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Author: Mnêmosunê

Le PCR COVID-19 : mon expérience

3 août 20202 août 2020

Cela fait plusieurs fois que je fais certains tests ou examens médicaux et que je me dis que ce serait bien que j’écrive là dessus : pas pour parler médical, parce que je ne suis pas du tout compétente là-dessus, mais plutôt pour partager mon expérience.

Parce que si vous êtes comme moi, avant un examen que vous n’avez jamais fait, vous faites le truc qu’il ne faut pas faire, à savoir demander à votre moteur de recherche favori des informations sur le déroulé du dit examen.

Et bien sûr on trouve le déroulé théorique (en plus de 125 articles et posts de forum qui vous expliquent que vous avez sans doute une maladie très grave qui vont vous angoisser un peu, juste pour la forme), mais finalement on a très peu de retours d’expérience.

Alors aujourd’hui, contrairement à ce que j’avais prévu (je pensais poster ma revue du Magicien d’Oz…), je vais vous parler de mon expérience du test PCR de dépistage de la COVID-19.

Je précise que je vis en France, ce qui permettra aux francophones qui passent par ici de faire la part des choses pour les liens et références légales !

United Nations COVID-19 stay at home
source : United Nations via Unsplash

Le contexte

C’est un contexte plutôt simple : j’avais une angine (non, je ne sais pas comment diable j’ai réussi la triste prouesse d’avoir une angine malgré le port du masque et le lavage régulier de mes mains), angine qui ne passait pas, je suis donc allée voir mon médecin.

Médecin qui m’a prescrit un dépistage PCR de la COVID-19, dans la mesure où via l’angine j’avais des symptômes du virus, et de rester chez moi jusqu’à ce que j’ai les résultats négatifs (en espérant qu’ils le soient !).

A noter, il n’est plus nécessaire d’avoir une ordonnance de son médecin pour faire le dépistage PCR et être remboursé (voir l’article sur service public).

Mon expérience

Où faire le dépistage COVID-19 ?

Pour savoir où faire le dépistage PCR COVID-19, je me suis appuyée sur la page DepistageCovid du Ministère des Solidarités et de la Santé.

J’ai passé quelques appels pour déterminer le laboratoire auquel j’allais aller : certains étaient complètement débordés et je n’ai pas pu les avoir au téléphone, d’autres fermaient et donc ne faisaient plus le test.

J’ai finalement fait mon dépistage dans un laboratoire qui avait une plage horaire d’une heure l’après midi permettant aux personnes de faire leur dépistage sans rendez-vous.

Attention toutefois, certains centres de dépistage n’acceptent que les personnes qui sont dans un véhicule et qui se font tester dans leur véhicule, renseignez-vous bien avant de vous y rendre !

United Nations COVID-19 test PCR
source : United Nations via Unsplash

Comment ça s’est passé ?

Après avoir effectué les formalités habituelles à l’accueil du laboratoire, j’ai fait la queue pour faire le dépistage.

Quand ça a été mon tour, la personne a vérifié mon identité, m’a expliqué le test et m’a demandé de m’asseoir.

Une fois assise, j’ai penché la tête en arrière et la personne qui réalise le test a inséré l’écouvillon dans la narine droite jusqu’à atteindre le nasopharynx, l’a ressorti, et la même procédure a eu lieu avec l’autre narine.

Est-ce que c’est long ?

Non, le prélèvement en lui-même est vraiment court, je ne suis même pas sûre qu’on atteigne une minute de procédure. C’est vraiment rapide.

Est-ce que c’est douloureux ?

Non. Ce n’est pas agréable, mais ça ne fait pas mal. L’écouvillon est long, mais il est tout petit en diamètre !

D’un point de vue de la sensation, je dirais que ça se rapproche de quand on « avale » un peu d’eau par le nez : ça gratouille au fond du nez, mais la gêne dure 10 secondes donc rien de bien méchant.

L’odeur de l’écouvillon est forcément chimique / pharmaceutique, mais elle ne persiste pas.

Et à noter, si votre nez est un peu bouché, le test va le décongestionner !

United Nations COVID-19 stay at home
source : United Nations via Unsplash

Et après ?

Après, je suis rentrée chez moi et j’attends mes résultats.

Tout simplement.

A noter, la durée d’attente des résultats varie selon les sites qui pratiquent les dépistages.

Celui où j’ai fait le mien demande 4 jours ouvrés avant d’avoir les résultats, certains peuvent fournir les résultats en quelques heures. Là encore, renseignez-vous pour voir ce qui convient le mieux à votre besoin.

Voilà ce que je peux vous dire de mon expérience du test PCR COVID-19 : c’est rapide et pas douloureux, le plus « pénible » étant peut être de trouver l’endroit où se faire dépister et d’attendre les résultats.

J’espère que cet article sera utile aux personnes qui s’interrogent sur ce test PCR COVID-19. Si vous voulez faire part de votre expérience, n’hésitez pas à le faire en commentaires !

Bonne journée (et prenez bien soin de vous) !

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L’histoire du Threatbutt au crochet

27 juillet 202026 juillet 2020

Je suis sûre que ce genre de situations vous est déjà arrivé : vous êtes tranquillement en train de refaire le monde avec des amis et sans bien comprendre pourquoi la discussion dévie un peu et vous voilà embarqué dans une « aventure » que vous n’auriez jamais imaginé.

Hé bien c’est exactement ce qui s’est passé pour le Threatbutt au crochet… Je vous raconte ?

Au commencement…

La discussion innocente

C’était un midi comme beaucoup d’autres, sans doute un lundi parce que c’est souvent le lundi que je déjeune avec cette personne là, et donc nous étions au restaurant avec R., à parler de tout et de rien.

Et puis au bout d’un moment, le voilà qui me dit que quand même il adorerait avoir un sticker de Threatbutt qu’il pourrait mettre sur son PC portable du bureau.

Vous ne savez pas ce que c’est Threatbutt ? Rassurez-vous, je ne savais pas non plus que cela existait avant qu’il ne m’en parle. De ce que j’en ai compris, c’est un site parodique sur la cybersécurité (si vous voulez vous faire un avis par vous-même, voici le lien d’accès).

Donc on rigole là-dessus, de la manière la plus innocente qu’il soit : le sticker sur le PC c’est peut être pas très discret, mais peut être que quelqu’un en a déjà fait avec une imprimante 3D (réponse : oui, certains en ont même fait des coussins).

Et puis on repart chacun de notre côté après avoir fini et payé notre repas.

Et l’idée farfelue

Bien entendu, si vous imaginez que mon cerveau a arrêté de penser à un truc pareil c’est que vous ne me connaissez pas encore assez, donc fatalement j’ai continué à retourner ça dans ma tête.

Parce qu’il avait l’air d’avoir vraiment envie de ce truc.

J’aurais pu tout simplement acheter du papier à sticker et lui en imprimer un, et c’était réglé.

Mais c’était trop simple.

vue de profil du premier prototype de threatbutt au crochet

Donc j’ai réfléchi, et je me suis dit que quelqu’un devait bien en avoir déjà crocheté un. Réponse : non. Mince.

Bon certes, personne n’en a crocheté (encore), mais cela ressemble à un dickbutt, sans doute que quelqu’un a déjà crocheté un dickbutt ? Réponse : oui.

Toute fière de ma trouvaille, je lui envoie un message disant, en substance, que cela ne devait pas être si compliqué de lui faire au crochet.

Je vous passe les détails de l’enthousiasme de R., qui voulait m’acheter de la laine avant même que j’aie commencé à réfléchir à un potentiel patron, en tout cas c’est ainsi que j’ai commencé à me pencher vraiment sérieusement sur le sujet.

La phase prototypale

Le premier essai

Il va de soi que je n’avais aucune idée de ce que j’étais en train de fabriquer (enfin si, je savais qu’ultimement ce serait un Threatbutt ou quelque chose d’approchant), et que la première chose que j’ai faite c’est attraper un cahier qui traînait, un crayon, et j’ai commencé à griffonner un patron à tester.

vue de face du premier prototype de threatbutt au crochet

J’avais une pelote de laine que j’avais achetée à San Francisco des années auparavant dont je ne savais que faire, alors je me suis dit que j’allais l’employer à ça.

Pour le premier prototype, je voulais faire dans la simplicité: faire les formes de base pour voir ce que cela donnerait, j’aurais bien le temps de me pencher sur les détails (cagoule, membres, clavier…) plus tard.

Il ne m’a pas fallu très longtemps pour construire la base, que j’ai ainsi pu montrer à R. pour avoir son avis et ainsi pouvoir faire les modifications nécessaires pour obtenir le résultat qui lui plairait.

Tout en rondeurs, le premier prototype me plaisait bien, mais R. trouvait le fessier trop rebondi par rapport à l’original…

vue de dos du premier prototype de threatbutt au crochet

Il était temps de passer au second prototype !

Les informations concernant ce prototype:

  • Laine : Debbie Bliss blue faced leicester aran, coloris 46009 Fushia
  • Crochet : 3.5mm (E)
  • Safety eyes 10mm
  • Lien vers le projet sur Ravelry

Le second prototype

Pour celui là, j’ai commencé à affiner mes choix « stylistiques » (je dis ça et ça sonne très pro, mais encore une fois, je n’avais globalement aucune idée de ce que je fabriquais).

vue de profil du second prototype de threatbutt au crochet

J’ai donc essayé :

  • de crocheter la cagoule directement plutôt que de la faire à part
  • de crocheter les yeux plutôt que d’utiliser des safety eyes
  • de crocheter la bouche à part pour ensuite la coudre sur la cagoule
  • de crocheter les bras, mains, jambes et pieds
  • de crocheter le clavier, le broder et trouver un moyen de le rendre rigide
  • de faire les fesses en un seul bloc plutôt qu’en séparant chacune des fesses

J’ai pas mal étudié des patrons d’amigurumi et expérimenté au fur et à mesure pour essayer d’arriver à un résultat ressemblant.

vue de face du second prototype de threatbutt au crochet

Et j’ai aussi pris des tonnes de notes sur mon cahier, avec des croquis, des grilles, des comparatifs.

Le second prototype me plaisait moins que le premier, mais je dois avouer qu’il m’a permis d’affiner encore un peu le design du Threatbutt au crochet.

Quand je l’ai eu fini, j’ai ramené les deux prototypes à un de nos déjeuners avec R. pour qu’on se mette d’accord sur les différents attributs…

vue de dos du second prototype de threatbutt au crochet

Et j’ai attaqué la phase finale !

Les informations concernant ce prototype :

  • Laine claire : Anny Blatt baby blatt, coloris 226 Genepi
  • Laine foncée : Holst Garn Coast Uld Bomuld, coloris Cobble
  • Crochet : 3.5mm (E)
  • Lien vers le projet sur Ravelry

La version finale

La réalisation

Après deux prototypes et je ne sais combien d’expérimentations et de pages de notes, il a forcément été beaucoup plus facile de crocheter la version finale du Threatbutt.

Je n’ai pas rencontré de difficultés particulières, j’ai simplement bien pris mon temps pour ne pas faire de bêtises, notamment à l’assemblage, pour que tout soit bien positionné comme il fallait.

vue de profil du threatbutt au crochet

Et une fois que tout était comme je le voulais, je l’ai bien emballé (après tout c’était un cadeau).

La distribution

Je l’ai donné à R. lors d’un de nos rituels déjeuners ensemble : il n’était pas au courant que je l’avais fini, je voulais lui faire la surprise.

Ce jour là j’étais un peu patraque/malade, et une amie était avec nous. On a parlé de tout et de rien, mais en fait je ne tenais plus en place, alors je lui ai donné son Threatbutt sans trop prévenir.

vue de face du threatbutt au crochet

Je suis pas trop douée pour les surprises, parce que je suis tellement excitée à l’idée que la personne soit contente, et tellement en stress à l’éventualité qu’elle ne le soit pas, que j’en viens pratiquement à chaque fois à faire un gloubiboulga incompréhensible.

Enfin passée la seconde « mais qu’est-ce que c’est que ça encore? », R. a ouvert le paquet, et vu son regard tout pétillant et le grand sourire, je crois pouvoir dire qu’il est content de son Threatbutt au crochet !

Les informations concernant la version finale :

  • Laine foncée : Phildar Lambswool, coloris black
  • Laine claire : Phildar Lambswool, coloris Blanc
  • Crochet 3.5mm (E)
  • Safety eyes 12mm
  • Lien vers le projet Ravelry
vue de dos du threatbutt au crochet

Depuis qu’il rejoint son propriétaire, le Threatbutt au crochet a été baptisé Threaty McButtFace, et il a même un compte Twitter sur lequel vous pouvez le suivre !

Voilà toute l’épopée du Threatbutt au crochet, projet plutôt rigolo à réaliser, tellement différent de ce que j’ai pu faire auparavant ! Et mon tout premier projet pour lequel j’ai créé le modèle de A à Z !

Et vous, quel est votre dernier projet farfelu ?

Bonne journée !

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Faire le suivi de ses lectures et de sa Pile à Lire

20 juillet 202019 juillet 2020

J’aime les livres. Beaucoup. Depuis toute petite.

Je ne lis pas forcément tout le temps, ni énormément, mais j’aime beaucoup me plonger dans un bouquin, dans l’univers d’une histoire, apprendre quelque chose de nouveau, m’évader.

C’est un peu familial d’ailleurs j’ai l’impression. Mon papa lisait énormément et on avait je ne sais combien de bibliothèques dans la maison de famille. Ma grand mère paternelle allait toutes les semaines à la bibliothèque parce que sa maison ne pouvait plus accueillir plus de pensionnaires. Ma grand mère maternelle lit encore beaucoup (en ce moment elle lit Sur la route de Madison si vous voulez tout savoir) (elle aime beaucoup les histoires d’amour) et pourtant elle est presque aveugle.

Je ne déroge donc pas vraiment à la règle et j’ai moi aussi beaucoup de livres, même si j’essaye d’être la plus raisonnable possible (mon appartement n’est pas extensible !), et j’en achète régulièrement (deux la semaine dernière…).

Sauf que même si je fais en sorte de ne pas avoir de PAL (Pile à Lire) qui comporte une cinquantaine de livres, j’en ai quand même quelques uns qui attendent leur heure de gloire (?).

Et si vous aussi vous lisez beaucoup, vous vous êtes sans doute vous aussi posé la sempiternelle question « je l’ai déjà lu celui-là, non ? ».

A ce sujet, ma grand mère paternelle, qui donc allait toutes les semaines à la bibliothèque, s’est retrouvée à emprunter 5 fois un livre qu’elle avait déjà lu les années précédentes… Et à chaque fois elle s’en rendait compte dans les 10 dernières pages grâce au rebondissement final, ce qui nous faisait beaucoup rire (elle aussi d’ailleurs).

Avec les années qui passent la collection de livres lus et à lire s’agrandit et il fallait donc bien trouver un moyen de garder une trace de tout cela !

Les tentatives ratées

Je vais commencer par les méthodes qui n’ont pas fonctionné pour moi, parce que je crois que c’est important aussi de parler des tâtonnements avant de parler du système qui a répondu au besoin.

Le cahier de lecture

Franchement, j’étais persuadée que cette méthode serait celle qui fonctionnerait : j’aime beaucoup la papeterie, j’avais d’ailleurs à l’époque un stock assez impressionnant de carnets qui n’attendaient que d’être remplis, alors pourquoi ne pas en utiliser un pour justement y consigner mes lectures ?

cahier d'inspirations - exemple de page 1
Une page multi thématique : expositions, livres, boutiques, recettes…

J’ai donc attrapé le premier que j’ai trouvé (c’était un cahier) et j’ai commencé à y coller des images des livres que je voulais lire que je trouvais dans des magazines et aussi quelques notes à côté des livres que j’avais lus.

Plus qu’un carnet de lecture, c’était devenu un cahier d’inspiration. Je n’ai pas maintenu ce cahier (en fait il y en a eu deux, peut être trois, il faudrait que je vérifie) parce que j’ai petit à petit fortement réduit le nombre de magazines que je lisais… Et donc je n’avais plus rien à coller !

Les collections dans le bullet journal

Cette idée là, c’était un peu comme pour le cahier de lecture, j’étais persuadée que cela allait marcher : je commençais à tenir un bullet journal et toute inspirée que j’étais après avoir regardé des tonnes de vidéos et lu je ne sais combien d’articles sur le sujet, il me semblait indispensable d’avoir une liste de livres à lire et une autre des livres lus.

A vrai dire, la collection des livres lus est celle que j’ai le plus facilement maintenue et utilisée, la modifiant d’ailleurs pour pouvoir y noter la date à laquelle j’avais commencé et fini la lecture concernée.

La collection des livres à lire par contre…

C’était plus une liste d’envie de livres qu’une « vraie » liste des livres que j’avais chez moi sans jamais les avoir feuilletés. Alors les livres non lus n’avaient pas forcément plus d’attention qu’avant, et ceux qui étaient dans la liste d’envies étaient souvent oubliés eux aussi, parce que c’est un fait, je ne regarde pas mes pages de collections qui ne sont pas mises à jour quotidiennement (mais ça, il m’a fallu quelques années avant de m’en rendre compte !).

Le « système » que j’utilise aujourd’hui

Je mets « système » entre guillemets parce que ce n’est pas quelque chose qui a été réfléchi à vrai dire, c’est une expérimentation qui s’est bien passée si je peux l’exprimer ainsi !

Les listes de PAL et de livres lus

Ces feuillets je les ai eus dans un des bundles lors de l’achat des Powersheets. Je ne saurais dire avec lequel des achats je les ai eus (Powersheets de 6 mois ou Powersheets 2020 ?) (peut être les deux d’ailleurs ?!), toujours est-il que je me rappelle que lorsque je les ai vus, je me suis dit que cela pourrait peut être aider pour faire le suivi de mes lectures passées et à venir.

Alors il n’y a rien de révolutionnaire avec ces deux feuillets, on est d’accord. C’est d’ailleurs globalement le même contenu et format que ce que j’avais pu faire dans mon bullet journal par exemple (et je pense me les faire moi même plutôt que de les acheter).

liste de livres à lire et livres lus

Mais ce sont des feuillets libres !

Et cela n’a l’air de rien, mais en fait c’est beaucoup plus pratique pour moi que de les avoir dans mon bullet journal. Parce que je peux les mettre où bon me semble : autant j’ai essayé de les mettre sur le réfrigérateur pour voir et cela n’a pas été concluant (au bout d’un moment je ne les « voyais » plus), autant les mettre avec mes Powersheeets s’est avéré être beaucoup plus efficace !

Sur la liste des lectures à venir, mis à part avoir positionné quelques livres que je voulais relire à certains moments de l’année, il n’y a que des livres que j’ai en ma possession et que je n’ai pas encore lus. Quand je les ai lus, je mets une coche à côté, des fois que j’oublie entre temps…

Et sur l’autre liste, je renseigne le titre de l’ouvrage, je le note avec les étoiles et j’ajoute la date à laquelle j’ai fini ma lecture (vous remarquerez d’ailleurs que 2020 est une bonne année côté lecture) (il fallait bien qu’il y ait quelque chose de positif dans cette année quand même !).

Le blog

Eh oui, ce blog !

Je m’en sers principalement pour faire une revue des livres que je lis. Tous n’y sont pas, les livres de développement personnel par exemple n’y sont pas tous parce que je confesse avoir un peu peur du jugement en ce qui concerne certaines de mes lectures, en tout cas tout ce qui relève de la fiction ou de la biographie est ici.

D’ailleurs, les revues de livres font partie des articles que je relis de temps en temps, quand je cherche une lecture particulière : par exemple si je cherche un roman doux, quelque chose qui au contraire soit plus haletant, etc. Je m’y suis replongée aussi pour offrir un livre de la littérature japonaise à un ami, pour bien choisir le titre en question.

Parfois je me dis que je pourrais mieux les classer dans le blog, mais en général je parcours la catégorie Culture et cela va très bien comme cela, je finis le plus souvent par trouver ce que je cherche.

Alors bien sûr, le blog c’est un peu plus consommateur de temps que les autres formats, mais j’aime beaucoup me (re)plonger dans mes lectures pour voir ce qui m’a plu dans tel ouvrage ou pas. Dans le même genre, il y a aussi Babelio, que je n’utilise pas, mais qui est peut être moins consommateur en temps que le blog (ou un bon complément ? Il faudrait que j’y jette un œil…)

Voilà pour les « outils » que j’utilise pour faire le suivi des lectures terminées et à venir : ce n’est pas parfait, il y a quelques ratés (par exemple, je n’ai pas – encore ! – mis toutes les revues des livres que j’ai lus pendant mon hiatus sans blogging), mais c’est un système qui me correspond plutôt bien.

Et vous, quelles sont vos méthodes pour garder une trace de vos lectures ?

Bonne journée !

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Baume hydra-défense – Akileïne

13 juillet 202012 juillet 2020

Je parle assez peu de beauté des pieds sur mon blog pour une simple raison : je tâtonne encore en termes de soins, de fréquence, etc.

Il y a quelques années de cela (presque 10 ans !), j’étais allée voir pour la première fois une pédicure-podologue pour une histoire de pieds, et je vous avais raconté les conseils qu’elle m’avait donné.

J’ai appliqué celui de la crème pendant un petit moment (peut être un an ou deux, pas plus, autant être tout à fait honnête) et en presque 10 ans j’ai du aller 3 fois chez la pédicure-podologue depuis ma première visite.

Je ne parlerai même pas de l’exfoliation, qui a été encore plus sporadique que le reste, sauf peut être la pierre ponce que je fais de temps en temps quand je prends un bain.

Bref, mes pieds sont dans un sale état : secs, avec de la corne. A minima, j’ai fortement réduit le vernis sur mes ongles d’orteils, ce qui les aide à respirer, mais globalement j’ai assez peu pris soin de mes pieds.

baume hydra défense Akileïne devant du tube

Il y a quelques temps, lasse de voir mes pieds tout secs, je me suis dit que je pouvais a minima essayer de les crémer tous les soirs : je suis donc partie en quête d’une crème pour les pieds et je suis tombée sur le baume hydra-défense d’Akileïne.

Je n’avais fait aucune recherche préalable sur un produit pour les pieds secs, je me rappelais simplement du déodorant en spray et de la crème Nok de la même marque, et donc tout naturellement j’ai embarqué ce produit.

Je l’utilise depuis plusieurs mois maintenant, aussi je me disais que cela pourrait être utile de vous faire part de mon avis sur ce produit, si jamais vous vous interrogez à son sujet !

Mon avis sur le baume hydra-défense d’Akileïne

Les points forts

L’odeur

Je vais commencer par un aspect qui est peut être complètement futile pour beaucoup, à savoir l’odeur du produit.

Quand j’étais allée la première fois chez la podologue, je me rappelle avoir parlé crèmes pour les pieds avec elle et du conseil qu’elle m’avait donné.

Ne pas choisir de crème pour les pieds avec une odeur trop sucrée, car au bout d’un moment cela écœure et on n’a plus envie d’en mettre.

Je dois bien avouer que je trouvais que c’était un drôle de conseil en ce qui concerne le choix d’un soin pour les pieds, mais pour avoir effectivement eu, à un moment, un baume nourrissant pour les pieds qui sentait la vanille, je confirme que l’odeur du produit a son importance.

Donc le baume hydra-défense d’Akiléïne, il sent bon le frais, sans sentir trop fort, mais en laissant un petit parfum discret quand même.

Maintenant c’est presque une odeur qui dans mon esprit est associée avec l’heure du coucher puisque je me crème les pieds lorsque je me mets au lit.

Baume hydra défense Akileïne texture produit

La vitesse d’absorption du produit

C’était une des difficultés que j’avais rencontrées avec les précédents produits que j’ai pu utiliser pour prendre soin de mes pieds.

Ce n’est pas tellement un problème pour moi puisque, encore une fois, je me crème les pieds en allant au lit, mais c’est quand même assez pénible d’avoir une sensation de pieds qui collent aux draps.

Le baume hydra-défense d’Akileïne est sans aucun doute un des produits que j’ai essayé que la peau « boit » très vite.

A noter aussi, le produit ne laisse pas de film gras, c’est même plutôt l’inverse avec une sensation légèrement poudrée et douce, très agréable.

Donc pour les pressés de la crème pour les pieds, ce produit est parfait !

Les points faibles

La composition

J’essaye de plus en plus de faire attention à la composition des produits que j’utilise au quotidien, qu’il s’agisse de produits cosmétiques, d’alimentation ou de produits ménagers.

C’est un sujet à part entière, que je suis loin de maîtriser, mais que j’essaye de garder à l’esprit lorsque j’achète quelque chose.

De toute évidence cela m’était complètement sorti de la tête à ce moment là puisque je n’y ai pensé qu’au moment d’écrire cet article.

Le baume hydra-défense d’Akiléïne n’a pas une composition catastrophique (il n’y a pas de parabènes et de colorants par exemple, ce qui est déjà franchement bien), mais ce n’est pas le produit le plus naturel qui existe. Sur l’application Yuka, il obtient la note de 17/100, mauvais.

Donc si c’est quelque chose qui a de l’importance pour vous, autant que vous le sachiez !

baume hydra défense Akileïne dos du tube

Les effets peu visibles

Vu mes bonnes expériences avec les précédents produits que j’ai pu tester de la marque, je m’attendais à retrouver des pieds tout doux assez rapidement.

Cela n’a pas été le cas. Ni rapidement, ni au bout de plusieurs mois d’utilisation quotidienne.

Le produit annonce ceci :

En 7 jours seulement les rugosités diminuent.

Je ne serais pas aussi catégorique. En 7 jours, les pieds sont effectivement globalement plus doux, et les zones rugueuses sont un peu plus souples, moins sèches.

Toutefois, cela ne vous dispensera pas d’exfoliation et surtout cela n’aura pas d’effet miraculeux sur les zones déjà très abîmées, ce qui est plutôt normal à vrai dire.

Pourtant je m’attendais à un effet plus marqué : le coup de pied est vraiment bien hydraté, par contre pour la plante de pieds, je pense sincèrement que ce baume n’est pas assez chargé en actifs pour moi.

En synthèse

Pour résumer, je pense que c’est un produit qui a son intérêt pour les pieds peu secs et qui peut leur apporter un supplément d’hydratation pour les mois plus rudes pour les petons, tels que l’été ou le cœur de l’hiver.

En revanche, si vous avez les pieds vraiment secs « de base », ce produit ne sera pas suffisant, en tout cas pas avec une application quotidienne. Je n’ai pas essayé de l’appliquer 2 fois par jour, aussi je ne sais dire si une application bi-quotidienne serait la solution.

Pour ma part, je (re)pars donc en quête d’une bonne crème pour les pieds, quelque chose de vraiment hydratant / nourrissant.

A ce sujet, si vous avez des produits à recommander ou des avis complémentaires sur le baume hydra-défense d’Akileïne, n’hésitez pas à les laisser en commentaire.

Et si l’article vous a plu, n’hésitez pas à soutenir le blog en le partageant sur les réseaux sociaux !

Bonne journée !

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Voyager seule : 5 leçons

6 juillet 20205 juillet 2020

J’ai commencé à voyager seule à l’étranger en 2013. Depuis, je pars régulièrement en voyage en solo, parce que j’aime la liberté que cela apporte.

Pourtant ça n’a pas été la démarche la plus évidente que j’ai pu faire. Comme tout un chacun face à l’inconnu, j’ai eu mes doutes, mes peurs qui sont remontées à la surface et il a bien fallu y faire face.

Alors dans cet article, je voudrais faire un petit récapitulatif de ce que j’ai appris pendant ces années à voyager seule, plus ou moins loin, avec des formules où tout était pris en charge par un voyagiste ou au contraire par mes soins.

Parce qu’en un sens, quand on aborde une nouveauté comme celle-ci, je crois qu’on a tou(te)s envie de savoir comment les autres abordent « l’aventure » pour peut être y puiser la force de se lancer aussi…

On est capable de le faire

Je sais, au départ ça paraît insurmontable.

Et pourtant, je vous l’assure : tout le monde est capable de partir en voyage seul. Quelle que soit la formule qu’on choisit, quelle que soit son caractère.

La première fois que je suis partie en voyage seule, je suis partie à Londres, c’était en 2013 et c’était le cadeau d’anniversaire que je m’offrais.

Avant cela, tous les autres voyages que j’ai pu faire, je les ai fait soit en famille, soit avec mon petit ami, soit avec des amis. Je n’étais donc jamais partie seule et j’étais complètement terrifiée à cette idée.

J’étais tiraillée entre l’envie de partir en voyage et la peur d’y aller seule.

Alors pour mon premier voyage en solo, j’ai choisi une destination que je jugeais « facile ». Londres donc.

serre et jardin des Kew Gardens à Londres

Facile parce que je parle relativement bien anglais, facile parce que j’étais déjà allée à Londres en voyage scolaire, facile parce que je n’aurais pas à conduire (une des choses que j’aime le moins au monde déjà en France, alors à l’étranger…).

Et je me suis aussi facilité la tâche en préparant le voyage.

J’ai choisi un logement certes un petit peu plus cher (mais vu le prix de l’hébergement à Londres, j’ai envie de dire que cela ne changeait pas grand chose au final !) mais dans lequel je n’aurais pas à sortir à tous les repas et qui était cosy.

J’ai aussi fait un itinéraire rempli de choses qui m’intéressaient, suffisamment varié pour que je ne m’ennuie pas. J’ai donc chargé la mule sur les musées que j’affectionne beaucoup et j’ai aussi jeté mon dévolu sur un parc certes un poil excentré mais qui me semblait être une bonne parenthèse pour me détendre (et ça a été le cas).

En résumé, pour votre premier voyage abordez le challenge de manière sécurisante avec une destination et des modalités qui vous semblent accessibles : cela rendra l’expérience bien plus abordable et moins stressante !

On rencontre des gens très sympathiques

Ce point-ci ne m’avait pas vraiment effleurée, pourtant c’est une question qui est souvent revenue à mes oreilles depuis que je voyage solo : « mais tu ne te sens pas seule au bout d’un moment ? ».

Je suis quelqu’un qui, de nature, est plutôt introverti et assez solitaire : les grosses soirées remplies de monde et de bruit ne sont pas du tout ma tasse de thé. En revanche, j’aime passer des moments de qualité avec un ou quelques proches, mais toujours en petit comité. Et j’aime beaucoup passer du temps avec moi-même.

Autant dire que la solitude ne m’a pas inquiétée.

D’autant plus que, et je suis sure que vous l’avez déjà entendu, je trouve qu’on a tendance à faire beaucoup plus de rencontres lorsqu’on voyage seul(e) qu’en groupe (et ce , quelle que soit la taille du groupe).

Peut être parce qu’on est moins impressionnant, peut être parce qu’on est plus abordable, je ne sais pas.

Toujours est-il qu’à chacun de mes voyages j’ai rencontré des gens intéressants avec qui j’ai pu échanger.

A Londres, j’ai pris le thé avec trois petites mamies très rigolotes qui voulaient que j’aille jouer au bridge avec elles.

A Malte, j’ai sympathisé avec la personne de l’accueil de l’hypogée de Ħal Saflieni.  J’y ai aussi rencontré un étudiant polonais avec qui j’ai parcouru le front de mer un soir et on a papoté en regardant un chien jouer sur la plage.

San Francisco Lombard Street

A San Francisco, j’ai visité Mission Dolores avec une bonne sœur, un groupe de jeunes m’a proposé de partager leur pique nique avec eux du côté de la Marina, deux amies qui déjeunaient à la table d’à côté de la mienne ont décidé de m’intégrer à leurs discussions.

A Madère, dans l’hôtel où j’étais, j’ai fait la connaissance de Cécile, qui habitait comme moi à Toulouse à l’époque et suite à notre rencontre à la réunion d’information pour les excursions, nous avons pris tous nos petits déjeuners et dîners à l’hôtel ensemble et fait des visites ensemble. Nous sommes encore en contact aujourd’hui.

En Thaïlande, j’ai globalement sympathisé avec beaucoup de monde, qu’ils soient voyageurs, expatriés ou locaux, au gré des activités.

Tout cela pour dire que vous allez sans doute rencontrer du monde pendant votre voyage et avoir l’occasion de papoter avec des gens, avec qui vous tisserez peut être des liens bien plus forts que vous ne l’imaginiez au départ !

On s’écoute…

Le voyage solo, c’est une opportunité, que dis-je c’est la meilleure opportunité de s’écouter, de mieux se découvrir en termes d’envies, de rythme, etc.

Pour mon premier voyage seule, j’avais préparé un programme très chargé presque militaire, avec beaucoup d’activités et de marche par jour.

Et c’est comme ça que je me suis rendue compte que c’était beaucoup trop, que j’avais besoin de plus de repos, de moments de calme aussi.

Alors pour la fin de ce voyage là, et les voyages d’après, j’ai été plus souple dans mon planning, pour m’adapter à mon niveau d’énergie d’introvertie vite stimulée.

Maison de Jim Thompson Bangkok

Certains parlent aussi du « blues de la moitié des vacances » et si c’est quelque chose que vous expérimentez, veillez à bien vous réserver des activités « doudou » (massage, brunch, cours de yoga, bronzette à la plage, ce qui vous ressource en fait !) pour aborder cette étape.

Je pense que c’est pendant les voyages solo que j’ai pu faire que j’ai pu le mieux cerner mes besoins en fonction de mon niveau d’énergie, de mon humeur, etc. Et je vous invite à être à l’écoute de vos besoins, en toute bienveillance, sans jugement.

Après tout, vous êtes en vacances et l’idée des vacances c’est de vous faire du bien !

… mais pas trop quand même

Vous l’aurez compris, à mon sens, voyager seule est une belle occasion de pouvoir s’écouter.

Mais comme pour tout de chose, le mieux est l’ennemi du bien : donc écoutez-vous, c’est important, mais pas trop quand même.

Je m’explique.

Tout à l’heure je parlais du blues de milieu de vacances : sachez-le, pour le premier voyage solo, il n’est pas rare (mais pas obligatoire non plus) d’avoir un ou plusieurs petits coups de mou.

Ces petits moments un peu moins rigolos sur le moment peuvent prendre diverses formes, depuis quelqu’un qui vous manque jusqu’au gros sentiment de solitude et la tristesse qui va avec.

Et c’est à ce moment là précisément qu’il va falloir s’écouter pour s’apporter le réconfort dont on a besoin, tout en se bousculant un petit peu pour ne pas rester dans cet état d’esprit.

Je me rappelle à Malte, avoir eu une journée un peu plus difficile : l’hôtel où je séjournais était en travaux de 6h à 23h, je n’avais donc pas très bien dormi et j’étais toute grognon. J’avais envie de partager mes états d’âme avec quelqu’un, mais comme je voyageais seule, ce n’était pas chose évidente.

Ce jour là j’avais pensé à faire des visites, mais je n’étais pas dans les dispositions pour le faire alors j’ai choisi de faire un compromis pour la matinée : je suis allée dans une librairie chercher des cartes postales et je suis allée sur la plage me poser pour les écrire. Ainsi, j’avais trouvé le moyen de reconnecter avec mes proches, tout en me poussant à sortir et à prendre l’air frais.

Et l’après midi j’ai repris mes idées d’activités, légèrement modifiées, mais le cœur plus léger !

Être fier de soi et se rappeler

Enfin, une des choses que les voyages solo mon apprises c’est d’être fier de soi et surtout de faire ce qu’il faut pour s’en rappeler.

Chaque voyage sera différent, et peut être que ce qui vous inquiétait pour un voyage sera facile pour le suivant qui aura sa propre difficulté, etc.

Exemple, à Madère j’avais très peur de me tromper dans les transports, de ne pas prendre le bon bus pour aller là où je voulais (les transports et moi c’est toute une histoire) alors qu’à San Francisco je n’ai eu aucune difficulté pour cela, en revanche j’ai eu un coup de stress quand ma carte bleue a décidé de ne plus me permettre de retirer d’argent au bout de 2 jours sur place.

De même, chaque voyage vous permettra sans doute de découvrir des facettes de votre personnalité (ou de vous les rappeler). A Gozo, je me suis rappelée à quel point être au bord de l’eau est magique pour moi, ce qui a été confirmé à San Francisco quelques semaines plus tard lors de ma visite du quartier d’Ocean Beach. A Malte en revanche, c’est l’architecture très paisible et d’aspect robuste qui m’a à la fois émerveillée et apaisée.

Et ces petites victoires, ces petits bonheurs, je vous invite sincèrement à les consigner, parce qu’on a souvent tendance à les laisser prendre la poussière dans un coin, à oublier le cheminement.

De mon côté, j’aime bien m’envoyer une carte postale, qui bien souvent m’arrive largement après mon retour. J’y liste les moments forts, les belles visites, les rencontres, les marches franchies.

Et lorsque j’ai fini mon album photo sur le voyage en question, à la fin de celui-ci, je mets la carte postale.

Voilà ce que je peux vous dire sur le fait de voyager seule : c’est une expérience très enrichissante, dont vous sortirez forcément grandi(e) et je vous invite sincèrement à vous lancer, en toute bienveillance avec vous même.

Si vous êtes comme moi, le voyage solo sera très vite un rendez-vous avec vous-même que vous attendrez avec impatience !

Si vous êtes vous-même adepte du voyage solo et que vous avez des conseils à donner, ou bien si vous êtes attirés par le fait de voyager seul(e) mais que vous n’hésitez pas (encore !) à franchir le pas, n’hésitez pas à le partager en commentaire.

Bonne journée !

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Huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan bio – Energie Fruit

22 juin 202029 juin 2020

A la base, pour être tout à fait transparente, je ne pensais pas un jour faire une infidélité à mon lait pour le corps chouchou de Garancia (pour en savoir plus sur ce produit, lisez l’article correspondant !) et puis il a fallu que je fasse un séjour à l’hôpital en début d’année et c’est à ce moment là que je me suis rendue compte que je n’avais pas vraiment de produits faciles à transporter pour un court séjour.

C’est ainsi que je suis allée à Monoprix pour trouver quelque chose de pratique et qui me convienne.

Je suis tombée sur un présentoir Energie Fruit, marque que je ne connaissais pas (je confesse essayer beaucoup moins de produits et de marques depuis quelques années, peut être parce que j’ai trouvé un semblant d’équilibre ?) et je me suis dit que ce serait l’occasion de tester et de me faire une idée.

J’ai donc embarqué trois produits : un shampoing au thé à la menthe et à l’aloé vera (qui ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, je le trouvais plutôt difficile à rincer), un gel douche à la fleur d’oranger (bonne expérience, le parfum est réussi, pourtant je ne pense pas le racheter) et une huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan.

Huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan : 4 points forts

L’effet sur la peau

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais ce qui m’intéresse d’abord pour un produit cosmétique, ce sont ses effets : l’expérience aura beau être la plus plaisante possible, si les effets ne sont pas au rendez-vous, à quoi bon persister ?

Pour situer un peu le contexte d’expérimentation du produit, j’ai la peau sèche voire très sèche sur le corps, effet grandement accentué par l’eau calcaire de la région parisienne. Ajoutez à cela des exercices physiques quotidiens en appui sur mes coudes et mes genoux, vous ne serez pas surpris si je vous dis que certaines parties de mon corps sont plus malmenées que d’autres.

huile sèche pour le corps monoï et huile d'argan bio energie fruit

D’habitude je trouve que les huiles sont un peu trop légères pour nourrir ma peau et lui donner du confort, c’est pourquoi j’ai plus tendance à me tourner vers les laits.

Pourtant l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit tient ses promesses à la perfection : la peau est confortable, elle est douce et même si les zones un peu plus malmenées demandent un petit peu plus d’attention, c’est un résultat plus qu’honorable !

La rapidité d’absorption

Je pense que tout le monde est à peu près d’accord sur ce point : un produit pour le corps qui tient ses promesses en nourrissant la peau c’est bien, mais s’il le fait sans qu’on soit obligé(e) d’attendre 15 minutes que le produit pénètre avant de s’habiller c’est encore mieux !

J’ai une routine assez conséquente le matin, et je confesse ne pas vouloir passer des heures dans la salle de bains, sachant que cette étape est en plein milieu de la dite routine.

La rapidité d’absorption est quelque chose que j’apprécie beaucoup en ce qui concerne mon produit hydratant pour le corps chouchou et c’est quelque chose dont j’aurais du mal à me passer aujourd’hui.

huile sèche pour le corps monoï et huile d'argan bio energie fruit
Le produit vient juste d’être étalé sur le dos de la main

J’appréhendais un peu ce point avec l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit, mais justement c’est une huile sèche, ce qui fait qu’elle pénètre relativement rapidement dans la peau sans laisser de film gras ou collant. Il est donc tout à fait possible de s’habiller juste après l’application du produit.

Les leggings et vêtements un peu collants/serrés seront peut être un petit peu moins faciles à ajuster, mais rien d’insurmontable, vous n’aurez pas à retourner tout de suite sous la douche parce que vous vous serez battu(e) avec votre slim favori !

L’odeur

L’appréciation des parfums et senteurs est quelque chose de très personnel, j’en conviens, mais comme c’est quelque chose que j’aime beaucoup avec l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit, je ne pouvais pas le passer sous silence.

Comme le nom du produit le suggère, l’huile sent le monoï, qui est une odeur que j’apprécie énormément, surtout en période estivale.

huile sèche pour le corps monoï et huile d'argan bio energie fruit

A noter aussi, l’huile peut très bien être utilisée comme huile de massage. Le monoï étant, de mon point de vue, une odeur plutôt sensuelle, voilà un produit multifonction qui vous permettra de passer du temps de qualité avec la personne de votre choix (cette personne pouvant tout à fait être vous même, une parenthèse rien que pour soi est toujours une bonne idée) (et si vous ne savez pas quoi vous masser, commencez par les mains ou le cou avec cette huile,  succès garanti).

Et j’ai presque envie de vous dire de ne pas réserver l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit pour l’été à cause de son odeur : au contraire, voyagez d’un point de vue olfactif à tout moment de l’année, et téléportez-vous pendant un instant dans une île paradisiaque !

Le packaging

Pendant des années, je n’ai juré que par les baumes pour le corps, qui se présentaient en pot, parce que je trouvais cela plus joli sur le rebord de mon meuble de salle de bains.

Le fait est que si cela peut être plus joli, c’est surtout non hygiénique (tremper les doigts dans le pot et y mettre plein de bactéries, non merci !) et pas du tout pratique.

huile sèche pour le corps monoï et huile d'argan bio energie fruit

Alors depuis j’ai jeté mon dévolu sur des packagings de type flacon pompe ou spray dans la mesure où je trouve qu’il est plus facile ainsi de doser le volume de produit que l’on utilise et aussi plus pratique à transporter. Certain(e)s objecteront que ces packagings sont moins pratiques pour effectivement bien utiliser l’ensemble du produit dans le flacon, et je suis d’accord avec vous, pour autant, je préfère jouer un petit peu au MacGyver à découper le flacon si besoin pour en racler les bords, plutôt que de devoir laver tous mes vêtements qui auront été aspergés de lait pour le corps.

Bref, l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit est conditionnée dans une bouteille avec un spray, ce que je trouve très pratique pour le transport et pour l’utilisation.

 

Il y aurait plein d’autres choses très sympathiques à dire sur le produit et sur la marque, notamment que l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit est cruelty free, vegan et fabriquée en France, qui sont aussi des points qui me touchent particulièrement, essayant de consommer plus raisonnable (ce qui est un vaste sujet pas forcément évident, mais là n’est pas la question pour aujourd’hui).

Quoi qu’il en soit, je ne peux que vous conseiller l’huile sèche pour le corps monoï et huile d’argan Energie Fruit si vous cherchez une huile sèche pour le corps qui nourrisse votre peau : si vous aimez l’odeur du monoï, vous ne serez pas déçu(e) !

Et vous, quel est votre dernière bonne découverte en termes de beauté ?

Bonne journée !

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Les 5 indispensables de ma routine 2020

15 juin 202029 juin 2020

Je crois que j’ai toujours aimé le concept de routine, cet enchaînement d’activités qui donnait à la fois de la structure tout en étant rassurante.

Pourtant, pendant des années j’ai tâtonné à ce sujet, parce que la discipline et moi on n’était pas très copines et aussi parce que je voulais révolutionner ma vie du jour au lendemain, en un claquement de doigts presque, et laissez-moi vous dire que cela ne s’est pas très bien passé.

Peut être qu’aussi à ce moment là je voulais plus faire « comme tout le monde » plutôt que de faire « ce qui est bon pour moi », ce qui rendait la routine certes structurante, mais pas forcément bénéfique.

Alors j’ai cherché, expérimenté les activités, les heures, les durées, pourvoir ce qui me conviendrait et ce qui me ferait du bien.

Parce que l’objectif de la routine, pour moi, c’est surtout de m’assurer que je prends suffisamment soin de moi et un petit peu tous les jours.

J’ai une tendance assez poussée à l’auto maltraitance, et cette routine c’est un peu un garde-fou, des balises pendant la journée pour me rappeler que je peux/dois me donner de l’amour et de l’affection au quotidien, que je le mérite et que c’est vital (eh oui).

Aujourd’hui, il y a 5 indispensables qui jalonnent ma routine, mais avant que je vous les présente, quelques petits mots en plus sur le processus :

  • la construction de ma routine et le choix des activités m’a pris des années et je suis ouverte à ce qu’elle change, que ce soit ponctuellement pour m’adapter à un événement, ou sur le long terme, pour qu’elle soit plus en phase avec la personne que je deviens ;
  • idéalement, je réalise les 5 activités dans la journée, et c’est ainsi que je me sens le mieux. Cependant, la routine est théorique alors que la vraie vie c’est l’instant présent dans toute sa réalité, et donc des fois les deux ne s’accordent pas. Quand c’est le cas, je fais en sorte d’être dans l’acceptation et la bienveillance pour m’orienter sur ce qui me sera le plus bénéfique ce jour là.
  • une routine est avant tout personnelle, et plutôt que de « copier » la mienne, je vous invite à vous interroger sur ce dont vous avez besoin. Après tout, l’objectif est surtout de vous faire du bien, et vous seul(e) êtes capable de savoir quelle activité vous est bénéfique !

Les 5 activités phare de ma routine 2020

Pour plus de facilité, je vous présente les activités dans l’ordre chronologique dans lequel je les réalise pendant la journée.

La méditation

Toute première chose que je fais en me réveillant le matin. Je ne sors même pas de mon lit pour cela, je m’assois (ou je reste allongée d’ailleurs) et je médite pendant 10 à 20 minutes.

routine 2020 méditation
Photo by Cathal Mac an Bheatha sur Unsplash

J’ai choisi de le faire le matin pour deux raisons :

  1. si je ne le fais pas le matin, je ne le ferai pas du tout ;
  2. je trouve que méditer le matin est mieux en termes de canalisation de mon stress lié aux pensées. Le matin j’ai le cerveau un peu en mode freestyle, qui se met très vite en route dès que j’émerge du sommeil, alors méditer tout de suite permet de calmer le jeu (un peu).

J’ai essayé plusieurs formats de méditation (avec des mantras, en focalisant sur une bougie, méditation guidée…) et finalement ma préférence va vers la méditation guidée. C’est le format avec lequel j’arrive à être le plus en pleine conscience : dans la mesure ou je réfléchis beaucoup et tout le temps, la méditation guidée me permet d’avoir un point d’ancrage sur lequel je reviens plus facilement.

Je n’ai pas essayé beaucoup d’applications, seulement deux, Headspace et Petit Bambou, et j’aime bien les deux. En ce moment j’utilise Headspace en anglais (mais il est possible de le mettre en français) parce que j’aime beaucoup les voix et j’apprécie après une longue journée d’écouter un sleepcast.

L’exercice physique

Vous m’auriez dit il y a quelques années que je finirais par faire de l’exercice physique régulièrement, autre que marcher pour me déplacer, je ne vous aurais pas cru.

Et pourtant, me voilà en 2020, à faire des exercices tous les matins depuis un an.

routine 2020 exercice physique fitness
Photo by Bruno Nascimento sur Unsplash

Je fais ma séance d’exercice et de gainage juste après avoir médité, là encore parce que si je ne le fais pas le matin, je pense que je suis capable de me trouver toutes les excuses du monde pour ne pas la faire (alors même que je suis convaincue de son intérêt, c’est dire !).

La séance dure environ une quinzaine de minutes aujourd’hui. Elle a été construite progressivement par mon kiné parce que j’avais des douleurs au dos depuis des années : on a commencé par un exercice, puis deux, puis trois, et puis on a augmenté les répétitions, etc. jusqu’à atteindre la routine actuelle.

J’ai beaucoup moins mal au dos aujourd’hui, et lorsque je ne fais pas mes exercices je me rends vite compte de leur nécessité, alors au final je les oublie peu !

L’écriture

Je pense que c’est la pratique que j’ai depuis le plus longtemps, mais avec laquelle j’ai le moins de constance.

routine 2020 écriture
Photo by Annie Spratt sur Unsplash

J’ai du commencer à écrire alors que j’étais en école primaire, et j’écrivais un mélange entre ce qu’il s’était passé dans ma journée et de multiples histoires qui germaient dans ma tête. A cette époque là, j’écrivais principalement le soir.

Aujourd’hui, j’écris quand je peux : les jours où je ne travaille pas je préfère écrire le matin parce que, comme pour la méditation, cela me permet de poser les pensées qui surgissent. C’est l’exercice d’écriture automatique des pages du matin (si vous ne voyez pas de quoi je parle, je vous invite à lire cet article sur Libérez votre créativité de Julia Cameron).

Les jours où je travaille, j’écris principalement le soir avant de me coucher et c’est un mélange entre un bilan de la journée et de l’écriture automatique.

Et puis parfois je déborde un peu côté pensées et émotions alors je fais les deux, voire plus. L’écriture est quelque chose de très important pour moi et un outil efficace, aussi je l’utilise régulièrement.

Le yoga

J’ai commencé à faire du yoga en 2005 et, comme pour l’écriture, j’ai beau savoir que cela me fait du bien, j’ai eu beaucoup de difficultés à l’intégrer dans ma routine, notamment parce que je ne trouvais pas d’horaire et de durée qui me convienne.

routine 2020 yoga
Photo by Dave Contreras sur Unsplash

J’ai commencé par des séances de plus d’une heure le soir avant de dîner, en studio de yoga : trop long, trop tard, j’étais trop fatiguée et je voulais juste rentrer chez moi. Et puis je n’étais pas tellement à l’aise avec le nombre de personnes dans le studio, je n’arrivais pas à relaxer.

Après j’ai fait des séances plutôt le matin d’environ 45 minutes : comme c’était une de mes premières activités de ma routine a ce moment là je ratais peu le rendez-vous, mais 45 minutes le matin c’est quand même long. Et puis je n’étais pas assez réveillée ni mentalement ni physiquement pour apprécier vraiment la séance.

Aujourd’hui, je fais mes séances vers 18h-19h, chez moi, et elles durent entre 20 et 45 minutes. Je m’appuie sur les vidéos de Yoga with Adrienne, que je trouve très bien. J’ai tendance à suivre les sessions prévues dans le mois, mais s’il y a un événement particulier dans la journée qui me donne envie d’autre chose (séance plus courte ou pour adresser une certaine problématique) j’accueille le changement.

L’idée de la séance de yoga c’est principalement de marquer la fin de la journée de travail et surtout le début de la phase de relaxation et de détente du soir.

La prière

Je ne suis pas croyante dans le sens où je ne suis pas pratiquante d’une religion en particulier, pourtant j’ai une pratique spirituelle dans laquelle la prière quotidienne a sa place. Je prie le soir dans mon lit, juste avant de me coucher.

routine 2020 gratitude prière
Photo by Chris Ensey sur Unsplash

Ce n’est pas une prière au sens strict du terme peut être, mais ce sont quelques minutes que je dédie à penser et être reconnaissante pour le positif dans ma vie, semer des pensées de soutien envers ceux qui en ont besoin et à être dans une dynamique d’amour, d’empathie et d’ouverture envers la vie.

Ces quelques minutes me permettent de relativiser et d’apprécier les belles choses de la vie, et aussi de dégager mon regard de mon nombril pour élargir mon horizon. J’ai l’impression aussi que cela aide à apaiser mon mental et à me mettre dans de meilleures dispositions pour dormir.

 

Encore une fois, construire une routine est quelque chose qui prend du temps et qui, je crois, s’aborde avec douceur et compassion.

En ce moment, je fais de petits ajustements pour dégager un peu plus de temps à la lecture et aussi pour me crémer/masser les mains et les pieds : j’y travaille depuis plusieurs semaines, et cela commence tout doucement à se mettre en place.

Et vous, quelles sont les activités phares de votre routine bien être ?

Bonne journée !

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Amigurumi dragon au crochet

8 juin 202029 juin 2020

Il y a quelques mois de cela, un collègue m’a prévenue qu’un autre collègue allait quitter la société pour laquelle nous travaillons. En toute honnêteté je ne connaissais pas très bien le collègue en question, mais il m’invitait à son pot de départ, il était gentil et ça me faisait plaisir qu’il m’invite.

Sauf que qui dit pot de départ, dit cadeau de départ. Et même si je ne connaissais pas la personne depuis longtemps, je ne me voyais pas arriver à son pot de départ les mains vides (ça ne se fait pas selon moi, c’est un peu comme venir à un dîner où on est invité les mains vides, je trouve ça gênant).

J’ai donc demandé à notre collègue en commun des idées, et bon, autant vous dire que j’ai eu le meilleur du pire des idées geek qu’on puisse imaginer, dont des idées de choses dont l’existence m’était inconnue.

amigurumi dragon au crochet

J’étais donc un petit peu sans idée, et je n’avais que deux semaines pour trouver quelque chose qui tienne la route, parce que quitte à faire un cadeau, autant qu’il fasse plaisir, ou a minima qu’il soit suffisamment bien pensé pour faire rire.

Au bout d’un moment, je me suis rappelée que j’avais fait au collègue en commun l’amigurumi kraken au crochet et que le collègue qui partait l’avait apprécié. J’ai donc exploré la piste des amigurumis.

Au début j’ai pensé à un phénix, mais le modèle qui me plaisait était difficilement réalisable en aussi peu de temps, surtout que je n’avais pas les fournitures pour. Avec le collègue en commun nous avons pas mal brainstormé ce soir là, pour finalement arriver à la conclusion qu’un dragon c’était bien.

amigurumi dragon au crochet

Et c’est ainsi que je me suis mise en quête d’un modèle et que j’ai crocheté un amigurumi dragon !

(Oui, ceci est l’intro la plus longue de l’histoire du blogging, mais si vous me lisez depuis un moment, vous avez l’habitude maintenant) (sinon, bienvenue à vous !)

A propos du modèle

Le patron

Pour réaliser cet amigurumi dragon au crochet, je ne me suis vraiment pas cassée la tête et j’ai cherché ce que je pouvais trouver en termes de patron sur Ravelry.

Inutile de vous dire qu’il y a une tonne de patrons disponibles pour crocheter des amigurumi dragons ! Des simples, des compliqués, des unis, des multicolores, vraiment il y en a pour tous les goûts.

Voulant un amigurumi pas trop grand vu que mes collègues aiment avoir leur amigurumi à côté d’eux quand ils travaillent, j’ai opté pour le patron de Sarselgurumi, qui est un patron pour réaliser Krokmou (Toothless en VO), le dragon noir du dessin animé Dragons.

amigurumi dragon au crochet

Bien entendu, le résultat final était mignon alors que je lui voulais un air de guerrier menaçant moi à ce dragon, alors j’ai fait comme d’habitude, j’ai ajouté les sempiternels sourcils du patron de Cthulhu que j’ai maintes fois utilisés (ça doit être le patron acheté que j’ai le plus rentabilisé de tous tellement je m’en sers souvent !) et plutôt que de faire des yeux en feutrine, j’ai opté pour des safety eyes.

Le matériel

Pour réaliser cet amigurumi dragon au crochet, j’ai utilisé des laines qu’il me restait de différents projets, je n’en ai pas acheté.

J’ai pendant un moment hésité avec un vert de gris vraiment beau que j’avais (Holst Garn Coast, coloris Cobble, que j’avais utilisé pour le corps de ce projet), pour finalement opter pour du noir pour la majorité du dragon et du gris pour quelques accents et que le final ne soit pas trop terne.

amigurumi dragon au crochet

  • Crochet : 3,5mm (E)
  • Laine principale : Phildar Lambswool, coloris Black (noir donc)
  • Laine secondaire : Phildar Lambswool, coloris 114 Mercure (gris)
  • Safety eyes : 12mm, jaunes avec une pupille de type œil de chat.

La réalisation

Alors qu’on se le dise, le patron est très (très !) long parce qu’il y a beaucoup de petites pièces à faire séparément avant d’assembler le tout.

En soit le modèle n’est pas vraiment compliqué, mis à part peut être les orteils/griffes pour lesquels il faut bien lire et s’assurer d’avoir compris avant de se lancer.

Il me semble qu’il y a une des paires d’ailettes qui vont sur la queue du dragon qui m’ont aussi parues un peu obscures à la première lecture, mais rien qui ne soit insurmontable.

Le plus fastidieux avec ce modèle d’amigurumi dragon c’est qu’il y a beaucoup de couture à faire, puisqu’il faut assembler tous les éléments (et des éléments il y en a quelques uns si vous voyez ce que je veux dire), et ce n’est pas vraiment mon truc.

D’ailleurs le bon placement des différents éléments demande beaucoup d’attention, et malgré les conseils et astuces donnés par la créatrice du modèle, il y a certains éléments que j’aurais sans doute pu mieux positionner pour que le rendu final soit plus symétrique.

amigurumi dragon au crochet

Au final cependant, j’ai mis 4 jours pour réaliser cet amigurumi dragon au crochet, ce qui est somme toute une durée raisonnable je trouve pour quelqu’un qui crochète lentement et qui n’aime pas vraiment l’assemblage.

Et puis, même si je n’ai finalement pas pu me rendre au pot de départ et que donc je l’ai offert plus tard, il a plu à son nouveau propriétaire, ce qui est le plus important. Il lui a même donné un nom, Ryūjin, ce qui me laisse penser qu’il l’aime bien.

Cela valait donc le coup de pester contre un petit peu de couture !

Et vous, vous crochetez des amigurumi à vos proches ou à vos collègues ? N’hésitez pas à partager vos créations en commentaires, je suis sans cesse à la recherche de nouveaux modèles sur lesquels m’exercer, même si j’ai une liste longue comme le bras de patrons qui attendent dans ma librairie Ravelry (mais ça c’est une autre histoire !).

Si l’article vous a plu, vous pouvez aussi soutenir le blog en le partageant sur les réseaux sociaux !

Bonne journée !

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Hokusaï, le fou de dessin – Henri-Alexis Baatsch

1 juin 202029 juin 2020

Je suis fascinée par l’art asiatique, et notamment japonais. Je consomme moult livres d’auteurs asiatiques et je lis beaucoup d’articles sur le sujet, il n’est donc pas étonnant que j’aie de la curiosité pour l’art de cette partie du globe, qu’il soit contemporain ou non.

J’ai, entre autres, un grand intérêt pour les estampes, dont j’aime beaucoup le rendu, à la fois poétique et brut.

N’en déplaise aux autres artistes, j’ai bien entendu été subjuguée par la fameuse vague de Hokusaï, et c’est ainsi que j’ai commencé à m’intéresser à son travail, plutôt varié !

Alors un jour, je ne sais plus trop pour quelle occasion (sans doute aucune si ce n’est de me faire plaisir), je me suis offert le livre d’Henri-Alexis Baatsch intitulé « Hokusaï, le fou de dessin ».

Dans cet article je vous propose une revue du livre, en essayant d’être le plus exhaustive possible tout en vous laissant un peu de mystère quant à son contenu (exercice d’équilibriste s’il en est !).

Envie d’en savoir plus sur ce livre ? C’est ci-dessous que cela se passe !

L’aspect du livre

D’habitude je n’en parle pas, mais il faut bien avouer que cet ouvrage sur Hokusaï se démarque de ce que j’ai d’habitude dans ma bibliothèque. C’est un très beau livre avec beaucoup de caractère, de part sa construction.

La couverture tout d’abord, est en carton rigide, bien épais. Ce carton est recouvert d’un tissu imprimé d’œuvres de Hokusaï, du titre ainsi que des informations standard. Cette couverture, qui se ferme avec des petits liens en coton, protège le livre qui lui est attaché par la quatrième de couverture.

Hokusaï fou de dessin livre couverture devant

Ainsi il faut défaire les nouettes et ouvrir la couverture épaisse pour accéder et pouvoir feuilleter le livre, livre qui a encore des particularités, puisque chaque page, au lieu d’être composée d’une feuille de papier, est en fait certes une feuille mais pliée en deux ! Quand vous feuilletez le livre, vous attrapez la page du côté plié de la feuille, ce qui est plutôt plaisant je trouve.

Le livre

La structure

Le livre, même s’il comporte plus de chapitres, se compose de trois grosses parties.

La première est une biographie de Hokusaï, qui aborde aussi bien sa vie personnelle que ses divers apprentissages ou son parcours professionnel. Il y a plein d’anecdotes étonnantes qui expliquent aussi en partie son processus pour aborder une oeuvre, ce qui est très intéressant je trouve.

La deuxième partie aborde l’oeuvre de Hokusaï et c’est ainsi que l’on prend à la fois la mesure de la variété des productions de l’artiste, mais aussi de sa versatilité. J’ai particulièrement apprécié les petites sections où l’auteur explique un petit peu les différents types et styles d’oeuvre, qui ne nous sont pas forcément connus, de manière très abordable, ce qui nous permet d’évaluer les challenges de chaque style et types de production.

Enfin la troisième partie est plus historique, même si des événements chronologiques sont disséminés dans les autres chapitres. J’ai beau ne pas être particulièrement fan d’histoire (j’ai beaucoup de difficultés à retenir les repères chronologiques…), j’ai trouvé appréciable de pouvoir situer les différentes œuvres de Hokusaï dans le temps et de pouvoir apprécier les influences : que ce soit les artistes et événement qui ont influencé l’oeuvre de Hokusaï ou dans quelle mesure il a influencé ses contemporains et apporté quelque chose à la postérité.

Hokusaï fou de dessin livre intérieur

A qui s’adresse ce livre ?

Bien entendu, ce livre, je pense, s’adresse en priorité aux personnes qui veulent en savoir plus sur l’oeuvre de Hokusaï et sur l’artiste haut en couleurs qu’il était. Je ne saurais dire s’il est complet n’étant moi-même pas une spécialiste de l’artiste, en tout cas c’est une entrée en matière à la fois plaisante et qui couvre un large spectre de la personnalité et du travail de Hokusaï.

Cela peut être aussi un bon livre pour les personnes qui s’intéressent aux techniques telles que l’estampe ou le mouvement artistique de l‘ukiyo-e par exemple, puisque ce livre les aborde au travers des productions de Hokusaï.

Mais j’ai aussi envie de dire que ce livre s’adresse aussi aux esthètes et aux sensoriels, autant parce  que le livre contient des reproduction d’une large palette des œuvres produites par Hokusaï mais aussi parce que l’objet en lui même est très beau !

Mon avis

Il ne m’est pas évident de donner un avis brut de décoffrage sur ce livre sur Hokusaï dans la mesure où je pense que c’est un livre qu’on lit, qu’on picore, mais surtout qu’on revisite régulièrement. Et pour cela je ne le possède pas depuis suffisamment longtemps pour me prononcer, autant pour le reste je peux vous donner mon avis sur les points forts et les points faibles du livre !

Les points forts

Le premier point fort, je pense que vous l’avez deviné, c’est que c’est un très bel objet. C’est un ouvrage qu’on a du plaisir à regarder, à manipuler, à feuilleter, et je pense que cela contribue grandement à l’expérience. La mise en page est soignée, la police d’écriture appropriée, ce livre est très agréable je trouve !

Le deuxième point fort à mes yeux, c’est la quantité d’illustrations qui est harmonieuse avec le volume de texte. Alors bien entendu, on pourrait en vouloir plus, mais je trouve que c’est très honorable ! Il y a plusieurs exemples d’illustrations en fonction des techniques, des mouvements artistiques, des croquis, bref il y en a pour tous les goûts et suffisamment pour avoir un aperçu de ce qu’a pu produire Hokusaï pendant sa vie. D’ailleurs c’est après avoir lu ce livre que je me suis lancée en février un défi de reproduction des œuvres de Hokusaï avec mes connaissances et mon style, et ce livre m’a été bien précieux pour cela !

Enfin le troisième point fort, c’est je trouve, la qualité de l’écrit. L’auteur maîtrise bien son sujet et l’amène sans que cela devienne rébarbatif ou difficile à appréhender pour le lecteur. Et quand on voit la pluralité de techniques et de productions de Hokusaï, c’est très agréable de lire un livre à ce sujet et dont on comprend ce qui y est écrit, dont on perçoit les différentes briques et comment elles interagissent entre elles !

Hokusaï fou de dessin intérieur livre estampe

Les points faibles

Il en fallait bien un, et je suis désolée de l’admettre à vrai dire, mais bien que le livre soit très beau, il n’est pas très pratique à lire. Déjà parce qu’il ne repose pas à plat quand on l’ouvre et vu la taille et le poids de l’objet c’est un peu dommage.

Mais aussi parce que la manière dont il est fait (les pages pliées et le fait que la couverture du livre lui même ne soit encollée qu’à la quatrième de couverture) n’est pas très évidente : j’ai eu plus d’une fois peur de l’abîmer quand je le feuilletais dans mon lit en déchirant des pages ou en abîmant la couverture.

Rien de tout cela n’est arrivé, mais je préfère le mentionner quand même.

L’inconnue

L’inconnue en ce qui concerne ce livre, c’est comment il va vieillir au fur et à mesure des utilisations : est-ce que la couverture va s’abîmer ? Quid des pages ?

Je n’ai pas suffisamment de recul pour me faire une idée au moment où j’écris cet article puisque j’ai le livre depuis environ deux ans seulement. En tout cas pour l’instant, malgré une utilisation assez régulière il ne semble pas avoir souffert, à voir sur du plus long terme !

Hokusaï fou de dessin dos livre

Voilà ce que je pouvais vous dire sur ce livre, dont je ne regrette absolument pas l’achat. A mes yeux c’est un cadeau parfait pour toute personne intéressée par l’oeuvre et le style de Hokusaï, tant il regorge d’informations et de jolies reproductions. Et encore une fois, même s’il n’est pas très pratique, c’est néanmoins un très bel objet, je le recommande fortement !

Si vous avez des recommandations d’ouvrages concernant Hokusaï ou des beaux livres d’art, n’hésitez pas à m’en faire part en commentaire. Et si l’article vous a plu, vous pouvez soutenir le blog en partageant l’article sur les réseaux sociaux !

Bonne journée !

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Pourquoi je blogue ?

25 mai 202029 juin 2020

Cette question, je crois que je l’entends depuis que j’ai commencé à bloguer, ou presque : « Mais pourquoi tu blogues ? ». Autant vous dire que depuis le temps que je blogue, et même pendant les périodes de pause, j’ai eu le temps de l’entendre cette question.

Mon histoire de blogging

D’abord un peu de contexte si vous le voulez bien.

J’ai commencé à bloguer en 2006, au retour d’un séjour de 6 mois à Montréal pour un stage. A cette époque là, le blog ne s’appelait pas Mnêmosunê, et j’étais sur une plateforme qui s’appelait MaBulle, qui n’existe plus aujourd’hui.

J’avais commencé à bloguer pour maintenir le lien avec mes amis de Montréal, puis avec ma famille quand je suis retournée vivre au Québec. A cette époque là, j’avais même commencé un autre blog pour raconter des histoires avec mes Sims (c’était l’époque où je jouais beaucoup aux Sims 2 et où mes amis se demandaient bien ce qu’il se passait dans ce jeu dans lequel je passais des heures).

Et puis la plateforme a commencé à battre de l’aile, et de plus en plus les blogueurs la quittaient pour soit être hébergés par leurs soins, soit trouver un autre hébergeur gratuit.

Petit à petit j’ai préparé ma transition vers un blog auto hébergé, et en septembre 2011 j’ai ouvert cet espace-ci.

C’était un peu une révolution, parce que cela signifiait que je sortais de la bulle créée par l’hébergeur que j’avais avant, et qu’en un sens je me lançais dans la cour des grands.

Depuis 2006 j’ai fait plusieurs « pauses » de blogging, parce que la blogosphère a beaucoup changé, notamment avec l’avènement de la monétisation des blogs et des partenariats, et elle évolue encore beaucoup, et que j’avais besoin de voir si je voulais encore en faire partie, et sous quelles conditions.

Et à chaque fois, je suis revenue.

(Livre sur le blogging que j’aime beaucoup, même si maintenant il est un peu « dépassé », Blog Inc. )

Pourquoi je blogue ?

Et donc cette sempiternelle question du « pourquoi » du blogging qui revient sans cesse, talonnée de près par la question du « comment »: comment tu trouves le temps, comment tu t’organises, etc.

Enfin cette question là, on va la garder sous le coude pour plus tard, et pour aujourd’hui je vais surtout parler du pourquoi du blog.

Pour me rappeler

Ce n’était pas du tout l’objet de ce blog quand je l’ai commencé, ni même lorsque j’ai recommencé à bloguer après mes pauses, pourtant je dois bien avouer que c’est un apport indéniable pour moi.

Il fut un temps je faisais des bilans annuels sur le blog (si vous voulez les relire : 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016) et c’est à ce moment là que j’ai pris conscience d’une chose : en regardant mes articles de blog, je me rendais compte, qu’en fait il se passait plein de choses dans ma vie.

Pas forcément des gros coups de tonnerre, mais plein de petites expériences , dont je ne me souvenais pas pour la plupart.

Alors voilà, ce blog, qui s’appelle Mnêmosunê, déesse de la mémoire (lien wikipedia), c’est avant tout pour me souvenir.

Parce que quand j’écris un article sur quelque chose, je vais chercher mon ressenti, mon expérience, et quand bien même je note parfois certaines de ces choses dans mes pages du matin, la plupart du temps, en fait, ces « événements » se perdent dans ma mémoire.

Mais ici ils perdurent, et je m’y replonge à chaque fois avec plaisir !

bullet journal statistiques

(A cette époque là je suivais mes statistiques de publication, chose que je ne fais plus aujourd’hui…)

Pour partager

Avec ce point-ci, on se rapproche un peu plus de ce qu’était à l’origine bloguer pour moi : une manière de maintenir le lien, de donner des nouvelles.

Depuis mes débuts dans la blogosphère, certains de mes lecteurs historiques ne sont plus, d’autres ne lisent plus mes pérégrinations et enfin beaucoup de nouvelles personnes ont atterri par ici (bienvenue !), parfois jusqu’à être de fidèles lecteurs.

Pourtant je prends toujours autant de plaisir à partager ici, que ce soit des expériences (par exemple des lectures, des bonnes adresses, un produit que j’ai essayé) ou un cheminement (tels que mon processus de développement personnel ou mes expérimentations créatives).

A vrai dire, je pense que l’essence du blogging est là : le partage avec une communauté, quelle que soit sa taille, quels que soient les intérêts. Je trouve formidable qu’on puisse bénéficier de l’expérience et des conseils d’une personne sur un sujet sur lequel on s’interroge, qu’il s’agisse de macramé, de paëlla ou de la meilleure série à regarder sur Netflix selon votre signe astrologique (j’ai mis ça complètement par hasard, mais je suis sure que je dois pouvoir trouver un article sur le sujet) (edit : bingo, en voilà un qui vient du site Vogue).

Et je trouve d’autant plus sympathique qu’il y ait de la place pour toutes les voix, des novices aux plus expérimentés, chacune étant unique !

Parce que ça m’amuse !

Comme je le disais plus haut, certaines personnes, après m’avoir demandé pourquoi je blogue, me disent souvent que ça doit prendre un temps fou et qu’ils ne comprennent pas pourquoi je m’inflige cela.

Alors oui, bien sûr, bloguer prend du temps, c’est indéniable. Pour ma part, entre l’écriture des articles, la prise de photos et les diverses actions de maintenance, je dois bien y passer entre 2h à 5h par semaine.

Mais contrairement à ce que certains proches (ou moins proches d’ailleurs) on pu me dire, ça n’est pas du tout une corvée pour moi ! Bien entendu que certaines fois j’ai la flemme de me mettre devant mon clavier pour écrire parce qu’il fait beau dehors, mais en général, je suis contente de m’y mettre et de voir le petit article écrit, prêt à être publié. D’ailleurs, bloguer me manquait énormément pendant mes pauses et c’est pour cela que j’ai recommencé à écrire !

Suivant le sujet dont je parle, cela me permet aussi de me replonger dans un état d’esprit aussi, de raviver mes souvenirs : depuis le bonheur en Thaïlande de manger un bon Tom Kha Gaï, jusqu’à la satisfaction d’avoir crocheté un bonnet en passant par les leçons que je retire de la lecture de Libérez votre créativité, chacun des articles que j’écris me rappelle un moment de ma vie, une expérience.

C’est ce qui rend le blogging particulièrement intéressant au final : c’est une manière ludique de partager ses souvenirs et expériences avec une communauté et de s’enrichir personnellement les uns les autres.

cahier blogging

Bien entendu, chacun a ses raisons pour bloguer, en tout cas dans cet article j’ai voulu vous présenter les 3 miennes, les 3 piliers presque qui font que je blogue. Je serais curieuse de savoir en commentaires ce qui vous pousse à bloguer si vous faites partie de la blogosphère, ou ce qui vous attire dans le blogging si vous pensez à sauter le pas (franchement, faites-le c’est une expérience très enrichissante d’un point de vue personnel, promis).

D’ici le prochain article, n’hésitez pas à partager celui-ci sur les réseaux sociaux s’il vous a plu. De mon côté, je vous souhaite une bonne journée !

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Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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