Avant de reprendre un rythme plus standard sur le blog, j’aimerais encore prendre un peu de temps pour revenir sur ce qu’il s’est passé de chouette en 2016.
2016 est une année où j’ai beaucoup lu : pas moins de 33 livres sont passés dans mes mains, sans compter les relectures (The Desire Map, Making art a practice notamment).
Plus de la moitié d’entre eux ont été vraiment beaucoup appréciés, c’est l’objet de cette liste, qui vous donnera peut être envie d’en découvrir certains.
Je ne vais pas revenir en détail sur l’histoire ou sur pourquoi je les ai aimés, à la place je mettrai les liens vers les articles correspondants pour que vous puissiez lire ce qui vous intéresse. J’ai essayé de les classer, mais comme tout classement c’est un peu arbitraire, pardonnez-moi…
Les classiques
Ils occupent plus d’un tiers de mes lectures de l’année. Amis des romans d’aventure, de cape et d’épée ou des intrigues sentimentales, cette section est pour vous !
Un condensé de réflexions personnelles, un récit initiatique bien tourné et un éloge à la créativité et à sa magie, quoi de mieux pour commencer l’année ?
Si vous n’avez pas encore compris que j’attends la suite de cette saga avec impatience, c’est soit que vous venez d’arriver ici (bienvenue), soit que vous avez soigneusement sélectionné les articles que vous lisez pour passer à côté de l’information…
Un petit peu d’amour, beaucoup de rire, de la tendresse, une GROSSE flopée de choses qui font des zigouigouis et qui mouillent les yeux, et enfin un condensé de joies et de souvenirs colorés.
Pour ce premier article de l’année, j’aimerais tout d’abord vous souhaiter une très belle année 2017.
Je vous souhaite qu’elle soit douce, qu’elle soit ponctuée de petits et grands bonheurs, que vous soyez entouré d’amour, que votre forme vous permette de réaliser ce qui vous tient à cœur.
Je vous souhaite aussi de belles réussites, des petits et grands voyages, fussent-ils intérieurs ou à l’étranger, de jolies rencontres, des leçons bénéfiques.
Tous les ans, mon premier article ici est dédié à une rétrospective sur l’année qui vient de s’écouler (vous pouvez retrouver les précédents épisodes : 2011, 2012, 2013, 2014, 2015) : certaines années il s’agit plus d’une rétrospective personnelle, d’autres plus d’une compilation des articles que j’ai aimé écrire. Cette année on va mixer un peu les deux.
En janvier, c’est la rentrée au yoga et je crois bien que c’est à peu près la seule chose qui m’enthousiasme : j’ai du mal à sortir, que ce soit dehors ou de ma carapace. Je suis assez mal dans ma peau et au travail ce n’est pas folichon.
En février, si j’annonce que j’ai repris mes études à 30 ans, en fait j’ai du mal à me réaliser d’un point de vue personnel : je navigue un peu à vue, et quand je ne suis pas au travail, je mets mon énergie dans mes cours. Histoire de donner un peu plus de structure à tout cela je me lance et je créé mon bullet journal, et je me chouchoute un peu : je finis de lire les 3 Mousquetaires, je prends régulièrement des bains, et je cherche à faire ce qui me fait du bien.
En mars, je suis en vacances et j’en profite pour me changer les idées, notamment en jouant à des jeux vidéos. L’idée de changer de voie professionnelle est de plus en plus présente dans mon esprit : j’ai envie de renouveau, c’est indéniable (spoiler pour les nouveaux : ce n’est pas du tout cela qui va se passer, mais ce sera mille fois mieux). Cela tombe bien, après 2 ans et demi en mission pour un client, je reviens dans ma société, c’est le temps parfait pour faire le bilan en coulisses. Côté blog, c’est un petit mois : je passe bien plus de temps à lire Le comte de Monte-Cristo qu’à écrire ici !
source : Allociné
Avril a été un mois très difficile d’un point de vue personnel, et j’ai essayé de me réfugier dans les loisirs : je joue à Stardew Valley, je vais au cinéma voir Les délices de Tokyo et je lis The Great Gatsby. Ce sera peine perdue ou presque, l’inconfort sera trop grand, il faudra rapidement faire un choix pour se remettre sur les rails de l’épanouissement personnel.
Si le début du mois de mai est un peu tranquille, je prends rapidement, après une énième déception, la décision de quitter mon travail. Avant de me lancer et de l’annoncer je pars à Montréal retrouver les amis, rencontrer Camille, faire le plein de belles choses. C’est aussi à cette période que j’ai mon dernier cours de kinésiologie. Côté blog, c’est le désert, un seul petit article pour parler d’un produit qui cumule les couleurs pastel, les paillettes et mon amour pour les bains, Unicorn horn.
En juin, c’est un grand tournant qui s’amorce en coulisses de ce blog : j’ai demandé ma rupture conventionnelle, je l’obtiens et je quitte la société en fin de mois. Je passe aussi les examens suite aux 2 ans de cours de kinésiologie que j’ai suivi, et j’obtiens mon certificat. Sur le blog, je parle des lectures qui m’ont accompagnée pendant mon voyage à Montréal : Chanson française et Trois amis en quête de sagesse.
Juillet, c’est la liberté retrouvée, le renouveau de la vie sociale : je profite de ce nouveau rythme, de ce soulagement, et je vois beaucoup mes amis. J’irai aussi voir mon banquier qui me confirmera que le projet que j’avais n’est pas viable pour le moment, alors le 14 juillet je mettrai mon CV sur les sites de recherche, pensant être tranquille jusqu’au 15 août et ainsi avoir le temps de prendre soin de moi. Que nenni, le lendemain on m’appelle et quelques jours plus tard je commencerai à passer des entretiens pour le seul poste que je convoiterai de toute l’année… Je reprends un petit rythme tranquille sur le blog en publiant une fois par semaine, notamment pour vous parler d’une recette de smoothie que j’adore et de mon shampoing favori.
En Août, je continue sur la lancée amorcée le mois précédent : encore des entretiens, et surtout des sorties avec les copains. Je m’affirme aussi, et si c’est parfois un peu compliqué, ça me fait du bien. Ma voiture est enfin réparée après deux mois au garage, et je suis bien contente de retrouver ma liberté de mouvement. Du côté du blog, on revient à quelque chose de plus régulier et les sujets sont variés ! Depuis le Bullet journal jusqu’à l’aveu que je suis en plein dans les entretiens pour le poste de mes rêves, en passant par quelques photos de Montréal, des lecturesinspirantes, ou encore une huile de massage.
En septembre, je vois mes amis, encore, beaucoup et avec beaucoup de plaisir. Cette période de chômage me plait, et je la mets à profit pour lire et pour partir en voyage avec un ami. Côté blog, le rythme est pris et je parle beaucoup de lecture : du classique, du drôle étonnant et de l’émouvantaussi. Et puis pour changer, j’évoque aussi les podcasts que j’aime bien.
En octobre, je sors un petit peu moins, et je doute un petit peu de moi. Pour autant ce n’est pas un mois triste : je mets de l’ordre dans mes souvenirs de Rome, et je lis deux livres très chouettes, les deux premierslivres de la saga La passe-miroir(dont j’ai déjà parlé 425 fois ici, je le sais, mais j’aime beaucoup ces livres). Côté beauté, une chouette découverte en termes de ballistics à recenser et puis ma crème de jour favorite !
En novembre, je sors à nouveau un peu plus, je m’ouvre aux gens, je reprends confiance. Je recommence même à cuisiner, c’est dire si ça va bien ! Je prends le temps de faire des albums photos, un moodboard, et puis je lis et je prends des bains, parfois souvent je combine même lesdeux.
Décembre, c’est la fin d’année en fanfare entre les sorties (nombreuses) avec les amis et la reprise du travail : j’en ai rêvé, j’y suis(et c’est encore un peu incroyable et chouette si vous voulez tout savoir). De toute l’année, c’est le mois où j’aurais été de meilleure humeur, le plus heureuse, et de très très loin. Côté blog, je vous dis ce que je pense des vernis que je me suis achetée, je vous présente une petite recette qui change, et puis il y a de la lecture créative et moins créative avec des thés du temps des fêtes.
Honnêtement, 2016 a été une année mouvementée, et j’en tire plein de leçons : écouter son intuition, ne pas rester dans l’inconfort pour de fausses bonnes raisons, s’ouvrir aux autres, s’aimer et prendre soin de soi. Et puis croire en la vie, toujours.
Je suis très reconnaissante de tout ce que cette année m’a appris, m’a montré, de ce que j’ai expérimenté, y compris la moitié de l’année difficile.
J’amorce 2017 grandie, pleine de gratitude et d’énergie pour avancer encore.
J’espère qu’il en est de même de votre côté. Et encore une fois, je vous adresse tous mes vœux de bonheur, de réalisation personnelle, d’amour, de bonne santé et de belles expériences.
Puisse 2017 être merveilleuse avec vous autant que vous l’êtes.
Décembre est un peu la continuité de Novembre pour la production artistique : un peu de tout, pas forcément de fil directeur, et une luminosité atroce pour prendre les photos.
Du coup j’ai un peu moins de choses à vous montrer, mais je vous assure que décembre a été un mois plutôt intéressant en termes de pratique !
Dernier vernis coloré du coffret Classic & Chic d’O.P.I, aujourd’hui nous parlons de Lincoln Park After Dark.
Quand j’ai acheté le coffret, peut être que l’éclairage de Monoprix m’a induite en erreur, je pensais que c’était un rouge noir très foncé, un peu comme le #18 de Chanel mais plus sombre.
En fait il n’en est rien, Lincoln Park After Dark est un violet très profond, presque noir.
Autant je trouve le rouge noir assez classique, autant je trouve le violet un peu plus risqué, plus difficile à porter au quotidien. Pour la peine j’ai gardé mes ongles courts, histoire de m’habituer à la couleur et à l’effet.
La couleur ne pardonne rien, tous les petites aspérités de l’ongle seront magnifiées par son côté très brillant, mais elle est très jolie et finalement plus passe partout que je croyais dans la mesure où elle flirte tellement avec le noir qu’elle s’harmonise bien avec la grande majorité de mes tenues.
Par contre, la texture est atroce.
Vraiment.
Elle s’étale mal, flirte entre le trop épais et trop fin, sèche assez inégalement, ce qui est assez peu pratique pour une couleur qui demande une application précise.
C’est peut être du au fait que le coffret se compose de minis flacons, je ne saurais vous dire. En tout cas armez-vous de patience pour le poser, vous en aurez besoin (surtout que le pinceau n’est ni accommodant, ni pratique).
Côté tenue, difficile d’avoir quelque chose de concluant avec une texture aussi capricieuse : j’ai à peine réussi à le maintenir présentable 2 jours, et c’était limite.
Du coup je pense le réserver pour les pieds. C’est dommage parce que la couleur est intéressante et le fini très brillant, mais la texture du produit me rebute trop.
Et vous, des déconvenues avec vos vernis ?
Bonne journée !
Retrouvez mes revues des deux autres vernis colorés de ce coffret : Passion (le rose pâle) et Big Apple Red (le rouge vif)
Celui-ci, c’est encore un livre qui s’est retrouvé dans ma liste à lire je ne sais trop comment. Je pensais que c’était Cél, encore, mais en faisant des recherches sur son blog je n’ai rien trouvé…
Décidément, il serait de bon ton que je me note qui m’inspire à lire les livres que je mets dans cette liste !
Donc, comme pour la dernière fois, si la personne qui m’a donné envie de lire ce livre passe par ici, merci !
– – – – –
Coquelicot c’est un recueil de mots auxquels se mêlent les souvenirs d’enfance, parfois des réflexions d’orthographe, parfois aussi des souvenirs un peu plus récents.
Coquelicot c’est l’ensemble de ces mots qui évoquent des sons, d’autres qui font revenir à la mémoire des odeurs, certains encore qui parlent de conversations.
Coquelicot c’est un recueil de mots aimés, certains chéris, d’autres beaucoup moins, mais tous avec leur particularité aux yeux et à la mémoire d’Anne Sylvestre.
Pour tout vous dire, je n’avais aucune idée de qui était Anne Sylvestre avant de me pencher sur cet article : j’avais noté le livre, je devais avoir une bonne raison, c’était amplement suffisant.
C’est en parcourant la fiche Babelio sur le livre puis la page wikipedia de l’auteur que j’en ai appris un peu plus sur cette dame, qui chante (chantait ?) pour les enfants et les plus grands de jolis textes qui parlent de la vie, en simplicité mais avec beaucoup de charme.
Alors forcément, cela permet de mieux comprendre la tendresse et la beauté de ces petits textes, chacun évoquant un mot aimé, un mot avec lequel elle joue.
C’est un ouvrage résolument à part, qui parle de souvenirs courts, sans trop les romancer mais avec une poésie et un amusement palpables.
J’ai beaucoup aimé le lire, et on se prend souvent au jeu de se demander ce que nous évoque tel ou tel mot, et, si on devait à notre tour écrire sur nos mots préférés, quels seraient ceux qui composeraient notre ouvrage.
Peut être avez vous envie d’un peu de douceur, d’un livre qui fait voyager dans les souvenirs, qui change un peu de ce qu’on a l’habitude de lire ? Ne cherchez plus, Coquelicot est pour vous !
A vous qui passez ici, je vous souhaite un joyeux Noël ! J’espère que vous l’aurez passé au chaud, avec des bonnes petites choses à manger, et plein d’amour, de joie et de bonheur.
Je continue sur ma lancée de la découverte des couleurs et vernis du coffret O.P.I Classic & Chic que je me suis offert juste avant de reprendre pour le travail : après Passion, un joli rose pâle transparent, voici Big Apple Red !
C’est un joli rouge vif, assez classique, qui me fait penser aussi aux vernis rouges des femmes fatales. J’ai notamment en tête Monica Bellucci, mais je crois qu’on a tous et toutes une représentation de la femme fatale avec un vernis rouge sur des ongles courts (non ?).
Je crois aussi que c’est une couleur qui est bien appropriée pour les fêtes (ou pour la Saint Valentin !), c’est un rouge assez profond, comme celui des décorations de Noël ou les pommes d’amour.
Bref, une couleur assez intemporelle (la photo de mes mains est la plus fidèle en termes de représentation de la couleur du vernis), qui se marie d’ailleurs très bien avec un de mes rouges à lèvres, le rouge Dior Baume #758 Lys rouge.
La texture est bien couvrante, on obtient une belle couleur avec une couche. Personnellement, j’en ai mis deux, ce qui donne un rouge très opaque et bien vibrant, ce qui permet de ne pas voir le bord libre de l’ongle en transparence.
Les mains blanches limite cadavériques et les doigts tordus, c’est en option, bien entendu.
Petite déception côté tenue par contre (mais peut être n’ai-je plus l’habitude de poser du vernis et que je m’y suis mal prise ?), au bout de 2-3 jours le vernis a commencé à avoir des accrocs, malgré la base. Je n’ai pas mis de top coat, peut être aurais-je du.
Toujours est-il qu’au bout d’une semaine, ce n’est pas très joli à voir, c’est un peu dommage parce que je n’ai pas envie de refaire ma manucure tous les trois jours.
Malgré tout j’aime beaucoup la couleur, que j’ai beaucoup de plaisir à porter. Je pense donc y revenir assez souvent.
Et vous, quelle couleur pare vos ongles en ce moment ?
En fait, j’ai beau aimer les bougies parfumées, je ne sais pas vraiment où en acheter qui soient à la fois de qualité et à un prix raisonnable. Alors pour l’instant, je me fournis à Habitat.
En début d’année j’avais essayé Vent et Embruns, puis vers le milieu d’année j’ai poursuivi avec celle qui s’appelle Argile (dont je n’ai pas parlé ici, mais qui sent bon le propre et le frais).
C’est ainsi que j’ai vidé mes stocks de bougies parfumées : il me reste bien encore quelques petites bougies de type chauffe-plat de Ikéa, mais comme elles sentent les fruits exotiques et que je ne trouve pas que ce soit très approprié pour la saison, je suis allée voir ce que je pouvais trouver.
Je suis donc allée à Habitat, j’ai regardé les rayons (hésitant 425 fois pour savoir si oui ou non j’achetais ces jolies bouboules de Noël alors que je n’ai pas de sapin…), et puis je suis tombée sur une collection que je ne connaissais pas (mais qui peut être existe depuis des années), avec tout un tas de senteurs.
J’ai acheté trois bougies : figue & noix, coton & néroli, et Nectar de miel et thé qui est la première à avoir été allumée.
En vrai, je n’ai pas encore allumé les autres, tellement j’aime celle-ci (alors que c’était celle qui me tentait le moins des trois) (oui je fais partie de ceux qui gardent le meilleur pour la fin).
Non la bougie n’est pas tordue, c’est juste que je n’avais pas bien remis le couvercle…
C’est un parfum plutôt sucré, le miel est très présent, et pourtant je ne le trouve pas écœurant. Ce qui est un peu étonnant à vrai dire, c’est que l’odeur est à la fois sucrée et fraîche (je suppose que c’est le thé qui apporte cela), alors je me retrouve à la laisser allumée longtemps, je trouve qu’elle va bien à tout moment de la journée.
Je dirais que c’est toutefois un parfum plutôt relaxant, plutôt rond et doux. C’est une jolie association que j’aime beaucoup, et l’odeur se diffuse très bien, ce qui renforce le plaisir.
Petit bémol, mais c’est peut être juste moi qui m’y prends mal, je n’arrive pas à la faire fondre uniformément (ce qui était déjà le cas avec les autres bougies Habitat que j’ai eu).
Enfin si vous connaissez un amateur ou une amatrice de bougies et d’odeurs fraîches et sucrées, cela fera un bon petit cadeau (de Noël ou autre !). Et si vous vous reconnaissez dans ce profil, n’hésitez pas à voir si elle vous correspondrait : pour ma part c’est une jolie découverte.
A noter, la bougie existe en plusieurs formats, je crois que j’ai pris celui du milieu, et il me semble que je l’ai payée 16€.
Et vous, quelles sont vos bougies parfumées favorites du moment ?
Pour changer un peu, je voulais vous parler d’un produit que j’ai découvert il y a quelques temps à la biocoop et que je ne cesse de racheter : le tartare d’algues.
Non pas que ce soit un produit franchement nouveau (cela fait des mois voire même des années qu’il est disponible), juste que je ne m’étais pas encore décidée à franchir le pas et à goûter.
Parce que bon les algues, j’ai beau savoir que c’est bon pour la santé, ce n’est quand même pas un de mes aliments de prédilection (et je ne vous raconte même pas ce que ça donne quand j’en rencontre en milieu aquatique).
Il en existe plusieurs variétés, j’en ai goûté deux : le classique, qui est mon préféré avec son côté iodé et le piquant des cornichons, et le provençal, qui fleure bon le midi (et qui irait très très bien avec une salade caprese, qu’on se le dise). Je crois qu’il existe aussi une version au citron (citron confit peut être ? mais je n’en suis pas sure).
Au début je ne savais pas trop quoi en faire, alors j’ai tout simplement goûté à la petite cuillère, et depuis j’en rachète régulièrement : le tartare fait des merveilles sur les tartines d’avocat, le poisson (grillé, pané ou fumé), ou tout simplement tartiné sur une belle tranche de pain au levain.
Je confesse continuer à le manger, aussi, à la petite cuillère, juste pour le plaisir.
Et avec les fêtes qui approchent à grand pas, cela peut être, je crois, un petit quelque chose qui viendra dynamiser et apporter de la profondeur à un plateau de fruits de mer ou à des tranches de saumon fumé.
Je ne sais pas si c’est à rapprocher avec le fait d’avoir un nouveau travail, mais certaines choses ont changé : j’ai fait un gros tri dans ma garde robe et mes chaussures, j’ai recommencé à me maquiller plus régulièrement, je fais du yoga pratiquement tous les jours, je marche beaucoup plus…
Et j’ai eu envie de me vernir les ongles, ce qui ne m’était pas arrivé depuis très longtemps, à savoir août 2015 si j’en crois les archives du blog.
Autant vous dire que je n’avais plus rien qui puisse ressembler de près ou de loin à un vernis.
J’avais laissé l’idée en tâche de fond dans un coin de ma tête, et puis il y a quelques jours, alors que j’étais en ville, je suis allée à Monoprix, et j’ai vu des petits coffrets avec 4 vernis de la marque O.P.I. J’ai choisi de m’offrir celui qui s’appelle « Classic & Chic » parce qu’il comportait le genre de couleurs que j’avais envie de porter et qui me semblaient assez facile à assortir (et plutôt indémodables, il faut bien l’avouer).
A noter, le vernis transparent tout à droite fait à la fois base et top coat, ce qui est bien pratique.
Le premier que j’ai essayé est donc Passion, un vernis rose pâle, un peu dans le même style que ceux qu’on utilise pour faire des french manicure.
J’avais beaucoup entendu parler de la pigmentation des vernis O.P.I, j’ai donc été un peu déçue de voir que malgré deux couches, le bord libre de mes ongles était encore visible : je m’attendais à quelque chose de plus opaque.
Ce qui ne veut pas dire que la couleur ne soit pas réussie : c’est un rose pâle transparent, discret, qui ira globalement avec tout.
Côté tenue, la couleur a tenu une semaine sans que je ne mette du top coat par-dessus. Après j’ai eu quelques petits accrocs, et c’est vraiment au bout d’une semaine et demie que c’est devenu critique.
Depuis je l’ai enlevé, j’ai posé Big Apple Red… Mais c’est un autre article à venir.