Mnêmosunê
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Author: Mnêmosunê

Petit bonheur du matin #4

11 septembre 201210 novembre 2012

Câlin et gratouillis avec RogerUne petite séance câlins / gratouillis avec Roger qui décidément était de bonne humeur aujourd’hui…

Câlins et gratouillis avec RogerD’ailleurs, il était bien plus d’humeur pour les câlins et les roulades que pour être pris en photo…

Un peu de douceur et de ronrons, c’est toujours bien !

Bonne journée !

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Le pauvre cœur des hommes – Natsume Sôseki

10 septembre 201226 mai 2022

Ce livre c’est l’histoire d’une rencontre et bien plus encore. L’histoire est scindée en trois parties. Dans la première, le narrateur, un étudiant, y raconte comment il a rencontré l’homme qu’il appelle le Maître, comment ils ont peu à peu commencé à se voir régulièrement et comment le jeune homme s’attache véritablement à son Maître. Le jeune homme y découvre, sans vraiment comprendre, la complexité de la pensée du Maître, ce qui le pousse à vivre aussi reclus et sans de lien réel avec les gens (p 56):

– Quoi qu’il en soit, reprit-il, il n’est pas bon, en ce  qui vous concerne, que vous mettiez en moi trop de confiance. Plus tard, vous vous en repentirez. Et, pour avoir été trompé, vous vous vengeriez par représailles !

– Mais que voulez-vous dire ?

– Ceci : que lorsqu’on se souvient de s’être naguère agenouillé devant qui vient de vous décevoir, on a désir de se venger en lui donnant du pied sur la tête. C’est pourquoi, plutôt que de m’exposer à encourir demain le mépris d’autrui, je préfère aujourd’hui repousser les avances d’autrui. Plutôt que de m’exposer demain à un avenir plus triste, je préfère supporter aujourd’hui une moindre tristesse. Trop de liberté, trop d’indépendance, trop d’égoïsme : telle est notre époque actuelle. Pour expier le péché d’y être nés, c’est une évitable nécessité sans doute que, tous, nous en partagions la tristesse !

Devant une telle conception du monde, je ne savais que dire au Maître.

Cette partie s’intitule « Le Maître et moi ».

Dans la deuxième partie du livre, intitulée « Mes parents et moi », le jeune homme explique ses liens avec ses parents, son frère et sa sœur. Des événements dévoilent le caractère et l’attachement de chacun. Cette partie fait la part belle au lien qui unit les parents aux enfants (l’envie qu’ils réussissent, qu’ils se fassent une bonne situation, qu’ils respectent les codes sociaux, etc.) mais aussi le respect que les enfants doivent à leurs aïeux (les soins ou l’aide en cas de maladie, la compagnie, etc.). Pourtant, le jeune homme reçoit bientôt une missive du Maître, qui le fera partir précipitamment de chez ses parents pour se rendre à Tokyo, auprès du Maître.

La dernière partie est écrite du point de vue du Maître puisque c’est le contenu de la lettre qui est retranscrit. Le Maître décide de s’ouvrir au jeune homme, de lui apporter les réponses aux questions qu’il lui a posé lors de leurs nombreuses ballades et entrevues. Le Maître y revient sur l’ensemble de sa vie, en y expliquant les faits majeurs, en décortiquant ce qui l’a amené à ce mode de pensée.

Le pauvre cœur des hommes – Natsume SôsekiCe roman, au phrasé un peu désuet mais fort bien construit et plutôt poétique, est un récit plein de fraîcheur, d’entrain. Les chapitres sont courts, chacun apportant son lot d’informations que l’on tente d’analyser. Au départ, on connaît très peu les protagonistes (d’ailleurs, on ne connaît pas leur prénom), mais peu à peu, au fur et à mesure des événements, les personnages prennent forme et corps.

Le découpage en trois parties permet dans un premier lieu de poser les bases du récit (la rencontre des deux hommes, la création du lien entre eux) puis d’apporter un éclairage tour à tour sur chacun des personnages. J’ai beaucoup aimé la sensibilité de l’écriture, les descriptions sans longueurs mais qui permettent de s’imaginer les lieux, la vivacité du récit.

Il paraît que ce roman est le plus représentatif de l’ère Meiji. Je ne sais pas si c’est réellement le cas, mais je lui trouve l’étoffe d’un classique.

Bonne lecture et bonne journée !

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Petit bonheur du matin #3

9 septembre 201210 novembre 2012

Il en faut parfois très peu pour se réveiller de bonne humeur…

Tarte pomme speculoosAujourd’hui, pour avoir le sourire et apporter un peu de douceur, une tarte aux pommes avec un fond de speculoos. Le tout a été fait un peu n’importe comment, selon l’inspiration du moment et des ingrédients à disposition…

Part de tarte pomme speculoosEt pour une expérience sans recette et à l’instinct, c’est vraiment bon !

Morceau de tarte pomme speculoosBon dimanche et bon appétit !

PS : J’ai du partager cette vidéo vue chez Hélène ce matin par tous les moyens possibles et imaginables, mais vraiment je l’adore. Alors si vous avez un petit coup de mou ou juste envie de rire un peu, vous pouvez aller regarder cette vidéo :  Call Me Maybe – Carly Rae Jepsen (Chatroulette version by Steve Kardynal)

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Spoonful Magazine

7 septembre 2012

Il y a quelques temps, en faisant mon petit tour sur mes blogs favoris (il faudrait d’ailleurs que je mettre à jour la blogroll…), je suis tombée sur cet article du blog Fellow Fellow sur le magazine Spoonful.

Quelque peu intriguée, je me suis renseignée sur le sujet et je me suis dit que le meilleur moyen de me faire une opinion était encore d’avoir ce magazine dans les mains. J’ai donc commandé quelques numéros anciens (le 3 et le 4, dont les couvertures me plaisaient beaucoup) et je me suis abonnée (non, je ne fais pas les choses à moitié). J’ai reçu mon petit paquet cette semaine…

sponnful magazine numéros 3, 4 et 7

Le magazine se décrit comme étant « a hapiness companion » et je trouve qu’en effet, c’est un petit concentré de choses très jolies, qui donnent le sourire.

spoonful magazine, intérieurIl y a cette rubrique où chacun fournit des exemples d’un « sentiment »: ici (en haut à gauche) c’est « To be alive is… » mais j’ai déjà lu dans un des autres numéros « Hapiness is… ». Et c’est vrai que parfois, le sentiment d’être vivant ou le bonheur se résument à peu de choses.

Il y a de jolies phrases illustrées qui sont à la fois des hymnes aux plaisirs simples de la vie (en haut à droite), mais aussi un ravissement pour les yeux.

Il y a une section dans la veine des DIY (en bas), avec de très jolies choses à créer, faciles à réinterpréter et à customiser selon ses envies, son inspiration, son humeur.

Il y a plein d’autres choses qui font que je les feuillette parfois sans les lire, juste pour le plaisir des images, ou encore que je me plonge dans la lecture d’un petit article qui me fera rire comme une baleine pendant ma pause déjeuner (les articles où les gens analysent d’un point de vue humoristique un de leurs échecs est excellent, les auteurs ont beaucoup d’humour !).

Bien sûr, il y a toujours un « mais » et c’est sur le format que je reste un peu sur ma faim: les cahiers sont petits et avec peu de pages. Mais honnêtement, ce petit magazine m’enthousiasme, je le trouve très chouette. Tout à fait le genre de choses que j’aime avoir dans ma bibliothèque et qui en plus est facile à transporter (bien pratique pour se redonner le sourire en cas de coup de mou !).

Du coup, je pense que je vais acheter les numéros 5 et 6 qu’il me manque, le 1 et le 2 n’étant plus disponibles.

Et s’il vous en dit de faire de même, vous pouvez fouiller sur leur site ou encore acheter le magazine/vous abonner dans leur boutique.

Vous connaissiez ? Ce genre de publications vous intéresse-t-il ?

Bonne lecture et bonne journée !

PS : Rien à voir avec le sujet du jour, mais demain je vais procéder à un échange de box internet. Normalement il ne devrait pas y avoir de problèmes, mais sait-on jamais, il se pourrait qu’une petite interruption des programmes survienne… Ne vous inquiétez donc pas ! 🙂

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Un peu de créativité #9

6 septembre 201210 novembre 2012

Le thème de ce mois-ci est l’écriture créatrice…

Où écrivez-vous le plus ?
En ce moment, je pense que c’est au travail que j’écris le plus. Sinon, chez moi, c’est sur mon canapé que j’écris le plus, puisque c’est là que je rédige mes mails, les articles de blogs, etc.

Quel type d’écriture faites-vous ?
Au travail, je rédige beaucoup de rapports et de mails. Je fais aussi du suivi de projet, mais dans ce cadre là j’écris moins.
Chez moi, en écriture manuscrite je fais surtout de la correspondance (Poppy !) et des listes (des to-do listes, des listes d’envies, des choses qui m’inspirent, etc.). Sur l’ordinateur, c’est principalement des articles pour le blog, des mails (souvent interminables, Antigone XXI ne dira pas le contraire !) et encore des listes. Je dois avoir une passion des listes vraiment ancrée !

Quand vous étiez petite, quelles histoires aimiez-vous lire et écrire ?
J’aimais beaucoup les livres qui racontaient les dessins animés Disney et aussi Picsou magazine.
A l’époque, il me semble que je dessinais beaucoup plus que je n’écrivais. J’ai le souvenir d’avoir inventé des chansons au gré des inspirations (en colonie de vacances, une chanson avec un chien en peluche et des barquettes aux fraises). Ah si, en réfléchissant, je me rappelle avoir écrit une rédaction qui m’avait valu un 20/20. Je ne me rappelle plus de l’histoire, mais c’était une histoire avec de l’aventure, un peu de fantastique aussi je crois. Elle avait été lue par mon maître de CM1 et j’avais été écarlate, tellement mal à l’aise ! Mais fière aussi je crois…

Il y a-t-il une forme d’écriture que vous aimez lire maintenant ?
Sans hésitation, les romans. Maintenant, s’il fallait choisir une « catégorie », je serais bien embêtée ! Si j’aime les récits à plusieurs voix (Le mec de la tombe d’à côté, Le caveau de famille ou, dans une moindre mesure, Le fleuve sacré), j’aime aussi les romans de « cape et d’épée » (Le clan des Otori). Les contes (Conte de la première lune, Femmes qui courent avec les loups) me plaisent beaucoup aussi, même si ce ne sont pas des romans…

Conte de la première lune, Keiichirô Hirano
Je crois que je préfère les romans qui racontent un vécu, un quotidien, un instant de vie, que celui-ci soit réel (Paula) ou fictif (Seins et œufs, Rebecca, La marche de Mina).

Paula
Par contre, en ce moment, je ne suis plus aussi friande de policiers ou de fantasy comme j’ai pu l’être adolescente. Quant aux romans d’horreur, ce n’est pas la peine de m’en parler, cela ne m’attire pas du tout !

Si vous pouviez choisir d’écrire quelque chose, qu’est-ce que ce serait ?
Ces derniers temps, j’ai réfléchi à une série de livres pour enfants, notamment depuis que j’ai crocheté la série de poulpes. Lorsque j’ai fait la première pieuvre, j’ai commencé à jouer avec et à raconter une histoire. Et puis j’ai pensé à un titre et même au titre et à l’histoire de l’épisode 2. J’ai réfléchi à plein de choses, comment l’illustrer notamment. Je ne sais pas si je mènerai ce projet à bout, mais en tout cas il a une certaine forme dans mon esprit…
Sinon j’ai toujours pour projet de faire un recueil de textes (d’où la catégorie « écriture » ici…), mais voilà un moment que je n’ai plus écrit de texte. Comme cela fait partie de ma liste 28 by 29, je m’en occuperai bientôt et j’espère que je n’aurai pas perdu la main…

Les épisodes précédents : #1, #2, #3, #4, #5, #6, #7 et #8.

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Conte de la première lune – Keiichirô Hirano

4 septembre 20123 septembre 2012

C’est l’histoire d’un poète qui, pour soigner sa mélancolie, voyage au sud de Kyôto. Après un petit périple en train, il parcourt la montagne. Il se perd, est mordu par un serpent venimeux et est recueilli par un moine en ermitage.

Conte de la première lune, Keiichirô HiranoDans ce lieu, dans la mesure où il ne peut pas réellement marcher, le poète réfléchit à l’existence et à certains sentiments (p 40):

La passion était un morceau de verre fondu, chauffé au rouge, étincelant d’un éclat doré. Pour en user dans la vie, il fallait lui donner une forme utile et banale et le refroidir rapidement, de façon à pouvoir le tenir dans la main. Il ne subsistait alors de son éclat initial qu’une lumière douce mais qu’il finissait par perdre : les marques de doigts ternissaient le verre et, au bout de quelques temps, il finissait brisé par inadvertance, dans un de ces moments de la vie quotidienne totalement dépourvu de sens.

C’est dans ce contexte que le poète rencontre en plein songe une jeune femme. A force de la voir toutes les nuits, il s’éprend elle : quelle est la frontière entre le rêve et la réalité ?

Ce conte philosophique aborde la solitude, la mélancolie, l’amour, la folie, la passion, la mort. Une fois plongé dans le récit, on a du mal à laisser le livre de côté tant il nous happe à en savoir plus. On se surprend à rêver des paysages fleuris, à angoisser lors des moments de fièvre du poète.

Un petit livre qui interpelle et qui enivre comme un parfum de fleur entêtant ou une passion amoureuse. A dévorer emmitouflé dans un plaid, écrasé dans le canapé, avec un bon thé bien chaud à portée.

Bonne lecture et bonne journée !

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Le fleuve sacré – Shûsaku Endô

3 septembre 2012

C’est l’histoire d’un groupe de touristes qui part en voyage en Inde, chacun cherchant à trouver des réponses. Quel crédit Isobe doit-il accorder aux dernières paroles de sa femme, lorsqu’elle a parlé de réincarnation avant sa mort ? Pourquoi Mitsuko pense-t-elle sans arrêt à cet étudiant qu’elle a séduit et plus ou moins maltraité à l’université ? Comment Kiguchi peut-il apaiser son tourment obsessionnel lié à ce qu’il s’est passé lors de la guerre en Birmanie ?

le fleuve sacré, Sûsaku EndôCe livre parle de la recherche d’unité, de logique, de réponses et de la recherche de justifications aux aléas de l’existence (p 169):

Les paroles d’Isobe étaient pleines de vérité. Tant d’événements imprévisibles ou inexplicables traversent notre existence. En ce qui concernait Mitsuko, elle se sentait incapable d’expliquer la raison de sa venue dans ce pays. Quelque fois elle avait l’impression que sa vie e se déroulait pas selon sa volonté à elle, mais suivait une force imprévisible.

Il parle aussi de petites choses du quotidien et de grandes réflexions (p 171):

La balançoire continua son va-et-vient grinçant, même quand Isobe se leva, exactement comme la prière de sa femme résonnait dans son cœur même après sa mort. Une interruption dans notre existence ne signifie pas nécessairement l’arrêt de toute notre vie.

J’ai bien aimé ce livre parce qu’il développe les histoires de différents personnages, avec des situations et des personnalités complètement différentes.

Le roman est fluide, le style est simple et le voyage est raconté tour à tour du point de vue de chaque participant ayant un rôle principal dans l’intrigue.

Comme d’habitude avec la littérature asiatique (dans les films aussi d’ailleurs…), la fin n’en est pas réellement une et laisse libre court à l’imagination. Un roman sans prétention mais qui nous absorbe dans son univers.

Bonne lecture et bonne journée !

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Un petit tour à la médiathèque – Août 2012

2 septembre 201231 août 2012

Il m’aura fallu quelques mois pour aller (enfin !) faire renouveler mon abonnement à la médiathèque de Toulouse, mais voilà c’est fait ! J’en ai bien entendu profité pour emprunter quelques livres…

emprunt médiathèque août 2012De gauche à droite donc :

  • Conte de la première lune –  Keiichirô Hirano
  • Le fleuve sacré – Shûsaku Endô (celui-là, je l’ai fini, je vous en reparle bientôt)
  • Le pauvre cœur des hommes – Natsume Sôseki
  • Confucius – Yasushi Inoué

Voilà de quoi m’occuper et me distraire avant d’aller me coucher. Et vous, quelles sont vos lectures actuellement ? Des ouvrages à me conseiller ?

Bonne journée et bonne lecture !

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Petit poulpe jaune et orange au crochet

1 septembre 201231 août 2012

Voici le dernier petit poulpe en date, confectionné pendant mes congés et sur demande pour mon amie Annoche.

poulpe au crochet jaune et orange aux yeux verts foncésCelui-ci a été confectionné avec des restes de laine d’un plaid pour bébé. C’est donc de la surnaturelle (la Droguerie), crocheté en double en 3,5 et toujours selon le même modèle.

Les yeux sont faits en Alpaga (La Droguerie) coloris futaie (c’est un « reste » de l’étole Blouc que j’avais fait en 2009), un vert très foncé.

poulpe au crochet jaune et orange aux yeux verts

Normalement, puisque je n’ai plus de commandes à honorer concernant la confection de petits poulpes au crochet, celui-ci serait le dernier de la longue série. Mais dans quoi vais-je bien pouvoir me lancer à présent ?

Bonne journée et bon crochet !

PS : Le tissu sur la deuxième photo vient du Petit Comptoir, c’est un des tissus que j’avais utilisé pour réaliser une étoile de l’Ohio en patchwork…

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Un peu de créativité #8

31 août 201210 novembre 2012

Le thème pour ce mois-ci est « l’abondance créatrice ».

Si votre maison était en flammes et que vous eussiez la possibilité de sauver un objet, quel serait-il ?
Totue, sans la moindre hésitation. Parce qu’elle me serait d’un grand réconfort pour aller de l’avant.

TortueSi vous pouviez vous arrêter de travailler ou d’accomplir vos tâches quotidiennes pendant 6 mois, que feriez-vous ?
Déjà, je me reposerais. Et ensuite, avec toute cette nouvelle énergie, je prendrais le temps d’apprendre et d’expérimenter de nouvelles choses (apprendre une langue étrangère, aller dans un endroit que je ne connais pas, essayer un nouveau sport, etc.). Je pense que je travaillerais sur la créativité, l’organisation et la sérénité (tout un programme !).

Qu’est-ce qui pourrait donner plus de sens à votre vie maintenant ?
Me lancer dans un projet qui me permette de construire quelque chose (un achat immobilier par exemple, un déménagement, une reconversion professionnelle, etc.). Ce qui voudrait dire que j’ai réussi à me reconstruire et que je peux aller de l’avant.

Quel cadeau donneriez-vous à un nouveau né ?
La foi que le meilleur est à venir. A mon sens, c’est ce qui existe de mieux pour être enthousiaste, se retrousser les manches, être courageux et agir.

Si vous saviez qu’il vous reste 5 ans à vivre, que feriez-vous ?
Je reprendrais mes études pour étudier les domaines qui m’intéressent vraiment (par exemple, l’histoire de l’art). Et pendant les vacances scolaires, je voyagerais pour découvrir comment les gens vivent ailleurs, leurs habitudes, leurs idéaux, leurs croyances, les parfums et les couleurs de là où ils vivent…

Lotus

Vous pouvez lire les autres épisodes ici: #1, #2, #3, #4, #5, #6 et #7.

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Bienvenue !

Bonjour ! Je suis Mnêmosunê, croqueuse de chocolat noir, lectrice invétérée, créatrice curieuse et artiste dans l'âme. Depuis 2021, j'ai deux minettes noires adorables, deux sœurs, Orphée et Cassiopée. Sur ce blog je partage mes expérimentations et états d'âme : on en parle ensemble ? ♥

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