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Author: Mnêmosunê

Bullet journal #3 : Les collections

29 mai 201728 mai 2017

Avec le mois de juin qui s’approche vient le temps pour moi de commencer à remplir mon troisième bullet journal.

En effet, il ne me reste qu’une grosse dizaine de pages dans le deuxième carnet, ce qui n’est pas suffisant pour y faire tenir l’ensemble des vues du mois.

Il était donc temps de préparer tout ça et je crois pouvoir dire que j’ai à présent une structure qui me convient, qui correspond à mes besoins et à ce que j’aime.

Aussi me suis-je dit que cela pouvait être intéressant de vous la montrer, pour changer un petit peu des pages remplies : qui sait, il y a peut être quelques idées qui pourraient vous intéresser ?

Pour cet article je vais me concentrer sur les collections, mercredi je vous montre à quoi va ressembler mon mois de juin.

La légende, qui présente les différents symboles que j’utilise au sein de mon bullet journal. Elle n’a pratiquement pas changé depuis que j’ai commencé à utiliser ce système en février 2016.

Cette double page, c’est plus une vue de référence : le mot de cette année (« Purpose », et non, ça n’a aucun rapport avec Justin Bieber), une citation (issue du Flow du moment) (très pratiques et jolis d’ailleurs ces autocollants) et sur la page de droite, le calendrier complet de 2017.

Le calendex, système que j’utilise pour la planification future, qu’il s’agisse de rendez-vous ou de vacances.

Le Level 10 life est un concept présenté dans le livre Miracle Morning d’Hal Elrod. Autant je n’ai pas trop accroché sur le bouquin, autant je trouve que l’idée de chercher à atteindre le plus haut niveau de satisfaction dans toutes les catégories de sa vie est une piste à explorer. Sur la page de gauche je vais « noter » les 10 catégories, et sur la page de droite noter quelques pistes pour améliorer les niveaux. Et à la fin du carnet, je réévaluerai pour voir où j’en suis.

Ensuite, un tableau d’humeur, qui représente ce dont j’ai envie dans ma vie en ce moment. C’est exactement celui que j’avais fait dans un smash book et que j’avais découpé pour le mettre dans mon deuxième bullet journal. Là j’ai fait encore plus simple : je l’ai photocopié en couleur, parce qu’il correspond encore à ce dont j’ai envie dans ma vie et que la visualisation est plutôt efficace.

Après le tableau d’humeur, j’ai des représentations imagées de mes core desired feelings (cf. Desire Map). Ici c’est la planche que j’ai faite pour la joie, mais j’en ai une pour chacun.

Les seules pages qui sont à peu près remplies, les pages de livres à lire, indispensables ! J’ai aussi une page qui permet de recenser les livres lus et de les noter.

Une double page de projets : à gauche je vais y mettre mes projets de vie et à droite ce sont les projets plus ou moins en cours, ceux que j’aimerais réaliser mais pour lesquels il n’y a pas de date de réalisation particulière.

J’ai aussi une double page qui est dédiée au suivi de certains éléments relatifs à ma santé, mais je ne sais pas encore trop bien comment la structurer, donc elle n’est pas encore finalisée.

Et vous, quels sont les éléments structurants de votre bullet journal ?

Bonne journée !

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Craft day #21 : la production de Mai 2017

26 mai 201721 mai 2017

Finalement, après une période assez creuse d’un point de vue créatif, les choses se remettent doucettement en place : plutôt que d’essayer de me dégager des heures pour pratiquer, je renoue avec les courtes sessions impromptues, et cela me fait beaucoup de bien !

Saccage ce carnet !

Il fallait marcher sur la double page pour la tacher, ce que j’avais fait, et puis je me suis dit que mettre des images et photos de chaussures ce serait rigolo, donc voilà.
Ce n’est pas ma meilleure production en termes de calligraphie, mais j’aime bien les couleurs, et puis le mélange des genres aussi…
Ces pages sont en cours de réalisation : il s’agit de noter sa liste de courses…
Une de mes pages favorites de ce carnet.
Il fallait gribouiller pendant qu’on était au téléphone, à la place j’ai fait ça en écoutant un podcast. Et si vous n’aviez pas encore remarqué, oui, le violet et le rose font partie de mes couleurs préférées !

Carnet à croquis / expérimentations

Je vous avais déjà montré ce fond, je l’ai juste agrémenté de quelques lignes et arabesques pour mettre en valeur les motifs du lavis.
J’aime beaucoup ce fond bubble gum. Il ne me reste plus qu’à trouver ce que je vais en faire !

Et vous, quels sont vos productions et projets créatifs du moment ?

Bonne journée !

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Le volume ultra noir de Chanel ou la chronique d’une (GROSSE) déception

24 mai 201721 mai 2017

Après quelques mois de services plus ou moins satisfaisants (bien au début, beaucoup moins sur la fin, avec une grosse tendance à s’effriter), j’ai finalement décidé de changer mon mascara : aussi, à la faveur d’un passage à Sephora, alors que j’essayais péniblement de me rappeler le nom du mascara que m’avait conseillé Madame Patate (spoiler : #Fail), j’ai finalement troqué le Better than sex de Too Faced pour le Volume ultra noir de Chanel.

Et je pense pouvoir dire sans me tromper, au bout de deux semaines d’utilisation, que l’achat foireux de l’année, c’est lui.

Il ne me convient pas du tout : la brosse n’est pas pratique (les picots, j’aurais dû me méfier, ce n’est pas pour moi), l’effet volume est quasi inexistant, il se démaquille très mal et en plus il coule / chute très rapidement.

J’étais déjà assez refroidie par le côté panda en fin de journée de son prédécesseur, mais le Volume ultra noir de Chanel bat le Too Faced à plates coutures : pourquoi attendre la fin de journée quand on peut ressembler à Morticia Adams en 2 heures, hein ?

Pour la forme, un point fort : la couleur est effectivement réussie, c’est vraiment bien noir.

35 €, deux semaines d’utilisation à peine, et je n’ai déjà plus du tout envie de me maquiller avec. Je vais donc lui chercher un remplaçant cette semaine, ça ne sert à rien que je persiste avec celui là, il va partir direct à la poubelle.

Prochain essai : le Hypnôse Doll Eyes de Lancôme recommandé par Madame Patate. S’il n’est pas concluant je tenterai le Better than sex en waterproof. Et si aucun n’est concluant, je retournerai au Smoky Lash.

Voire, encore plus vintage, au Volumissime x5 de l’Oréal, que je portais (à l’époque c’était du x4…) il y a 15 ans !

Et vous, quel est votre mascara chouchou ? (et votre achat foireux de l’année, si vous en avez un, soyons solidaires !)

Bonne journée !

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Quelques ajustements dans mon bullet journal

22 mai 201721 mai 2017

Alors que je commence à préparer mon troisième bullet journal et que donc je réfléchis sur comment le structurer, je voudrais prendre le temps de vous montrer les ajustements que j’ai réalisés dans cette deuxième mouture de ce système d’organisation.

Car comme je l’avais dit lorsque je vous avais montré le premier, c’est un outil qui est très évolutif, que l’on peut facilement adapter à ses besoins, en fonction de ce qui fonctionne ou pas. C’est d’ailleurs l’atout principal de ce système : la personnalisation.

Voici donc les « dernières » (certaines ont quelques mois quand même !) évolutions dans mon bullet journal !

 

La page de temps forts est toujours là, c’est une de mes pages favorites de mon bullet journal. La petite nouveauté, c’est que la couleur associée au temps fort est en fonction du jour où a eu lieu ce temps fort. Par exemple, mes 33 ans, c’était un vendredi, et le vendredi, c’est rose pétant !

La page relative aux habitudes, le « tracker » comme disent les anglophones, est maintenant à la verticale, ce qui m’évite de tourner mon carnet tous les jours. Et à droite de mon humeur, ce sont les nouvelles habitudes que je souhaite mettre en place (et donc, pour mai, la méditation ça se passe bien, la gestion des émotions c’est pas trop mal, mais alors la pleine conscience en mangeant et les étirements vont nécessiter encore un peu de persévérance !) (vous noterez aussi que j’ai bien du mal avec mon rythme de sommeil ce mois-ci, cela fait partie des choses que je souhaite reprendre en main).

Deux nouvelles pages, de (bons !) conseils de la psy(chologie positive) : à gauche une page de gratitude, où je renseigne tous les jours quelque chose pour laquelle je suis reconnaissante (qu’il s’agisse d’un bain, d’être en vie, d’être en bonne santé ou de mon nouveau parapluie) et à droite une page où tous les jours je note quelque chose que j’ai bien faite, un petit succès (parce qu’il parait que je ne me rends pas compte de ce que j’accomplis…). A noter, pour la page de droite, j’ai à peu près le même genre dans mon bullet journal du travail, sauf que c’est par mois que je note mes succès et réalisations, et qu’elle s’appelle « Level Up » (l’idée ne vient pas de moi, je l’ai prise chez Jessica, de Pretty Prints & Papers, plus précisément de cette vidéo, vers 11.25).

Cette double page c’est la toute dernière nouveauté, qui vient d’une idée vue dans la vidéo « March Mindfulness » de FeeFee_Bujo : une case par jour, et pour chacune des cases une activité qui fait du bien, qui permet de se reconnecter à soi (affirmations, méditation, yoga, etc.). Quand l’activité est faite, je colorie la case, toujours en accord avec le code couleur de mes vues journalières (cf. la page sur les habitudes).

Cette modification là date d’il y a plusieurs mois, il s’agit de la liste d’activités que je rajoute à côté de la vue mensuelle. Je ne sais pas encore si je vais la garder, mais c’est le meilleur endroit actuellement dans mon bujo pour ce genre de tâches à accomplir impérativement dans le mois mais sans date précise (et pas comme la page « Brain Dump » où je note des idées que je n’ai pas forcément besoin de réaliser). Peut être qu’en mettant plus en valeur la liste je l’utiliserais plus ?

Et pour finir, la vue hebdomadaire, que j’adore ! J’ai hésité pendant longtemps à la mettre en place (source d’inspiration : Caitlin de Sunshine & Stationery), mais maintenant qu’elle est là, je ne peux plus m’en passer ! Je m’en sers principalement pour avoir une vue globale de mes RDV. J’y ai aussi un mini encart pour les habitudes et ainsi décharger mes vues quotidiennes d’éléments répétitifs. Et ce que j’aime beaucoup c’est la section en bas sur la page de droite avec les actions à réaliser séparées en trois catégories (maison, personnel et divers) : tous les jours je regarde la liste et je détermine ce que je peux faire dans la journée.
Et comme vous pouvez le constater, cela marche plutôt bien !

Et vous, quelles sont les dernières évolutions que vous avez apporté à votre système d’organisation ?

Bonne journée !

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Watercolor wash – Alisa Burke

19 mai 201714 mai 2017

J’ai traversé une période pendant laquelle ma créativité a été plus ou moins exclusivement tournée vers mon travail (ce qui peut sembler étonnant pour ceux qui savent le métier que j’exerce) : trouver des solutions, modéliser des choses, etc.

En soi, c’était plutôt pratique pour ce qui est de la sphère professionnelle, parce que cela m’a permis d’aller vers des méthodes plus « innovantes », en revanche la sphère personnelle en a un peu pâti : en général, c’est ma pratique créative personnelle qui me permet d’entretenir une dynamique et ainsi d’alimenter les autres sphères de ma vie, et pas l’inverse.

Rapidement donc, je me suis trouvée face à une source d’envies, d’inspirations assez limitée, voire presque tarie.

Aussi j’ai cherché de l’inspiration un peu partout, jusqu’à me rappeler que certes l’inspiration aide, mais le plus important, c’est surtout de pratiquer pour relancer la machine.

Et donc je me suis demandée comment je pouvais procéder pour avoir l’impulsion de créer, et j’ai finalement décidé de m’offrir un cours créatif.

J’ai fait quelques recherches, j’ai fait une liste de tous les cours qui m’intéressaient dans mon bullet journal, et j’ai finalement choisi de m’offrir trois cours chez Alisa Burke.

Watercolor wash est l’un d’entre eux.

Crédit photo : Alisa Burke

C’est un cours en format court (une grosse leçon), qui couvre une technique / un sujet particulier.

Je ne voulais pas m’embarquer dans un cours trop long qui risquait d’encore plus me ralentir dans ma mise en pratique, je voulais quelque chose avec des techniques simples, expliquées pas à pas, que je puisse mettre en application tout de suite.

C’est exactement ce qu’il s’est passé, et même si j’ai mis assez longtemps pour compléter le cours et appréhender toutes les techniques, je pense en avoir assimilé les composantes ce qui est chouette.

Pour information, c’est un cours qui se focalise sur les lavis à l’aquarelle et les différentes techniques qui tournent autour de ce sujet : il m’a été bénéfique parce que l’aquarelle est un média que je maîtrise assez mal encore, il le serait sans doute bien moins pour les vétérans.

Quoi qu’il en soit, je pense que le style d’Alisa, à la fois accessible et spontané, et le fait qu’il y ait beaucoup de vidéos ont beaucoup contribué à ce que j’apprécie le cours.

Du coup j’ai bien hâte de commencer les autres !

Et vous, quelles sont vos méthodes pour retrouver votre dynamique créative ?

Bonne journée !

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Masque à l’argile rose – Cattier

17 mai 201714 mai 2017

Ce produit est à la fois un revenant et un habitué : il faisait partie de la collection de masques que j’avais en 2011 et depuis il refait des apparitions régulières dans ma routine.

Et pourtant, comme beaucoup d’autres produits sans doute, je n’en ai jamais fait de revue ici !

Ce masque est celui que je préfère utiliser quand ma peau sensible se sent agressée et réagit à quelque chose : je trouve que l’argile rose est plutôt efficace pour calmer les irritations.

L’avantage aussi c’est que c’est un produit on ne peut plus naturel, ce qui permet de ne pas en rajouter une couche avec des produits synthétiques qui peuvent empirer l’état de la peau.

La texture est plutôt crémeuse, ce qui en fait un produit très agréable à utiliser.

Attention toutefois à ne pas le laisser sécher sous peine de stresser la peau : pour contrer cette tendance de l’argile, j’utilise une petite éponge naturelle pour ré-humidifier le masque. Il est aussi possible d’utiliser un spray avec de l’eau florale, c’est une autre solution que j’ai beaucoup utilisée et qui permet de profiter des bénéfices de l’hydrolat que vous aurez choisi !

En termes de fréquence d’utilisation, je l’applique 1 fois par semaine, et pour mon autre masque de la semaine je prends plutôt quelque chose d’hydratant.

C’est un bon basique pour les peaux sensibles, par contre, même si c’est de l’argile, n’en attendez pas des miracles en ce qui concerne les imperfections : pour les boutons et/ou la peau grasse, tournez-vous plutôt vers l’argile verte !

Et vous, utilisez-vous l’argile pour prendre soin de vous ?

Bonne journée !

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La gouttière

15 mai 201714 mai 2017

Ce problème là existait depuis pas mal de temps, depuis mon retour en France après avoir vécu à Montréal a minima (donc 8 ans).

Je me rappelle très bien qu’à mon premier rendez-vous, la dentiste m’avait posé plein de questions, notamment parce que j’avais dit que je souffrais assez régulièrement de maux de tête, de dos et que j’étais assez nerveuse / anxieuse / angoissée.

Et elle m’avait dit que tout ça mêlé, semblait causer ou résulter du bruxisme (= le fait de serrer des dents), et qu’il faudrait sans doute faire quelque chose pour que mes dents ne souffrent pas trop, de même que mes gencives.

J’ai fait un gros rejet de l’idée, je ne voulais pas en entendre parler, je n’avais pas eu jusqu’alors de problèmes de dents (enfin, mis à part les dents de sagesse et une tendance à faire du tartre), je ne voyais pas pourquoi ça allait commencer maintenant.

(Quand je dis que j’ai fait un rejet…)

La dentiste m’en a parlé pendant plusieurs années (… oui, un gros rejet, c’est bien ça), sans que je ne prenne / ne veuille prendre l’idée très au sérieux.

Jusqu’à ce qu’un jour, l’an dernier, je me rende compte qu’une de mes dents s’était cassée : oh ce n’était pas grand chose, mais cela m’a fait prendre conscience que, même si je mettais en place des choses pour me détendre, ce n’était pas encore suffisant pour résoudre le problème du bruxisme.

Alors j’ai enfin pris accepté l’idée, et j’ai aussi pris les rendez-vous nécessaires pour faire ce qu’il fallait, à savoir une gouttière (= plaque occlusale).

Ça c’est la boite qui me permet de la transporter sans l’abîmer.

Je ne peux pas dire que j’étais emballée par l’idée (« Bon au début, vous verrez, le temps de vous habituer, vous risquez de baver un peu et vous parlerez bizarrement, mais ça va s’atténuer » << comment me donner envie de m’enfuir…), j’avais honte de devoir porter un truc pareil, et puis c’était un sacré investissement, mais je savais, j’avais pris conscience que c’était nécessaire.

Et heureusement que j’avais compris que c’était quelque chose de bon pour moi, parce que les premières nuits avec la gouttière (je la porte principalement la nuit, je ne me sens pas assez confortable pour la porter en journée au travail, je n’arrive pas à parler correctement avec…) ont été un peu compliquées : je n’arrivais pas à m’endormir, comme annoncé je salivais comme jamais j’avais salivé (#Glamour), j’avais tendance à encore plus mordre dedans et je trouvais que ça me tirait un petit peu sur les incisives (depuis on a fait des ajustements, ça va mieux).

Je l’ai depuis presque 6 mois, et maintenant je me suis habituée : ce n’est pas sexy, certes, heureusement ma salivation est redevenue normale, mais surtout maintenant, si je vais me coucher sans, je sens bien qu’il me « manque » quelque chose. Je me rends aussi compte quand je serre des dents, et j’ai le réflexe d’aller chercher un crayon pour le caler entre mes dents et détendre mes mâchoires en attendant de pouvoir mettre la gouttière en rentrant à la maison.

Et puis surtout, j’ai moins de maux de tête, je n’ai plus les mâchoires douloureuses (ou bloquées, comme ça a pu m’arriver plusieurs fois l’an dernier…), je fais plus attention à mes niveaux de stress.

Petit à petit, de meilleures habitudes se mettent en place…

Et vous, quelle est celle que vous cherchez à mettre en place en ce moment ?

Bonne journée !

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33 by 34

12 mai 201717 septembre 2017

Aujourd’hui, j’ai 33 ans et c’est une drôle de sensation, peut être encore plus que les 30 ans.

J’ai eu envie de renouer avec cette liste que j’ai fait 3 années d’affilée (28 by 29, 29 by 30, 30 by 31) et que j’avais mise de côté. Je lui ai donnée une signification différente, plus proche de ce à quoi j’aspire aujourd’hui, de ce dont j’ai besoin aussi.

Dans cette liste, 33 choses que j’ai libellées pour les réaliser comme je le souhaite, que je peux répéter autant de fois que je le veux.

Que des choses qui me semblent aller dans le sens du soin de soi, du respect et des jolis souvenirs.

  1. Aller à la plage, à la montagne, en forêt, à la campagne…
  2. Visite (expo, musée, monument…)
  3. Week-end en France
  4. Week-end à l’étranger
  5. Week-end dans un spa
  6. Vacances
  7. Massage
  8. Coupe de cheveux / Coiffeur
  9. Manucure
  10. Pédicure
  11. Soin visage
  12. Réflexologie plantaire
  13. Bouquet de fleurs
  14. Vêtements
  15. Chaussures / Accessoires
  16. Maquillage
  17. Fitness challenge
  18. Yoga challenge
  19. Art challenge
  20. Cours (créatif, sportif …)
  21. Dessin
  22. Peinture
  23. Tricot
  24. Crochet
  25. Couture
  26. Album photo
  27. Ecriture / Texte
  28. Livre de développement personnel
  29. Livre (roman, poésie…)
  30. Film / Cinéma / Théâtre / Concert / Opéra
  31. Soirée copines
  32. Soirée copains
  33. Meditation experience

Bonne journée !

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Miel de douche – Melvita

10 mai 201710 mai 2017

L’autre jour, alors que les médias ne parlaient que des résultats de l’élection présidentielle, j’étais au téléphone avec un ami, celui avec qui je suis partie à Rome en fin d’année dernière.

Pendant que les journaux parlaient du programme du nouveau président, nous, on parlait d’amour.

Pas de nous deux, même si on s’aime beaucoup, plutôt du dernier événement concernant celui que je pensais pouvoir être potentiellement mon amoureux et, surtout, de l’amour de soi.

J’étais triste ce jour-là parce que le garçon que j’aime beaucoup en « secret » (= il n’est pas au courant) s’est avéré être déjà en couple (et je me félicite d’avoir mené mon enquête !).

J’étais aussi en colère, parce que ces dernières années c’est arrivé souvent que les garçons qui me plaisent ne soient pas célibataires (bon comme ça on dirait que ça arrive tout le temps, en vrai sur ces 4 dernières années c’est arrivé 2 fois) (mais il n’y a eu que 3 garçons qui m’ont plu aussi…) (donc bon…).

Bref j’étais triste et en colère, un peu angoissée aussi parce que, comme on me le fait remarquer souvent, à mon âge c’est pas normal d’être dans ma situation, il paraît, et puis aussi, soyons honnêtes, si jamais je veux des enfants (c’est pas encore décidé) (je veux dire, c’est une décision de couple à mes yeux) (non ?) va falloir quand même se presser un peu.

J’ai donc pleuré, parce que je le vivais mal (et que j’y ai beaucoup cru à cette histoire avec ce garçon), puis j’ai écouté l’ami me parler, me réconforter et me donner des conseils.

Et finalement je lui ai dit que le fond du problème, en fait, c’est surtout que je m’aime pas trop (je dis « pas trop » parce que j’ai déjà, depuis des années, commencé à aborder le sujet et à faire des choses, mais c’est un sujet de fond qui prend du temps, et que j’ai souvent tendance à délaisser…).

Il était d’accord avec moi sur l’analyse de la cause, et quand on y pense ça fait du sens : pour savoir aimer et laisser l’Autre nous aimer, cela passe par une relation d’amour avec soi-même.

Après avoir raccroché j’ai attrapé mon journal et le stylo qui va bien, et j’ai réfléchi à ce que je pouvais faire, pour améliorer un peu tout ça.

J’ai choisi d’orienter mon regard encore un peu plus vers la reconnaissance que j’éprouve quant aux petits plaisirs du quotidien, et ainsi développer une vision plus positive des choses. En parallèle de cela, je mets en place quelques outils (pleine conscience, routines, planification pour ne citer qu’eux) qui devraient aider à la mise en place de ces pratiques.

Aujourd’hui donc, un petit plaisir du quotidien, la douche du matin, avec un nouveau compagnon, ce gel douche de Melvita.

A l’origine je voulais racheter celui à la rose, et puis celui-ci m’a attirée, peut-être parce que je suis dans une période « miel » en ce moment, alors je l’ai acheté.

Toujours est il que, même s’il n’est pas « de saison » (il représente l’automne), c’est un produit vraiment réussi, comme celui à la rose : le parfum est doux et enveloppant sans être écœurant, la formule est douce, la texture juste comme il faut.

Je l’aime bien, c’est un bon produit pour se réveiller tranquillement sous la douche.

Un petit plaisir que je m’octroie tous les matins donc, un petit geste d’amour.

Et vous, quel est votre petit geste préféré pour vous témoigner de l’amour, pour prendre soin de vous au quotidien ?

Bonne journée !

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Partir en week-end

8 mai 20178 mai 2017

Vous savez, j’ai beau essayer de me rappeler, je n’ai pas le souvenir que dans ma famille « partir en week-end » ait eu une quelconque réalité.

On partait en vacances, on partait se promener en forêt, on partait faire les courses, on partait au sacro-saint tournoi de foot du dimanche du frère.

Donc certes on partait, mais on partait quelque part, pour faire quelque chose.

Partir en week-end, ça, non.

Je n’ai aucun souvenir de ça.

D’ailleurs, c’est un concept que j’ai découvert assez tard, à l’âge adulte, avec le premier travail, mais sans doute encore plus quand je suis rentrée en France.

Bien entendu que j’ai connu des gens qui allaient au ski en hiver ou à la plage en été pendant les week-ends.

Mais ces gens-là, ils allaient au ski ou ils allaient à la plage. Ils allaient voir la famille ou visiter le château bidule.

Ils ne partaient pas en week-end.

Parce qu’il y a ce petit truc en plus avec le fait de partir en week-end : le mystère qui renferme la potentialité de ne rien faire de spécial.

Voire même, de ne rien faire du tout.

Partir en week-end c’est « juste » changer de lieu.

Que cet ailleurs soit à 15 bornes ou 450, dans une tente ou un 5 étoiles, à pied ou en avion, seul(e) ou accompagné(e).

Et pour moi c’était nouveau, ce concept qu’on pouvait choisir de faire quelque chose pour potentiellement ne rien faire au final.

Encore mieux : on pouvait faire quelque chose, pour potentiellement ne rien faire au final, juste comme ça, parce qu’on en avait envie et c’est tout.

J’ai appris à faire des choses, à estimer la valeur ajoutée d’une action ou d’un achat, à voir les comportements avec un œil de productivité, d’efficience même, à chercher l’optimisation, le process qui va bien, la rentabilité, même si c’est pour grapiller pas grand-chose (je vous fais rêver là, je le sens).

Toujours faire mieux, aller titiller la perfection.

La fille qui pèse pendant 3 plombes le pour et le contre de l’achat d’un truc pour au final estimer si au coût par jour d’utilisation c’est rentable parce que sinon on ne s’en sortirait pas, c’est moi.

Celle qui cherche à optimiser la moindre tâche pour la rendre la plus automatique et efficace, notamment au travail, c’est moi aussi.

Celle qui se demande si vraiment elle a mérité ses vacances et de partir en jugeant ses réalisations au travail et ses actions personnelles, c’est encore moi.

Celle qui planifie ses voyages pour les rentabiliser, les optimiser au maximum, c’est toujours moi c’était moi (j’ai lâché du lest ces derniers temps) (mais bon, soyons honnêtes, il y a encore du travail).

Inutile de dire que l’idée de « partir en week-end » m’était presque inconcevable.

C’était stratosphérique, je ne comprenais pas : partir en week-end, mais pour quoi faire, pour faire quoi, pour quel résultat, pour quel motif ?

Et puis les gens m’en parlaient, ça avait l’air bien quand même, je veux dire, ils avaient l’air contents d’être partis en week-end ces gens-là.

Les thérapies, les discussions avec les copines et les copains, les idées d’endroit où je voulais aller ont fait leur chemin dans ma tête, tranquillement (c’est qu’il y en avait des obstacles à cette idée).

Partir en week-end, juste pour voir ce que ça fait (motif ? Check : faire avancer la recherche scientifique) (ou tout du moins ma recherche personnelle).

Il a aussi fallu que je me débarrasse de l’injonction comme quoi  il faut être accompagnée pour aller en week-end pour finalement me lancer (Merci Marion).

Inutile de dire que les quelques jours que j’ai passé à Collioure on fait l’effet d’une bombe atomique : je suis allée là bas, j’ai choisi un endroit joli et pratique pour me loger, et le reste du temps, j’ai bullé.

J’ai lu à la plage au soleil, j’ai mangé des glaces, j’ai pique-niqué sur le port, j’ai beaucoup et bien dormi, je me suis promenée au bord de la mer.

Bon, on ne va pas se mentir, j’ai aussi pas dormi de la nuit la veille de partir et ai eu le système digestif complètement en vrac jusqu’à ce que j’ai dépassé les 150kms sur l’autoroute (et que je me rende compte que tout allait bien, c’est bon, déstresse, respire) tellement cet inconnu m’angoissait.
J’irais presque jusqu’à dire que ça me terrifiait de penser que potentiellement, j’allais trouver ça bien, et tout remettre en cause après.

Le changement, la zone de confort, tout ça.

J’ai pas tout remis en cause, je m’auto-sabote encore régulièrement, mais je crois que ça m’a fait avancer d’un point de vue personnel cette histoire.

Alors voilà, je voulais juste poser là cette expérience, parce qu’il y a peut être quelqu’un qui sera dans la même situation que celle dans laquelle j’ai été, et qui aimerait juste voir que c’est possible, et qui passera par là.

C’est possible. Ça fait grave peur, tellement peur que tu en pleure(rai)s de terreur, mais en fait, vraiment, c’est promis, c’est vachement bien.

Ah, et aussi : tu le mérites.

Bonne journée, et bons week-ends.

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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