la garder le plus longtemps possible, j’ai finalement terminé la bougie Nectar de miel et thé que je m’étais acheté en décembre à Habitat (et que j’ai finalement réussi à faire fondre complètement).

Du coup, comme je n’aime pas mélanger les parfums, j’ai attendu un petit peu et j’ai commencé à faire brûler celle à la figue et aux noix il y a environ deux semaines.

C’est toujours un peu difficile je trouve de décrire une odeur avec des mots parce que chacun peut avoir un souvenir différent d’une autre personne d’un même parfum, mais définitivement cette bougie me rappelle la confiture de figues au chaudron que mangeait ma tante au petit déjeuner .

En fait c’est un parfum qui m’évoque la Corse au temps des fêtes : c’est très sucré, et en même temps il y a cette odeur de méditerranée en fond, c’est assez difficile à expliquer. Je ne saurais d’ailleurs pas vous expliquer pourquoi la Corse, ni pourquoi spécialement au temps des fêtes dans la mesure où la seule fois que je suis allée sur l’Île de Beauté, c’était en plein été.

Enfin toujours est-il que j’aime beaucoup ce que diffuse cette bougie, même si je ne la laisserais pas brûler toute la journée : je la trouve plutôt bien pour les matins de week-end et les soirées avec un bon livre.

Mais après tout, on a chacun une histoire avec les parfums et peut être que pour vous ce serait l’odeur parfaite pour l’après-midi, allez savoir…

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ? Quelle est votre bougie favorite du moment ?

Bonne journée !

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Craft day #18 : la production de janvier 2017

27 janvier 201722 janvier 2017

Je suis en plein dans une phase d’adaptation, de recherche de routine, et la production artistique s’en est trouvée quelque peu impactée ce mois-ci.

Ce n’est pas bien grave, je continue de tâtonner pour trouver un équilibre et pouvoir jouer avec les couleurs : je finirai bien par trouver quelque chose qui me convienne !

En attendant, voici quelques petites choses qui sont venues remplir mon carnet…

Il semblerait que le bleu et le rose étaient à l’honneur, de même que l’aquarelle, avec laquelle je m’amuse beaucoup ces derniers temps (tellement qu’il va falloir que je me rachète une nouvelle palette bientôt…) !

Bonne journée !

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Qui a piqué mon fromage ? -Spencer Johnson

25 janvier 201722 janvier 2017

Beaucoup de mystères entourent l’arrivée de ce livre dans ma vie : je ne sais plus du tout où j’en ai entendu parler (j’ai bien pensé à mes conseillères favorites, mais non, ce ne sont pas elles) (vous remarquerez que systématiquement je vais vérifier que ce ne sont pas elles, puisque je suis souvent les yeux fermés leurs conseils !), et quand je suis tombée sur le titre dans la liste des livres que j’avais dans le Kindle donc, je ne me rappelais plus du tout du sujet.

En fait je m’attendais à un livre du style La fractale des raviolis : un roman un peu déjanté, avec plein d’histoires farfelues, du rythme, de quoi rire finalement.

Grossière erreur, cela n’a rien, mais alors rien à voir.

Comme quoi, ne pas toujours se fier au titre.

Qui a piqué mon fromage ? est, en fait, un livre pour mieux appréhender le changement, c’est donc un livre qui se range plus dans la catégorie du développement personnel.

Il repose sur une petite fable mettant en scène 4 personnages : deux souris (Flair et Flèche) et deux minigus (Polochon et Baluchon), chacun représentant dans la fable un type de comportement face au changement.

Tout ce beau petit monde vit dans un labyrinthe, et a trouvé une source de fromage pour se sustenter, source qui semble intarissable.

Sauf qu’un jour, le fromage a disparu. Mais qui a piqué le fromage ? Et que faire maintenant ?

Alors si la fable est mignonne et permet de faire de bons rappels, j’ai du mal à comprendre pourquoi ce livre a été numéro un des ventes aux Etats-Unis et pourquoi il est annoncé comme « un bijou d’efficacité ».

Je pense que le format est plutôt bien pour les enfants voire les jeunes adolescents (et encore, les chapitres qui introduisent et finalisent le livre sont superflus je trouve), mais il ne révolutionnera pas votre vie, tout simplement parce que vous connaissez déjà le message de fond : suivre le changement, l’accepter et s’y adapter est plus efficace et bénéfique que de rester campé sur ses positions.

La mise en page pour Kindle est assez atroce (sérieusement, les petits fromages pour rappeler les « leçons » du chapitre ?), mais surtout, surtout…

C’est extrêmement mal écrit.

Je veux dire, je pense que tout le monde peut écrire une fable de la sorte : la qualité de langue est tout juste moyenne, l’histoire n’est pas très bien ficelée…

Non vraiment, je ne vous le conseille pas, même s’il est très court : il y a plein d’autres livres de développement personnel qui vous seront bien plus bénéfiques et plus agréables à lire !

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Crème mains confort à l’amande – Weleda

23 janvier 201722 janvier 2017

Depuis le milieu / la fin de l’année dernière, je suis de nouveau dans une démarche pour mieux prendre soin de moi, que cela soit d’un point de vue du mental, pour ce qui a trait à l’alimentation, ou encore sur le soin corporel.

J’avais laissé tout cela de côté parce que je ne me sentais pas vraiment bien dans ma peau ou dans ma vie globalement (ce qui n’était pas une bonne idée, parce qu’en prenant moins soin de moi, je me sentais encore moins bien, et bon, ça ne faisait qu’empirer les choses je crois ?!).

Et donc maintenant je suis à nouveau dans une démarche plus saine vis à vis de ma personne (enfin, j’espère), et, dans mes priorités, il y avait mes mains : en hiver elles deviennent tellement sèches et abîmées qu’elles brûlent, sont râpeuses… Et outre le fait que cela ne soit pas joli, c’est surtout assez douloureux.

Maintenant, j’ai une crème pour les mains au travail, assez costaud parce que le savon là bas est plutôt décapant, et je voulais en avoir une autre pour la maison, que je puisse utiliser après avoir fait la vaisselle, lavé mes mains, ou quand j’en ressens le besoin.

Un jour que je suis allée refaire mon stock de cosmétiques à la parapharmacie, j’ai acheté cette petite crème pour les mains à l’amande de Weleda, marque vers laquelle je me tourne quand je cherche quelque chose et que je ne sais pas où en trouver de bien.

Cette crème sent bien entendu l’amande douce, sans toutefois être écœurante, je trouve que l’odeur est assez subtile, j’aime bien.

Côté texture, c’est étonnamment fluide, pas liquide, mais beaucoup plus fluide que ce à quoi je m’attendais. Et en fait c’est plutôt bien, parce que la crème pénètre assez rapidement dans la peau et du coup on n’a pas les mains qui collent pendant des heures.

Ce n’est surement pas une crème qui fera des miracles si vos mains sont vraiment abîmées, par contre je trouve que c’est un soin plus que respectable pour que quotidien : la formule et le parfum sont doux, le résultat est concluant, j’ai donc envie de l’utiliser.

Et puis je confesse beaucoup aimer le packaging, je trouve qui reflète bien l’expérience que l’on a avec ce produit.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ? Quelle est votre crème pour les mains favorite ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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