Mnêmosunê
Les petits riens forgent de belles existences…
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Hello.

30 novembre 201529 novembre 2015

Voilà un mois que je n’avais plus pris le temps d’écrire ici. Ce n’était pas l’envie qui manquait, plutôt les mots, les phrases pour poser des choses les mettre au clair.

Andernos-1

Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé pendant ce mois de Novembre. Je veux dire, d’habitude, Novembre, outre le fait qu’il y ait l’anniversaire de ma grand-mère (coucou Mamie, bon anniversaire, j’espère que tu as bien reçu ton bouquet et qu’il te plait), c’est plutôt un enchaînement de films enroulée dans un plaid sur le canapé, à tricoter et à déguster des petits sablés épicés avec de la compagnie pour commenter le film.

Et puis là, non.

Andernos-2

C’était plus un grand huit plein de choses, diverses et variées, pas toujours sympathiques, loin de là. Des questions, des larmes, des rires, des promenades dans de jolis parcs et des belles plages, des décisions un peu fébriles, des remises en question, des plans qui s’effritent avant même d’avoir été commencés, des cours, des lectures (en vrac, du Coelho, du Legardinier, et deux autres petits bouquins) du travail, du kiné, un essai en laine feutrée, des cafards (*^=$?ù!& de voisin !) et une campagne de désinsectisation, des gens pas vus depuis longtemps, des envies de grand renouveau sans trop bien savoir par où commencer, une inscription pour participer aux tests d’un jeu vidéo (si ça se fait, j’en reparlerai), etc.

Du chaud et du froid, et des variations tellement rapides, qu’à un moment, je ne savais plus trop comment me positionner, quoi dire, quoi faire.

Je cherche encore un peu mes repères, mon équilibre qui sans doute passera par du changement sans trop bien savoir encore de quoi il sera fait, alors je fais petit à petit, je coche les items de la liste et surtout, j’essaie de prendre soin de moi.

Andernos-3

En illustration de cet article, quelques photos d’Andernos où je suis allée me promener avec mon père il y a quelques jours, alors qu’il faisait exceptionnellement chaud.

Je pense que dans les prochaines semaines je vais disséminer quelques photos de mes petites escapades. Les jolis panoramas, c’est toujours un cadeau pour les yeux et un peu de chaleur dans le cœur.
Et pour la musique, Hello d’Adèle bien entendu, mais la version du Tonight Show parce que je l’aime bien.

Maintenant, c’est à vous la parole, comment allez-vous, comment s’est passé votre mois de Novembre ?

Prenez bien soin de vous, je vous embrasse et vous souhaite une bonne journée !

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Don’t worry, be happy

3 novembre 2015

Dans mon métier, parfois, on est appelé à faire des interventions tard, parfois en soirée, parfois de nuit.

Cela ne m’arrive pas souvent, parce que je ne suis pas un personnel technique, mais quand cela concerne mon périmètre, je m’arrange pour être connectée avec les équipes, pour les accompagner et faire un rapport de ce qu’il s’est passé pendant l’intervention.

Hier soir, avec mon équipe, nous avons été d’intervention en soirée. J’ai donc passé 3 heures à être connectée à une audio pour savoir ce qu’il se passait et, le cas échéant, être disponible pour coordonner les activités en cas de problème.

Nous n’avons pas rencontré de problème, ce qui est appréciable, et j’ai ainsi pu avancer dans mon travail. Lorsque j’ai eu fini mes tâches, il a bien fallu que je trouve un moyen de m’occuper pour ne pas sombrer dans le sommeil, alors pendant les intervalles où je n’avais rien à noter dans mon rapport, ni le chef de mon chef qui me posait des questions sur l’opération, j’ai pris mon carnet de croquis et un crayon, et j’ai gribouillé ce qui me passait par la tête.

Don’t worry be happy (et la musique qui va avec, juste pour le plaisir).

sketchbook-151102

J’ai beaucoup suivi les articles de Makewells sur le blog d’Alisa Burke, et je suis partie de cette idée de « calligraphie » (en anglais ils disent « hand lettering », mais je ne suis pas trop sure de la bonne traduction… Ecriture stylisée ?), avec quelque chose autour.

Je n’ai jusque alors pas pris le temps de me pencher sur cette technique, et même si j’ai fait un petit peu de calligraphie japonaise, les deux pratiques sont complètement différentes, alors je n’étais pas trop affirmée dans ce que je voulais faire.

Finalement, je suis assez contente de comment ce modeste croquis un soir d’intervention a évolué. Je voulais le mettre en couleur ce matin (puisque je ne travaille pas pour avoir mon quota d’heures réglementaires de repos), mais je me suis rendue compte que je n’avais pas à disposition de pinceau assez fin pour colorer les lettres.

Alors à la place je me suis dit que j’allais en parler sur mon blog et prendre le temps de glaner des conseils.

Je vais donc aller me chercher, un de ces jours, un petit pinceau, et je pense que je vais faire le tout en gouache, avec un peu d’aquarelle et peut être du crayon de couleur.

Enfin je ne sais pas encore trop, j’avoue. Je me demande même si je ne vais pas le scanner plutôt pour pouvoir essayer plein de choses et ne pas « perdre » mon travail.

Reste juste à savoir si en expérimentant (et en « ratant ») on « perd » le fruit de sa pratique. Sinon, ça me donnera une bonne raison de recommencer, c’est assez rigolo comme pratique.

Avez-vous déjà essayé ? Avez-vous des conseils pour colorer le tout ?

Bonne journée !

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Prendre du plaisir en tant qu’artiste

28 octobre 201527 octobre 2015

Quand j’ai commencé à prendre des cours de peinture, il y a quelques 20 ans de cela, j’avais une idée bien arrêtée de ce qu’était un artiste, enfin surtout un peintre.

Un peintre, un vrai, c’était quelqu’un qui peignait du figuratif. L’abstrait n’avait pas ma considération, ce n’était pas de la « vraie » peinture.

Seuls les peintres classiques (et la peinture à l’huile !) avaient grâce à mes yeux. Je voulais être comme eux, être capable avec quelques couches de couleur de rendre compte de la réalité aussi fidèlement qu’une photographie.

Alors je tendais vers ça, vers cette perfection qui demande des heures et des heures de pratique, d’études, d’échecs. Et puis de la patience et de la précision.

Mais cela je ne le savais pas (encore).

Cela ne m’avait pas effleuré à vrai dire, je pensais, naïvement, que la peinture était un don, bien avant d’être une question de pratique, avant d’être un cheminement.

Mnemosune-acrylic-experiment-1

J’ai donc passé quelques années à faire de la peinture, en n’étant jamais satisfaite de quoi que ce soit, parce que mes « œuvres » (j’ai encore de la difficulté à les nommer comme telles) étaient trop grossières à mes yeux, pas assez abouties, je voulais de la précision, une jolie lumière, une composition équilibrée.

Je recherchais une perfection dont je n’étais pas capable.

Qui même, peut être, n’aurait pas servi ce que je voulais montrer (mais ça, c’est un autre débat).

Et pendant toutes ces années de pratique, à ramener à la maison je ne sais combien de peintures, de fusains, de sanguines et autres croquis, j’ai été frustrée du résultat, ne prenant même pas garde à prendre du plaisir, ne serait-ce qu’un petit peu, pendant le processus.

Peu à peu c’était presque devenu une obsession, le résultat, cette volonté d’être une digne représentante de la peinture classique.

J’ai eu beau avoir des retours positifs, et même, rarement, quelques productions qui trouvaient grâce à mes yeux (je ne m’en rappelle que de deux, un chien devant une cheminée, exécuté au couteau, et un paysage fleuri avec un ruisseau et un petit pont), je n’étais pas contente de moi, je n’étais pas digne, je n’étais pas un vrai peintre.

Je m’étais enfermée moi-même dans une espèce de compétition stérile vers un idéal qui m’était alors inatteignable.

J’avais même honte quand mes parents accrochaient mes dessins et peintures, parce que je ne voyais que leurs défauts. Il ne me serait d’ailleurs pas venu à l’idée, à l’époque, même s’il y avait eu la possibilité, de montrer mes productions à des inconnus (et parfois je me censure encore).

Mnemosune-acrylic-experiment-2

Et puis il y a eu la grosse coupure, l’absence de production de quoi que ce soit, avec toujours, tapi quelque part, cette volonté de perfection.

Il y a quelques années j’ai pris quelques cours du soir aux Beaux-Arts, et je me suis retrouvée confrontée à cet idéal. Et en fait, c’est au contact des autres, qui voyaient le même modèle que moi et avaient la même consigne, que j’ai commencé à comprendre que l’important c’est de faire et d’apprécier ce que l’on fait.

Parce que nous ne rendions pas compte de la même manière des choses, mais que tout, TOUT ce que j’ai vu, était intéressant, était joli, avait de la personnalité, du caractère et de la sensibilité artistique.

Tout.

Et là je me suis dit que peut être que le résultat ne sera pas à la hauteur des espérances, peut être que le procédé ne correspondra pas à ce que l’on veut produire…

Mais qu’importe.

Mnemosune-acrylic-experiment-3

Finalement c’est le processus, le plaisir qu’on y prend, la découverte de l’artiste que nous sommes qui a sans doute plus de sens. J’ai compris cela « tard » (en lisant le livre de Cat Bennett, que je feuillette encore avec énormément de plaisir) et j’ai encore de la difficulté avec cette histoire de perfection qui s’est maintenant mué en « de toute façon tu n’es pas capable d’arriver à ce résultat ».

Ce qui est complètement faux, si je passais des heures sur le même projet, je suis sure, même si cela devait prendre des années, que je pourrais y arriver.

Sure.

Mais, actuellement, je n’ai pas envie de ça. J’ai envie simplement de me réapproprier mes pinceaux, de passer une heure à poser de la couleur, pour voir ce que cela donne, ce qu’il est possible, ce qui est intéressant.

Même avec deux pinceaux pourraves, une palette en plastique, de la peinture acrylique bon marché et des supports qui ne sont pas plus professionnels que cela.

Et ça se passe bien. J’ai eu quelques mois de passage à vide en termes de dessin et de peinture, notamment parce que je faisais autre chose (du crochet), et puis là c’est revenu cette envie de jouer avec de la couleur, des crayons, des feutres et autres.

Hier soir c’était acrylique en jaune, bleu et blanc, ce week-end c’était aquarelle et feutres, qui sait ce que ce sera ensuite ?

Mnemosune-acrylic-experiment-4

Je ne serais peut être pas (enfin pas à court terme) (quoique, qui sait…) l’artiste à temps plein que je voulais être, sans doute qu’il y a des choses que je produis qui sont moins belles que d’autres…

Mais je m’amuse et je prends du plaisir.

C’est le principal.

Bonne journée !

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Shoot for the stars

22 octobre 201522 octobre 2015

Les promenades du midi avec ma collègue C. sont souvent l’occasion de discourir sur moult sujets.

Depuis les études jusqu’au sport en passant par l’aménagement intérieur, aucun sujet ne nous arrête et nous échangeons nos points de vue.

L’un des sujets de cette semaine est le soin du corps et notamment les soins effectués en institut. Et nous nous sommes rendues compte que, même s’il y a des différences dans nos appréciations, toutes deux n’étions pas à l’aise avec l’idée du soin du corps dispensé par autrui et les manipulations induites.

Ce que dit l'étiquette : "Relaxez-vous au milieu d'îlots multicolores et d'une écume crémeuse à la lavande réconfortante" Point d'îlots multicolores, ni d'écume crémeuse pour ma part...
Ce que dit l’étiquette : « Relaxez-vous au milieu d’îlots multicolores et d’une écume crémeuse à la lavande réconfortante »
Point d’îlots multicolores, ni d’écume crémeuse pour ma part…

J’y ai repensé hier en faisant connaissance avec mon nouveau kiné, alors que je n’étais pas tellement à l’aise et que le lâcher-prise qui lui était nécessaire pour pouvoir faire travailler mes jambes (entre autres) était soudainement devenu une notion plus qu’abstraite dans ma tête (et peut être encore plus pour mon fessier gauche qui avait apparemment décidé qu’il était du côté de la résistance).

Je veux dire, dans les deux situations, on est face à un professionnel qui rend un service qu’a priori on ne peut/ veut pas faire nous-même et que l’on rétribue : d’où vient le malaise si c’est un choix ?

ShootForTheStars-2

Je me rends bien compte que la situation est absurde et pourtant il y avait hier un espèce de mélange de conscience de soi, de contrôle et d’auto-jugement qui n’avaient pas lieu d’être.

Enfin, le principal c’est que j’ai apprécié la personne, son approche et que finalement, toute désemparée que j’étais à ne pas comprendre comment je pouvais relâcher mon fessier, mon quadriceps ou je ne sais quel muscle, j’ai beaucoup ri.

Et en sortant, personnellement, je me suis trouvée très détendue.

ShootForTheStars-3

Puisque nous sommes dans le registre du soin du corps et de la détente, j’en profite pour glisser quelques mots sur une des dernières ballistics que j’ai testée, la bien nommée « Shoot for the stars ».

C’est une grosse ballistics bleue, avec des pointes de rose quand elle se diffuse, ce qui colore l’eau du bain en un violet profond. J’a n’ai pas réussi à prendre des photos mettant en valeur les petites nacres et surtout les mini étoiles ( :love: ) qui se dispersent et c’est bien dommage parce que cela donne un effet très sympathique, on a l’impression de se baigner dans un ciel étoilé.

ShootForTheStars-4

Du côté du parfum, cela sent la lavande ( :love: ) et c’est donc relaxant à souhait.

Très belle découverte de mon côté, je pense que cette ballistics fait partie de mon top 5, voire du top 3 de mes favorites (avec Cosmic Girl et Sex Bomb), et elle me rappelle étonnamment Twilight et l’or du bain.

ShootForTheStars-5

Peut-être que je devrais l’utiliser avant d’aller chez le kiné pour être plus dans le lâcher prise tiens…

Bonne journée !

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Patience, tempérance, bienveillance et un semblant de revue du web #50

18 octobre 2015

Cet après-midi, alors que je préparais du granola (celui à la banane dont je vous avais parlé dans cette revue du web, testé et approuvé) pour agrémenter la compote de pommes que j’avais faite la veille, je me suis demandée quelle leçon la vie voulait que j’apprenne cette année.

Je sais bien qu’on n’est ni en fin, ni en début d’année (dates où je fais mes bilans habituellement), mais comme on se le disait avec mon parrain au téléphone tout à l’heure, on ne peut pas dire que 2015 soit une année particulièrement facile.

Outre le fait que je rencontre régulièrement des difficultés au travail cette année, ce qui m’interpelle le plus c’est au niveau de la santé puisque depuis le premier jour de l’année (avec une entorse de la cheville et une fracture des orteils), j’accumule un petit peu les déconvenues au niveau des jambes (en ce moment c’est rotule désaxée et genouillère).

Et finalement, quand j’y réfléchis, ce n’est pas tant la douleur qui me pose problème, c’est plutôt la frustration qui va avec les événements.

Je m’explique en illustrant mon propos d’un exemple, si vous le voulez bien.

J’ai découvert cet été qu’il y avait un studio de yoga tout proche de mon lieu de travail, et je m’étais dit toute contente qu’à la rentrée j’allais m’y inscrire, comme ça je serais plus assidue, j’allais reprendre le yoga avec un bon suivi, j’allais rencontrer de nouvelles têtes, j’allais être beaucoup plus zen au boulot, etc.

Vous avez compris, j’étais plus qu’impatiente de m’y rendre et de toutes les merveilles que m’apporteraient les deux cours hebdomadaires que j’avais choisi (quitte à rêver, autant en rajouter des caisses).

Je vous laisse imaginer ma tête quand j’ai compris qu’avec mon genou qui regarde vers l’extérieur et flanche déjà conduire c’était pas conseillé, alors le yoga, mais enfin ma chère, vous n’y pensez pas ?

Fichtre, un contretemps.

Du coup, après une réflexion rapide de quelques heures entrecoupées de granola à sortir du four, masque à se faire et appels téléphoniques, j’en suis arrivée à la conclusion que peut être, la vie essayait de m’enseigner trois choses, à savoir la patience, la tempérance et la bienveillance (envers moi-même).

Que des rimes en \jɑ̃s\ donc, et surtout un vaste programme.

D’ici là que je progresse sur ces vertus, je vous propose quelques liens qui ont retenu mon attention, comme une revue du web finalement.

Sources des images : Les mots ailés, L'usine à bulles, Decor8 et A Beautiful Mess
Sources des images : Les mots ailés, L’usine à bulles, Decor8 et A Beautiful Mess
  1. Ces donuts coing et châtaigne chez Les mots ailés, qui seront sans doute ma prochaine expérience culinaire.
  2. Ce coussin écaille chez l’usine à bulles qui me semble être un travail titanesque mais le rendu est tellement joli !
  3. Cet article sur la peur d’être jugé chez Decor8, peut-être une étape à franchir pour aller vers plus de bienveillance.
  4. Ces brownies marbrés chez A Beautiful Mess, parce que certes je ne fête pas Halloween, mais ce n’est pas une raison pour ne pas essayer une recette de pâtisserie avec de la citrouille.

Et en bonus, un petit peu de musique avec ce remix que j’ai découvert via soundcloud et qui ma foi donne plutôt la pêche je trouve.

N’hésitez pas à me faire part de vos coups de cœur en termes d’articles ou de livres, je cherche de quoi aiguiser mes neurones !

Bonne journée et bonne semaine !

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Sakura

14 octobre 201513 octobre 2015

Dans la lignée des ballistics discrètes (rappelez-vous, j’avais déjà évoqué mon expérience avec Butterball), je demande Sakura ! Cette ballistics a été ma compagne lors d’une soirée un peu fraîche, où l’envie de se délasser dans un bain chaud s’est faite sentir.

Préparez vos sens, imaginez-vous au Japon, dans un onsen alors que la saison des sakuras (cerisiers en fleurs) bat son plein… Vous y êtes presque !

ballistic-sakura-1

Voici ce que dit l’étiquette :

Plongez dans votre bain et imaginez une pluie de pétales de cerisier tombant délicatement sur votre corps.

La description de la ballistics représente très exactement l’expérience qu’elle offre : pas d’effet de couleur (l’eau devient juste rose transparent), l’odeur de fleurs de cerisiers est plutôt délicate, pas de surprise pendant que la boule de bain se dissout (c’est à dire qu’il ne faut pas vous attendre à de vraies pétales de ceriser, ici il n’y a « que » l’odeur qui vous donnera l’impression d’en être entouré(e)).

ballistic-sakura-2

Je la trouve particulièrement adaptée pour les soirées tranquilles à se délasser et prendre soin de soi, à ralentir, à vivre l’expérience. Ce n’est pas le genre de ballistics que j’utiliserais avant une soirée, sauf peut être une soirée cocooning avec son (ou sa) partenaire.

ballistic-sakura-3

Le parfum plutôt discret ne se fait pas trop présent sur la peau, ce que je trouve un peu dommage étant particulièrement adepte des senteurs fleuries. Cela n’empêche pas cette ballistics d’être une bonne partenaire pour la simplicité et la détente.

Et après tout, n’est-ce pas ce que l’on attend d’un bain, une sensation d’apaisement et de tranquillité ?

Vous la connaissiez ? Si vous l’avez essayé, quel a été votre ressenti à son sujet ?

Bonne journée !

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Pointe d’été

9 octobre 20158 octobre 2015

Rappelez-vous, il y a quelques temps, je vous avais parlé de la pointe d’été du Chouette Kit 11 bis que j’avais commencé, alors que nous étions en pleine canicule.

Pointe-ete-fini-1

Je l’ai terminée il y a quelques temps, je l’ai laissée dans un coin, et finalement, je me suis lancée dans le blocage. Non pas que cette étape soit particulièrement compliquée ou fastidieuse, mais repasser quand il fait chaud ce n’est pas ma tasse de thé…

pointe-ete-fini-2

Pointe d’été donc, crochetée d’après le patron du Chouette kit 11 bis, en Lana Stop Eco d’un joli bleu foncé (la couleur la plus fidèle est celle de la première photo, d’ailleurs je ne sais pas trop pourquoi on dirait qu’il y a des tâches roses sur les clichés, mystère de l’appareil photo on va dire…) et avec un crochet n°6 au lieu du 4 préconisé, parce que je crochète très très serré et que j’aime bien les mailles souples, surtout pour de la dentelle, où c’est plus joli (je trouve) quand c’est aéré.

pointe-ete-fini-3

D’un point de vue des dimensions ce châle est un peu plus petit que le shawl dentelle que j’ai réalisé précédemment, mais tout aussi agréable à travailler. J’ai eu quelques hésitations au début du patron dont j’avais un peu du mal à comprendre la grille et puis une fois que je l’ai eu assimilée, l’ouvrage est monté plutôt vite. Petite préférence pour la laine de ce projet ci, un fil rond qui se tient bien tout en restant moelleux, vraiment agréable à travailler.

J’espère qu’il plaira à sa destinataire !

Pour la suite, sans doute une couverture bébé, peut être au crochet, je n’ai pas encore décidé. C’est le stock de laine qui me permettra de sélectionner le projet qui conviendra.

Et vous, qu’il y a-t-il en ce moment sur vos aiguilles ou sur votre crochet ?

Bonne journée !

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Petite promenade à l’écluse de Castanet

17 septembre 201513 septembre 2015

J’ai récemment pris quelques jours de congés, et, pour une fois je ne suis pas partie à l’étranger, préférant rester un peu à l’appartement pour ralentir et marcher dans le coin.

C’est ainsi que je me suis rendue à Castanet pour aller me baladerle long du canal du midi, entre l’écluse et le pont de Deyme. J’en ai profité pour faire quelques photos de ce joli coin de nature, qui vous donneront peut être à vous aussi envie de vous promener par là bas…

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J’ai mis environ 2 heures pour faire l’aller-retour, ce qui m’a permis de bien m’imprégner du lieu et de m’évader à deux pas de Toulouse. Je pense que j’y reviendrai, ce n’est pas très loin de chez moi et la promenade est très agréable. A vélo cela doit être sympathique aussi…

Et vous, quels sont vos coins de nature favoris pour vous promener ?

Bonne journée !

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Butterball

14 septembre 201514 septembre 2015

D’habitude, je suis plutôt une adepte du bain de fin de journée, trouvant que c’est un bon moyen de se détendre avant de rejoindre Morphée. Et pourtant, il y a quelques jours, pendant mes congés, j’ai eu envie de prendre un bain le matin, comme pour prolonger encore un petit peu le cocon douillet des draps et s’éveiller tranquillement.

Je ne voulais pas d’une bombe pour le bain qui soit trop « chargée » ou « agressive » de bon matin, alors je me suis tournée vers la ballistic Butterball qui m’avait l’air d’être la plus appropriée au moment et à l’envie du jour…

Ce que dit l'étiquette : "Une ballistic parfumée à la vanille avec des pépites de beurre de cacao pour adoucir la peau"
Ce que dit l’étiquette : « Une ballistic parfumée à la vanille avec des pépites de beurre de cacao pour adoucir la peau »

En général, quand je m’achète des ballistics chez Lush, j’aime bien chercher la nouveauté rigolote qui va apporter un petit plus à un bain et je me retrouve souvent avec des produits assez typés, avec beaucoup de caractères, reconnaissables entre mille.

Bien entendu que celle-ci a son propre caractère, mais il se rapproche de la douceur, du plaid bien moelleux et doux dans lequel on s’emmitoufle dans les moments de repos.

butterball-2

Déjà cette odeur de vanille, plutôt subtile (y compris sur la peau après être sortie du bain), pas chimique, un peu comme les gousses de vanille qu’on fait infuser dans le lait de la pâte à canelés, ou qu’on met dans le gâteau au yaourt, juste pour apporter un petit plus, un petit peu de rondeur.

Ensuite, c’est une ballistics « discrète » : il n’y a pas de surprise particulière par rapport à ce qui est annoncé sur l’étiquette, l’eau ne se colore pas, il n’y a pas de paillettes, de pétales de fleurs ou autre. Rien que de la vanille…

butterball-3

… Et des pépites de beurre de cacao, les petits points ocre/marron sur la photo ci-dessus, qui fondent avec la chaleur de l’eau et qui viennent se déposer sur la peau pendant le bain.

J’aime beaucoup le beurre de cacao, déjà parce qu’il a lui aussi cette odeur ronde et douillette, et aussi parce que c’est un produit doux. En avoir dans le bain est plutôt agréable parce qu’il se dépose sur la peau et on peut se masser sous l’eau, c’est vraiment une expérience sympathique.

Cela nécessite certes d’avoir pris le temps de se laver avant et de juste se tamponner la peau délicatement en sortant du bain, sinon cela réduit de beaucoup les bénéfices de la chose, mais c’est bien peu à avoir en tête pour le bénéfice.

Car en sortant, c’est bien simple, la peau est tellement douce, souple et nourrie et l’esprit si serein et détendu, que ce serait dommage de s’en passer.

Vous l’avez deviné, je vous la conseille, une bonne parenthèse de douceur et de calme à savourer.

Vous la connaissiez ? Si vous l’avez essayé, quel a été votre ressenti à son sujet ?

Bonne journée !

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Miss Hokusai

11 septembre 20152 août 2016

La dernière fois je vous donnais mon avis sur Vice Versa, continuons donc sur notre lancée des films d’animation avec Miss Hokusai…

Source : manga-sanctuary.com
Source : manga-sanctuary.com

Miss Hokusai, c’est l’histoire d’O-Ei, l’une des filles du maître Hokusai. Ils vivent à Edo, dans un atelier dont le père, le « fou du dessin » et la fille ne sortent qu’assez peu, réalisant à quatre mains des oeuvres magistrales.

C’est un film assez difficile à définir parce qu’il décrit à la fois les relations d’O-Ei avec sa famille (son père, bien entendu, mais aussi sa mère et surtout la touchante O-Nao, petite sœur aveugle), le processus créatif et artistique (inspiration pour la création d’une oeuvre, finition d’une peinture…), la personnalité forte de l’héroïne, tout en y ajoutant une touche de fantastique et en se basant sur les souvenirs d’O-Ei.

C’est un peu une fenêtre sur le temps, qui présente certains événements et traits des uns et des autres, comme une photographie sur un laps de temps de quelques années partagées entre la création artistique, la quête de soi et les échanges avec le monde extérieur.

Le film manque peut être un petit peu de structure (quel est le message au final ?), cependant le trait est très beau, on se croirait vraiment dans le Japon des années 1800, et les personnages sont très bien retranscrits, avec des traits dominants forts qui n’éclipsent pourtant pas la profondeur.

Résultat, j’ai passé un bon moment, je crois que c’est le principal !

Et vous, l’avez-vous vu ? Qu’en avez-vous pensé ? Vous tente-t-il ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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