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Petit snood deviendra grand…

10 février 20149 février 2014

Je vous en avais parlé dans l’article sur le Ravellenic Winter Games 2014, avec le début des JO, j’ai commencé mon petit snood du Chouette Kit n°8.

C’est ainsi qu’au bout de quelques heures, le petit snood commence à prendre forme…

snood-crochet-1Alors bien sûr, il n’est pas bien grand. Je vous le concède. Et en plus il ne monte pas bien vite ! Déjà parce que je crochète très lentement (mais ça c’est parce que je ne tiens pas mon crochet correctement) (mais comme j’ai appris toute seule ben je fais avec les moyens du bord et je ne sais que crocheter comme ça de toute façon), ensuite parce que c’est un crochet n°4 (et donc c’est petit), mais aussi…

Parce que le fil est une galère sans nom (enfin si, il s’appelle Creative Reflection de Rico Design si vous voulez tout savoir).

snood-crochet-2Alors oui, il est très joli, le fil de lurex c’est super mignon, ça donne un côté pailleté (non, je ne vais pas me répéter, je suis sure que vous avez compris mon avis sur la paillette). Et puis il est plutôt doux et souple, ce qui est agréable.
Par contre il se dédouble. Et donc à crocheter ce n’est pas pratique, parce qu’une fois sur deux on passe au milieu du fil et pas dans la boucle, et donc on recommence pour ne pas avoir un rendu moche.Et si je vous dit qu’en plus le fil n’est pas régulier, pour une débutante, ça fait un peu beaucoup (même si le motif des points est super simple).

Donc je prends du temps. Et je me dis que je ne suis pas bien sûre d’arriver à faire les deux projets que je souhaitais faire pendant le laps de temps des JO.

Enfin l’important c’est de tenter sa chance et de repousser ses limites non ? Alors je vais persévérer (je vais pas me laisser abattre par un fil qui se dédouble, non mais, j’y tiens moi à mon petit snood !), et de temps en temps je vous montrerai où ça en est si ça vous dit. Et si vous avez des encouragements pour deux, vous pouvez aussi encourager Tête En Pelote, qui tricote des mitaines.

Et puis de toute façon, à la fin, je suis certaine qu’on sera super fières de nos petits ouvrages.

Bonne journée !

PS : Les photos ont été prises dimanche matin, depuis j’ai avancé quand même…

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Revue du web #3

9 février 2014

Les articles qui ont retenu mon attention cette semaine…

source : Crafty Bitches
source : Crafty Bitches

Tout d’abord cet article chez Crafty Bitches qui m’a beaucoup parlé. A la fois il me rappelle un peu quand je suis partie vivre à Montréal, et à la fois il représente ce qui me titille depuis un petit moment : tout plaquer et voyager. Et puis elle montre bien l’envers du décor, les répercussions d’un tel choix, l’incompréhension que peut avoir l’entourage par exemple, mais aussi les bons côtés, comme par exemple le fait que cela permet de faire le point sur ce que l’on veut vraiment, pour soi.

source : Antigone XXI
source : Antigone XXI

Toujours dans les sujets de fond, un chouette article chez Antigone XXI sur le féminisme. Il pose notamment la question de la maternité mais pas que, et j’aime beaucoup ce genre d’articles qui me permet de me poser des questions, de réfléchir à des sujets sur lesquels je ne me penche pas vraiment… Si vous avez le temps, prenez-le pour lire les commentaires aussi, qui viennent pousser le débat et la réflexion encore un peu plus loin.

source : Le Chaudron Pastel de Mély
source : Le Chaudron Pastel de Mély

Vous vous doutiez bien qu’il y allait forcément y avoir une recette de cuisine qui allait se cacher quelque part, la voilà ! Cette semaine, j’ai jeté mon dévolu sur la tarte aux kakis de Mély. Déjà parce que le kaki est ma découverte de l’année, ensuite parce que je me documente de plus en plus sur la cuisine végane vers laquelle je tends de plus en plus. Et puis les articles de Mély sont toujours une source de poésie et de douceur et rien que pour cela ils valent la peine d’être lus (en plus de la mine d’information qu’ils représentent), même si on ne réalise pas les recettes.

journaling
source : Creating Impossible Gardens

Du côté anglophone, un petit article sur la manière de tenir un journal. Je tiens le mien de manière assez classique, mais je me rends compte que, comme Yoojin, je sème des informations de ci, de là dans mon agenda favori… C’est sans doute pour cela que j’ai bien du mal à m’en séparer après !

source : Creature Comforts
source : Creature Comforts

Je parle assez rarement des petites boutiques que je découvre au fil de mes pérégrinations sur le web, mais je suis dit que c’était l’occasion… Ez de Creature Comforts met à l’honneur la boutique Happy Home dans son article, et je dois bien avouer que ces tons poudrés et doux me plaisent énormément…

Et pour finir, ce n’est pas un article que je vous propose, mais une petite vidéo Ted (en anglais et il n’y a les sous-titres qu’en anglais…), qui présente les œuvres d’Aparna Rao. J’aime beaucoup, beaucoup ce qui y est présenté, l’interaction avec le public, l’humour de l’artiste, la poésie et la naïveté de ces œuvres.

Et vous, quels sont vos découvertes sur le web de la semaine ?

Bonne journée !

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La petite pochette bicolore

6 février 20143 février 2014

Il paraît que je suis quelqu’un de déterminé. Moi, bien entendu, je ne suis pas tout à fait d’accord avec ça. Bien sûr je sais m’investir dans les choses qui me tiennent à cœur et dans ce cas là, j’essaie de faire tout ce que je peux pour le mener à bien.

Mais parfois, pour des futilités ou pas, je me décourage. Alors j’abandonne, je peste, je m’en veux, je me promets d’y revenir et de réussir, parfois j’y arrive et parfois cela reste un vœu pieu, je ne m’y replonge jamais, un peu honteuse de céder si facilement à la moindre difficulté.

pochette-simili-1Cette pochette en simili cuir du Chouette Kit n°8 par exemple, a bien failli ne jamais voir le jour.

Dimanche, je voulais me lancer un nouveau défi et réaliser cette pochette. Je l’ai déjà dit, je suis loin, très loin d’être douée en couture (premiers pas en 2011 et j’arrive à peine à faire une trousse 2 ans plus tard quoi). Pourtant, comme beaucoup de choses pour lesquelles je rencontre des difficultés, la couture me fascine. Je trouve que savoir coudre, c’est un éventail de possibilités créatrices et créatives sans fin.

Il y a beaucoup de talents que j’aurais aimé avoir, et celui de savoir coudre avec fluidité en fait partie. Alors à défaut d’avoir des dispositions particulières, de temps en temps, je m’entraîne, je lis des ouvrages, je regarde comment les autres font.

Et là j’ai décidé de me lancer, d’apprivoiser un médium que je ne connaissais absolument pas, le simili cuir et en plus d’y ajouter une fermeture éclair.

pochette-simili-2Et c’est bien la fermeture éclair qui m’a donné le plus de fil a retordre (c’est le cas de le dire).

Premier essai, la tension du fil qui n’est pas bonne. La couture n’est pas soignée, c’est pas solide, bref catastrophe. Un petit détour par le net, je comprends que la tension est trop faible (grâce à ce petit schéma). Ensuite, il a fallu que je recherche laquelle des deux molettes permettait de régler la tension sur ma machine. Parce qu’instinctivement, j’allais diminuer la taille des points. Taille des points que j’ai par la suite voulu agrandir, mais ça n’a pas été super flagrant…
Je défais tout et je recommence.

Deuxième essai, tout se passe bien. Sauf que j’ai posé la fermeture éclair à l’envers. Là je commence à m’agacer, à me dire que vraiment je ferais mieux d’arrêter le carnage plutôt que d’abîmer le simili cuir.
Comme à chaque fois que je prends les choses trop à coeur et que j’essuie des échecs, j’ai presque les larmes aux yeux (oui, je sais, c’est ridicule de se mettre dans des états pareils pour une couture) (mais je suis comme ça, voilà).

pochette-simili-3Doucement. Calme-toi. Respire.
Je prends une tasse de thé, je gratouille mes plantes.
Je défais tout. Encore.

Je me réinstalle à la table du salon, je repose les choses bien à plat devant moi. Et tranquillement, doucement, je mets mes aiguilles, je maintiens la fermeture sur le coupon rouge coquelicot (nan, mais cette couleur n’est-elle pas divine ?), je vérifie que je ne me suis pas trompée de sens (au moins 392 fois) (au moins).

Je mets le tout en bonne position, j’appuie sur la pédale de la machine, je vais doucement pour tenter de coudre droit (raté, mais c’est plutôt léger). Le premier coupon est fixé.

Deuxième coupon, couleur aubergine celui là, je suis presque en méditation transcendentale pour savoir, petit a, comment fixer le coupon pour qu’il soit dans le bon sens, et, petit b, comment diable vais-je bien pouvoir faire pour coudre le truc sans complètement saccager l’ensemble. Je tente un truc improbable et sans doute pas très académique.
Et contre toute attente, ça marche. Damned, ça prend forme.

pochette-simili-4Le reste de la couture était bien plus à ma portée, même si, en y repensant, j’aurais dû plus espacer les coutures latérales du début et de la fin de la fermeture éclair. Là ça fait un truc bizarre. C’est pas moche, ça fonctionne, mais ça fait un peu artisanal.

Vous permettrez que je passe sous silence l’étape qui consiste à remettre à l’endroit l’ouvrage en le faisant passer par la fermeture éclair : entre l’épaisseur du simili cuir et la peur de flinguer toutes ces coutures si difficilement réalisées, j’ai bien cru que je ne m’en sortirais jamais, j’ai même pensé que j’allais la garder à l’envers (mais c’était ni pratique, ni esthétique).

pochette-simili-5Et puis voilà, la petite pochette bicolore est là. D’un côté je suis contente, de l’autre cette histoire de couture avec la fermeture éclair m’ennuie un peu. De là à tout défaire et recommencer… Je ne sais pas, je me dis que c’est dommage parce qu’elle fait bien sont travail, elle est jolie et en défaisant tout j’ai un peu peur de tout abîmer, surtout le simili cuir qui a déjà été beaucoup manipulé et piqué.

Alors je crois que je vais la garder comme ça, et garder au fond de mon cœur que ça valait le coup de se calmer, de persévérer.

Parce qu’elle est quand même rudement jolie, ma petite pochette bicolore coquelicot aubergine… Et que c’est le plus important, dans l’histoire.

Bonne journée !

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Petit bonheur du matin #29

5 février 20143 février 2014

nouveauthe-yogi-teaNe pas savoir lequel choisir et décider de boire une tasse de chaque…

Celui à la rose est très doux, très fleuri, apaisant. L’autre me rappelle mes voyages en Tunisie et en Turquie, les infusions d’hibiscus sont très répandues là bas. Et avec ce petit goût de gingembre que j’adore, ça réveille !

Bonne journée !

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L’or du bain

4 février 20142 février 2014

Je l’ai toujours dit et je le répète : le bain et moi c’est une grande histoire d’amour. Je me détends dans le bain, je lis dans le bain, j’écoute des podcasts dans le bain, je fais mes trucs de filles dans le bain, je rêve dans le bain, je laisse mes colères et chagrin dans le bain, je me réchauffe dans le bain, je me prépare à dormir dans le bain.

Le bain c’est sacré. Point barre.

Pour tout dire, je ne conçois même plus de vivre dans un appartement dans lequel il n’y aurait pas de bain. Et puis pourtant, ces derniers temps, point de bain. Je ne sais pas trop pourquoi. Peut être que je n’avais pas trop envie de rester longtemps dans la salle de bains que je trouvais froide (depuis j’ai compris pourquoi : le radiateur était éteint. Je m’en suis rendue compte le mois dernier quand même) (et après j’ai tilté que le thermostat des radiateurs de l’appartement était à 18°C).

Et puis l’autre jour, journée un peu moyen moins : la réunion où tu attends 1/2h des gens qui ne viennent pas, la pluie et le froid, un mec qui te pousse dans une flaque et qui du coup trempe tes jolies bottes, le mascara qui coule alors qu’on lui a rien demandé, le bus qui te passe sous le nez, la tasse que tu remplis d’eau froide pour faire un thé (# fail), le gars qui te dévisage dans l’ascenseur et à qui tu as juste envie de mettre un bon coup de latte pour lui remettre les idées en place (nan mais pour qui il se prend lui ???), et puis comme d’habitude tu fais rien (parce que t’es lâche pour ces trucs là, voilà, disons-le) (ou alors c’est juste que tu es blasée de ces trucs là que tu subis sans cesse, de même que les réflexions qui vont avec), les piles de la télécommande qui sont mortes et donc la freebox qui ne fonctionne pas, le lecteur de l’ordi qui a décidé d’être en grève (alors qu’il a 3 ans ! Même l’ordinosaure il était en meilleur état à cet âge là !), l’impossibilité de regarde le DVD que tu voulais voir donc, les soi-disant amis qui ne répondent jamais à tes SMS et qui ne te proposent jamais rien, etc., etc.or-du-bain-1Du coup, après avoir bombardé de SMS plaintifs Rock and Tea (dans ces moments là, je me dis que je dois être une plaie) (pardon copine), j’ai décidé de m’occuper l’esprit comme je pouvais. Et de prendre un bon bain, avec mes bouquins de voyage pour décider dans quel ordre je verrai quoi, comment j’allais organiser mes journées (oui, 4 mois avant, parfaitement). Bref, j’avais décidé de rêver, de m’extraire de ce quotidien qui parfois me sort par les pores et dans lequel je ne me reconnais pas.

Le compagnon du jour, c’était le pain moussant l’or du bain de Lush. Parce que les paillettes, c’est comme le bain : quand ça va pas, il n’y a rien de mieux que les paillettes, que ce soit dans le vernis, le bain, les cheveux, le sac d’une copine, peu importe, les paillettes ça change la vie.

On devrait faire une journée de la paillette. Et une journée du bain. Je pense que je vais lancer le concept, ça va faire un carton (non ?).

Alors le principe des pains moussants est assez simple : on coupe le pain moussant (sauf pour les soirées mousse, là on peut le mettre entier), moi là je l’ai coupé en deux et il a vraiment moussé, on le met dans le fond de la baignoire là où le jet d’eau arrive, on ouvre l’eau et on regarde. Bon et après on plonge dans le bain quand même.

or-du-bain-2L’or du bain fait bien son job : il mousse, il colore l’eau d’un joli jaune un peu orangé, il y a un peu de paillettes (mais pas beaucoup, ça fait plus aurore boréale dans le bain quand tu bouges qu’un bain vraiment pailleté), il sent les agrumes (c’est plutôt doux d’ailleurs, amateurs de senteurs fortes passez votre chemin) et la peau est douce en sortant.

C’est pas le produit que je préfère chez Lush, mais au moins, pendant une petite heure, j’étais ailleurs, j’avais chaud, j’étais bien et mes contrariétés étaient loin. Alors oui, quand je suis sortie du bain, la télécommande ne fonctionnait toujours pas, mais au moins j’étais détendue et j’ai pu m’endormir comme un bébé avec Totue à mes côtés.

La vraie vie quoi.

Bonne journée !

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Ravellenic games 2014

3 février 20142 février 2014

Il y a 4 ans, pendant les derniers Jeux Olympiques d’hiver, j’avais participé à un « jeu » un peu particulier sur Ravelry : les Ravelympics. Je faisais partie de l’équipe Tricot(thé).

Le but de ce jeu, qui n’en est pas vraiment un puisqu’il n’y a rien à gagner, c’est de profiter de la période des Jeux Olympiques pour se lancer des défis en tricot ou en crochet. Chaque projet peut concourir dans une ou plusieurs disciplines. Je ne me rappelle plus des libellés des disciplines de l’époque, mais c’était des noms assez humoristiques.

En 2010 j’avais réalisé une écharpe en maille dentelle pendant les Ravelympics, River. C’était ma toute première écharpe du genre, avec un patron en anglais et un peu compliqué, et j’étais très contente d’avoir pu la réaliser. Et puis ce qui était chouette aussi, c’était l’ambiance bon enfant dans le groupe, chacun soutenant les autres. Bon après, comme je le disais, il n’y avait rien à gagner, si ce n’est le plaisir d’avoir participé et d’avoir quelque peu dépassé ses limites (ou pas d’ailleurs, chacun fait comme il veut).

Ravellenics2014banner.3

Depuis, le nom du jeu a changé, il s’appelle maintenant Ravellenic (et j’ai découvert qu’on pouvait aussi jouer pendant les JO d’été), mais l’esprit reste le même.

Cette année, le groupe Tricot(thé) ne semble pas avoir d’équipe, alors j’ai décidé de participer aux Ravellenic Games 2014 en solo. Je vais en profiter pour faire quelques projets du Chouette kit n°8. Par exemple, le col au crochet, qui devrait pouvoir faire partie de la catégorie « cross cowling » mais aussi « lace luge » et « single skein speed skate ». Et puis si vraiment j’ai l’inspiration et le courage, je ferai aussi le châle en crochet (mais comme c’est du niveau 3, comment vous dire, je suis pas sure d’y arriver quand même), qui aurait a peu près les mêmes catégories (sauf la dernière, puisqu’il serait réalisé avec 3 pelotes).

Voilà pour les choses à venir. Février sera résolument un mois de création, je le sens.

Et vous, vous participez aux Ravellenic Games 2014 ?

Bonne journée !

PS : Le lien du groupe et le lien de la description des catégories, tous deux en anglais. Il faut avoir un compte Ravelry pour y accéder.

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Revue du web #2

2 février 2014

Quelques petits articles qui ont attiré mon attention cette semaine…

source : Antigone XXI
source : Antigone XXI

Cet article est un peu plus ancien que cette semaine, néanmoins je ne résiste pas à vous le présenter. Ophélie nous apprend à faire des « fromages » végétaux avec des oléagineux. Je n’ai pas encore essayé, mais je suis très tentée : serait-ce là le moyen pour moi de me régaler de belles tartines sans les inconforts digestifs qui vont avec ? A suivre…

source : Cléa cuisine
source : Cléa cuisine

Cuisine toujours, une petite recette de petit déjeuner aux flocons d’avoine et matcha chez Cléa qui pourrait bien venir apporter un peu de fantaisie à mes petits déjeuners du week end.

Velouté-dépinards-et-pois-chiches-au-cumin
source : Papilles et Pupilles

Et puis, bien entendu, une petite recette de soupe ! Le velouté d’épinards au pois chiches au cumin d’Anne me fait terriblement envie, ces trois ingrédients faisant partie de mes ingrédients fétiches. A tester bien vite !

source : Et pourquoi pas Coline
source : Et pourquoi pas Coline

Dans un tout autre registre, j’aime beaucoup cette tenue de Coline : du sobre mais féminin, travaillé sans trop de chichis. Rien à redire, j’aime tout, la robe, les bottes, les couleurs.

 

source : Petit précis de Grumeautique
source : Petit précis de Grumeautique

Décidément l’enchainement de mes coups de cœur de la semaine laisse un peu à désirer, mais je vous propose de rigoler un peu et d’aller voir l’interprétation du suppo de Satan par la République Bananière du Grumeauland.

source : Tokyobanhbao
source : Tokyobanhbao

On reste dans le dessin avec cet ouvrage découvert chez Tokyobanhbao. Je n’ai pas son talent (loin de là), mais dans son article vous pouvez voir certains de ses dessins. Je suis très très fan (sans jeu de mots) du « seal ». Il existe aussi une version plus orientée écriture, pour les intéressés.

creative-diaries
source : Kelli Murray

Je suis tombée immédiatement amoureuse de cette illustration de Kelli Murray, qui s’inscrit dans un article sur la création. Tant de douceur, de poésie, de lumière, ça m’émeut. Voilà.

source : A Beautiful Mess
source : A Beautiful Mess

Un petit tuto pour faire son masque pour les yeux chez A Beautiful Mess. Je vais peut être me lancer à m’en faire un pour mon voyage à San Francisco, dans mes souvenirs les américains ne sont pas trop rideaux occultants et consorts, ça pourrait être utile… Et puis c’est rigolo, non ?

source : Creature comforts
source : Creature comforts

Vous reprendrez bien un peu de Saint Valentin ? Il y a plein de chouettes DIY chez Creature comforts sur le sujet, et d’ailleurs les coussins cœur, Saint Valentin ou pas, je les verrais bien sur mon canapé.

source : Decor8
source : Decor8

Je suis tombée amoureuse des tissus présentés par Holly dans son article. S’il y a des volontaires pour me ramener un coupon des tissus 1, 3, 5, 7 et 8, je prends ! Et puis aussi, toujours chez Holly, quelque chose qui ne risque pas de m’arriver rapidement, mais je suis ébahie par la chambre de son bébé. Tout y est beau !

Voilà pour mes découvertes de la semaine ! Et vous, quelles sont les vôtres ?

Bonne journée !

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Les croquis de la semaine #11

30 janvier 201429 janvier 2014

Dites donc, ça ferait pas un bon moment qu’on n’a plus vu de dessin et de peinture par ici ?

Alors ce n’est pas que je ne fais plus rien (même s’il faut bien avouer que j’ai considérablement réduit le volume…), mais plutôt que j’hésite à vous montrer. Je suis tout le temps en train de me dire que c’est pas beau, que j’ai pas de talent, et gnagnagni et gnagnagna. C’est mon côté disque rayé vous voyez.

Et puis hier on a eu une petite discussion avec un collègue, petite discussion qui a un peu débordé sur tout et n’importe quoi (mais c’est ça qui est bon), et au final (je vous la fait courte, hein), on en est arrivés à se dire qu’on était des perfectionnistes et que finalement c’était mieux de pratiquer et de progresser (de toute façon, qui a entamé une activité en étant un maître directement ?) plutôt que de se mettre des bâtons dans les roues.

Les petits dessins que je vous présente aujourd’hui, ce sont des petites choses que je fais le soir dans mon lit, après avoir écrit un peu dans le Keel’s diary : vu que j’ai mon stylo noir dans la main, je griffonne quelques petits trucs sur mon petit bloc rose que j’avais acheté parce qu’il était rose trop choupi mais dont je ne savais pas quoi faire. Je dessine ce qui me passe par la tête, donc c’est un peu fouillis là dedans, ça va de la plante que j’ai vu dans un livre à une envie qui passait par là.

bubble-bath

croquis-fleur

envie-cinema

envie-crea

oiseau-paradis

reconfort

hippocampeBien entendu, cela ne remplace pas une session de peinture, mais c’est un exercice distrayant et rapide, j’aime bien. Et puis ça me détend.

Bonne journée !

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Sweet candy

28 janvier 201426 janvier 2014

Depuis quelques temps, je reprends plaisir à me faire les ongles. Je n’ai pas les ongles toujours vernis, je ne suis pas toutes les étapes d’une vraie bonne manucure (repousser les cuticules, pardon, mais ça me gonfle), mais je suis contente d’avoir un peu de couleur sur les mains de temps à autres.

A Noël, j’ai eu en cadeau un vernis Sephora, coloris Sweet candy. C’est un rose bonbon, qui personnellement me fait penser aux Malabars. Avec ma Chouette pointe XL, je renoue avec la petite fille que j’étais, qui portait absolument n’importe quoi comme vêtement, pourvu qu’il soit rose.
A l’époque, on pouvait m’acheter exactement le même vêtement dans deux couleurs dont un rose, c’était sur et certain que j’allais préférer le rose. C’était plus mieux quoi.

main-naturelleÇa, c’est ma main gauche au naturel, c’est à dire sans vernis, sans cuticules repoussées, sans artifices. J’ai la chance d’avoir des ongles très durs, très blancs et qui poussent plutôt vite sans que j’ai à faire quelque chose de particulier. Du coup, j’ai l’habitude de porter les ongles longs, quand ils sont courts j’arrive à rien, même taper au clavier ou utiliser mon smartphone devient une galère.

Par contre, quand on a les ongles longs et qu’on aime le vernis, on peut vite glisser dans la catégorie « bimbo », et ça j’aime pas trop. J’ai par exemple un vernis fushia, je ne le porte que quand j’ai les ongles courts ou sur les pieds. Ce qui fait que je porte souvent des couleurs claires ou alors carrément des choses sombres. Je préfère avoir l’air d’une gothique que d’une pétassouille (qu’on se le dise) (certes, personne ne m’a jamais fait de remarques désobligeantes sur la couleur de mes ongles, mais on sait jamais).

sweet-candyEt ça c’est la même main que tout à l’heure, mais avec le vernis Sweet candy. Là il y a deux couches, et si vous regardez bien, en fait, par transparence, on voit le bord libre de mes ongles… Ce qui est normal, puisque je crois que j’ai un seul vernis (gris anthracite) avec lequel on ne voit pas mon bord libre par transparence (et encore, je ne suis pas sure). Je connais des filles qui n’aiment pas trop ça, personnellement ça ne me fait ni chaud, ni froid. Comme la couleur me plait, je n’y accorde pas trop d’importance en fait.

Côté application, le pinceau est large comme les Bourjois une seconde. Alors certes c’est bien pour les gros doigts, c’est plus rapide, mais comme j’ai des ongles assez étroits (je n’ai jamais réussi, adolescente, à trouver des faux ongles à ma taille, même les plus étroits étaient top larges) (oui, à une époque je me rongeais les ongles et je rêvais de faux ongles) (et un jour, comme ça me gavait de ne pas pouvoir porter du vernis, j’ai arrêté de me ronger les ongles)  alors pour l’auriculaire j’en mets partout. Bon là c’est pas bien grave, la couleur est assez discrète et ne tâche pas la peau comme pourrait le faire un bleu (ou le gris anthracite susmentionné).

Il sèche relativement vite, il brille bien, et la tenue est bonne, même sans top coat.  Bref, c’est un bon vernis, je l’aime bien.

manucure-janvier-14Pour cette manucure, j’ai utilisé :

  • All in one base – Essie
  • Vernis laque – Sweet Candy – Sephora
  • Top coat brillance miroir – Sephora

Bonne journée !

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Courge spaghetti, sauce champignons et poireau

27 janvier 201426 janvier 2014

Connaissez-vous la courge spaghetti ? C’est une courge assez particulière. Elle est jaune, elle a un peu la forme d’un ballon de rugby et toute sa spécificité tient à sa chair : quand elle est cuite, la chair forme des filaments, un peu comme des spaghettis (d’où son nom), même si je trouve que ça ressemble plus à des nouilles de riz (qu’on met dans les rouleaux de printemps par exemple).

La première fois que j’ai voulu cuisiner une courge spaghetti n’a pas été très concluante. Ce jour là, j’allais garder le chat de la copine au manteau orange, chat qui s’est tout de suite enamouré de la courge. Il n’arrêtait pas de se frotter dessus, de jouer avec. Une minute d’inattention et la courge se baladait dans l’appartement, le chat étant tout fier de sa débrouillardise. Fort heureusement, c’est assez robuste ces petites choses là, elle n’était donc pas abîmée (je parle de la courge là) (mais le chat allait bien aussi hein).

Comme tous les légumes inconnus qui arrivent chez moi, j’ai décidé de la cuire à l’eau, histoire de voir quel goût ça a. Autant la texture de la chair m’avait conquise, autant j’ai trouvé le goût assez fade. J’étais donc un peu restée sur ma faim. Fin de l’acte 1.

courge-spaghetti-2Pour cette version, je vous propose de l’agrémenter avec une petite sauce aux champignons et au vert de poireau. J’ai découvert cette sauce dans le livre Légumes bios, mode d’emploi de Valérie Cupillard que j’ai eu à Noël, et elle est vraiment savoureuse. Vous pouvez très bien vous en servir pour agrémenter des légumes vapeur, des pâtes, du riz, c’est une sauce multi-fonctions !

La recette est bien entendu très simple, le plus long étant le temps de cuisson de la courge…

Cette photo, c'est pour faire plaisir à Rock & Tea
Cette photo, c’est pour faire plaisir à Rock & Tea

Ingrédients :

  • 1 courge spaghetti (taille à choisir en fonction de votre appétit et du nombre de convives : avec celle-ci, j’ai eu pour deux repas, sachant que c’était la base de mon assiette)
  • 200g de vert de poireaux (utilisez les blancs pour faire une tarte, une fondue de poireaux, une soupe ou pour les manger vapeur)
  • 200g de champignons
  • Huile pour la cuisson (j’ai choisi de l’huile de coco, mais vous pouvez prendre de l’huile d’olive)
  • Miso (le mien est brun, mais à vous de choisir celui que vous préférez. Si vous n’en avez pas, vous pouvez substituer avec du sel aux herbes)
  • Eau (ou bouillon de légumes, ou lait de riz, à votre convenance).

Réalisation :

  1. Cuire la courge spaghetti. Pour ce faire, plusieurs options : la cuire à l’eau dans un fait tout, la cuire à l’auto-cuiseur ou bien la cuire à la vapeur. Pour la cuisson à l’eau ou à la vapeur, comptez une petite heure, pour la cuisson à l’auto-cuiseur 30 minutes suffisent.
  2. A mi-parcours de la cuisson de la courge, commencer à préparer la sauce : laver et émincer les verts de poireaux et les champignons. Réserver.
  3. Dans une grande sauteuse, mettre de l’huile à chauffer. Quand l’huile est chaude mettre les légumes et les faire sauter quelques minutes.
  4. Ajouter 2 ou 3 cuillères à soupe d’eau, couvrir et laisser cuire 10 minutes.
  5. Mettre les légumes dans le blender, mixer. Ajouter de l’eau (ou du bouillon, ou du lait de riz) si besoin pour obtenir une consistance de sauce qui vous convienne.
  6. Ajouter le miso (si vous l’utilisez) dans le bol du blender et mixer encore un peu. Sinon, saler au goût la préparation, réserver au chaud (sans faire cuire le miso !).
  7. Prendre la courge spaghetti (sans se brûler), la découper en deux. Ôter la partie fibreuse avec les graines, et disposer la chair dans les assiettes (la chair se détache normalement très facilement).
  8. Ajouter de la sauce selon votre goût.
  9. Bon appétit !

courge-spaghetti-3Avec les proportions données, vous avez de la sauce pour 4 personnes, et vu à quel point elle est délicieuse vous pouvez en préparer en grande quantité ! Avec la courge spaghetti, je trouve que les deux saveurs s’équilibrent bien. J’ai aussi testé avec des nouilles soba et des blancs de poireau à la vapeur et c’est très bon ! La sauce est aussi bonne chaude que froide.

L’utilisation de l’huile de coco apporte une touche asiatique à la sauce, sans être trop prenante. Avec le miso, je trouve que cela s’associe très bien. Mais si vous n’aimez pas le goût coco, prenez une huile qui se tient à la cuisson, comme l’huile d’olive.
L’utilisation du lait de riz plutôt qu’un autre lait permet de ne pas dénaturer le goût de la sauce, le lait de riz étant plutôt neutre.
Le miso se trouve facilement dans les épiceries asiatiques ou dans les magasins bios.

Voilà de quoi faire le plein de légumes et de vitamines en hiver, et avec gourmandise !

Bonne journée !

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Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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