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Author: Mnêmosunê

Une semaine à Paris : le voyage

24 avril 201321 avril 2013

En fait c’est à ce moment là que les péripéties commencent, pour ne pas changer (et s’arrêtent, fort heureusement). Je crois bien que ma réputation de Joe la Poisse n’est pas prête de faillir vous voyez. L’avantage, pour une fois, c’est que cela s’est limité à l’avion et que ce n’était pas bien méchant (la preuve, je suis toujours en vie). Mais ça méritait un petit article quand même.

Samedi 13 donc, un taxi vient me chercher pour m’amener à l’aéroport avec mes valises. Le trajet se passe bien, on arrive beaucoup plus rapidement que je me l’imaginais, j’avais donc du temps pour aller tranquillement m’enregistrer, faire toutes mes petites affaires.

En partance de Toulouse
En partance de Toulouse, 20°C et grand ciel bleu

Je vais donc au comptoir d’enregistrement, je dépose mon bagage en soute et on m’annonce que mon vol va avoir du retard, environ 15 minutes. Pas de problème, ça me laisse le temps d’aller faire du lèche vitrines et de boire un thé, tout va bien. Quelques minutes après mon enregistrement, je regarde les panneaux et en fait mon vol aura bien plus de retard que 15minutes. D’ailleurs j’ai reçu un sms me disant que mon vol décolle à 11h15 au lieu de 10h25.

Pas grave, je continue à crapahuter dans l’aéroport et puis je me pose sur un siège, les panneaux de renseignements juste devant pour vérifier de temps en temps, et je potasse mes guides.

Un peu avant 10h30, je me dirige vers les contrôles pour accéder à la salle d’embarquement. Bien entendu j’ai oublié une bouteille d’eau dans mon sac à main, donc on fouille mon sac, mais je reste que peu de temps. A environ 10h40, je suis dans la salle d’embarquement, il y a une petite dizaine de personnes, tout va bien.

Que je crois.

Parce que je regarde un peu plus attentivement le panneau, et je vois « embarquement terminé » avec une mention comme quoi l’avion a décollé. Je reste un peu circonspecte, je me dis que j’ai dû me tromper, et pourtant c’est bien la bonne salle, le bon numéro de vol, tout ça. Les gens qui étaient installés dans la même salle que moi regardent eux aussi le panneau (ça doit attiser la curiosité d’avoir quelqu’un qui reste pité devant pendant 5 bonnes minutes et se déconfit au fur et à mesure), ils pestent, ils râlent et font machine arrière.

Je décide de les suivre, je ne comprends pas ce qui a bien pu se passer.

On vient de décoller…

Donc machine arrière, tout le monde repart vers les espaces d’enregistrement et les comptoirs de la compagnie. Je marche moins vite qu’eux, de toute façon si j’ai raté mon vol, à quoi bon courir ? Je demande plusieurs fois des explications, et puis au bout d’un moment une hôtesse me dit cette phrase incroyable :

Ah mais il ne faut pas se fier aux affichages, votre vol est bien parti à 10h30 puisqu’on a réussi à limiter le retard. On a fait des annonces au micro vous savez.

Alors déjà, petit un : si on ne peut pas se fier aux affichages, à quoi doit on se fier ? Et puis petit deux : quiconque a déjà pris l’avion à Toulouse sait très bien qu’on n’entend rien des annonces micro. Et enfin petit trois : pourquoi j’ai pas reçu un sms me disant que finalement mon vol partirait à 10h30 ?

Bref, j’ai raté mon vol (c’était ma hantise, eh bien c’est bon, c’est fait) et il faut que j’aille au comptoir du service client. Où il y a une dizaine de personnes en train de beugler donc. J’attends patiemment. Au bout d’un moment, on me demande ce que j’ai. J’explique calmement mon cas alors qu’il y a la dizaine de personnes remontées comme des pendules qui sont en train d’assassiner verbalement l’hôtesse juste à côté, et je précise que bon, il y a eu cafouillage des deux côtés on est d’accord (diplomatie un jour…), mais que moi si on me met sur le prochain vol ça me va et on n’en parle plus (et comme ça je pourrai aller récupérer ma valise qui m’attend sagement en bas, la réenregistrer en bagage soute et surtout je vais pouvoir m’acheter un truc et manger) (diplomatie certes, mais il ne faut pas perdre de vue les fondamentaux quand même).

Donc finalement, il y a le responsable du service qui vient me voir (alors qu’à côté la pauvre hôtesse est en train de subir la mauvaise humeur du groupe et qu’elle commence à perdre patience) (mes respects les plus sincères à cette dame qui franchement a entendu des menaces et propos pas très jolis tout en restant d’un professionnalisme presque stoïque), à qui je réexplique calmement mon cas et qui me propose, tranquillement, de me placer sur le vol suivant, mais vous voulez quelle place, oh ben je vous mets sur une rangée vide, vous choisirez comme ça (très bien on fait comme ça). Il me réédite donc mon billet, me souhaite bon voyage.

Les nuages, le bleu du ciel, tout ça...
Les nuages, le bleu du ciel, tout ça…

Je me mets un peu sur le côté pour ranger mes affaires et récupérer mon sac cabine pour aller chercher ma valise (oui, celle qui a attendu 3/4 d’heure en bas, tranquillement, et que j’étais bien contente de retrouver), et le responsable s’occupe des autres passagers qui râlent depuis presque une heure, en montant en pression comme des cocottes minutes. Et c’est là que j’ai entendu qu’eux, vu comment c’était parti, non seulement ils n’auraient pas de vol avant 16h, mais en plus ils allaient devoir s’acquitter de 180€ de franchise pour le changement du billet. Là d’un coup, ça les a bien calmés.

Moralité : rester calme et courtois, ça paye.

Et donc après, tout s’est bien passé, j’ai effectivement réenregistré mon bagage en soute, je suis allée me chercher un truc à manger, j’ai mangé et je suis bien partie sur le vol d’après, celui de 13h30 (juste 3h plus tard que l’heure initiale donc).

L'arrivée à Paris, il fait 12°C et il pleut
L’arrivée à Paris, il fait 12°C et il pleut

Le retour était moins sport, mon vol a juste eu 30 minutes de retard, j’ai eu le droit à une fouille corporelle et fouille de mon sac cabine (Totue doit mal passer au scanner), j’ai croisé Yves Lecoq dans l’aérogare et j’ai pris le même vol que Sonia Rolland.

Mais au moins, ça fait des anecdotes à raconter (et puis à force, je m’habitue je crois). La prochaine fois, on parlera bonnes adresses car même si c’est loin d’être exhaustif (très loin même), des fois c’est pratique quand même.

Bonne journée !

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Velouté de courgettes

23 avril 201321 avril 2013

Cette recette c’est un peu un mixe entre celle d’une fiche-cuisine du Elle et celle de June, le tout un peu revu à ma sauce (c’est à dire avec ce qu’il y avait dans le réfrigérateur). C’est une recette très simple, une solution de facilité, un peu comme ce jean fétiche qu’on enfile quand on ne sait plus quoi mettre…

soupe-courgetteIngrédients (pour 2 bols) :

  • 2 belles courgettes (environ 500g)
  • 1 cube de bouillon (ou du bouillon maison, au choix)
  • 1 gousse d’ail (ou 2, si on aime beaucoup l’ail, comme moi)
  • 1 belle cuillère à soupe de mascarpone (ou 2, si on est gourmand, comme moi)
  • 1 filet d’huile d’olive
  • une tranche de pain aux céréales (à émietter au fond du bol, facultatif)
  • sel et poivre

Réalisation :

  1. Rincer les courgettes, les peler en laissant une lanière de peau sur deux et couper en rondelles d’environ 1cm.
  2. Mettre les courgettes dans une casserole et couvrir d’eau (ou de bouillon si vous n’utilisez pas la tablette mais du bouillon maison). Ajouter la gousse d’ail pelée et coupée en lamelles et le cube de bouillon émietté.
  3. Porter à ébullition et laisser cuire environ 10 à 15 minutes, les courgettes doivent être très tendres.
  4. Retirer du feu, mettre dans le blender, ajouter le mascarpone et mixer jusqu’à l’obtention de la consistance voulue.
  5. Servir aussitôt dans des bols avec du pain et un filet d’huile d’olive. Saler et poivrer si besoin.

Une recette très simple, rapide, qu’il est possible de customiser en fonction de ses envies et de ce qu’il y a à disposition : on peut y ajouter de la ciboulette ou un peu de curry, remplacer le mascarpone par de la Vache qui rit ou du Kiri par exemple.

Et je suis sure que froide (et sans le pain) elle sera parfaite pour les soirées d’été, en remplacement du sempiternel gaspacho !

Bonne journée !

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L’observatoire

22 avril 201321 avril 2013

jeu-11-shaya

Je me poste là, je prends ma photo. J’ai à la fois l’impression de déranger et d’être invisible, comme à chaque fois que je regarde les gens.

Je ne regarde pas les gens pour les critiquer ou pour me moquer, je regarde les gens pour m’inventer des histoires. Je me demande qui ils sont, d’où ils viennent, s’ils se connaissent. Les inconnus me passionnent, ils sont une distraction inépuisable.

Par exemple, ces deux femmes là qui font leurs offrandes, est-ce qu’elles sont venues ensemble ? Est-ce qu’elles sont de la même famille ? Et leur visage grave, à quoi est-ce dû ?

Peut être sont-elles mère et fille qui viennent rendre hommage à un disparu.
Peut être sont-elles tante et nièce qui viennent prier pour un événement important, pour un mariage heureux par exemple.
Peut être sont-elles amies et partagent un rite religieux ensemble, afin d’avoir la protection des divinités.
Peut être qu’elles ne se connaissent pas et qu’elles voudraient juste un peu d’intimité pour se recueillir, pour une fois.

Je ne sais jamais qui sont ces gens que je regarde, sauf s’ils viennent me parler. Je ne sais jamais ce qu’ils deviennent.

Je ne veux pas savoir, parce que cela permet à mon imagination de s’exprimer.

Mais ces gens que je regarde, se doutent-ils qu’ils nourrissent mon imaginaire et renforcent ma curiosité du genre humain ? J’en doute fort. Et pourtant, tout inconnus qu’ils sont pour moi, ils sont, bien malgré eux, une part intégrante de ma vie. Des instants qui me rappellent combien les liens entre humains sont complexes et pourtant si beaux. Et dans ce cas précis, cela me rappelle aussi combien nos liens avec le divin sont complexes et insondables.

D’ailleurs, je dois y aller, c’est à mon tour de participer au rituel. Et peut être que, quand je repasserai ici, il y aura quelqu’un qui me prendra en photo et s’interrogera avec bienveillance comme moi…

Ce texte est ma participation au jeu n°11 du blog à 1000 mains. La photo est de Shaya.

Bonne journée !

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Une semaine à Paris : l’organisation

21 avril 201322 avril 2013

La semaine dernière, j’ai du me rendre à Paris pour raisons professionnelles. Et si j’en ai profité pour voir des amis (pas tous, ni autant que je le voulais), j’avoue que la perspective du voyage me stressait un peu, notamment parce que tous les midis je devais aller au restaurant avec des gens que je ne connaissais pas, alors que je ne connais pas du tout Paris (enfin d’un point de vue touristique mais c’est pas pareil).

Inutile de dire que je n’avais donc aucune idée d’où j’allais bien pouvoir les emmener. Inutile de dire que, de surcroit, je n’avais aucun point de repère à Paris, et que donc ne serait-ce que pour faire le trajet entre mon hôtel et le lieu où je devais me rendre, j’étais un peu fébrile. Ah, et je n’avais « que » deux semaines pour préparer mon périple (ambiance, moi qui aime tout peaufiner trois plombes à l’avance).

Un seul remède à ça : l’or-ga-ni-sa-tion. De toute façon, c’est la seule chose qui pouvait un tant soit peu m’apaiser. Alors j’ai essayé de procéder de manière méthodique…

Déjà, s’entourer de bons basiques pour assurer le principal et essayer d’agrémenter son séjour :

guides_parisJ’ai donc embarqué, feuilleté et annoté deux guides de Paris,  un Hachette et un Lonely Planet. Si j’ai trouvé que le plan du premier était plus facile à détacher et à trimballer que celui du second, côté appréciation du contenu c’était plutôt l’inverse. De toute façon j’aime beaucoup les guides du Lonely Planet (et leur site web aussi, super pratique) (même si parfois je trouve qu’on n’a pas tout à fait les mêmes critères pour définir « bon marché »), j’aime leur structure, le ton, tout ça (d’ailleurs pour préparer feu mon voyage au Japon, c’est le Lonely Planet que j’avais utilisé). C’est donc lui qui a élu domicile dans mon sac à main pendant pratiquement toute la semaine.

Ensuite, je me suis un peu reposée sur un collègue est parti en repérage pour voir les restaurants qui rentraient dans le budget et qui n’étaient pas trop loin du lieu où je travaillais (et, lui, il connaît bien Paris, heureusement). Il est revenu avec presque une dizaine de cartes de visites de restaurants, j’avais de quoi faire mon choix. Avant de partir j’ai regardé les critiques sur Yelp et une fois sur place, j’ai plutôt recouru à l’appli Tripadvisor sur mon téléphone (quand il voulait bien fonctionner, mais là est un autre problème) (bientôt résolu d’ailleurs) (quel teasing de folie…). Au final, mis à part le premier restaurant qui n’a pas été une réussite à mon goût (mais mes convives l’ont trouvé très bien), j’ai pu trouver des endroits sympas sans difficulté (on en reparle bientôt).

Et pour la partie « gestion du sens de l’orientation qui n’a rien d’un sens dans mon cas », j’ai recouru au plan du Hachette et, quand je ne le trouvais pas dans les méandres de mon sac, à l’application Google Maps (est-il besoin de la présenter ?). Et je ne me suis pas perdue une seule fois (peut être aussi parce que je me suis beaucoup reposée sur les amis avec qui je crapahutais pour me guider, j’en conviens) (mais c’est toujours plus agréable que d’avoir en permanence le nez sur son écran de smartphone).
J’ai même aidé des touristes à se repérer !

valises-2013

A partir de là, une fois bien équipée avec mes applications dans le smartphone, les guides, plans et autres cartes dans le sac, j’ai pu préparer mes valises (merci à la collègue qui m’a prêtée la valise à roulette, sans elle j’aurais perdu mon dos je crois) et réserver le taxi pour partir le lendemain. Et ce n’était que le début des péripéties…

To be continued…

Article sponsorisé

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Tapioca lait de coco et sésame noir

11 avril 2013

Il y a quelques temps, en parcourant le blog Beau à la Louche, je suis tombée en pâmoison devant ses panna cotta au sésame noir. Non pas que je sois très fan de panna cotta, mais plutôt que je trouvait leur couleur (grise) plutôt intrigante et rigolote.

Alors je me suis mise en quête d’un pot de purée de sésame noir. Notamment parce que je me rappelais aussi des sablés au sésame noir de Cléa, et que c’était un prétexte suffisant pour aller chercher mon petit pot, même si je n’avais jamais goûté à la chose.

Le pot en ma possession, j’ai goûté. Et honnêtement, je n’ai pas trouvé ça fameux sur le coup, un peu terreux. J’ai toutefois sauté le pas et pris le parti de le cuisiner, histoire de voir ce que a donnait. J’ai tout d’abord fait une fournée des sablés de Cléa (ce qui me permettait en outre d’utiliser ma farine de riz, c’était donc coup double) et c’était très bon ! Mes collègues m’ont regardé d’un air surpris lorsque j’en ai ramené quelques uns au bureau (la couleur, tout ça), mais je crois qu’ils ont l’habitude de mes fantaisies maintenant.

Et vu que c’était très bon, pourquoi ne pas s’en servir pour faire autre chose ? J’ai bien pensé à faire la panna cotta, mais il me manquait certains ingrédients. En fouinant dans mes placards, j’ai trouvé du lait de coco et des perles du japon (ou tapioca) et je me suis dit que ça devrait donner quelque chose de bon et que je n’avais qu’à me lancer…

tapioca-sesame1Ingrédients (pour 6 petites verrines) :

  • 30cl de lait de coco
  • 48g de tapioca
  • 30g de sucre en poudre
  • 1 cuillère à soupe de purée de sésame noir

Réalisation :

  1. Mélanger le lait de coco à 12cl d’eau dans une casserole et porter à ébullition. Ajouter le tapioca et laisser cuire 20 minutes à feu doux en remuant avec une spatule.
  2. Verser le sucre et la purée de sésame, bien mélanger. Répartir le tapioca au lait de coco dans les verrines et laisser refroidir.
  3. Déguster froid ou légèrement tiède, à votre goût.

tapioca-sesame2

Cette recette est librement adaptée de la recette de tapioca au lait de coco et à la mangue du bio book (mon livre de cuisine préféré !) que j’avais faite il y a quelques temps. C’est une recette très facile et rapide, et le résultat me plait beaucoup ! Pour cette version, si la couleur est un peu déconcertante, on retrouve la douceur du lait de coco sucré et le peps du sésame. Je préfère les déguster légèrement tiédis, mais peut être les préfèrerez-vous froid…

En tout cas, cette recette ne laisse pas indifférent, ni à l’aspect, ni au goût !

Bonne journée !

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Petit bonheur du matin #14

6 avril 2013

Cette semaine a été courte mais néanmoins chargée, il faut profiter du week-end pour recharger ses batteries ! Alors pour commencer, un petit passage à la Fnac histoire d’utiliser une carte cadeau et de se donner un coup de pied au derrière pour penser à ses vacances (mais pas que) !

guide-voyagesPetit butin raisonnable donc, un guide pour Barcelone et un pour Londres. En bonus, un livre de couture pour faire ses vêtements : ça fait un moment que ça me titille… Je ne sais pas quand je m’y mettrai, mais il est là, je l’ai feuilleté et plein de modèles me plaisent !

Et puis ce midi, avec un ami, nous sommes allés déjeuner à la Maison Drôle. Il n’était jamais venu, c’était l’occasion d’y aller (enfin d’y retourner pour moi…) !

burger_maison-droleL’ami en question a choisi le burger maison, et apparemment il a trouvé ça très bon ! Je n’ai goûté qu’une frite de ce burger (et un peu de la sauce) et effectivement, ça valait le coup de le commander. En dessert, il a choisi le cheesecake soufflé à la pistache avec un coulis de fruits rouges, je crois qu’il était content d’être venu…

De mon côté, j’avais choisi le risotto à la roquette et au jambon cru et je me suis régalée ! Et en dessert, je n’ai pas résisté au moelleux au chocolat, servi tiède avec un peu de chantilly…

moelleux_maison-droleEt je n’en ai pas laissé une miette presque !

Je vous redonne l’adresse (au cas où)…

La Maison Drôle
2 rue Jouxt Aigues, Toulouse
Tél : 09 51 81 24 62

Un week-end qui s’annonce bien…

Bonne journée !

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De nouveaux produits dans ma salle de bains #3

5 avril 20131 avril 2013

Ces produits ne sont pas vraiment nouveaux puisque je les utilise pour la plupart depuis janvier, certains constituant des cadeaux de Noël que je m’étais faite à moi-même. Ici, je ne vous propose que des produits pour le visage, comme convenu !

clarisonicBrosse Clarisonic Mia 2
Voici le premier cadeau de Noël que je me suis faite. J’avais entendu parler de cette brosse et j’étais assez curieuse de voir si elle allait m’apporter quelque chose. Cette brosse a un effet exfoliant, elle est censée s’utiliser une fois par jour. J’avais d’ailleurs commencé à l’utiliser tous les soirs, après mon démaquillage à l’huile, pour accompagner mon démaquillage à l’eau. Après quelques semaines d’utilisation, j’avais certes la peau très douce (ça c’est visible dès la première), mais je la trouvais assez réactive, comme agressée. J’ai donc espacé mes utilisations et aujourd’hui je l’utilise tous les deux ou trois jours, comme un gommage « standard ». Je pense aller me chercher des brosses spéciales pour les peaux sensibles pour voir si mon visage apprécierait plus…

abeille-royaleAbeille royale – Guerlain
Deuxième cadeau de Noël. Alors je suis consciente que cette crème coûte un bras, qu’on se le dise. Je l’ai achetée en même temps que la brosse Clarisonic. A ce moment là, j’avais changé ma routine de soins pour la journée et j’étais passée à quelque chose de sensiblement plus ciblé sur le traitement des imperfections. Et le soir je voulais m’occuper de la fermeté de mon visage avec un soin anti-âge un peu doudou, qui aide ma peau à supporter l’hiver. Après moult tergiversations, j’ai choisi cette crème. Et vraiment, pour le côté doudou elle est démentielle ! La texture est douce, le parfum un peu mielleux est un peu gourmand sans être écœurant. Ma peau qui picotait à cause du froid ne picote plus. Pour le côté « anti-âge » par contre je n’ai rien vu de sensationnel (en même temps, j’ai 28 ans hein). Bref, je suis contente. Et vu la taille du pot (il est énorme !), je pense que j’ai encore quelques temps avant de la finir, pour mon plus grand plaisir !

gommage-clinique7 day scrub cream – Clinique
Ce gommage, c’est une vidéo d’Hélène qui m’a donné envie de me l’acheter. Je l’utilise principalement quand je ne me sers pas trop de la brosse Clarisonic (quand j’ai des boutons ou s’il fait vraiment froid et que ma peau demande des soins doux). C’est un gommage très très doux, les grains sont tout petits. Par contre, il faut bien le rincer, parce que justement les grains sont tout petits, mais ils s’accrochent bien ! Pas de parfum, la texture est crémeuse et facile à utiliser.

masque-argileMasque à l’argile et aux minéraux de la mer morte – Ahava
Cela va peut être vous sembler bizarre, mais quand j’ai acheté ce masque c’est précisément parce que je n’avais plus de masques du tout (ce qui veut donc dire que j’ai utilisé tout le reste, ce qui en soi représente une performance je trouve). Je cherchais un masque à l’argile doux pour réguler mon sébum et calmer mes poussées d’acné.
Je suis assez mitigée sur ce produit en fait. Je ne l’ai utilisé que deux fois : la première sur peau sèche, j’avais l’impression que ça picotait beaucoup (les minéraux de la mer morte peut être ?) ; la seconde fois sur peau mouillée et là c’était beaucoup plus confortable. Je n’ai pas (encore ?) noté de changement quant à la qualité de ma peau. Par contre, il se rince très bien, ce qui est à souligner pour ce type de masque !

Voilà pour les nouveaux produits pour le visage. Autant je suis conquise par la crème et le gommage, autant je suis un peu plus réservée sur la brosse et le masque à l’argile…

Bonne journée !

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Le retour du presque risotto

4 avril 20131 avril 2013

Après le succès de l’épisode précédent, j’ai voulu réitérer. Je n’avais pas assez d’orge perlé, je n’avais pas envie de m’embarquer dans un vrai risotto, alors cette fois-ci, j’ai fait un presque risotto avec un mélange orge perlé et riz, et pour varier les saveurs, un peu de roquette !

risotto-roquette1Ingrédients (pour 3 bons dîners copieux) :

  • 250 g de mélange orge perlé et de riz (j’ai pris un riz basmati standard, je suppose que ça marche aussi avec du riz rond à risotto)
  • 1 petit paquet de roquette (= environ 4 belles poignées)
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • 1 oignon
  • 1 cuillère à café de curcuma
  • 3 cuillères à soupe de mascarpone
  • 2 cuillères à soupe de parmesan
  • 1 tablette de bouillon de légumes bio

Réalisation :

  1. Rincer l’orge perlé et le riz sous l’eau et les égoutter. Rincer la roquette et la hacher. Peler et détailler l’oignon en petits dés.
  2. Faire dorer l’oignon et le mélange orge-riz dans l’huile d’olive 5 minutes à feu doux en remuant. Ajouter le curcuma, la tablette de bouillon, du poivre, la roquette hachées et environ 60cl d’eau.
  3. Couvrir et laisser mijoter pendant 20-25 minutes à feux doux.
  4. Ajouter le mascarpone, mélanger, retirer du feu et laisser reposer 5 minutes.
  5. Saupoudrer de parmesan et servir.

risotto-roquette2Pas de surprise, c’est très bon, bien crémeux et consistant. Avec quelques pointes d’asperges vertes ajoutées en milieu de cuisson ça doit être très bien aussi. Parfait pour les amateurs de comfort food ou tout simplement pour voyager en Italie le temps d’un repas !

Bonne journée !

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Il n’y a pas que le crochet et la broderie dans la vie !

3 avril 20131 avril 2013

Il y a le tricot aussi.

Parce que c’est bien beau d’apprendre de nouvelles techniques (le crochet donc) et de se replonger dans les délaissées (la broderie, si vous avez bien suivi), mais le tricot j’y reviens toujours. Notamment parce que ça occupe les deux mains, sans occuper les deux yeux (= je peux tricoter en regardant un film, ce que je ne sais pas faire quand je crochète) (et alors quand je brode, ce n’est même pas la peine de l’évoquer).

Il faut bien avouer, aussi, que quand j’avais acheté ces pelotes là, je savais très bien ce que j’allais en faire. Il me fallait juste vérifier que le modèle irait bien pour la verte et la bleue, que l’échantillon correspondait, tout ça.

Alors voilà, j’ai aussi un projet tricot en cours…

echarpe-point-ajourJe tricote donc les deux couleurs ensemble en 3.5, avec mes aiguilles la Droguerie que j’adore (ma seule paire en bambou, quel dommage parce que vraiment tricoter avec est un régal). J’aime bien tricoter deux coloris ensemble, ça donne un effet chiné aléatoire, très joli je trouve. Et vu la luminosité de ces deux coloris, je pense que le résultat final sera à la hauteur de mes espérances…

En tout cas, le modèle est simple sans être ennuyeux comme je les aime, et ça monte plutôt bien, alors je suis contente et motivée comme jamais. Ce mois-ci, ce sera le mois des travaux d’aiguilles, je le sens. Et puis au moins je sais quoi faire quand il pleut : mettre un film, attraper mon tricot et voilà !

Bonne journée !

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Soupe carotte, lait de coco et gingembre

2 avril 20131 avril 2013

Bon, restons zen. Nous sommes en Avril, il pleut toujours autant et malgré le changement d’heure je n’ai pas l’impression de plus profiter du soleil que cela. Il paraît que c’est bientôt le printemps (les fleurs commencent à sortir, les pious-pious chantent, l’herbe pousse, tout ça) et j’ai encore envie de soupes et de plats moelleux-doudous (oui, c’est un concept).

Alors histoire de jouer l’entre-deux, de faire presque-printemps-mais-pas-tout-à-fait, je vous propose une soupe vitaminée avec une pointe d’exotisme : une soupe de carottes au lait de coco et gingembre. Prêts pour le voyage ?

soupe-coco1Ingrédients (pour 4 petits bols ou 2 grands) :

  • 5 carottes
  • 10 cl de lait de coco
  • 1 échalotte
  • une morceau de 2cm de gingembre frais
  • 1 cuillère à café de curcuma
  • 1 cuillère à soupe d’huile
  • un peu de gomasio pour servir (facultatif)

Réalisation :

  1. Laver et peler les carottes, les couper en rondelles. Peler et hacher l’échalote. Rincer et peler le gingembre, le couper en 4 morceaux.
  2. Faire chauffer l’huile dans une petite cocotte (ou une grande casserole). Ajouter l’échalote et le gingembre, laisser dorer 2 minutes à feu doux en remuant régulièrement. Ajouter les carottes, faire dorer 3 minutes en remuant. Saler, poivrer, ajouter le curcuma. Verser environ 50cl d’eau, couvrir la cocotte (ou la casserole) et laisser mijoter 15 minutes à feu doux.
  3. Retirer le gingembre, mettre la soupe dans un blender avec le lait de coco et mixer.
  4. Verser dans les bols, parsemer de gomasio et déguster chaud.

soupe-coco2Une soupe bien épicée qui fait voyager, réconfortante. Son côté rapide et facile à faire me plait beaucoup, et puis le bêta-carotène c’est le moment d’en faire une cure avec le printemps qui arrive, non ?

Bonne journée !

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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