Mnêmosunê
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Author: Mnêmosunê

Mes favoris du mois de Mars 2017

7 avril 20172 avril 2017

Je ne sais pas si je vais rester encore longtemps sur mon petit nuage avec mon nouveau boulot, c’est ce que je me souhaite en tout cas. Du coup le mois de mars a encore été un bon mois, plein de surprises.

Si je devais le résumer en deux mots, je dirais amis et culture, parce que ce sont les deux thèmes qui ressortent le plus de la page de temps forts mensuelle que je fais dans mon bullet journal…

Mais bien entendu c’était bien plus riche que cela.

Aujourd’hui quatre favoris, certains dont je vous ai déjà parlé, et puis un petit nouveau que vous ne connaissez pas encore…

La musique

Je l’ai déjà dit, c’est assez rare que je parle de musique, c’est encore plus rare que j’achète un CD et ce n’est presque jamais arrivé (je crois ?!) que j’en écoute un chez moi ET dans la voiture (ce qui veut dire que le CD est trimbalé tous les jours entre le domicile et l’auto, à ce rythme là ce CD aura plus voyagé que Totue).

Le CD du mois c’est donc Divide d’Ed Sheeran, ce mélange entre les balades qui font couler les larmes et les rythmes qui font bouger les popotins (je vous ai déjà dit à quel point j’aime ce mot « popotin » ? Je le trouve moelleux et bondissant, j’aime beaucoup.).

Dans le registre « j’écoute des vieux trucs de mon adolescence », j’ai aussi écouté du Black Eyed Peas et du East 17 (même pas honte)… Et je me rappelle encore des paroles (Damn !) !

La lecture

Il m’est très difficile de choisir un seul favori entre tous les livres que j’ai lu pendant le mois dernier.

Il y avait l’aventure, la mélancolie et l’étrange avec 1Q84, qui m’a tenue en haleine pendant quelques soirées.

Il y a aussi eu des nouvelles dynamiques, qui parlent de l’absence, du relationnel, des femmes, des hommes sans femmes.

Et enfin le livre de Perle, cette histoire au milieu des souffrances et des quêtes des princes et des fées, au milieu des mortels alors que tout un chacun aspire à une seule chose : l’amour.

Que de belles lectures en mars !

La beauté

Vous savez, j’ai lutté. Tout ce que j’ai pu essayer de naturel, je l’ai essayé.

Et puis j’ai saisi l’opportunité d’une visite chez la dermatologue pour enfin traiter ces gratouillis incessants et autres squames sanguinolents (miam…) qui me pourrissaient la vie (enfin surtout le cuir chevelu !) depuis des mois sans que je sache si c’était du psoriasis ou de la dermatite séborrhéique.

Il s’avère que c’est la deuxième option qui me concerne, la dermato m’a donc prescrit un shampoing pour traiter mon cuir chevelu, et ô miracle, je n’ai plus de grosses crises de gratouilles, ni des pans d’un centimètre de côté de mon cuir chevelu qui se détachent en laissant mon crâne à vif (oui, au plus fort du problème, je saignais régulièrement – mais pas abondamment, ne vous affolez pas hein – du crâne… voilà voilà… ).

C’est donc mon shampoing favori du mois, que j’ai utilisé deux fois par semaine pendant un mois et demi. Maintenant je passe à une fois par semaine avec l’autre lavage soit au rhassoul, soit au propolia, en espérant que ce soit résolu pour de bon !

Et vous, quels sont vos favoris du mois ?

Bonne journée !

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Depuis quand…?

5 avril 20172 avril 2017

J’ai de la chance, je n’habite pas très loin de mon travail. Une petite dizaine de kilomètres, que je parcours matin et soir avec mon auto rouge.

Je varie souvent les trajets, des fois parce que subitement il y a des travaux sur mon itinéraire favori, des fois parce qu’il y a des bouchons, le reste du temps parce que j’aime bien varier un peu (et puis comme j’ai été longtemps phobique de la conduite, ça me permet de régulièrement me confronter à du « nouveau »).

Cela va faire quatre mois que je fais le parcours quotidiennement en semaine…

Et que je me demande depuis quand il est devenu indispensable d’avoir et d’utiliser son téléphone portable en voiture.

Tous les jours je vois des gens en train de téléphoner, de lire voire d’envoyer des textos (ou, comme je l’ai vu la semaine dernière, de lire le journal et d’envoyer un mail).

Tous. Les. Jours.

Plusieurs fois sur le trajet, avec les conséquences qu’on imagine tous, puisque la personne n’est pas attentive à ce qu’elle fait (zigzags, changement de file au dernier moment, passage au feu rouge, absence de clignotant, non respect des priorités…).

Je peux comprendre l’utilité du GPS du téléphone en voiture, pour trouver son chemin, éviter les bouchons, d’accord.

D’ailleurs il m’arrive d’utiliser mon téléphone à cet effet, et c’est bien pratique.

Mais est-ce que ce coup de fil, ce SMS, ce mail, ne peuvent-ils pas attendre 10, 20 ou 30 minutes que le trajet en voiture soit terminé ?

Est-ce qu’ils sont plus importants que la vie des personnes en jeu à ce moment là, de celui qui conduit et téléphone en même temps mais aussi des autres conducteurs ?

Depuis quand l’addiction au téléphone portable (l’esclavage du téléphone portable ?) a-t-elle supplanté la (sur)vie ?

Prenez-soin de vous.

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En deux coups de baguette – Garancia (version amande)

3 avril 20172 avril 2017

Souvent quand un produit m’a plu ou m’a intriguée, j’aime bien savoir ce que recèle la gamme correspondante et j’essaye alors les produits que celle-ci contient. Cela me permet d’essayer de nouvelles choses sans prendre trop de risques.

En fait, c’est un peu un système de cercles concentriques, système que j’ai beaucoup appliqué pour me départir de certaines phobies (et que j’applique encore) : j’essaye quelque chose d’un peu nouveau, je m’habitue à lui, et puis je vais essayer quelque chose encore un petit peu plus nouveau, etc.

Au final, mon périmètre d’action et de confort s’élargit de plus en plus, à mon rythme (que j’essaie de ne pas juger, mais c’est une autre histoire) (parce qu’il ne faut pas se mentir, c’est long comme processus).

C’est donc via ce système de cercles concentriques (ou assimilé) que j’en suis arrivée à m’acheter la version à l’amande du démaquillant En deux coups de baguette de Garancia, que j’avais de prime abord essayé dans la version à la rose.

Ne sachant pas la différence entre les deux, je me suis dit que le meilleur moyen de me faire une idée était encore de le tester moi-même…

N’ayant plus le précédent flacon je n’ai pas pu comparer les deux compositions, et franchement j’aurais bien aimé, parce que la version à l’amande ne me convient pas, et j’aurai voulu savoir quelle est la différence dans la formulation du produit qui est à l’origine de cet inconfort.

En effet, cette formule, que je trouve plus crémeuse, moins ferme en texture que l’autre, m’est désagréable : j’ai des sensations de brûlure au niveau des pommettes si je laisse le produit trop longtemps (ce qui est un peu dommage pour un produit qu’on doit masser, vous en conviendrez…), problème que je n’avais pas avec la version à la rose.

Et puis, pour être honnête, je trouve l’odeur d’amande trop forte, trop présente.

Bref, je ne suis pas convaincue, je reviendrai à celui à la rose peut être à l’automne et au printemps. D’ici là, je vais utiliser autre chose !

Et vous, avez-vous eu des déconvenues avec un démaquillant ?

Bonne journée !

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Craft day #20 : la production de mars 2017

31 mars 201726 mars 2017

Une grosse partie de la production de ce mois de mars est de la calligraphie que je réalise dans le carnet que j’utilise pour écrire des petits textes courts.

Pour le reste de l’aquarelle, des fonds, des émotions à évacuer, et puis quelques expérimentations.

Bonne journée !

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Philtre légendaire et centenaire – Garancia

29 mars 201726 mars 2017

La semaine dernière, pour la première fois depuis des mois, peut être même depuis un an, je suis allée au travail sans me maquiller.

C’était un matin un peu embrumé, après une nuit un peu trop courte, et il fallait que je choisisse entre prendre une douche ou mettre du maquillage. Pas le temps de faire les deux.

(Vous remarquerez par contre que l’idée de ne pas prendre de petit déjeuner ou de ne pas faire de yoga ne m’a pas effleurée).

J’ai choisi de me laver, déjà parce que ça m’aide à finir de me réveiller, ensuite parce que mes cheveux en avaient vraiment besoin et enfin parce que je me sens plus à l’aise pour ma journée après avoir pris ma douche.

J’ai fait ma routine de soins habituelle, et je suis partie au travail.

Je ne me rappelle pas trop que quelqu’un m’ait dit quoique ce soit concernant le fait que je n’étais pas maquillée (peut être juste que j’avais l’air fatiguée, mais je n’en avais pas que l’air).

Par contre je me souviens avoir été surprise dans j’ai croisé mon reflet dans le miroir dans la glace au dessus de l’évier. Je ne me suis pas trop reconnue, ce n’était pas vraiment mon « moi » du travail.

Et puis j’ai commencé à voir les cicatrices sur mes joues, les cernes un peu violacées, le teint un peu terne de quelqu’un qui n’a pas assez dormi et j’ai froncé les yeux.

Jusqu’à ce que je me dise que je m’en faisais pour pas grand chose, la terre n’allait pas s’arrêter de tourner (d’ailleurs elle ne l’avait pas fait) parce que je n’avais pas mis 2 belles couches de mascara ou que mon teint n’était pas parfait. Et que finalement l’important, c’était surtout que je me sente bien.

Et je suis passée à autre chose, j’ai repris mes activités et ma journée s’est déroulée comme cela.

Pourtant ce petit événement sans grande importance à changé quelques petites choses : je n’envisage plus vraiment les soins ou le maquillage comme quelque chose pour pallier un manque / un défaut, mais plutôt comme un outil pour supporter / mettre en valeur. Et mine de rien, cette différence d’approche change sensiblement les choses.

Prenez le produit du jour par exemple, le Philtre légendaire et centenaire de Garancia.

Pour être honnête, je l’ai acheté pour l’utiliser comme lotion (ce qu’il, a priori, n’est pas, enfin je suis pas sure) (ça commence bien).

Mais surtout dans l’espoir un peu fou que ce produit, à lui tout seul, allait enfin me débarrasser de 10 ans de cicatrices / de tâches d’hyper pigmentation sur les joues, qu’il allait resserrer mes pores, bref, qu’avec deux applications par jour j’allais enfin avoir le teint de pêche des filles des magazines (que je ne lis plus depuis 10 ans, mais c’est pas grave, c’est un fantasme qui reste dans mon subconscient il faut croire).

Et en partant de ce postulat là, de cette attente, je vous dirais que je suis déçue de ce produit (d’autant plus que quand j’écris cet article j’ai le SPM qui est à son paroxysme, autant vous dire que je suis loin du teint velouté), parce que non, ce produit n’a pas tout résolu.

Mais en fait, ce qu’il n’a pas résolu (et ce qu’il n’est pas capable de résoudre) (heureusement que j’ai recommencé une thérapie il y a quelques mois tiens…), c’est le fait que je me critique sans arrêt, en grande majorité pour des aspects de moi que personne n’a remarqué, parce que ces histoires cosmétiques ne changent pas qui je suis au fond (et que, spoiler, le plus important c’est ça, qui on est au fond, nos valeurs et tutti quanti).

Par contre, j’aime beaucoup son odeur, c’est fleuri à l’ancienne un peu. J’aime bien le fini poudré du produit. Ça me fait sourire d’agiter mon flacon deux fois par jour pour récupérer un petit peu de cette eau lactée (?!) et tapoter mon visage avec (non, j’utilise pas de coton, c’est trop agressif pour mon visage, et avec des mains propres ça marche très bien). J’aime le côté frais sur le visage.

Je suis un peu surprise que le flacon en verre soit toujours intact, mais il faut croire que je prends un meilleur soin de mes produits que ce que je pense.

Pour le reste, contrairement à ce que mentionne le flacon, il n’y a pas de magie dans le produit (enfin, pas plus que les extraits de plantes, ce qui est déjà très bien).

La magie, s’il elle est quelque part, c’est en nous qu’elle se trouve.

Bonne journée !

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Le livre de Perle – Timothée De Fombelle

27 mars 201726 mai 2022

Ce livre-là, je m’en rappelle bien, c’était Cél qui en avait parlé dans un de ses articles. En lisant les quelques mots qu’elle écrivait dessus, je me souviens avoir pensé à ma copine Nanou, qui adore les fées, et avoir senti des petits pétillements à l’intérieur quand les mots aventure et poésie se sont retrouvés côte à côte.

Après quelques mois passés dans la liste de livre à lire, il a finalement rejoint mon kindle…

Le livre

Le livre de Perle, c’est l’histoire du narrateur, blessé par l’amour, qui court à en perdre haleine, qui fuit pour expier sa souffrance, son désespoir.

Le livre de Perle, c’est aussi l’histoire de Joshua Perle, qui commence finalement en 1936 dans une fabrique de guimauves, qui connaîtra la guerre et puis la quête. Il ne vient pas d’ici, ni de cette ville, ni de ce monde en réalité et c’est pour cela qu’il rassemble un trésor.

Le livre de Perle, c’est enfin l’histoire d’Ilian, prince de là-bas, amoureux d’Olia, une fée. La vie leur met des bâtons dans les roues pour qu’ils ne se retrouvent pas ou plus, ce qui est mal appréhender la tenacité de ces deux-là…

Mais finalement, quel est le lien entre ces trois histoires ?

Mon avis

Ces trois histoires qui se répondent et se mêlent sont de jolies histoires, à la fois douces et tranchantes, paisibles et essoufflées, joyeuses et tristes. Il y a ces trois hommes énigmatiques, à la recherche de quelque chose, de leur trésor, d’un apaisement, d’une réponse.

Ce sont des quêtes qui semblent un peu farfelues, peut être à la limite de la folie (ou bien est-ce la passion ?) et pourtant c’est une histoire emplie d’amour et de féerie.

J’aurais aimé un peu plus de détails sur cette féerie, celle de là bas, celle d’ici, celle d’avant et celle d’aujourd’hui, mais peut être que cela aurait alourdi le récit, allez savoir…

En résumé

C’est un roman pour les adolescents mais je crois qu’il pourrait plaire à beaucoup, pourvu que les mots poésie et aventure mis côte à côte vous fassent venir des petites bulles pétillantes d’enthousiasme.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Des hommes sans femmes – Haruki Murakami

24 mars 201726 mai 2022

Murakami, il faut croire que c’est un peu comme le chocolat pour moi : quand j’ai fini un livre, j’ai envie d’en lire un autre de lui.

Après avoir fini le dernier tome d’1Q84, je me suis rappelée que j’avais vu que Haruki Murakami avait publié un nouvel ouvrage, Des hommes sans femmes. J’ai profité d’un rendez-vous en ville pour aller à la Fnac et me le procurer.

Dois-je préciser que je l’avais à peine acheté que j’ai commencé à le lire ?

Le livre

Des hommes sans femmes, c’est un ouvrage différent d’1Q84 dans la mesure où ici on est avec un recueil de nouvelles.

Ces nouvelles racontent des histoires d’hommes, de solitude, d’abandon (ou de menace d’abandon), où la mélancolie et le rêve occupent une grande place.

Mon avis

C’est bien entendu un ouvrage très différent, pourtant j’ai beaucoup aimé ce format : les nouvelles sont dynamiques, cela casse agréablement le rythme de croisière que l’on peut avoir un roman.

L’autre avantage Des hommes sans femmes, c’est que si le thème global est le même pour toutes les nouvelles, les histoires demeurent variées, avec des époques, des lieux et des intrigues différentes.

En résumé

J’ai beaucoup aimé lire ces différentes histoires et ainsi avoir une transition entre deux romans, avec le style de Murakami que j’aime tant en prime.

Et vous, que lisez-vous en ce moment ?

Bonne journée !

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Larmes de fantôme – Garancia

22 mars 201719 mars 2017

Je vais vous faire une confession : les contours des yeux et moi, on n’est pas très copains.

Déjà parce que (pour l’instant ?) je n’ai que des ridules (sans doute de déshydratation d’ailleurs) à cet endroit là et, pour tout vous dire, en fait, je trouve que les rides au coin des yeux c’est joli, ça témoigne de nombreux sourires.

Ensuite, je n’ai pas le réflexe d’utiliser ces produits : avoir un pot différent, à ouvrir et appliquer, c’est trop d’étapes en plus dans ma routine de soin déjà assez fournie. Donc si le produit n’est pas simple d’utilisation, pratique même, c’est à peu près certain que je ne vais pas l’utiliser.

J’ai eu pendant longtemps envie de me laisser tenter par les contours des yeux en format stylo, qui se déposent via une bille, mais à l’époque (peut être est-ce toujours le cas ?) ils avaient assez mauvaise réputation tout en étant relativement chers, ce qui m’avait incitée à passer mon chemin.

Et puis, razzia Garancia aidant, j’ai embarqué leur contour des yeux, Larmes de fantôme (décidément les noms de produits chez Garancia c’est quelque chose !) qui s’annonce anti-cernes, anti-rides, anti-poches et anti-relâchement.

Et bien entendu, c’est le format que je voulais essayer depuis des années, le roll-on. Et je dois bien dire que j’aime beaucoup ce format, à la fois très rapide et facile d’utilisation, et qui de surcroît apporte un effet frais au contour des yeux lors de l’application, ce que je trouve plutôt agréable.

Par ailleurs, c’est un produit qui pénètre plutôt rapidement et qui ne fait pas virer le maquillage, peut être même qu’il aide à le fixer d’ailleurs, ce qui est plutôt appréciable.

D’un point de vue des résultats, je trouve que ce produit est particulièrement efficace pour les contours des yeux fatigués et déshydratés : les yeux sont plus repulpés, moins bouffis, et le contour des yeux me semble plus hydraté.

Par contre pour ce qui est du relâchement ou des rides, je n’en sais trop rien, je ne me sentais pas vraiment concernée au départ, je suppose que cela permet de faire un peu de prévention ?

En résumé, c’est un produit que j’aime bien utiliser et c’est sans aucun doute le contour des yeux que j’ai préféré de tous ceux que j’ai pu tester. Donc certes c’est un budget (30€ les 10ml je crois), mais il me convient et je l’utilise régulièrement, ce qui est le principal.

Et vous, quel est votre contour des yeux du moment ?

Bonne journée !

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Jamais sans mon thé (bien chaud !)

20 mars 201719 mars 2017

Je n’avais pas réellement fait le rapprochement avant de relire quelques articles dans les archives sous le tag « thé », mais il semblerait que le thé du matin, au bureau, soit un événement important pour moi.

C’est un rituel que j’ai bâti petit à petit : je ne bois pas de thé en prenant mon petit déjeuner, c’est quelque chose qui vient plus tard, en général, pour les jours de semaine, au moment où je planifie ma journée au travail.

Le thé me permet de me recentrer, de focaliser sur ce que j’ai à faire, de mettre de l’ordre.

Ainsi je bois aussi un thé au moment d’écrire une lettre à une amie, de peindre ou de rédiger un article : sans cela, c’est comme si mes pensées allaient dans tous les sens, que je n’arrivais pas à m’ancrer.

Ce que la lecture de ces anciens articles m’a montré, c’est aussi que le thé pouvait être une « béquille » : si la période était compliquée au travail (et apparemment il y en a eu beaucoup, et de très compliquées…) (pourquoi me suis-je infligée des choses pareilles…?), LE moment que j’attendais, c’était celui du thé, le calme avant la tempête, la parenthèse où je contrôlais à peu près mon monde et où je me sentais en sécurité.

J’allais dans la cuisine allumer la bouilloire ou à la fontaine à eau chaude pour me préparer un thé, et pendant quelques minutes j’étais bien.

Aujourd’hui, je ne suis plus dans une situation compliquée au travail (mais quelle bonne idée d’être partie !) : j’aime ce que je fais, et s’il y a forcément des jours qui sont un peu plus tendus que d’autres, je n’ai pas besoin d’une béquille.

Par contre, je me prépare encore un thé le matin que je déguste pendant que je planifie ma journée, le rituel perdure.

Quand je suis arrivée dans l’entreprise pour laquelle je travaille maintenant, le seul moyen de me préparer un thé était de me rendre à la cafétéria et d’utiliser le micro-ondes, ce qui ne me plaisait pas trop, déjà parce que le micro-ondes je n’aime pas trop ça, et puis aussi parce que la tasse que je voulais utiliser n’est pas compatible avec ce genre d’appareils.

Alors je me suis mise dans l’idée de m’acheter une bouteille isotherme que je remplirais de thé le matin avant d’aller au travail : ainsi je pourrais en siroter toute la journée et utiliser ma tasse dédiée.

J’ai cherché pendant un moment le produit qui m’irait bien, et j’ai finalement jeté mon dévolu sur le format 1 litre (oui, carrément) de Pure Design et j’en suis très contente : depuis janvier je traîne la bouteille pratiquement tous les jours, je ne fais pas attention à ce qu’elle soit bien à la verticale (je confesse qu’elle se balade dans le coffre de la voiture…) et je n’ai pas eu de problème de thé qui se serait répandu à déplorer.

Le thé reste chaud jusque 16h (je ne sais pas s’il pourrait rester chaud plus longtemps, en général 16h c’est l’heure du dernier thé de la journée) sans que j’ai à m’en préoccuper, et pourtant je le prépare à 7 heures le matin.

Et si depuis on a une bouilloire au travail, je continue d’utiliser la bouteille isotherme que je me suis offerte, je sélectionne le thé qui va m’accompagner la journée avec soin, c’est un peu un rituel avant le rituel…

Bonne journée !

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1Q84 – Livre 3 – Haruki Murakami

17 mars 201712 mars 2017

[Vous avez raté les précédents articles sur 1Q84 ? C’est par ici : Revue du livre 1, Revue du livre 2]

2 heures, c’est le temps que je me suis laissée entre la fin de ma lecture du livre 2 et le début de celle du livre 3.

5 jours, c’est le temps qu’il m’a fallu pour lire les 600 et quelques pages du troisième (et dernier !) livre de 1Q84.

Dois-je réellement préciser que j’étais complètement captivée par l’histoire ?

Dans le livre 3 de 1Q84, le récit prend une troisième voix : il y a bien entendu celle d’Aomamé, celle de Tengo, auxquelles se rajoutent celle d’Ushikawa.

Dans ce livre 3, l’étau se resserre, la traque qui semblait encore lointaine se rapproche dangereusement, menaçant les deux protagonistes principaux.

Comment protéger son intégrité au sein d’1Q84 ? Qui est un allié et, surtout, qui ne l’est pas ?

Aomamé et Tengo prennent chacun des risques, animés par ce qui les unit…

Réussiront-ils à honorer leurs promesses ?

Ce dernier livre, c’est l’apothéose avec un mélange de dynamisme, de lenteur, de tensions, de vérités qui éclatent au grand jour. Il y a autant d’amour étrange que de barbarie inopinée, le tout encore teinté de mystère.

La fin m’a un peu surprise au début, je m’attendais à autre chose, mais en fait, elle est parfaite.

J’ai adoré lire ces trois livres, 1Q84 fait a présent partie de mes favoris. Pour preuve, j’ai tellement aimé renouer avec l’écriture de Murakami que je me suis empressée d’acheter son dernier ouvrage, un recueil de nouvelles cette fois-ci.

Je devrais revenir vous parler sous peu de l’écriture fantastique de l’auteur !

Et vous, avez-vous lu 1Q84 ? Qu’en avez-vous pensé ? Quel est l’ouvrage de Murakami que vous préférez ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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