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Category Archives: Culture

La fractale des raviolis – Pierre Raufast

19 septembre 201619 septembre 2016

Et si pour changer de la romance, on parlait un petit peu d’un livre drôle avec La fractale des raviolis de Pierre Raufast ?

Lorsque j’ai commencé mon bullet journal, je m’étais mise en tête que dans les premières collections, il y aurait une liste de livres que je souhaitais lire, parce que je fais partie de cette catégorie de personnes qui est enthousiasmée par plein de livres et qui en oublie la moitié des titres sur la route, les nouveaux intrigants remplaçant les anciens.

Ainsi, j’ai fait le tour des blogs qui parlent de livres et que j’aime bien, parcouru les archives et j’ai noté ce qui me tentait. Il a bien fallu m’arrêter à un moment donné parce que sinon je crois que la moitié du carnet serait passé dans cette liste, et catégoriser aussi, parce que je suis comme ça.

Et donc j’ai 3 listes : la première un peu en vrac, avec principalement du français, la deuxième avec que des livres en anglais et la dernière avec des livres de développement personnel ou intéressants dans le cadre de la kinésiologie. Le classement est un peu arbitraire, il faut bien l’avouer, mais il a eu un effet intéressant (et escompté) : contenir mes achats de livres vers ce qui me tentait d’après les revues des blogueurs que j’aime bien.

Celui dont je vais vous parler aujourd’hui a rejoint ma bibliothèque suite à un article de Cél sur des livres à offrir, son petit paragraphe ayant titillé ma curiosité sur ce livre qui semblait bien différent de ce que j’avais l’habitude de lire.

mnemosune-fractale-des-raviolis-1

La fractale des raviolis commence avec un adultère raconté de manière très drôle (je vous laisse le soin de lire le premier paragraphe sur la quatrième de couverture qui est aussi le début du roman) et l’idée de la femme trompée d’assassiner son mari.

Après avoir réfléchi à de nombreux stratagèmes, elle décide de se débarrasser de celui qui partage sa vie en l’empoisonnant via son plat favori, à savoir les raviolis.

Bien entendu, cela ne se passe pas comme prévu et la protagoniste principale se souvient d’un épisode de sa vie, qui lui même débouche sur une autre intrigue, etc. Et c’est ainsi que les différents chapitres s’enchaînent comme autant de poupées russes ou… de fractales (vous savez, quand un miroir reflète un miroir qui reflète un miroir, etc.).

Mais au final, le mari volage sera-t-il puni ?

mnemosune-fractale-des-raviolis

La fractale des raviolis est un roman qui m’a beaucoup, mais alors beaucoup fait rire. J’ai aimé le dynamisme et le style de l’auteur pour raconter ces intrigues toutes plus farfelues les unes que les autres.

Le livre se lit bien, rapidement même tellement que j’allais dire un peu trop : une fois emportée dans ce dédale d’histoires, j’avais juste envie que cela continue !

On pourrait craindre une fin un peu bâclée, mais non, tout s’enchaîne bien et on a la réponse à la question. Et c’est toujours aussi farfelu et surprenant.

Bref, un petit roman délicieusement drôle et pétillant que je vous conseille chaleureusement !

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Pride and Prejudice – Jane Austen

14 septembre 201614 septembre 2016

Deux articles d’affilée sur des lectures, voilà qui n’est pas vraiment commun par ici.
Voyez-vous, à la base je voulais vous parler de mes recettes de tartine d’avocat favorites (dont la fameuse avec des tomates cerises confites), mais en fait je me suis rendue compte que je n’avais pas de photos des tartines, alors que je le croyais, que je n’ai pas d’avocats en stock, et que, de surcroît, je me suis rappelée que je ne vous avais pas encore fait un compte rendu de ma lecture de Pride and Prejudice de Jane Austen, alors que je l’ai terminé depuis un bon bout de temps.

Donc aujourd’hui, c’est encore lecture, mais un petit classique pour changer (ou pas).

Suite à la lecture de Persuasion (c’est vous dire si ça date cette histoire), je me suis lancée dans Pride and Prejudice (Orgueil et Préjugés en français) : quitte à être dans du Jane Austen, autant y aller à fond (et puis, à ce moment là, je n’avais rien d’autre à lire que ça ou l’oeuvre complète de Tchouang Tseu, donc bon).

Alors il va être un peu ardu de synthétiser l’histoire de Pride and Prejudice, déjà parce qu’il y a trois tomes (60 chapitres en tout) et ensuite parce que je ne veux pas tout dévoiler de l’intrigue qui fait justement partie des points forts de ce roman.

Pride and Prejudice, c’est l’histoire des 5 filles que Madame Bennet s’est mise au défi de marier à des bons partis dans l’espoir de contrer un désaveu testamentaire : vous vous doutez donc que les thèmes principaux sont le mariage et l’argent, deux des leviers de l’époque pour assurer une certaine condition et un statut social.

Dans ce roman, on suit les aventures (et quelles aventures !) sentimentales des filles Bennet, et si au départ je croyais que Jane, l’aînée, serait le personnage principal, en fait c’est Elizabeth (la deuxième fille) qui a ce rôle là.

Entre faveurs accordées aux bals, absence de nouvelles, désaveux, manipulations et querelles d’orgueil, l’intrigue se noue en prenant dans ses filets les différents personnages, qu’il s’agisse des filles Bennet (principalement Jane, Elizabeth et Lydia) ou des protagonistes masculins (Collins, Bingley, Darcy et Wickham pour ne citer qu’eux).

Mais au final, est-ce que les filles Bennet vont réussir à être mariées à la personne qu’elles souhaitent ?

pride-and-prejudice

J’ai trouvé ce roman complètement différent de Persuasion, quand bien même les thèmes de l’amour et du mariage sont centraux dans les deux, et dois avouer que j’ai préféré celui-ci.

Ce que j’ai particulièrement aimé, c’est que dans Pride et Prejudice, l’intrigue est véritablement là et les rebondissements nombreux et cohérents, ce qui donne un ouvrage plutôt dynamique et rythmé.

Chacun des personnages a un caractère bien défini sans que l’on soit pris au piège de descriptions sans fin : les nombreux dialogues et retranscriptions d’interactions permettent de facilement imaginer chacun des protagonistes et de s’en faire une idée.

C’est un roman très fluide, bien mené, facile à lire et très divertissant, donc si je devais choisir entre Persuasion et Pride and Prejudice, c’est ce dernier que je vous conseillerais en priorité, je pense qu’il permet de surcroît de bien se familiariser avec le style de Jane Austen.

En tout cas, j’aime bien la façon d’écrire de l’auteur, donc il n’est pas exclu qu’un de ces jours apparaisse un compte rendu de lecture de Sense and Sensibility…

Et vous, vous connaissez ? Qu’en avez-vous pensé ?

Bonne journée !

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Je suis là – Clélie Avit

12 septembre 201613 septembre 2016

Je continue sur ma lancée des livres achetés avec la carte cadeau et que j’ai lus le mois dernier avec Je suis là de Clélie Avit.

Honnêtement, cela fait plusieurs jours que je cherche dans ma mémoire, je ne sais plus qui me l’a conseillé. Mais alors vraiment je n’en ai aucune idée : je pensais que c’était suite à un article de Cél mais je ne trouve rien qui y corresponde, j’ai pensé à ma copine Books and Tea et ce n’était pas elle non plus (enfin du moins, je n’ai pas trouvé d’article récent sur ce livre).

Alors voilà, je ne sais pas comment ce roman s’est trouvé dans ma liste de livres à lire, mais si l’instigateur de cette idée passe par là, merci.

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Je suis là, c’est d’abord l’histoire d’Elsa. C’est une passionnée de montagne que cette fille là, toujours dans les sommets, à escalader, à randonner. Et puis il y a eu la chute. Celle qui a fait qu’elle est dans le coma depuis 5 mois maintenant. Elle ne s’en rend compte que depuis 6 semaines, et aucun de ses visiteurs ne se doute de ce qu’il se trame, de ce qu’elle entend, de ce qu’elle perçoit.

Je suis là, c’est aussi l’histoire de Thibault. Lui, il accompagne sa mère à l’hôpital parce que son frère a eu un accident de voiture : il est actuellement en soins, parfois il peut se déplacer en fauteuil roulant. Les deux filles qu’il a fauché parce qu’il avait pris le volant en ayant bu n’auront plus cette opportunité là. Thibault est en colère contre ce frère, il n’a pas le courage de le voir.

Alors il n’y va pas, attend dans la voiture, ou, comme ce jour là, cherche un endroit pour se reposer un peu. Pensant arriver dans la cage d’escalier, il déboule finalement dans la chambre d’Elsa…

Et il commence à lui parler, et à nouer une relation avec elle.

Pourquoi ? Où cela va-t-il bien le mener ?

mnemosune-je-suis-la-2

Ce livre m’a émue. Complètement, profondément, et je n’avais rien vu venir.

Je m’attendais à une histoire triste, alors que c’est une histoire empreinte d’amour, de rédemption, de couleurs, de tendresse, de sentiments plus ou moins inavoués.

C’est une petite tranche de vie de deux personnes avec leurs difficultés, leurs espoirs, leurs interprétations de la vie, leur sensibilité. On la suit un chapitre par la voix d’Elsa, et le suivant avec celle de Thibault, et on se demande bien ce qu’il va se passer entre ces deux-là.

Et puis il y a en fond cette question de la survie, ou de la vie tout court, celle un peu moins cachée de l’euthanasie qui est toujours polémique, celle de la douleur de l’hypothèse (ou de la réalité) de voir un être aimé partir, que ce soit peu à peu, ou brutalement.

Ces quelques pages (moins de 250) ne sont pas tristes, je les trouve belles, je les trouve rythmées, je les trouve…
Vivantes.

Ce roman se lit bien, facilement, il est fluide, et pourtant ce n’est pas un livre qu’on dévore à ne plus savoir s’arrêter, on le picore, et à chaque bouchée on se demande ce que l’on ressent, voire ce qu’on ferait à leur place à ces gens-là.

Très gros coup de cœur pour moi, je vous le recommande et bien plus encore.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Mes podcasts favoris

7 septembre 20166 septembre 2016

J’en ai souvent parlé par ici, mais depuis quelques années, je ne regarde plus la télévision et je n’écoute plus non plus la radio, dans la mesure où aucun des deux ne m’apportent satisfaction.

Si j’ai remplacé la télévision par Youtube, j’ai délaissé la radio pour les podcasts. Je n’en écoute pas beaucoup, parce que j’aime me concentrer sur certains sujets avant d’en explorer d’autres.

En ce moment, je les écoute souvent le matin ou bien lorsque je vais me promener, et je fais le plein de positif, parce que j’ai envie de me focaliser sur cela, sur ce qui me fait grandir, sur ce qui me fait du bien, sur ce qui ouvre mes horizons.

Voici donc les cinq que j’écoute depuis quelques temps…

TED Talks

Source : ted.com
Source : ted.com

Je ne suis pas sure d’avoir besoin de présenter les TED talks, je pense que vous savez de quoi il s’agit : des conférences données par des passionnés et experts de tous les sujets possibles et imaginables : de l’astronomie au développement personnel en passant par la recherche médicale, il y a fort à parier que vous trouverez un sujet qui fera votre bonheur.

Personnellement je suis abonnée au podcast vidéo, parce que j’aime bien voir les conférenciers, mais il existe une version audio (pour en savoir plus, c’est par ici !). Il y a beaucoup de sujets en anglais, il y en a d’autres en français, et sur beaucoup vous pouvez avoir les sous-titres.

Magic Lessons

Source : elizabethgilbert.com
Source : elizabethgilbert.com

Bien que je n’ai pas encore lu Big Magic, le livre d’Elizabeth Gilbert qui l’a incitée à faire ce podcast, j’aime beaucoup chacun des épisodes, qui marchent par paires (du moins pour la saison 1 que j’écoute actuellement) : dans un épisode Elisabeth Gilbert échange avec une personne qui a une problématique de créativité, elle lui donne des pistes, et puis dans l’épisode suivant, elle échange sur ce même sujet avec quelqu’un de son entourage qui peut apporter un éclairage particulier de part son parcours.

Je trouve que c’est un podcast très bienveillant, très stimulant créativement parlant, loin des conseils tout faits que l’on peut lire parfois. A noter, il est en anglais, et les épisodes durent une vingtaine de minutes (pour en savoir plus, c’est par ici !).

Happier with Gretchen Rubin

Source : gretchenrubin.com
Source : gretchenrubin.com

J’ai beau avoir été un tantinet déçue par le livre, j’aime bien ce podcast qui propose à la fois des petits conseils faciles à appliquer au quotidien et une discussion sur un élément nous permettant d’être plus heureux, ou de comprendre comment nous fonctionnons et ce qui nous apporte du bonheur.

Le podcast est animé par Gretchen Rubin et sa sœur, Elisabeth Craft, c’est assez dynamique. Je regrette juste qu’il y ait autant de publicité (du moins pour les premiers épisodes que j’écoute) et puis là encore, c’est en anglais (pour en savoir plus, c’est par ici !).

Les nouveaux chemins de la connaissance

Source : franceculture.fr
Source : franceculture.fr

Celui-ci cela fait un bon moment que je vous en parle, et c’est un grand classique, le podcast vers lequel je me tourne quand je ne sais plus trop quoi faire. C’est de la philosophie, avec des extraits de textes, de films, c’est de l’analyse de sujets de société, c’est très contemporain.

Les épisodes sont plus longs, ils durent une heure, mais c’est d’une telle qualité qu’on ne les voit pas passer et (youpi !) c’est en français (pour en savoir plus, c’est par ici !).

Possibilitarian podcast

Source : kellyraeroberts.com
Source : kellyraeroberts.com

Celui-ci, je confesse que je viens juste de le commencer, je n’en ai écouté que deux épisodes. C’est une discussion entre deux amies, sur des sujets aussi variés que l’art, le développement d’une société, la gestion des relations, etc.

Celui-ci aussi est en anglais (décidément), mais j’aime bien le côté frais, sans chichis, ces deux femmes n’ont pas l’air de réciter un texte et ça me plait (pour en savoir plus, c’est par ici !).

Voilà pour mes podcasts favoris du moment, j’espère vous avoir fait découvrir quelques petites choses intéressantes. Et vous, quels sont vos podcasts préférés ?

Bonne journée !

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Une gourmandise – Muriel Barbery

5 septembre 20166 septembre 2016

Donc il y a quelques temps, je suis allée m’acheter quelques livres avec une carte cadeau offerte par des collègues de travail. J’en ai acheté 8, dont Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, Saccage ce carnet ! (qui est un carnet créatif) et celui dont je vais vous parler aujourd’hui, à savoir Une gourmandise de Muriel Barbery.

De cet auteur, je ne connaissais que L’élégance du hérisson et c’est grâce à un article de Cél que je me suis dit que je devrais approfondir mon exploration des oeuvre de Muriel Barbery : c’est ainsi que j’ai acheté Une gourmandise qu’elle conseillait.

Mnemosune Une gourmandise 1

Une gourmandise, c’est l’histoire de cet homme, critique culinaire. Mieux que cela d’ailleurs c’est LE pape de la critique culinaire, celui qui a fait ou défait la réputation des milliers d’établissements qu’il a visité.

Mais bientôt, il va mourir, il le sait, son médecin lui a dit.

Alors avant l’arrivée de la grande faucheuse, le voilà en quête du souvenir de l’expérience culinaire qui l’a le plus marqué pendant toute sa vie.

C’est cela que ce roman raconte, cette quête d’un souvenir, d’une émotion, en alternant les chapitres entre la quête du pape de la cuisine, et les réflexions de l’entourage de cet homme.

Mnemosune Une gourmandise 2

Une gourmandise, c’est le premier roman de Muriel Barbery. Je l’ai trouvé sensiblement différent, que ce soit dans le style ou dans le rythme que L’élégance du hérisson, et cela m’a plu.

C’est un ouvrage très rythmé, qui alterne entre les souvenirs de ce critique culinaire, qui de prime abord semble bien froid et insensible pour se révéler bien différent de ce que la première impression laisse paraître, et ceux des personnes qui l’ont côtoyé, ses enfants, sa femme, son médecin.

Il y a l’ambivalence du sentiment et puis des descriptions de souvenirs culinaires absolument splendides : on a l’impression de (re) vivre ces moments là avec lui, la mie de pain aérienne, le velouté d’une bouchée et l’explosions des saveurs.

Les scènes sont aussi très bien rendues, si vous êtes visuels et créatifs comme moi je vous garantis que les images défileront dans votre tête au fur et à mesure de la lecture, et on part parfois loin, parfois moins, en tout cas le voyage est très chouette.

Si la fin m’a laissée un peu sur ma faim, c’est quand même un joli roman, qui touche à la fois aux souvenirs et aux relations entre les personnes. Il plaira particulièrement aux amateurs de cuisine, mais je crois qu’on peut tous se laisser toucher la beauté de ce récit.

Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Mes favoris du mois d’août 2016

2 septembre 201615 septembre 2016

Je ne suis pas une habituée des articles répertoriant mes favoris du mois, et pourtant j’aime beaucoup les lire, peut être que vous aussi ?
Alors une fois n’est pas coutume, je vous propose mes favoris dans trois catégories pour ce mois d’août: la beauté, la lecture et un thé !

La beauté

Mnemosune mousse nettoyante melvita 1

On commence avec la Mousse nettoyante légère Bouquet floral de Melvita. Je ne vous ai pas encore parlé de cette merveille que j’utilise religieusement tous les matins pour réveiller ma peau et je me demande bien pourquoi.
Comme son nom l’indique, c’est une mousse nettoyante aux eaux florales de rose et de fleur d’Oranger avec de l’extrait de narcisse. C’est bio, c’est très doux, la mousse est onctueuse, le parfum est divin, elle convient à tous types de peaux. J’utilise ce produit depuis des années et je ne m’en lasse pas. Promis, une revue arrive sous peu.

Mnemosune scrub erable 2

Ensuite, le gommage à l’érable de Bella Pella dont je vous ai fait une revue il y a peu. Je m’en sers 2 fois par semaine, il est doux, délicatement parfumé et laisse la peau souple, je l’aime beaucoup.

Mnemosune huile weleda 1

Enfin l’huile de massage Weleda dont je vous ai parlé la semaine dernière. C’est un produit très agréable à utiliser pendant l’été, parce que malgré sa texture un peu épaisse, il pénètre rapidement et ne colle pas malgré la chaleur.
Et puis il nourrit bien la peau sans avoir une forte odeur, ce que j’aime particulièrement quand il fait chaud.

J’aurais aussi pu citer :

  • La crème NOK d’Akiléine, qui est vraiment géniale pour toutes les zones soumises à frottement
  • La pâte dentifrice saline de Weleda, indétrônable parmi les indétrônables pour une haleine fraîche et des dents saines
  • Le parfum La vie est belle de Lancôme, qui en train de détrôner le parfum que j’ai porté pendant plus de 15 ans (rien que ça !)

La lecture

Mnemosune livres favoris aout 2016

J’ai beaucoup lu ces derniers temps, et j’ai eu bien du mal à choisir quant aux œuvres que j’ai préférées. J’en ai finalement sélectionné trois, donc les revues arrivent sous peu.

  • Pour les classiques, Pride & Prejudice de Jane Austen, qui m’a tenue en haleine pendant un long moment. [Revue à lire ici]
  • Pour la romance et les émotions, Je suis là de Clélie Avit, qui m’a fait verser une petite larme (ou peut être plusieurs ?) et une si jolie histoire ! [Revue à lire ici]
  • Pour le côté déjanté, La fractale des raviolis de Pierre Raufast, tellement drôle, et ce, dès la première phrase !

Le thé

Mnemosune the aux 7 parfums Dammann

Il y a quelques temps j’ai une amie qui est venue dîner chez moi et elle m’a apporté du thé aux sept parfums de chez Dammann frères. Je ne sais absolument pas ce qu’il y a dedans, mais c’est très doux et à la fois parfumé, il est parfait pour toute heure de la journée et en ce moment il fait partie de mon petit rituel pour me préparer à peindre. C’est un thé noir, je pense qu’il y a des agrumes (citron et bergamote il me semble…) et de la rose, bref, je l’aime.

Voilà pour mes favoris de ce mois-ci, j’espère que cela vous aura permis de (re)découvrir certains produits que j’ai particulièrement aimés.
Et vous, quels sont les vôtres ?

Bonne journée !

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Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une – Raphaëlle Giordano

17 août 201617 août 2016

C’est un peu par hasard que j’ai entendu parler de ce livre il y a quelques semaines de cela maintenant : j’étais au travail et j’allais remplir mon mug d’eau lorsque j’ai aperçu un livre coloré sur le bureau d’une de mes collègues.

En fait, dans l’open space dans lequel j’évoluais, plusieurs de mes collègues se prêtaient des livres, et Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une était au menu ce jour là semble-t-il. J’ai demandé à lire la quatrième de couverture, et après une rapide lecture je me suis dit que cela pourrait être un ouvrage qui me plairait.

S’en est resté là, je n’avais pas noté son nom, je me suis dit que s’il devait croiser ma route je le retrouverai.

Il y a quelques jours, je suis allée à Cultura utiliser une carte cadeau que l’on m’avait offerte, entre autres présents, à la fin de ma mission en centre-ville. J’avais embarqué mon bullet journal pour avoir avec moi la liste de livres que je souhaitais lire et ne pas faire trop d’achats inconsidérés.

En fait j’ai acheté deux livres qui n’étaient pas sur ma liste (en plus des 6 qui y étaient) (c’était une grosse carte cadeau) (merci les anciens collègues qui sont devenus des amis !) : Saccage ce carnet (qui est fichtrement rigolo, on y reviendra) et celui dont je vais vous parler aujourd’hui.

Comme quoi, on peut très bien se rappeler des livres rien qu’à leur couverture. Il faut dire que celle-ci est particulièrement jolie je trouve…

Ta deuxième vie commence quand tu comprendras que tu n’en as qu’une c’est l’histoire de Camille.

Camille va sur ses 39 ans et elle fait partie de la catégorie des gens « qui ont tout pour être heureux » pour ceux qui l’observent de l’extérieur et pourtant, ce n’est pas trop ce qu’elle ressent, elle.

Bien sûr elle a un mari qui l’aide, mais la communication est difficile, la passion émoussée et ça lui fait de la peine. Leur enfant est mignon comme tout, mais comment créer du lien quand on pense avoir à jouer le rôle de la mère autoritaire ? Quid du travail où elle ne s’épanouit pas, et où le fait qu’on lui ait accordé un quatre-cinquième lui joue plus des tours qu’autre chose ?

Et puis, par un jour particulièrement éprouvant, Camille rentre chez elle par les petites routes pour éviter les embouteillages. Il pleut énormément et bientôt c’est l’accident : rien de grave fort heureusement, mais Camille a besoin d’un peu d’aide, elle va donc en chercher auprès de la maison de Claude, dont elle fait la connaissance.

Claude lui prodigue assistance et l’écoute : Camille est épuisée, elle a besoin de soutien. Il lui diagnostique une forme de routinite aiguë et lui laisse sa carte professionnelle si elle souhaite qu’il l’accompagne sur sont chemin de la joie et de l’épanouissement.

Quelques jours plus tard, Camille le recontacte : mais au fait, c’est quoi un routinologue et comment peut-il vraiment l’aider ?

Mnemosune Ta deuxieme vie

J’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai littéralement dévoré en quelques heures : on se place dans la peau de Camille qui est un personnage principal très attachant et au fil des pages on apprécie Claude et ses conseils.

Car vous l’aurez compris, il s’agit d’un roman de type initiatique : une situation de base compliquée et quelques conseils permettent de faire le fil rouge du roman. Pourtant ce n’est pas un livre rébarbatif, au contraire : il est rythmé et bien souvent drôle.

J’ai aussi aimé les conseils avisés et les petites citations qui ponctuent ce roman : ce n’est ni gnangnan, ni compliqué et à la fin de l’ouvrage se trouve le « petit vade-mecum de routinologie » qui regroupe tous les bons conseils du roman.

C’est donc un bon ouvrage pour les jours gris, qui est gai et dynamique, avec lequel on passe un bon moment. Je vous le conseille donc chaleureusement si vous ne l’avez pas déjà lu.

Vous connaissiez ? Qu’en pensez-vous ?

Bonne journée !

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Persuasion – Jane Austen

3 août 20162 août 2016

Comme je l’ai évoqué à demi mots précédemment, l’obtention de mon certificat n’a pas été le seul changement de ces derniers temps puisque j’ai quitté mon travail en négociant une rupture conventionnelle.

C’est encore un peu frais et déstabilisant, notamment parce que j’ai beaucoup d’interrogations sur ce que je veux faire et peux faire de mon avenir, et que je ne sais pas encore trop bien comment je vais m’y prendre pour arriver à enfin réaliser mes rêves (j’y travaille!).

Je suis néanmoins tellement contente d’avoir pris cette décision qui m’ouvre tout un éventail de possibilités !

J’ai donc dernièrement passé du temps à glaner des informations sur la création d’entreprise (financement, business plan, formation, aides…) et en parallèle j’ai mis mon CV sur les sites de recherche d’emploi afin de maximiser les opportunités. A partir de là, je vais voir comment m’organiser.

Pourtant, je souhaite profiter autant que faire se peut de cette période de transition et de recherche personnelle, et la lecture est une aide particulièrement précieuse à mes yeux pour changer d’air et voyager dans ma tête.

Un des livres que j’ai lu dernièrement, comme vous pouvez vous en douter, est Persuasion de Jane Austen, auteur dont j’ai beaucoup entendu parler et dont je ne connaissais pour ainsi dire, rien.

Et comme je reste convaincue qu’un petit classique ne peut pas faire de mal à ma culture et à mes envies de découverte, j’ai téléchargé l’ouvrage sur mon kindle et je l’ai lu en VO, parce que cela me permet, sinon de progresser, au moins de maintenir mon niveau d’anglais.

Persuasion, c’est l’histoire d’Anne Eliott, une jeune femme de 27 ans à la beauté fanée, en passe de devenir une vielle fille sans avenir selon les critères de l’époque, à savoir ceux du XIXè siècle.

Elle vit avec son père, un baronnet aux difficultés financières et sa sœur aînée, Elizabeth. Tous deux sont vaniteux et n’envisagent actions et interactions sociales que si celles-ci sont signes ou bénéfiques aux personnes de leur rang.

Pourtant Sir Walter (le père) se doit de louer sa maison et de partir vivre à Bath avec ses filles pour à la fois éponger ses dettes, maintenir son rang et faire bonne figure.

Cette « infortune » permettra au Capitaine Wentworth, fiancé engagé dans la marine éconduit 8 ans auparavant par Anne, persuadée par les conseils de son amie Lady Russell, de revenir sur le devant de la scène des grands de ce monde et a fortiori de la famille Eliott. Le voilà auréolé de ses succès dans la Navy et bien décidé à se marier et à s’installer avec une jeune fille.

Mais qui sera l’heureuse élue ?

Persuasion kindle

J’ai eu quelques difficultés avec les premiers chapitres du fait de la langue (je suis plus coutumière de l’anglais contemporain!) et de tous les noms à retenir, malgré tout je trouve que Persuasion est un roman dont l’ambiance m’a rapidement happée : j’avais l’impression d’être une amie discrète, observatrice des événements.

L’histoire, bien que globalement prévisible, comporte quelques rebondissements assez intéressants, des personnages variés et bien caractérisés, et présente une critique de la bourgeoisie que je qualifierais d’assez cinglante : le personnage de Mary, la sœur cadette d’Anne, qui passe son temps à se plaindre et à chercher à faire valoir son prestige est assez représentatif de cela, de même que ceux de Sir Walter et d’Elizabeth, complètement englués dans le paraître.

Le roman traite aussi, forcément, des intrigues d’influence et des impacts de conseils et autres recommandations mal avisés, ce qui lui a donné son titre, Persuasion.

Quand bien même il doit il y avoir beaucoup de choses à dire sur ce roman si on prend la peine de l’analyser et de le remettre dans son contexte, je suis restée à un niveau « loisir » et je trouve que c’est un roman divertissant, avec et esprit romantique que j’apprécie de temps à autres.

Et puis quel plaisir de voir Anne grandir, évoluer au fil des pages !

Au final, une bonne petite lecture accessible qui m’a permis de me détendre : la preuve, après l’avoir fini et avoir lu un autre livre dont je vous parlerai bientôt, j’ai depuis peu commencé Pride and Prejudice du même auteur.

Connaissiez vous ce livre ? Vous tente-t-il ?

Bonne journée !

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Chanson française – Sophie Létourneau

15 juin 201613 juin 2016

Ce jour là, j’avais arpenté une grosse partie du centre-ville de Montréal : j’étais en quête d’un chocolatier où je puisse acheter un coffret pour mon grand-frère de cœur.

Impossible de me rappeler du nom de la boutique où nous avions dégusté une glace en plein mois de décembre et dont il chantait les louanges, alors j’ai marché, en cherchant la devanture tant espérée.

Je l’ai finalement trouvée (il s’agit de Suite 88 si cela vous intéresse), là où mon intuition me disait d’aller chercher.

Vous vous doutez bien que si j’ai passé ma journée à crapahuter dans le centre-ville de Montréal c’est que je ne l’avais pas écoutée cette petite voix qui me soufflait d’aller sur le boulevard de Maisonneuve Ouest.

J’ai donc acheté une sélection de truffes, le personnel était charmant, et j’ai repris le métro pour rentrer à l’appartement que je louais sur le Plateau.

Plutôt que de prendre le bus après avoir pris le métro, j’ai choisi de marcher (sans doute que je n’en avais pas fait assez ?), de profiter du soleil pour faire du lèche-vitrines (sans doute que je n’en avais pas fait assez ? bis repetitae).

Je me suis arrêtée à toutes les boutiques que mon intuition m’a soufflée, parce que je n’allais pas me faire avoir deux fois de suite quand même, et c’est ainsi que j’ai poussé la porte de la Bouquinerie du Plateau.

A l’époque, quand j’habitais et travaillais à Montréal, je passais souvent devant, sans jamais y être rentrée : je regardais la devanture, je me disais que je pourrais bien passer la porte pour me perdre dans les rayons, et puis non, je continuais mon chemin.

Pas cette fois-ci.

Je ne cherchais rien, mais il paraît que c’est comme cela que l’on trouve, et puis en regardant tous ces livres (ou peut-être était-ce l’odeur enivrante du papier ?), je me suis dit que ce serait bien d’avoir un livre d’un auteur québécois : pas forcément quelque chose de compliqué, mais plutôt une petite madeleine de Proust, vous voyez ?

Alors j’ai regardé, Chanson française de Sophie Létourneau était mis en valeur, j’ai pris le livre, une des employées m’a dit que c’était un très bon choix avec ce grand sourire qui sied et signe si bien les visages montréalais (sans doute les autres aussi, mais je persiste à dire qu’à Montréal les gens sourient vraiment beaucoup et c’est vraiment très chouette), alors je l’ai pris, sans trop savoir de quoi ça allait parler puisque j’avais lu la 4ème de couverture en grosse mailles de diagonales (ça ne veut rien dire, mais je suis sure que vous vous représentez la chose).

chanson-francaise

Et en fait, Chanson française, c’est une jolie histoire, pas gnangnan comme pourrait le laisser croire la 4ème de couverture (finalement c’est bien que je ne l’ai pas lue avant de l’acheter je crois), une histoire d’amour entre un français et une montréalaise, avec des malentendus, des espoirs mal ou pas formulés, des incompréhensions entre ces deux francophones qui n’ont pas l’air de parler la même langue, et puis cet océan Atlantique, le Plateau aussi, Paris parce qu’on échappe rarement à Paris quand on parle de la France.

Le narrateur parle de Béatrice, la protagoniste, en disant « tu », c’est peut être parce que l’auteur est québécoise, allez savoir, mais c’est bien parce que même si c’est pas nous Béatrice, on y est avec elle, comme un écureuil qui guette les miettes de cookie, un peu dans l’ombre mais jamais très loin, avec ce regard curieux empli de « mais que va-t-il se passer ? » tout en savourant chaque rayon de soleil, chaque brise qui passe par là, chaque brin d’herbe moelleux.

Chanson française, c’est un peu comme un après midi ensoleillé à paresser au Parc Lafontaine avec sa gang d’amis, en toute simplicité, ce genre de moment où l’essentiel vous saute aux yeux et que vous en savourez chaque seconde.

Avec tout cela je ne vous ai pas tellement dit si c’était bien ce livre, parce que peut être vous n’êtes jamais allé au Parc Lafontaine avec votre gang d’amis par un après-midi ensoleillé et que donc vous n’arrivez pas à vous représenter à quel point c’est chouette, mais c’est une jolie histoire, toute fraîche que je vous recommande.

Je cherchais une petite madeleine de Proust de littérature québécoise, je l’ai trouvée.

Bonne journée !

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3 amis en quête de sagesse – André, Jollien, Ricard

8 juin 20164 juin 2016

Alors voilà, je suis partie à Montréal voir des amis, je suis revenue, j’ai pris quelques jours pour m’en remettre, j’ai repris le travail la tête un peu ailleurs, j’ai eu mon dernier cours à l’école, la réalité du travail m’a rattrapée, j’ai pris le parti de faire un planning de révisions pour mes examens que je suis scrupuleusement (heureusement que j’ai un côté très scolaire et très planificateur, pour ce genre de période ça aide).

Et pourtant je reste imprégnée de l’ambiance de mes vacances, de la paresse au soleil, des sourires aux petits et aux grands, des (re)découvertes.

Je me rends compte que j’associe souvent mes vacances à une lecture, celle que j’ai fait à ce moment là, où au livre que j’ai acheté sur place.
Avant chaque départ je m’achète un livre, souvent sur un coup de tête, parfois fameux et d’autres fois moins, et puis sur place j’aime bien visiter les libraires, les bouquineries, surtout les toutes petites, avec du vécu, l’intérieur qui sent les vieux livres.
C’est un peu le contraste entre le livre tout neuf du début de voyage, et celui, parfois d’occasion, que je ramène avec moi, et avec lui un peu des souvenirs de la journée.

Aujourd’hui je vais vous parler du livre tout neuf du début de voyage à Montréal, et puis sans doute que la semaine prochaine je vous parlerai de celui que j’ai trouvé là bas : ce sont deux lectures très différentes et pourtant très jolies toutes les deux.

3amis

Lorsque je suis arrivée à l’aéroport de Toulouse, je suis allée au Relay et j’ai regardé les rayonnages, les yeux un peu dans le vide, et puis j’ai vu ce gros pavé blanc avec ce bandeau orange et ces trois visages souriants. J’ai lu qui étaient les auteurs, et comme ce sont des personnes qui m’inspirent, j’ai pris le livre sous mon bras (je l’ai payé quand même hein), et je suis allée me trouver un petit endroit où tourner les pages tranquilles.

Je ne l’ai pas quitté de tout le voyage et je l’ai lu, à ce qu’il paraît, assez rapidement : c’est que la lecture vaut son pesant d’or.

Trois amis en quête de sagesse, c’est la retranscription de discussions qui ont eu lieu entre les trois amis que sont Matthieu Ricard, Alexandre Jollien et Christophe André, sur des sujets aussi vastes que la spiritualité ou la compassion.

C’est un discours sans chichis, où chacun parle de son vécu, de ce en quoi il croit : c’est d’ailleurs assez surprenant que des personnalités aussi différentes (pour rappel : un moine bouddhiste, un philosophe et un psychiatre) soient d’accord sur la finalité des choses, chacun ayant un parcours qui dans certains aspects peut faire écho au nôtre.

Vous savez cette petite voix qui nous dit qu’on est seul à vivre ça et que personne ne peut nous comprendre ? Eh bien finalement, je trouve que c’est côté réconfortant de voir que des personnes qui ont choisi comme profession le soutien aux autres et l’accompagnement vers la sagesse sont passés (ou passent encore !) par le même genre d’étapes, de questionnements que soi.

Chaque chapitre est dédié à un thème relié à la sagesse, et chacun y va de son expérience, de son vécu, de ses peurs, ses doutes, ses convictions, ses conclusions d’une vie. A la fin, chacun des auteurs donne quelques conseils pour aborder la problématique, conseils abordables et pragmatiques.

Alors bien sûr, ce n’est peut être pas votre sujet de prédilection, mais personnellement j’ai trouvé cet ouvrage fascinant et je suis encore empreinte de certains passages (l’auto compassion par exemple) qui m’aident beaucoup au quotidien.

Vous connaissiez ? L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

Bonne continuation dans votre quête de sagesse et bonne journée !

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Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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